Enfin...
Les rapports Gai/Kakashi sont tout simplement exellents (ce que j'ai probablement déjà dit: l'enthousiasme fait se répéter)!
Toujours du trés bon boulot! On est tout triste d'arriver bientôt à la fin...
Pas Encore Cette Fois - Kakashi avant Next Gen
Modérateur : Ero-modos
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toz
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- Inscription : dim. 24 juil. 2005, 13:03
- Localisation : Dans une grotte au fin fond de l'irak !!!
Toujours la même avec toi, Tu est un pur écrivain 
!!
J'ai adoré comment tu a retranscrit les relations entre Gai et Kakashi neanmoins j'ai un peu de mal avec le fait que Gai parle de Naruto et de Sasuke a ce moment la je trouve que c'etait pas le moment mais bon ça me gêne pas plus que ça !!
Tres belle fic !
Sur ce ciao !!
!!J'ai adoré comment tu a retranscrit les relations entre Gai et Kakashi neanmoins j'ai un peu de mal avec le fait que Gai parle de Naruto et de Sasuke a ce moment la je trouve que c'etait pas le moment mais bon ça me gêne pas plus que ça !!
Tres belle fic !
Sur ce ciao !!
By ArAtOrU!!!Merci :D
ATTENTION, j'ai edité le chapitre avec une nouvelle version.
Il a maintenant un titre, et j'ai ajoutédes quelques trucs/paragraphes/phrases qui me sembaient manquer dans la dynamique générale.
J'en suis un peu plus contente maintenant, même si je sais qu'il est toujours un peu redondant avec certains passages des précédents, mais il est nécessaire pour mettre les choses au clair une bonne fois pour toute...
vala :)
ATTENTION, j'ai edité le chapitre avec une nouvelle version.
Il a maintenant un titre, et j'ai ajoutédes quelques trucs/paragraphes/phrases qui me sembaient manquer dans la dynamique générale.
J'en suis un peu plus contente maintenant, même si je sais qu'il est toujours un peu redondant avec certains passages des précédents, mais il est nécessaire pour mettre les choses au clair une bonne fois pour toute...
vala :)
)
hé voilà, cette fois c'est vraiment la fin 
----
Epilogue
Hôpital central de Konoha. Un dimanche après midi.
La porte tourna lentement, silencieusement, sur ses gons, et une tête surmontée d'une touffe de cheveux argentés défiant la gravité apparue dans l’embrasure.
Un coup d’oeil à droite, un coup d’œil à gauche… Bien. La voie était libre.
La tête se mit en mouvement, entraînant à sa suite le corps de son propriétaire. Après un dernier regard méfiant autour de lui, Hatake Kakashi empoigna ses béquilles et entrepris de remonter le couloir le plus rapidement possible.
Il n’aimait pas les hôpitaux.
Il y avait passé trop de temps, que ce soit pour lui-même ou en tant que visiteur –ce qui était peut être pire-, pour ne pas chercher à en repartir dès que ses jambes le portaient à nouveau.
Malheureusement pour lui, les infirmières ne voyaient pas tout à fait les choses de la même manière…
A sa première tentative de sortie, il avait eut le droit à un sermon mémorable de l’infirmière en chef – sermon durant lequel il avait relu avec délectation le chapitre 13 du Paradis de la drague. Si elle en était resté là ça aurait été, mais la vieille harpie lui avait également confisqué son uniforme et ses sandales, ne lui laissant que le T-shirt et le large short fournis par l’hôpital (inutile bien sur de préciser que les deux étaient d’un bleu ciel délavé absolument déprimant…)
Mais évidement, ce n’était pas suffisant pour retenir un jounin de la classe de Kakashi…
Il avait fait du charme à une jeune interne rougissante jusqu’à ce qu’elle l’autorise à « emprunter » une paire de béquilles pour aller faire un petit tour…
Tsunade lui avait infligé une liste conséquente de choses qu'il ne devait pas faire, et bien qu'il n'ait rien eut de plus pressée que d'en oublier les trois quarts, il était à peut près certain que "jouer les fils de l'air avec une jambe dans le plâtre" y figurait en bonne place. Il ne pouvait pas encore marcher normalement, et son désir d’évasion n’était pas tel qu’il prenne le risque de provoquer l’ire de l'Hokage en mettant sa jambe récemment opérée à l’épreuve.
Pas fou quand même…
Fort de cet impératif, il avait donc ajouté une étape supplémentaire à son ‘Plan Vers La Liberté’.
Une fois l’étape une –intitulée 'Récupération Les Béquilles'- complétée, il était passé à la phase deux, à savoir ‘Translation Furtive De l’Uniforme’.
Crocheter la porte du bureau de l’infirmière en chef avec un cintre reconverti en passe partout n’avait pas vraiment posé de problème, et maintenant il entamait la phase trois, la plus difficile : ‘Se Tailler Le Plus Loin Et Le Plus Vite Possible Sans Se Faire Remarquer.’
