32e de Finale: c'est fini !
Modérateur : Ero-modos
Re: 32e de Finale: Delta Force vs Le Voyage de Chihiro
Le voyage de Chihiro, il était pas mal ce film.
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- Chunnin
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Re: 32e de Finale: Delta Force vs Le Voyage de Chihiro
Le voyage de Chihiro, un des meilleurs Miyazaki
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- Sannin
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Re: 32e de Finale: Delta Force vs Le Voyage de Chihiro
Le voyage de Chihiro
Parce que nous savons tous que ce ne sont pas les forumeurs qui éliminent Chuck.
Mais Chuck qui éliminent les forumeurs...
Parce que nous savons tous que ce ne sont pas les forumeurs qui éliminent Chuck.
Mais Chuck qui éliminent les forumeurs...
SPOIL
Ah ah comment ça, ça n'a rien à voir avec les blagues sur Chuck !
Re: 32e de Finale: Delta Force vs Le Voyage de Chihiro
Le voyage de Chihiro, que j'ai trouvé bien sympathique...
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- Boulet mort
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Re: 32e de Finale: Delta Force vs Le Voyage de Chihiro
Delta force
oh grand chuck voit mon vote et ne me latte pas les co******
oh grand chuck voit mon vote et ne me latte pas les co******
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- Sannin
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Re: 32e de Finale: Delta Force vs Le Voyage de Chihiro
je vois beaucoup de votes pour le voyage de chihiro... il y en a qui ont pas peur des représailles de chuck...
Re: 32e de Finale: Delta Force vs Le Voyage de Chihiro
Chuck il vient quand il veut, on le latte
Re: 32e de Finale: Delta Force vs Le Voyage de Chihiro
Surtout qu'avec ses 68 balais, il est moins vaillant qu'avant pépé
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- Chunnin
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Re: 32e de Finale: Delta Force vs Le Voyage de Chihiro
Oui, et puis utiliser 68 balais en même temps, ça doit pas être très pratique....
Faudrait qu'il s'achète un aspirateur Chuckounet.
***edit de Kakashi_ je l'attendais celle-là ***
Faudrait qu'il s'achète un aspirateur Chuckounet.
***edit de Kakashi_ je l'attendais celle-là ***
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- Chunnin
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Re: 32e de Finale: American Beauty vs Piège de Cristal
Victoire 15 à 4 du Voyage de Chihiro, face à Chuckounet.
Et comme une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule, tout les nanars ont été éliminés.
Désolée Guiguiz et Coco
Et maintenant, place au nouveau versus.
***********************************************************************************
American Beauty
Film américain de Sam Mendes (2000)
Scénario: Alan Ball
Image: Conrad L. Hall
Musique: Thomas Newman
Casting:
Kevin Spacey: Lester Burnham
Annette Bening: Carolyn Burnham
Thora Birch: Jane Burnham
Wes Bentley: Ricky Fitts
Mena Suvari: Angela Hayes
Synopsis:
Une maison de rêve, un pavillon bourgeois discrètement cossu dissimule dans une banlieue résidentielle, c'est ici que résident Lester Burnhamm, sa femme Carolyn et leur fille Jane. L'agitation du monde et sa violence semblent bien loin ici. Mais derrière cette respectable façade se tisse une étrange et grinçante tragi-comédie familiale ou désirs inavoués, frustrations et violences refoulées conduiront inexorablement un homme vers la mort.
Attention, spoilers
American Beauty est une critique de la société américaine et dit ce que peu de films américains osent dire. C'est une critique de la société ordinaire américaine qui tente de cacher tant bien que mal des existences désastreuses. Kevin Spacey est brillant dans un rôle de lamentable perdant et de père de famille minable. Sa crise de la quarantaine va permettre de lever le voile sur des vies trop ordinaires pour être honnêtes. Le film dénonce une société hypocrite dont la seule obsession est l'apparence extérieure de réussite (les protagonistes l'affirment eux-même: "Pour réussir dans la vie, il faut donner l'impression de réussir en toutes circonstances"). Cependant, cette société est rongée de l'intérieur par la frustration détruisant de cette manière le fameux rêve américain. American Beauty n'épargne rien ni personne; puritanisme, patriotisme, auto-motivation, pouvoir, et culture de l'entreprise en prennent pour leur grade.
