Secrets, mystères, paranormal et surnaturel...

A narutotrad, comme on est cool, et qu'on veut renforcer la communauté narutotradienne, on vous laisse parler de tout et de rien. C'est la cour de récréation ici. Donc faites-vous plaisir.

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Jade Von Memeth
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Secrets, mystères, paranormal et surnaturel...

Message par Jade Von Memeth »

Salut tout le monde!

J'avais dans l'idée de créer un topic parlant, comme l'indique son titre, de dossiers secrets, de mystères irrésolus, d'évènements paranormaux et surnaturels qui surgissent sans cesse dans ce monde.
Esprits rationnels sont aussi les bienvenus sur ce topic.
Réagissez à certains phénomènes demeurés encore inexplicables par la science. Le monde est vraissemblablement regorgé de mystères étranges.
Vous pourrez également énoncer des anecdotes personnelles!




Premier dossier: La combustion humaine spontanée



J'ai pioché les infos dans plusieurs sources différentes.


"On retrouve dans une pièce un corps humain réduit complètement en cendre. Les autres objets de la pièce ne sont pas touchés. L'auto-combustion est l'un des nombreux mystères de la science. Il y a plein de cas qui prouvent que ce phénomène existe bien. Ce qui fait défaut, ce sont les explications scientifiques du phénomène. L'auto-combustion réduit en cendre la chair et les os en quelques instants. Comment ce phénomène peut se produire, alors que l'on sait parfaitement qu'il faut de longues heures à un feu intensif d'un crématorium pour calciner la chair d'un corps humain. Même après l'incinération on doit broyer les os qui sont restés quasiment intacts.

Concernant le phénomène en lui-même, le corps de la victime est réduit à l'état de cendres, mis à part souvent les extrémités, comme les bras ou les jambes, qui restent intacts. Lors des incendies "normaux" meurtriers, y subsistent les os, ainsi que certains organes internes des victimes. Ici, même les os sont réduits à l'état de cendre, ce qui suppose une chaleur très importante et régulière, de l'ordre de 1.650°C ! A titre de comparaison, une voiture en flamme n'atteint "que" 700°, et il faut 1.100°C pour faire fondre du verre !

Concernant le lieu, le dégagement d'une telle chaleur aurait dû tout brûler de l'environnement de la victime. Cependant, les vêtements, le lit sur lequel peut se trouver cette victime sont souvent intacts, tout comme des journaux posés juste à côté, alors que des bougies ont été fondues, ainsi que l'installation électrique ! D'une manière générale, le lieu est retrouvé intact, et recouvert de suie, ce qui suppose une combustion lente.


Les cas célèbres de combustion spontanée:


Il est impossible de relater tous les cas mais certains sont particulièrement intéressants. J’ai choisi des cas consignés au 20è siècle car ils me semblent moins sujet à controverse et ont fait l’objet de rapports officiels.

1938 : Mrs.Mary Carpenter périt lors d’une croisière au large de Norfolk sous les yeux de son mari et de ses enfants.
Engloutie dans les flammes, elle fut en un instant réduite à l’état de cadavre carbonisé. Personne d’autre ne fut brûlé et le bateau ne subit aucun dégât.

1952 : Une voisine appela les pompiers en voyant de la fumée sortir de l’appartement de Glen B.Dennery (Louisiane). Les pompiers trouvèrent le corps en feu.
Le lieutenant des pompiers déclara :

« L’homme gisait sur le sol, derrière la porte, dans un buisson de flammes. Dans la pièce, absolument rien d’autre ne brûlait. L’homme était mort. J’ignore ce qui permettait au feu d’être si intense. »

Cet homme ne fumait pas et aucune trace de liquide inflammable n’a été retrouvée.

Mais, le plus surprenant dans ce cas c’est que la victime s’était ouverte les poignets ; on retrouva le couteau ensanglanté dans la cuisine. Denney était déprimé. On supposa donc qu’il s’était suicidé en se coupant les deux artères puis brûlé pour plus de sûreté.
Malheureusement, les faits réfutaient cette conclusion. En effet, aucun bidon d’essence ne fut retrouvé et même pas une boite d’allumettes.