Tout en remontant le couloir, il étudia les diverses possibilités qui s’offraient à lui et décida finalement de faire simple. Descendre la façade de l’hôpital en marchant dessus avec ses béquilles ne se révélerait probablement pas très discret. Quand à emprunter l’identité d’une infirmière ou à se téléporter… humm…. Nan. Trop fatigant.
Et puis ça gâcherait le plaisir.
Il avait presque atteint la sortie de secours, en slalomant entre quelques paniers de linge sale abandonnés le long des murs, quand un 'pop' accompagné d'un élégant nuage de fumée le fit s'arrêter net.
Ho ho… voilà les problèmes…
"Yo Sakura…"
La jeune fille fit un sourire timide en repoussant une mèche rebelle de cheveux roses. Par-dessus sa tunique habituelle elle portait sa blouse de médic.
"Kakashi-sensei…"
Contredisant son air respectueux, les yeux de l'élève de Tsunade étincelaient d'une lueur que Kakashi n'était pas certain d'apprécier.
"Alors, comment vas tu Sakura ?"
La jeune fille n'eut pas l'air démontée par l'innocence qui filtrait pourtant par chacun des pores de son ancien professeur.
"Vous essayez de vous enfuir Kakashi-sensei…"
Le sensei ne passa pas inaperçu, et Kakashi dû retenir le sourire irrationnel qui lui venait aux lèvres.
"Voyons, que vas-tu chercher là… Tu ne refuserais tout de même pas à un vieil homme sa promenade quotidienne ?"
Une étincelle amusée s'alluma dans l'œil de Sakura et elle planta ses poings sur ses hanches.
"En uniforme et par la sortie de secours ? Je suis déçue Kakashi-sensei… Vous nous avez appris à faire mieux que ça."
L'œil visible du jounin s'incurva malicieusement.
« Vraiment ? Hum… Mais tu sais, il y avait ce monstrueux tas de linge sale, et je me suis dit que… »
Sakura secoua vaguement la tête, le sourire sur ses lèvres s’élargissant.
« Menteur… »
Elle laissa échapper un soupir théâtral.
- Je suppose que rien au monde ne pourrait vous retenir dans cet hôpital n’est ce pas ?
Je vous propose un marché. Vous me laissez inspecter vos blessures et je vous laisse sortir sans donner l’alerte, d’accord ?
Kakashi pencha la tête, hautement amusé par son ancienne élève. Sakura avait certainement gagné en assurance et en clairvoyance, même si elle n’était pas tout à fait juste.
‘Rien au monde’ est un bien grand mot… Mais inutile de mêler Gaï ou Tsunade-sama à ça… n’est-ce pas ?
Il réfléchit un instant à la proposition de la jeune kunoïchi, avant de décider que son expression vaudrait probablement vraiment le coup, et que de toute manière un dernier contrôle de ses blessures ne pouvait assurément pas faire de mal.
« Ok. »
Une expression triomphante s’inscrivait sur le visage de Sakura lorsque, dans un ‘pop’ retentissant accompagné du traditionnel nuage de fumée, l’homme qui lui faisait face disparu. Il ne restait plus à ses pieds qu’un sac à linge sale à demi vide.
- Tu sais Sakura, je pensais t’avoir appris à faire mieux que ça…
L’expression de la jeune fille se décomposa littéralement. Contre le mur, là ou se trouvait quelques secondes auparavant ce qu’elle avait identifié comme un chariot de produits d’entretient, se tenait à présent Kakashi, une expression endormie dans l’œil – lequel était fixé sur le chapitre quatorze du Paradis de la drague.
Il ne s’était pas trompé.
Le regard de Sakura valait facilement dix fois les inconvénients d’une visite médicale.
Son visage commença par prendre une délicieuse teinte pivoine qui s’accordait très bien avec ses cheveux avant de glisser vers la mortification la plus profonde.
Visiblement Tsunade ne lui avait pas légué que des jutsu médicaux, s’il en jugeait par les jurons qui…
Oh… Je ne suis pas certains que celui là soit physiquement possible…
Il avait presque oublié à quel point ses élèves pouvaient être des sources de distraction inépuisables quand on savait appuyer sur les bons boutons…
Evidement, sans Sasuke pour cacher de son mieux un regard écarlatement offensé qui semblait se transmettre de manière étrangement contagieuse à ses joues, et Naruto pour glapir encore plus fort que Sakura, la scène perdait un peu de son intérêt…
Mais je pense qu’elle mérite au moins…hum… la troisième place de mon classement
- Je pensais pourtant avoir répété et prouvé plus que de raison qu’un bon ninja est censé savoir regarder au-delà des apparences, et encore au dessous…
Un petit indice ?