Le film commence fort, montrant Lester sous la douche en train de se masturber. Le personnage avoue dans le fond que c'est le meilleur moment de sa journée. Cela met en avant sa frustration sexuelle. Le personnage n'a, en effet, plus eu de relations sexuelles depuis fort longtemps avec sa femme qui est plutôt matérialiste, obsédée par l'argent, sa carrière, et le mobilier de sa maison. Sous ce semblant de bonheur marital apparaît un problème plus grave de la société américaine. À cause de cette frustration, le personnage est amené à fantasmer sur une des copines d'école de sa fille. Angela incarne parfaitement la beauté américaine représentée dans les fantasmes de Lester par des pétales de roses fraîches par opposition aux roses plantées et coupées dans le jardin de sa femme qui sont bien réelles et qui font référence à une beauté figée et à l'absence de désir sexuel. Ceci dénonce une Amérique aux abords puritains où pourtant des pères de famille violent des jeunes filles. Cette frustration sexuelle est aussi visible chez Carolyn, qui trouvera satisfaction ailleurs, et chez le voisin, traduite par son homophobie témoignant d'une éducation puritaine où ces tendances sont rejetées.
American Beauty s'attaque ensuite au patriotisme. Le voisin est un colonel à la retraite qui a fait de sa femme un zombie (Il semble en fait qu'elle soit atteinte de la maladie d'Alzheimer) et qui n'hésite pas à élever son fils vers le droit chemin à coup de poing. La réaction logique de ce dernier face à ces méthodes sévères et violentes fait de lui un trafiquant de drogues. La vision de films de guerre imposée par le père fait référence à l'Amérique conservatrice. Mais là où le film va plus loin encore, c'est dans la dénonciation du fascisme qui résulte d'un patriotisme et d'une culture militariste exagérés. On découvre une assiette du Troisième Reich ornée d'une croix gammée dans la collection privée du colonel. Ricky ajoute la précision de la rareté de cet objet et la convoitise des collectionneurs concernant cet objet. Le film met ainsi le doigt sur l'hypocrisie d'une société qui bannit une nudité déclarée malsaine à la télévision mais qui, cependant, laisse vendre ouvertement des dagues SS et autres photos d'Hitler dans ses magasins d'antiquités.
Le film critique ensuite la culture du pouvoir par l'auto-motivation. Le film prend le parfait exemple du domaine de l'immobilier, l'une des industries les plus agressives et concurrentielles en Amérique. L'amant de Carolyn n'est autre que le "Roi de l'Immobilier". Il lui communiquera son secret de réussite, sa soif de pouvoir (tout en étanchant sa soif sexuelle). On nous montre ainsi un monde où donner l'illusion d'être un vainqueur est la clé du succès. Cette culture du pouvoir se fait aussi par l'écoute de cassettes d'auto-motivation qui est une culture propre à la société américaine. Cette culture peut prendre diverses formes: livrets, posters, vidéos... pour citoyens ordinaires en mal de réussite. La sensation du pouvoir est également évoquée par le port d'armes à feu, visible par la collection d'armes du colonel et l'entraînement au tir que suit désormais Carolyn.
American Beauty s'en prend enfin à la culture de l'entreprise. Lester est confronté à un jeune loup dont la présence sert seulement à justifier des licenciements abusifs. Le film ne s'attaque pas seulement à la précarité et aux raisons peu crédibles de licenciements, mais surtout aux abus qui règnent dans les grosses entreprises même. On a ici l'exemple d'une grosse compagnie de management dont les PDG s'offrent des call-girls sur le dos de la société et de Kevin Spacey qui fait du chantage au harcèlement sexuel. On peut toutefois s'étonner de ce que rien ne soit dit des conditions de travail dans les "fast food" : après avoir plaqué son emploi, Lester travail comme serveur dans un drive-in et a l'air d'y être parfaitement heureux... Bien évidemment, il s'agit là d'un effet comique qui revient à contraster ses deux situations sans avoir à alourdir le film en lançant une nouvelle histoire à l'intérieur de l'histoire principale.