1953 : Le corps de Waymond Wood fut découvert « noir et grillé » sur le siège avant de sa voiture fermée en Caroline du Sud.
Il ne restait presque plus rien de l’homme. La voiture était intacte à part le pare-brise boursouflé et affaissé par l’intensité de la chaleur.



Voici les nombreuses hypothèses faites sur les causes des combustions spontanées:

Alcool

Plusieurs on émit l’hypothèse selon laquelle ces cas de combustion humaine spontanée s'expliquaient par l'état d'imbibation alcoolique particulièrement prononcé des victimes. Une étincelle suffirait alors à les enflammer. Pourtant de nombreux cas de combustion spontanée concernent des personnes qui ne buvaient jamais. De plus, il a été prouvé expérimentalement que la chair imbibée d'alcool cesse de brûler quand il ne reste plus d'alcool.

Feu divin

Certains se sont intéressés au phénomène d'hyperthermie du corps humain, fréquemment évoqué dans la vie des saints. On trouve ainsi de nombreux témoignages d'élévations extraordinaires de température qui seraient dues pour les scientifiques, à un dysfonctionnement de la glande thyroïde. Lors de transports extatiques les mystiques se sentent bouillir et ont du mal à supporter leurs vêtements, ainsi Saint Stanislas déambulait en plein hiver à moitié nu, en s'écriant "je brûle". Même allusion à la "grande flamme brûlante de l'amour divin" chez Saint Philippe de Néri : pendant qu'il disait la messe, des témoins rapportent avoir observé des étincelles entourant son visage et le saint prétendait souffrir d'une fièvre dévorante. Autre épisode marquant de sa vie spirituelle : la venue en 1544 du Saint Esprit sous la forme d'un globe de feu, une apparition provoquant chez lui une telle chaleur qu'il dut se jeter sur le sol glacial pour essayer de se rafraîchir.

L'histoire d'une des carmélites du couvent de Fasano est identique : elle observe l'apparition d'un étrange halo de feu qui descend sur elle et brûlera sa chemise, provoquant son évanouissement. L'absorption d'eau provoquait dans le corps de la sainte napolitaine Maria Villani un bruit de sifflement pareil à celui d'un liquide tombant sur une plaque de fer chauffée au rouge. Au moment de l'autopsie de son corps, une fumée âcre s'est dégagée d'elle et le chirurgien, quand il mit le coeur dans sa main, se brûla et dut s'y reprendre à deux fois.

Magnétisme

En revanche, l'hypothèse magnétique paraît être une des plus sérieuses avancées: les observateurs ont remarqué que les cas de combustions humaines spontanées augmentent quand la courbe géomagnétique de la terre est à son apogée, cette courbe se modifie en fonction de l'activité solaire.

Les boules de feu

Dans les cas étudiés il apparaîtrait que les combustions proviendraient de l'interaction complexe entre l'état physique d'un individu et certaines conditions astronomiques particulières. Une explication retenue par plusieurs physiciens pour qui l'apparition de boules de feu coïncide avec les combustions humaines observées. Ces boules pourraient donc dégager une énergie colossale (produisant des ondes radio semblables à celle d'un four à micro ondes) cela expliquerait mieux pourquoi on retrouve des gens réduits à l'état de cendres dans leurs vêtements intacts.


Feu suicidaire

On connaît deux exemples de combustion spontanée qui coïncident avec des tentatives de suicide. Ils sont inexplicables, sauf si l'on admet que les victimes ont brûlé parce qu'elles avaient renoncé à la vie. Le 13 décembre 1959, Billy Peterson, vingt-sept ans, décide d'en finir avec la vie en s'asphyxiant au gaz d'échappement, qu'il détourne du moteur vers l'intérieur de sa voiture. Retrouvé un peu plus tard, son état physique inquiétera les enquêteurs : alors qu'il était brûlé au troisième degré, ses vêtements et ses sous-vêtements étaient presque intacts; Le l8 septembre 1952, Glen Denney, quarante-six ans, se suicide en se tranchant les poignets. On l'a retrouvé carbonisé, alors que rien n'avait brûlé dans la pièce. " Le corps a pris feu pour une raison inconnue, alors qu'il tentait de se suicider ", a conclu le rapport des policiers.