Sakura fini sur un dernier juron et jeta un coup d’œil courroucé à son ancien professeur. Kakashi cru qu’elle allait se remettre à jurer, mais un éclair méfiant traversa soudain ses yeux verts.
Il pouvait presque voir s’activer les rouages dans le cerveau de la jeune fille.
Au-delà des apparences, et encore au dessous…
Soudain les yeux de Sakura s’étrécirent, et une expression rusée filtra un instant sur son visage.
Aaa… On dirait bien qu’elle a trouvé… je n’en attendais pas moins… Mais il va falloir qu’elle apprenne à mieux dissimuler ses sentiments…
« Oui. Je suis désolée de vous avoir déçue Kakashi-sensei. Pouvons nous y aller a présent ? » Elle s’inclina un peu.
Hum ?
Quand Sakura se redressa, un kunaï avait dieu sait comment fait son apparition dans sa main, mais il n’y resta pas, et vint s’enfoncer dans la veste de jounin de Kakashi, au niveau du cœur. Avant même que le corps n’ait commencé à tomber, il y eut un énième nuage de fumée, et le kunaï se retrouva planté non plus dans le copy ninja mais dans la toile du chariot ménager.
- Vous venez Kakashi-sensi ?
A l’endroit où se trouvait le sac à linge précédemment affalé, Kakashi épousseta une saleté inexistante de sa veste et rengaina son bouquin porno.
« Après toi Sakura… »
Quand il émergea enfin de l’hôpital, Kakashi se sentait bien.
Le quart d’heure passé en compagnie de son ancienne élève l’avait laissé avec un sentiment diffus de satisfaction et de devoir accompli…
Durant sa semaine de convalescence, la fleur sur sa table de chevet avait été changée tous les jours, mais il avait a peine vu la jeune fille, elle passait en coup de vent, juste avant le début du service de nuit.
Genma était passé deux fois, nonchalant et gouailleur, la deuxième fois en compagnie de Raidou qui était enfin autorisé à sortir. Retenant avec peine un ricanement, il avait expliqué que le jounin à la cicatrice s’était cassé la jambe en glissant sur un jutsu de boue auquel s’entraînaient les aspirants ninja à l’académie –vu l’échange orageux de regards entre eux, Raidou avait probablement du supporter les railleries de son meilleur ami à partir de la seconde même ou son pied avait glissé dans la boue, et Kakashi était prêt à parier son kunaï fétiche qu’il en entendrait parler encore longtemps. Cependant Raidou avait pris la chose avec naturel, et ri de bon cœur avec Kakashi –après tout un jounin de son niveau n’était pas censé glisser ou trébucher sur quoi que ce soit, c’était presque aussi ridicule que s’il avait dérapé sur une peau de banane (comme l’avait aimablement fait remarquer Genma).
Iruka était passé une fois, chargé de copies, et s’était enquis de son état en rougissant un peu. Ils avaient discuté de tout et de rien avant que le professeur ne retourne à ses chères classes –il n’avait pas été convaincu par la théorie de Kakashi selon laquelle il pouvait très bien se permettre d’être un peu en retard, cela «apprendrait la patience aux minuscules ».
Asuma et Kurenaï étaient venu en ordre dispersé, Aboa, Kotetsu et Izumo avaient fait un passage éclair pour déposer du saké avec leurs meilleurs vœux de rétablissement (il ne voulait même pas savoir comment diable ils avaient réussit à l’introduire dans l’hôpital). Anko elle-même avait fait une apparition, prétendument pour vérifier « si les rumeurs étaient vraies » (Kakashi ne tenait pas non plus à savoir ce que disaient les rumeurs) et avait grommelé quelque chose qui aurait effectivement pu passer pour un vœu de rétablissement.
Hana lui avait apporté un sac de nourriture pour chiens -Pakkun avait apprécié l’attention- et avait littéralement manqué d’étriper l’infirmière quand celle-ci avait prétendu faire attendre sa meute à l’extérieur de l’hôpital. Shikatou lui était apparu à la fenêtre deux ou trois fois, et ils avaient joué au shôgi dans un silence agréable.
Gaï quand a lui était venu tout les jours à heures fixes, pour « soutenir son Rival dans cette épreuve de Patience et de Volonté » et surtout s’assurer que Kakashi était toujours là et qu’il prenait bien tout les anti-inflammatoires prescrits plutôt que de les vider dans les toilettes.
Tout entraînements et défis physiques étant bien entendu formellement proscrits, ils avaient fait d’interminables match de bras de fer chinois, une bonne cinquantaine de partie des pierre-papier-ciseau -que Kakashi avait toutes gagnées jusque Gaï réalise que son bandeau ne couvrait pas tout à fait son Sharingan-, ils avaient taillés des bonzaï («une épreuve de Précision et d’Attention !» avait proclamé son rival en déposant le pot de la plante rachitique sur ses genoux), joué au fléchettes avec une vieille affiche «Wanted» d’Orochimaru, fait d’innombrables kunaï en origami, et médité côte à côte dans un silence confortable.