Plus que toutes ces attaques précises, c'est le rêve américain qui en prend un coup. Pour la famille Burnham, le rêve américain est enfin atteint: les Burnham sont propriétaires d'une grande maison en banlieue avec un beau jardin, un beau mobilier, des salaires avantageux, une fille mignonne et raisonnable et un van. Pourtant, ce rêve américain est complètement discrédité et n'est qu'une illusion puisqu'aucun des personnages n'est heureux et que le noyau familial explose au final. Les personnages ont fait le choix de cette course au bonheur apparent pour paraître normaux en sacrifiant leurs passions personnelles jusqu'à en oublier même de vivre. Seule la fille, le membre le plus lucide malgré son aspect marginal, comprend cette défaillance de la société. Elle ne trouvera le bonheur et la beauté qu'au travers de la caméra de son copain (le fils du colonel), lui aussi marginal et qui a été interné dans un hôpital psychiatrique. On a un doute sur leur santé mentale du à leurs confessions d'envies meurtrières. Finalement, tous deux vont retrouver la beauté du monde à travers la caméra qui constitue un filtre capable de saisir la légèreté de l'instant et le vide dérisoire de la société de consommation à travers l'image mémorable, fragile et belle, d'un sac plastique.
Ce film a obtenu l'Oscar du meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario original, meilleur acteur (Kevin Spacey) et meilleure photographie.
Bande Annonce
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Piège de Cristal
Die Hard
Film américain de John McTiernan (1988)
Scénario:
Image:
Musique:
Casting:
Bruce Willis: John McClane
Alan Rickman: Hans Gruber
Alexander Godunov: Karl
Synopsis:
John McClane, policier new-yorkais, est venu rejoindre sa femme Holly, dont il est separé depuis plusieurs mois, pour les fêtes de Noël dans le secret espoir d'une réconciliation. Celle-ci est cadre dans une multinationale japonaise, la Nakatomi Corporation. Son patron, M. Takagi, donne une soirée en l'honneur de ses employés, à laquelle assiste McClane. Tandis qu'il s'isole pour téléphoner, un commando investit l'immeuble et coupe toutes les communications avec l'extérieur...
-Après le succès de Predator, John McTiernan dispose pour son film suivant de la confiance des producteurs (Lawrence Gordon et Joel Silver) et d'une plus grande liberté d'action. À l'origine, le scénario était plus simpliste et plus sombre, les preneurs d'otages étant de véritables terroristes. Mais dans l'objectif d'y insérer plus de « gaieté » (il s'agissait avant tout d'un divertissement d'été), ce sont des cambrioleurs se faisant passer pour des terroristes qui prennent le relais.
-À noter que la tour-vedette du film, le Nakatomi Plaza, est en fait le Fox Plaza, où l'équipe du film a pu disposer de 8 semaines de tournage.
-Le directeur de la photographie est Jan De Bont, futur réalisateur vedette de Speed.
-Il est également à retenir que Die Hard 1 aurait pu s'appeler "Commando 2" interprété par Arnold Schwarzenegger qui aurait repris son rôle de John Matrix qu'il avait tenu en 1984 dans le film Commando de Mark L. Lester. Le tournage de Terminator 2 l'en a empêché.
Bande Annonce
The Song
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Fin du versus le lundi 17 mars à 20 heures.
Bon votes
Et comme une mauvaise nouvelle n'arrive jamais seule, tout les nanars ont été éliminés.
Désolée Guiguiz et Coco
Et maintenant, place au nouveau versus.
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American Beauty
Film américain de Sam Mendes (2000)
Scénario: Alan Ball
Image: Conrad L. Hall
Musique: Thomas Newman
Casting:
Kevin Spacey: Lester Burnham
Annette Bening: Carolyn Burnham
Thora Birch: Jane Burnham
Wes Bentley: Ricky Fitts
Mena Suvari: Angela Hayes
Synopsis:
Une maison de rêve, un pavillon bourgeois discrètement cossu dissimule dans une banlieue résidentielle, c'est ici que résident Lester Burnhamm, sa femme Carolyn et leur fille Jane. L'agitation du monde et sa violence semblent bien loin ici. Mais derrière cette respectable façade se tisse une étrange et grinçante tragi-comédie familiale ou désirs inavoués, frustrations et violences refoulées conduiront inexorablement un homme vers la mort.