Ces victimes en renonçant à la vie, par misère ou par désespoir, pourraient relâcher, dans une sorte de conflagration fatale, les énergies physiques et psychiques de leur corps. Ce serait donc une sorte de suicide psychique qui serait à la base des combustions humaines spontanées."


PS: Je voulais poster certaines photos pour illustrer certaines affaires mais j'avais peur qu'elles puissent en repoussé plus d'un (gares aux âmes sensibles).


Quelques liens:

http://www.dromy.com/vivi_labine/combustion.html
http://www.chez.com/guico/PIcombustion.htm
http://reguite.free.fr/Paranormal/combustion.html
Dernière modification par Jade Von Memeth le ven. 27 janv. 2006, 22:05, modifié 8 fois.
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hime-roronoa
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Message par hime-roronoa »

roh j'aime bien ce topic!!on se croirait dans x-files et comme pour moi tout ce qui dit dans x-files j'y croit ben j'aime bien cette idée d'un autre d'une chose ailleurs de l'inexplicable!!
quand j'aurais le courage je vous parlerai des fantomes qui on,t rodé dans ma famille!!

en tout cas bonne idée et bien cool ce topic!!
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Lister
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Message par Lister »

Je ne sais pas vraiment si l'ont peu se permettre de Poster des Dossiers ou juste interagir avec les tiens, je tente tout de meme.
Dis le moi si je dois effacer Image.

2eme Dossier: Le mystere du Loch Ness

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Le Loch Ness est un lac qui se trouve à 150 Km au nord de Glasgow et dans la région des Highlands. Fort Augustus et Inverness sont les villes qui l’entourent.
Avec 40 Km de long, 2 Km de large et 230 m de profondeur, le Loch Ness est le plus vaste plan d'eau douce de Grande-Bretagne.
Loch, en écossais, signifie "lac". Celui-ci est situé sur le Great Glen, une faille de l'écorce terrestre qui traverse le c½ur de l'Écosse. La région qui l'entoure est encore relativement peu explorée, tandis que, sous l'eau, la visibilité est très réduite à cause des particules de tourbe en suspension.
Le Loch Ness est caractérisé par sa remarquable stabilité thermique : la température générale de ses eaux ne varie guère de plus d'un demi degré tout au cours de l'année. En moyenne, les eaux du lac sont à 5,5 °C. En été, les eaux de surface peuvent monter jusqu'à 12°C.

Le lac, qui est à 16 m au-dessus du niveau de la mer, communique avec celle-ci par la rivière Ness. Il y a dix mille ans, quand les glaciers recouvraient l'Écosse, la faille du Loch Ness devait communiquer avec la mer. Une fois le poids de ces glaciers disparu, le sol s'est soulevé de 16 m, isolant les eaux du lac. Les animaux qui y vivent ne sont donc là que depuis moins de dix mille ans. A peine le temps d'un clin d'½il sur l'échelle de l'évolution.

Depuis toujours, les légendes des peuples du Nord sont peuplées de monstres marins. Beaucoup font référence à une créature au dos bombé et au long cou. C'est probablement en leur honneur que les Vikings ornaient de "dragons de mer" la proue de leurs drakkars.
En Scandinavie, autour du lac de Storsjö, on peut encore voir le matériel mis en place au XIXe siècle pour capturer un monstre local. En Irlande, on parle beaucoup des kelpies ("chevaux de mer") dans la région des loughs du Connemara.

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En 1968, le Viperfish, le petit sous-marin privé de l'américain Dan Taylor, se lance à son tour dans le lac. Son propriétaire, en plus des recherches au sonar, a prévu de lancer des fléchettes sur le "monstre", pour lui prélever des échantillons de peau. Son rêve est de permettre un premier classement de l'animal dans un cadre zoologique précis. Dans les eaux tourbeuses du lac, le petit engin ne sera pas d'une très grande utilité.