Somme toute, Kakashi était stupéfié de la vitesse à laquelle cette semaine était passée.
Il était encore tôt, et rentrer directement à son appartement ne lui disait rien.
Avant tout : visite au mémorial ; il n’avait pas été voir Obito et les autres depuis une éternité, il avait beaucoup à leur dire. Ensuite, passage à l’appart, et sans doute courses, tout ce qu’il avait de frai devait être pourrie depuis un bon bout de temps –quoique… maintenant qu’il y pensait, il lui semblait que Kurenaï avait mentionné être passé par chez lui pour faire un peu de nettoyage de frigo et reremplir les étagères, et qu’elle l’avait traité de dangereux paranoïaque en se plaignant d’avoir failli se faire tuer une bonne demi-douzaine de fois en désactivant les pièges à sa porte…
Il faudrait qu’il passe la remercier plus tard.
Bon, mémorial alors, puis douche, méditation et entra- ha zut, pas d’entraînement, il avait presque oublié l’espace d’un instant. Et puis cela voulait dire que son projet d’aller défier Gaï pour passer le temps tombait à l’eau, aussi…
Mais il pouvait toujours passer l’enquiquiner un peu, une fois qu’il en aurait fini avec les drastiques exercices quotidiens qu’il faisait subir à son équipe…
Et puis ensuite, hum… il faudrait qu’il passe à la tour de l’Hokage pour demander l’autorisation de se plonger dans les parchemins de techniques d’accès limité. S’il devait se battre contre Orochimaru, il fallait qu’il progresse, vraiment. Il manquait d’informations sur certaines techniques, notamment certaines possibilités de genjutsu du Sharingan…
Il n’avait pas envie de penser à la perspective d’Orochimaru dans le corps de Sasuke, mais c’était une possibilité… hé bien, possible, et la sous estimer aurait été une grave folie.
Il n’avait pas survécu à dix ans dans l’anbu (record national) pour se laisser tuer parce qu’il aurait sous-estimé un adversaire.
Et même s’il ne se battait pas contre Sasuke ou Orochimaru-dans-le-corps-de-Sasuke, il restait toujours Itachi, signala la part cynique de son esprit.
Itachi qui l’avait laissé pour mort la dernière fois, et qui aurait très certainement fini le travail sans l’intervention de Gaï.
Même maintenant, presque neuf mois après, quelque chose de douloureux se tordait encore dans le ventre de Kakashi quand il s’autorisait à se rappeler la torture subie sous le Tsukuyomi de l’aîné des Uchiha. Mais jamais il ne se permettrait à craindre le jour ou il devrait l’affronter à nouveau. C’était un adversaire formidable, et rien de tel qu’un but élevé pour progresser et renforcer la Détermination, n’est ce pas? Fit remarquer dans son esprit, la petite voix du ninja combatif et recherchant un adversaire à sa mesure…
Ladite voix était suspicieusement enthousiasme à l’idée d’avoir sa revanche, et il aurait juré que certains accents énergiques portaient des majuscules.
Mon dieu… si je me met à penser en capitales, je ne m’en remettrait jamais…
Mais la voix-qui-ressemblait-à-celle-de-Gaï avait raison, et Kakashi ne pouvait s’empêcher d’être excité à la perspective de fourrager dans les parchemins vénérables et puissants –ou vénérablement puissant, si on choisissait de voir les choses comme ça- et de dénicher quelques informations qui l’aideraient à préciser les vagues idées qui lui trottaient en tête.
Le temps qu’il parvienne au mémorial, il souriait de nouveau sous son masque, et cette fois, la confortable satisfaction se reflétait dans ses yeux.
fin
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Epilogue
Hôpital central de Konoha. Un dimanche après midi.
La porte tourna lentement, silencieusement, sur ses gons, et une tête surmontée d'une touffe de cheveux argentés défiant la gravité apparue dans l’embrasure.
Un coup d’oeil à droite, un coup d’œil à gauche… Bien. La voie était libre.
La tête se mit en mouvement, entraînant à sa suite le corps de son propriétaire. Après un dernier regard méfiant autour de lui, Hatake Kakashi empoigna ses béquilles et entrepris de remonter le couloir le plus rapidement possible.
Il n’aimait pas les hôpitaux.
Il y avait passé trop de temps, que ce soit pour lui-même ou en tant que visiteur –ce qui était peut être pire-, pour ne pas chercher à en repartir dès que ses jambes le portaient à nouveau.