Attention, spoilers
American Beauty est une critique de la société américaine et dit ce que peu de films américains osent dire. C'est une critique de la société ordinaire américaine qui tente de cacher tant bien que mal des existences désastreuses. Kevin Spacey est brillant dans un rôle de lamentable perdant et de père de famille minable. Sa crise de la quarantaine va permettre de lever le voile sur des vies trop ordinaires pour être honnêtes. Le film dénonce une société hypocrite dont la seule obsession est l'apparence extérieure de réussite (les protagonistes l'affirment eux-même: "Pour réussir dans la vie, il faut donner l'impression de réussir en toutes circonstances"). Cependant, cette société est rongée de l'intérieur par la frustration détruisant de cette manière le fameux rêve américain. American Beauty n'épargne rien ni personne; puritanisme, patriotisme, auto-motivation, pouvoir, et culture de l'entreprise en prennent pour leur grade.
Le film commence fort, montrant Lester sous la douche en train de se masturber. Le personnage avoue dans le fond que c'est le meilleur moment de sa journée. Cela met en avant sa frustration sexuelle. Le personnage n'a, en effet, plus eu de relations sexuelles depuis fort longtemps avec sa femme qui est plutôt matérialiste, obsédée par l'argent, sa carrière, et le mobilier de sa maison. Sous ce semblant de bonheur marital apparaît un problème plus grave de la société américaine. À cause de cette frustration, le personnage est amené à fantasmer sur une des copines d'école de sa fille. Angela incarne parfaitement la beauté américaine représentée dans les fantasmes de Lester par des pétales de roses fraîches par opposition aux roses plantées et coupées dans le jardin de sa femme qui sont bien réelles et qui font référence à une beauté figée et à l'absence de désir sexuel. Ceci dénonce une Amérique aux abords puritains où pourtant des pères de famille violent des jeunes filles. Cette frustration sexuelle est aussi visible chez Carolyn, qui trouvera satisfaction ailleurs, et chez le voisin, traduite par son homophobie témoignant d'une éducation puritaine où ces tendances sont rejetées.
American Beauty s'attaque ensuite au patriotisme. Le voisin est un colonel à la retraite qui a fait de sa femme un zombie (Il semble en fait qu'elle soit atteinte de la maladie d'Alzheimer) et qui n'hésite pas à élever son fils vers le droit chemin à coup de poing. La réaction logique de ce dernier face à ces méthodes sévères et violentes fait de lui un trafiquant de drogues. La vision de films de guerre imposée par le père fait référence à l'Amérique conservatrice. Mais là où le film va plus loin encore, c'est dans la dénonciation du fascisme qui résulte d'un patriotisme et d'une culture militariste exagérés. On découvre une assiette du Troisième Reich ornée d'une croix gammée dans la collection privée du colonel. Ricky ajoute la précision de la rareté de cet objet et la convoitise des collectionneurs concernant cet objet. Le film met ainsi le doigt sur l'hypocrisie d'une société qui bannit une nudité déclarée malsaine à la télévision mais qui, cependant, laisse vendre ouvertement des dagues SS et autres photos d'Hitler dans ses magasins d'antiquités.
Le film critique ensuite la culture du pouvoir par l'auto-motivation. Le film prend le parfait exemple du domaine de l'immobilier, l'une des industries les plus agressives et concurrentielles en Amérique. L'amant de Carolyn n'est autre que le "Roi de l'Immobilier". Il lui communiquera son secret de réussite, sa soif de pouvoir (tout en étanchant sa soif sexuelle). On nous montre ainsi un monde où donner l'illusion d'être un vainqueur est la clé du succès. Cette culture du pouvoir se fait aussi par l'écoute de cassettes d'auto-motivation qui est une culture propre à la société américaine. Cette culture peut prendre diverses formes: livrets, posters, vidéos... pour citoyens ordinaires en mal de réussite. La sensation du pouvoir est également évoquée par le port d'armes à feu, visible par la collection d'armes du colonel et l'entraînement au tir que suit désormais Carolyn.
American Beauty s'en prend enfin à la culture de l'entreprise. Lester est confronté à un jeune loup dont la présence sert seulement à justifier des licenciements abusifs. Le film ne s'attaque pas seulement à la précarité et aux raisons peu crédibles de licenciements, mais surtout aux abus qui règnent dans les grosses entreprises même. On a ici l'exemple d'une grosse compagnie de management dont les PDG s'offrent des call-girls sur le dos de la société et de Kevin Spacey qui fait du chantage au harcèlement sexuel. On peut toutefois s'étonner de ce que rien ne soit dit des conditions de travail dans les "fast food" : après avoir plaqué son emploi, Lester travail comme serveur dans un drive-in et a l'air d'y être parfaitement heureux... Bien évidemment, il s'agit là d'un effet comique qui revient à contraster ses deux situations sans avoir à alourdir le film en lançant une nouvelle histoire à l'intérieur de l'histoire principale.