Près du Loch Ness, le Loch Morar est, lui aussi, hanté par un "monstre". Heureusement, ses eaux sont plus claires. C'est donc dans le Loch Morar que des chercheurs installent, en l974, une chambre d'observation directe sous-marine, plus connue sous le nom de Machan. Une équipe y prend place, rapidement relayée par un système de caméras de télévision commandé de la surface. Rien de ce qui se passe au fond ne doit échapper a priori à l'½il des caméras, Celles-ci permettent d'identifier avec beaucoup de précision tout ce qui bouge sous l'eau : un film est toujours plus précis qu'une photographie. Il n'est cependant rien sorti des caméras placées dans le Machan.

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Histoire
Le premier rapport qui relate une apparition sur la rivière Ness date de 565 de notre ère, curieusement, on ne s'est intéressé que très récemment au "monstre" du Loch Ness. Dans ce premier rapport, c'est un saint qui met le monstre en fuite.
Par la suite, les témoignages sur le monstre restent liés à des superstitions locales. Au XIXe siècle, les aristocrates qui viennent chasser dans les Highlands entendent parler des fabuleuses créatures des lochs. Certains en aperçoivent même, au lever du jour, et leur trouvent une "tête de cheval".
Dans le même temps, les marins rapportent l'existence de "monstres marins" identiques à ceux des lochs. On interdisait alors aux enfants de se baigner dans le Loch Ness, par crainte du kelpie.

En 1933, une route touristique est construite sur la rive nord du lac. Aussitôt, les touristes se mettent à affluer dans la région et le nombre de ceux qui ont "vu" le monstre grimpe en flèche. Le premier grand article sur le sujet paraît le 14 avril 1933, dans "l'Inverness Courrier". Rapidement, la "bête du Loch Ness" devient un sujet de curiosité journalistique, qui fait les bonheurs de la presse à sensation du monde entier.
A l'époque, le sonar et le scaphandre autonome n'existent pas encore. Les biologistes se contentent d'études sur les petits animaux et les algues microscopiques du lac. Mais, déjà, on cherche par tous les moyens à s'assurer de l'existence, ou de l'absence d'animal fabuleux dans ces eaux tourbeuses. On filme, on photographie... Les archives se remplissent de témoignages plus ou moins intéressants, tandis qu'une foule de curieux guette avec avidité la moindre manifestation inhabituelle à la surface du Loch Ness.
Au Loch Ness Investigation Bureau, des milliers de témoignages oculaires troublants ont été enregistrés. Beaucoup sont extraordinairement détaillés : la créature aperçue aurait un long cou, parfois dressé, des bosses sur le dos, et elle se déplacerait assez rapidement.

- Les photos et les films :
De nombreuses photos sont prises du monstre, mais elles sont le plus souvent démontrées comme étant fausse.
Les films de cinéma sont beaucoup plus difficiles à truquer et sont davantage pris en compte. Deux d'entre eux sortent vraiment de l'ordinaire :
- Le premier a été tourné par Tim Dindsdale, le 23 avril l960, à l'embouchure de la rivière Foyers. On y voit une bosse se mouvoir lentement au loin, puis traverser le champ de la caméra avant de plonger. L'analyse du film a conclu que l'objet filmé était "probablement en mouvement" et qu'il mesurait environ l,70 m de largeur. Sa vitesse estimée était de l6 km à l'heure.
- Le second film a été tourné par Richard Raynor, le 13 juin 1967, à l'extrémité nord du lac. Il montre un sillage, à la tête duquel on aperçoit parfois un objet solide, déclaré lui aussi animé. Richard Raynor a expliqué que l'animal filmé évoquait pour lui une espèce d'otarie. Comme la longueur estimée de la partie qui émergeait a été évaluée à près de 2 m, on peut rêver sur la taille de l'otarie en question.