Malheureusement pour lui, les infirmières ne voyaient pas tout à fait les choses de la même manière…
A sa première tentative de sortie, il avait eut le droit à un sermon mémorable de l’infirmière en chef – sermon durant lequel il avait relu avec délectation le chapitre 13 du Paradis de la drague. Si elle en était resté là ça aurait été, mais la vieille harpie lui avait également confisqué son uniforme et ses sandales, ne lui laissant que le T-shirt et le large short fournis par l’hôpital (inutile bien sur de préciser que les deux étaient d’un bleu ciel délavé absolument déprimant…)
Mais évidement, ce n’était pas suffisant pour retenir un jounin de la classe de Kakashi…
Il avait fait du charme à une jeune interne rougissante jusqu’à ce qu’elle l’autorise à « emprunter » une paire de béquilles pour aller faire un petit tour…
Tsunade lui avait infligé une liste conséquente de choses qu'il ne devait pas faire, et bien qu'il n'ait rien eut de plus pressée que d'en oublier les trois quarts, il était à peut près certain que "jouer les fils de l'air avec une jambe dans le plâtre" y figurait en bonne place. Il ne pouvait pas encore marcher normalement, et son désir d’évasion n’était pas tel qu’il prenne le risque de provoquer l’ire de l'Hokage en mettant sa jambe récemment opérée à l’épreuve.
Pas fou quand même…
Fort de cet impératif, il avait donc ajouté une étape supplémentaire à son ‘Plan Vers La Liberté’.
Une fois l’étape une –intitulée 'Récupération Les Béquilles'- complétée, il était passé à la phase deux, à savoir ‘Translation Furtive De l’Uniforme’.
Crocheter la porte du bureau de l’infirmière en chef avec un cintre reconverti en passe partout n’avait pas vraiment posé de problème, et maintenant il entamait la phase trois, la plus difficile : ‘Se Tailler Le Plus Loin Et Le Plus Vite Possible Sans Se Faire Remarquer.’
Tout en remontant le couloir, il étudia les diverses possibilités qui s’offraient à lui et décida finalement de faire simple. Descendre la façade de l’hôpital en marchant dessus avec ses béquilles ne se révélerait probablement pas très discret. Quand à emprunter l’identité d’une infirmière ou à se téléporter… humm…. Nan. Trop fatigant.
Et puis ça gâcherait le plaisir.
Il avait presque atteint la sortie de secours, en slalomant entre quelques paniers de linge sale abandonnés le long des murs, quand un 'pop' accompagné d'un élégant nuage de fumée le fit s'arrêter net.
Ho ho… voilà les problèmes…
"Yo Sakura…"
La jeune fille fit un sourire timide en repoussant une mèche rebelle de cheveux roses. Par-dessus sa tunique habituelle elle portait sa blouse de médic.
"Kakashi-sensei…"
Contredisant son air respectueux, les yeux de l'élève de Tsunade étincelaient d'une lueur que Kakashi n'était pas certain d'apprécier.
"Alors, comment vas tu Sakura ?"
La jeune fille n'eut pas l'air démontée par l'innocence qui filtrait pourtant par chacun des pores de son ancien professeur.
"Vous essayez de vous enfuir Kakashi-sensei…"
Le sensei ne passa pas inaperçu, et Kakashi dû retenir le sourire irrationnel qui lui venait aux lèvres.
"Voyons, que vas-tu chercher là… Tu ne refuserais tout de même pas à un vieil homme sa promenade quotidienne ?"
Une étincelle amusée s'alluma dans l'œil de Sakura et elle planta ses poings sur ses hanches.
"En uniforme et par la sortie de secours ? Je suis déçue Kakashi-sensei… Vous nous avez appris à faire mieux que ça."
L'œil visible du jounin s'incurva malicieusement.
« Vraiment ? Hum… Mais tu sais, il y avait ce monstrueux tas de linge sale, et je me suis dit que… »
Sakura secoua vaguement la tête, le sourire sur ses lèvres s’élargissant.
« Menteur… »
Elle laissa échapper un soupir théâtral.
- Je suppose que rien au monde ne pourrait vous retenir dans cet hôpital n’est ce pas ?
Je vous propose un marché. Vous me laissez inspecter vos blessures et je vous laisse sortir sans donner l’alerte, d’accord ?
Kakashi pencha la tête, hautement amusé par son ancienne élève. Sakura avait certainement gagné en assurance et en clairvoyance, même si elle n’était pas tout à fait juste.
‘Rien au monde’ est un bien grand mot… Mais inutile de mêler Gaï ou Tsunade-sama à ça… n’est-ce pas ?
Il réfléchit un instant à la proposition de la jeune kunoïchi, avant de décider que son expression vaudrait probablement vraiment le coup, et que de toute manière un dernier contrôle de ses blessures ne pouvait assurément pas faire de mal.
« Ok. »
Une expression triomphante s’inscrivait sur le visage de Sakura lorsque, dans un ‘pop’ retentissant accompagné du traditionnel nuage de fumée, l’homme qui lui faisait face disparu. Il ne restait plus à ses pieds qu’un sac à linge sale à demi vide.