Plus que toutes ces attaques précises, c'est le rêve américain qui en prend un coup. Pour la famille Burnham, le rêve américain est enfin atteint: les Burnham sont propriétaires d'une grande maison en banlieue avec un beau jardin, un beau mobilier, des salaires avantageux, une fille mignonne et raisonnable et un van. Pourtant, ce rêve américain est complètement discrédité et n'est qu'une illusion puisqu'aucun des personnages n'est heureux et que le noyau familial explose au final. Les personnages ont fait le choix de cette course au bonheur apparent pour paraître normaux en sacrifiant leurs passions personnelles jusqu'à en oublier même de vivre. Seule la fille, le membre le plus lucide malgré son aspect marginal, comprend cette défaillance de la société. Elle ne trouvera le bonheur et la beauté qu'au travers de la caméra de son copain (le fils du colonel), lui aussi marginal et qui a été interné dans un hôpital psychiatrique. On a un doute sur leur santé mentale du à leurs confessions d'envies meurtrières. Finalement, tous deux vont retrouver la beauté du monde à travers la caméra qui constitue un filtre capable de saisir la légèreté de l'instant et le vide dérisoire de la société de consommation à travers l'image mémorable, fragile et belle, d'un sac plastique.
Ce film a obtenu l'Oscar du meilleur film, meilleur réalisateur, meilleur scénario original, meilleur acteur (Kevin Spacey) et meilleure photographie.
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Piège de Cristal
Die Hard
Film américain de John McTiernan (1988)
Scénario:
Image:
Musique:
Casting:
Bruce Willis: John McClane
Alan Rickman: Hans Gruber
Alexander Godunov: Karl
Synopsis:
John McClane, policier new-yorkais, est venu rejoindre sa femme Holly, dont il est separé depuis plusieurs mois, pour les fêtes de Noël dans le secret espoir d'une réconciliation. Celle-ci est cadre dans une multinationale japonaise, la Nakatomi Corporation. Son patron, M. Takagi, donne une soirée en l'honneur de ses employés, à laquelle assiste McClane. Tandis qu'il s'isole pour téléphoner, un commando investit l'immeuble et coupe toutes les communications avec l'extérieur...
-Après le succès de Predator, John McTiernan dispose pour son film suivant de la confiance des producteurs (Lawrence Gordon et Joel Silver) et d'une plus grande liberté d'action. À l'origine, le scénario était plus simpliste et plus sombre, les preneurs d'otages étant de véritables terroristes. Mais dans l'objectif d'y insérer plus de « gaieté » (il s'agissait avant tout d'un divertissement d'été), ce sont des cambrioleurs se faisant passer pour des terroristes qui prennent le relais.
-À noter que la tour-vedette du film, le Nakatomi Plaza, est en fait le Fox Plaza, où l'équipe du film a pu disposer de 8 semaines de tournage.
-Le directeur de la photographie est Jan De Bont, futur réalisateur vedette de Speed.
-Il est également à retenir que Die Hard 1 aurait pu s'appeler "Commando 2" interprété par Arnold Schwarzenegger qui aurait repris son rôle de John Matrix qu'il avait tenu en 1984 dans le film Commando de Mark L. Lester. Le tournage de Terminator 2 l'en a empêché.
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The Song
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Fin du versus le lundi 17 mars à 20 heures.
Bon votes
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- Sannin
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Re: 32e de Finale: American Beauty vs Piège de Cristal
Die Hard
Ca ne se discute même pas .
Ca ne se discute même pas .
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- Ninja de Légende
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- Inscription : dim. 24 juil. 2005, 15:47
Re: 32e de Finale: American Beauty vs Piège de Cristal
American Beauty, ça se discute même pasAizen a écrit :Die Hard
Ca ne se discute même pas .
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- Agent Crockett
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Re: 32e de Finale: American Beauty vs Piège de Cristal
Le meilleur projet de Ball étant Six Feet Under, je choisis (mais de toute façon sans hésiter) Die Hard. Film culte, héros culte. McLane a bercé mon enfance.
"Yipee Ki Yay motherfucker !"
"Yipee Ki Yay motherfucker !"