- Le sonar :
Le sonar est aussi employé, cet appareil mis au point pendant la seconde guerre mondiale permettra la détection à plusieurs reprise de masse dans l'eau, sans donner une véritable preuve de l'existence d'un éventuel "monstre". Ils peuvent enregistrer des échos produits par de simples gros poissons, des troncs d'arbre qui flottent entre deux eaux, des bulles de gaz sécrétées par des détritus en décomposition ou même des masses d'eau dont la température (et donc la densité) diffère de la température ambiante :
- Dès 1964, une équipe d'Oxford et de Cambridge obtient un écho particulier, bien plus fort qu'un écho produit par des saumons. Trois bateaux se mettent aussitôt en chasse le long du Loch Ness et tentent de détecter la créature susceptible de renvoyer un tel écho. Ils auront de nombreux "contacts", mais ne parviendront pas à identifier la source de leur écho.
- En 1968, sous la direction du professeur D.G. Tucker, un groupe de chercheurs de l'université de Birmingham débarque sur les rives du Loch Ness avec un sonar digital automatique. Le 28 août, un objet qui se déplace à l2 km/h est repéré sur le fond du lac. Un peu plus tard, un autre écho donne une vitesse de 25 km/h : manifestement, il ne s'agit ni d'un banc de poissons ni d'un gros poisson isolé.

La seule conclusion tirée des explorations au sonar tient en une phrase : il y a, dans le lac, une ou plusieurs créatures vivantes, plus grandes que des saumons, dont les mouvements sont différents de ceux des poissons, surtout en plongée.

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Les hypothèses
Une équipe tentera prochainement d'étudier les restes organiques qui reposent sur le fond du Loch Ness ou du Loch Morar. Des essais de dragage ont déjà commencé. Si le Loch Ness abrite des "monstres" depuis plusieurs milliers d'années, on devrait finir par trouver leur carcasse au fond !
Ce qui aiderait à résoudre l'énigme essentielle de ce sombre lac écossais : quelle est la créature qui s'y cache ? La réponse (s'il y en a une) ne pourra être donnée qu'au terme d'une enquête rigoureuse, ayant fait appel à la zoologie, à la paléontologie, à la biologie et à cette pointe de bon sens et d'intuition qui fait avancer la science.

- La nourriture :
On ne sait pas comment le monstre se nourrit, il est peu probable qu'il soit herbivore puisque dans le lac et sur les rives, la quantité de végétaux serait insuffisante pour nourrir un animal de cette taille.
De même pour le plancton au fond du lac qui après analyse met en doute l'hypothèse selon laquelle il s'en nourrirait.
Cette créature se nourrit-elle alors de détritus, ou de débris organiques divers ? Une fois de plus, il faut constater que les lacs froids comme le Loch Ness en sont généralement dépourvus.
Pour nourrir décemment Nessie, il ne reste plus que le poisson. Donc, ce saumon migrateur qui abonde dans les rivières et dans les lacs écossais. Pourtant, le lac apparaît plutôt stérile aux biologistes. La chaîne alimentaire y reste précaire : peu de lumière, des eaux relativement mortes, pas assez de plancton. Or, c'est précisément ce zooplancton qui est, avec les petits invertébrés d'eau douce, la base de la nourriture des saumons et des poissons de la famille des salmonidés.
Le plus souvent, les apparitions de monstres ont eu pour cadre l'embouchure des rivières qui se jettent dans le Loch Ness. Et à une période qui correspond à la remontée des saumons vers les lieux où ils frayent. On a parfois remarqué que certains saumons battaient de véritables records de vitesse qui pourraient s'expliquer par une nécessité, par exemple celle d'échapper à un prédateur sous-marin.

- Aucun corps retrouvé :
Comment se fait-il que, malgré toutes les recherches entreprises (même les plus sophistiquées), aucun reste de ces créatures mystérieuses n'ait jamais été retrouvé ?
La tradition locale s'en mêle : elle affirme que le Loch Ness "ne rend jamais ses morts", qu'ils soient humains ou monstrueux.
Pourquoi ? D'abord à cause de la très basse température des eaux : le froid retarde la décomposition des cadavres, ce qui permet aux anguilles, abondantes dans le lac, de nettoyer complètement les restes.
Ensuite, on a remarqué que beaucoup d'animaux mi-terrestres mi-aquatiques avaient l'habitude d'avaler des petits cailloux pour se lester quand ils nagent près de la surface, où la pression des eaux n'est pas suffisante pour les maintenir immergés. Cette remarque s'applique à de nombreux autres lacs d'Ecosse. C'est ainsi que, dans le ventre de certains pingouins, on a retrouvé des pierres de plus de 10 kg.
Si Nessie a le même comportement, son corps doit couler très rapidement après sa mort. Nous saurons peut-être la vérité un jour : des essais de dragage des fonds du lac ont déjà commencé.