- Tu sais Sakura, je pensais t’avoir appris à faire mieux que ça…
L’expression de la jeune fille se décomposa littéralement. Contre le mur, là ou se trouvait quelques secondes auparavant ce qu’elle avait identifié comme un chariot de produits d’entretient, se tenait à présent Kakashi, une expression endormie dans l’œil – lequel était fixé sur le chapitre quatorze du Paradis de la drague.
Il ne s’était pas trompé.
Le regard de Sakura valait facilement dix fois les inconvénients d’une visite médicale.
Son visage commença par prendre une délicieuse teinte pivoine qui s’accordait très bien avec ses cheveux avant de glisser vers la mortification la plus profonde.
Visiblement Tsunade ne lui avait pas légué que des jutsu médicaux, s’il en jugeait par les jurons qui…
Oh… Je ne suis pas certains que celui là soit physiquement possible…
Il avait presque oublié à quel point ses élèves pouvaient être des sources de distraction inépuisables quand on savait appuyer sur les bons boutons…
Evidement, sans Sasuke pour cacher de son mieux un regard écarlatement offensé qui semblait se transmettre de manière étrangement contagieuse à ses joues, et Naruto pour glapir encore plus fort que Sakura, la scène perdait un peu de son intérêt…
Mais je pense qu’elle mérite au moins…hum… la troisième place de mon classement
- Je pensais pourtant avoir répété et prouvé plus que de raison qu’un bon ninja est censé savoir regarder au-delà des apparences, et encore au dessous…
Un petit indice ?
Sakura fini sur un dernier juron et jeta un coup d’œil courroucé à son ancien professeur. Kakashi cru qu’elle allait se remettre à jurer, mais un éclair méfiant traversa soudain ses yeux verts.
Il pouvait presque voir s’activer les rouages dans le cerveau de la jeune fille.
Au-delà des apparences, et encore au dessous…
Soudain les yeux de Sakura s’étrécirent, et une expression rusée filtra un instant sur son visage.
Aaa… On dirait bien qu’elle a trouvé… je n’en attendais pas moins… Mais il va falloir qu’elle apprenne à mieux dissimuler ses sentiments…
« Oui. Je suis désolée de vous avoir déçue Kakashi-sensei. Pouvons nous y aller a présent ? » Elle s’inclina un peu.
Hum ?
Quand Sakura se redressa, un kunaï avait dieu sait comment fait son apparition dans sa main, mais il n’y resta pas, et vint s’enfoncer dans la veste de jounin de Kakashi, au niveau du cœur. Avant même que le corps n’ait commencé à tomber, il y eut un énième nuage de fumée, et le kunaï se retrouva planté non plus dans le copy ninja mais dans la toile du chariot ménager.
- Vous venez Kakashi-sensi ?
A l’endroit où se trouvait le sac à linge précédemment affalé, Kakashi épousseta une saleté inexistante de sa veste et rengaina son bouquin porno.
« Après toi Sakura… »
Quand il émergea enfin de l’hôpital, Kakashi se sentait bien.
Le quart d’heure passé en compagnie de son ancienne élève l’avait laissé avec un sentiment diffus de satisfaction et de devoir accompli…
Durant sa semaine de convalescence, la fleur sur sa table de chevet avait été changée tous les jours, mais il avait a peine vu la jeune fille, elle passait en coup de vent, juste avant le début du service de nuit.
Genma était passé deux fois, nonchalant et gouailleur, la deuxième fois en compagnie de Raidou qui était enfin autorisé à sortir. Retenant avec peine un ricanement, il avait expliqué que le jounin à la cicatrice s’était cassé la jambe en glissant sur un jutsu de boue auquel s’entraînaient les aspirants ninja à l’académie –vu l’échange orageux de regards entre eux, Raidou avait probablement du supporter les railleries de son meilleur ami à partir de la seconde même ou son pied avait glissé dans la boue, et Kakashi était prêt à parier son kunaï fétiche qu’il en entendrait parler encore longtemps. Cependant Raidou avait pris la chose avec naturel, et ri de bon cœur avec Kakashi –après tout un jounin de son niveau n’était pas censé glisser ou trébucher sur quoi que ce soit, c’était presque aussi ridicule que s’il avait dérapé sur une peau de banane (comme l’avait aimablement fait remarquer Genma).
Iruka était passé une fois, chargé de copies, et s’était enquis de son état en rougissant un peu. Ils avaient discuté de tout et de rien avant que le professeur ne retourne à ses chères classes –il n’avait pas été convaincu par la théorie de Kakashi selon laquelle il pouvait très bien se permettre d’être un peu en retard, cela «apprendrait la patience aux minuscules ».
Asuma et Kurenaï étaient venu en ordre dispersé, Aboa, Kotetsu et Izumo avaient fait un passage éclair pour déposer du saké avec leurs meilleurs vœux de rétablissement (il ne voulait même pas savoir comment diable ils avaient réussit à l’introduire dans l’hôpital). Anko elle-même avait fait une apparition, prétendument pour vérifier « si les rumeurs étaient vraies » (Kakashi ne tenait pas non plus à savoir ce que disaient les rumeurs) et avait grommelé quelque chose qui aurait effectivement pu passer pour un vœu de rétablissement.
Hana lui avait apporté un sac de nourriture pour chiens -Pakkun avait apprécié l’attention- et avait littéralement manqué d’étriper l’infirmière quand celle-ci avait prétendu faire attendre sa meute à l’extérieur de l’hôpital. Shikatou lui était apparu à la fenêtre deux ou trois fois, et ils avaient joué au shôgi dans un silence agréable.
Gaï quand a lui était venu tout les jours à heures fixes, pour « soutenir son Rival dans cette épreuve de Patience et de Volonté » et surtout s’assurer que Kakashi était toujours là et qu’il prenait bien tout les anti-inflammatoires prescrits plutôt que de les vider dans les toilettes.
Tout entraînements et défis physiques étant bien entendu formellement proscrits, ils avaient fait d’interminables match de bras de fer chinois, une bonne cinquantaine de partie des pierre-papier-ciseau -que Kakashi avait toutes gagnées jusque Gaï réalise que son bandeau ne couvrait pas tout à fait son Sharingan-, ils avaient taillés des bonzaï («une épreuve de Précision et d’Attention !» avait proclamé son rival en déposant le pot de la plante rachitique sur ses genoux), joué au fléchettes avec une vieille affiche «Wanted» d’Orochimaru, fait d’innombrables kunaï en origami, et médité côte à côte dans un silence confortable.
Somme toute, Kakashi était stupéfié de la vitesse à laquelle cette semaine était passée.
Il était encore tôt, et rentrer directement à son appartement ne lui disait rien.
Avant tout : visite au mémorial ; il n’avait pas été voir Obito et les autres depuis une éternité, il avait beaucoup à leur dire. Ensuite, passage à l’appart, et sans doute courses, tout ce qu’il avait de frai devait être pourrie depuis un bon bout de temps –quoique… maintenant qu’il y pensait, il lui semblait que Kurenaï avait mentionné être passé par chez lui pour faire un peu de nettoyage de frigo et reremplir les étagères, et qu’elle l’avait traité de dangereux paranoïaque en se plaignant d’avoir failli se faire tuer une bonne demi-douzaine de fois en désactivant les pièges à sa porte…
Il faudrait qu’il passe la remercier plus tard.
Bon, mémorial alors, puis douche, méditation et entra- ha zut, pas d’entraînement, il avait presque oublié l’espace d’un instant. Et puis cela voulait dire que son projet d’aller défier Gaï pour passer le temps tombait à l’eau, aussi…
Mais il pouvait toujours passer l’enquiquiner un peu, une fois qu’il en aurait fini avec les drastiques exercices quotidiens qu’il faisait subir à son équipe…
Et puis ensuite, hum… il faudrait qu’il passe à la tour de l’Hokage pour demander l’autorisation de se plonger dans les parchemins de techniques d’accès limité. S’il devait se battre contre Orochimaru, il fallait qu’il progresse, vraiment. Il manquait d’informations sur certaines techniques, notamment certaines possibilités de genjutsu du Sharingan…
Il n’avait pas envie de penser à la perspective d’Orochimaru dans le corps de Sasuke, mais c’était une possibilité… hé bien, possible, et la sous estimer aurait été une grave folie.
Il n’avait pas survécu à dix ans dans l’anbu (record national) pour se laisser tuer parce qu’il aurait sous-estimé un adversaire.
Et même s’il ne se battait pas contre Sasuke ou Orochimaru-dans-le-corps-de-Sasuke, il restait toujours Itachi, signala la part cynique de son esprit.
Itachi qui l’avait laissé pour mort la dernière fois, et qui aurait très certainement fini le travail sans l’intervention de Gaï.
Même maintenant, presque neuf mois après, quelque chose de douloureux se tordait encore dans le ventre de Kakashi quand il s’autorisait à se rappeler la torture subie sous le Tsukuyomi de l’aîné des Uchiha. Mais jamais il ne se permettrait à craindre le jour ou il devrait l’affronter à nouveau. C’était un adversaire formidable, et rien de tel qu’un but élevé pour progresser et renforcer la Détermination, n’est ce pas? Fit remarquer dans son esprit, la petite voix du ninja combatif et recherchant un adversaire à sa mesure…
Ladite voix était suspicieusement enthousiasme à l’idée d’avoir sa revanche, et il aurait juré que certains accents énergiques portaient des majuscules.
Mon dieu… si je me met à penser en capitales, je ne m’en remettrait jamais…
Mais la voix-qui-ressemblait-à-celle-de-Gaï avait raison, et Kakashi ne pouvait s’empêcher d’être excité à la perspective de fourrager dans les parchemins vénérables et puissants –ou vénérablement puissant, si on choisissait de voir les choses comme ça- et de dénicher quelques informations qui l’aideraient à préciser les vagues idées qui lui trottaient en tête.
Le temps qu’il parvienne au mémorial, il souriait de nouveau sous son masque, et cette fois, la confortable satisfaction se reflétait dans ses yeux.
fin
une fin géniale ! ce ton décalé, c'est vraiment du Jainas tout craché. j'aime vraiment beaucoup la façon dont tu fait intervenir les différents personnages genre Kurenai qui fait ses courses à Kakashi, Genma et Raidou (les adore ces deux là) et les autres. On voit Kakashi motivé pour une fois, à croire que Gai déteint vraiment sur lui. Je mets pas tout ce que je veux, jvé devoir aller en cours bientot mais encore une fois (tu vas finir par te lasser) je te dis ma profonde admiration pour tes écrits. Très bonne fic !
snif... 
C'est déjà terminé, alors?
Une fic plus que géniale, avec de l'humour, de la nostalgie, de noir, du trés noir et quand même pas mal de lumiére...
J'aime ce genre de fic, car tu termine sur une note joliment optimiste, sans tombé dans le happy end classique: un monde sombre mais avec de l'espoir!
On le répétera jamais assez: Kakashi et Gai sont parfaits!!!
Des belles fics comme celle-là, on ne s'en lasserait jamais!
Tayuya
C'est déjà terminé, alors?
Une fic plus que géniale, avec de l'humour, de la nostalgie, de noir, du trés noir et quand même pas mal de lumiére...
J'aime ce genre de fic, car tu termine sur une note joliment optimiste, sans tombé dans le happy end classique: un monde sombre mais avec de l'espoir!
On le répétera jamais assez: Kakashi et Gai sont parfaits!!!
Des belles fics comme celle-là, on ne s'en lasserait jamais!
Tayuya
Tant qu'il ne se met pas à pousser des glapissements et des rugissements en sautillant sur place, son cas n'est pas désespéré...On voit Kakashi motivé pour une fois, à croire que Gai déteint vraiment sur lui.
Merci à tous :D Je vous z'aime 
C'est la première fois que je fini une fic, je suis toute z'émue... et finalement assez contente de ce dernier chapitre, il coule bien et les missions d'évasion de Kakashi m'ont bien fait plaisir à écrire, j'espère que ça se sent. :)
Motoko > Je ne vois pas trop de quoi serait fait un autre chapitre, la progression logique du chapitre s'arrête clairement à l'épilogue, je ne vois pas ce que je pourrais rajouter.
Ou alors une toute autre mission, bien anterieure, avec les anbu dans toute leur glorieuse coolitude ? hummm... *réfléchit*
C'est la première fois que je fini une fic, je suis toute z'émue... et finalement assez contente de ce dernier chapitre, il coule bien et les missions d'évasion de Kakashi m'ont bien fait plaisir à écrire, j'espère que ça se sent. :)
J'espère bien qu'une fois que tu sera revenu de cours tu mettra tout-ce-que-tu-voulais-mettre :Dmets pas tout ce que je veux, jvé devoir aller en cours bientot
Motoko > Je ne vois pas trop de quoi serait fait un autre chapitre, la progression logique du chapitre s'arrête clairement à l'épilogue, je ne vois pas ce que je pourrais rajouter.
Ou alors une toute autre mission, bien anterieure, avec les anbu dans toute leur glorieuse coolitude ? hummm... *réfléchit*
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Motoko
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Ouais ! Surtout que je n'ai pas vu de fic parlant de cette période,ouais ! Suis d'accord ! Avec du sang qui gicle, des têtes coupées, des masques qui tombent, et une happy end s'il te plait... Z'ALLEZ !Jainas a écrit :Motoko > Je ne vois pas trop de quoi serait fait un autre chapitre, la progression logique du chapitre s'arrête clairement à l'épilogue, je ne vois pas ce que je pourrais rajouter.
Ou alors une toute autre mission, bien anterieure, avec les anbu dans toute leur glorieuse coolitude ? hummm... *réfléchit*
J'attends !
Et pis de toute façon tant que y'a du Kakashi dedans....
Ca y est, j'ai tout lu !!!
Excellente fic, surement ma préférée car Kakashi est un personnage que j'affectionne particulièrement, et puis gaï en guest c toujours du bonheur en barre, franchement, tu es excellente.
Bises bises.
Excellente fic, surement ma préférée car Kakashi est un personnage que j'affectionne particulièrement, et puis gaï en guest c toujours du bonheur en barre, franchement, tu es excellente.
Bises bises.
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Sakamoto Julietta
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