- S'il existe, quel genre d'animal ce monstre peut-il bien être ?
Le définir comme un prédateur marin adapté à l'eau douce et aux saumons reste un peu court.
Les zoologues n'ont prévu aucune catégorie précise et ses caractéristiques supposées font de lui un véritable animal fabuleux.
Le plus grand invertébré connu est, lui aussi, resté longtemps mythique et nié par la science : le calmar géant existe pourtant ! Mais on ne peut assimiler la créature du Loch Ness à ce cas, d'autant qu'il n'existe pas de calmar d'eau douce.
On ne peut pas, non plus, l'assimiler à un amphibien. Ceux-ci n'ont pas besoin de respirer souvent. Ils hibernent et se reproduisent sous l'eau. Seulement, il n'existe pas d'amphibien marin et, les fossiles le montrent, il n'en a jamais existé. Or Nessie vient incontestablement de la mer.

Il ne reste alors que trois hypothèses, qui font de la créature du Loch Ness un reptile, un mammifère ou un poisson. La piste "reptile" est incontestablement la plus populaire. Contre elle, il existe cependant un certain nombre d'arguments d'ordre biologique.
Tout d'abord, la température des eaux est sans doute trop basse pour permettre à un reptile de rester actif.
Ensuite, un reptile serait obligé de faire surface pour respirer. Ou de venir à terre pour pondre ses ½ufs. Notons pourtant qu'il existe certaines exceptions, qui confirment ces règles : les tortues d'eau douce d'Amérique du Nord peuvent ainsi nager sous la glace qui recouvre les lacs. La tortue lyre, elle, parvient à maintenir sa température au-dessus de celle du milieu ambiant. Certains spécimens de cette espèce ont été capturés au large des côtes occidentales de l'Écosse.
Le reptile qui correspondrait le plus volontiers aux descriptions de Nessie serait le plésiosaure. Cet animal est antérieur au c½lacanthe, qui n'a pas laissé de fossiles depuis plus de 70 millions d'années.

La piste "mammifère" paraît cependant plus probable. La plupart des phoques, par exemple, se sentent "comme des poissons dans l'eau", même à des températures très basses. Pourquoi la créature du lac ne serait-elle pas une sorte de phoque à long cou ? La seule objection solide contre cette hypothèse reste le problème de la reproduction : les phoques s'accouplent sur la terre ferme et y élèvent leurs petits. De plus, ils ont besoin de faire surface régulièrement pour respirer.

Alors, le monstre serait un poisson ? Après tout, cela pourrait expliquer les rares apparitions en surface et le mode de reproduction discret. Malheureusement, la plupart des témoignages ne décrivent pas Nessie comme un poisson, même géant. De leur côté, les habitants de la région du Loch Ness font valoir qu'il pourrait s'agir d'une anguille géante, d'une espèce inconnue. Et les échos sonar recueillis peuvent suggérer des mouvements comparables à ceux des anguilles.
On a également noté que les apparitions se faisaient de préférence à la surface, quand les eaux étaient chaudes : cela peut parfaitement correspondre au comportement d'un poisson de fond.

Conclusion:
Personne n'a pu démontrer ou apporter de preuves irréfutables de l'existence d'un tel animal (monstre) dans les profondeurs du lac du Loch Ness.
Il nous reste encore bien des années pour aller rêver sur les rives du Loch Ness en guettant (au cas où.) une mystérieuse créature dont les contes parlent depuis des millénaires.
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Jade Von Memeth
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Message par Jade Von Memeth »

Ah non c'est une très bonne initiative de ta part Lister. Un peu d'aide serait en effet la bienvenue! Et avec tous les mystères que regorgent ce monde :roll: , un coup de main est le bienvenue 8-) :grin: !

Petite anecdotes personnelle:
Un jour alors que je n'étais encore qu'au CM2, une de mes meilleures amies me jura sur son honneur avoir croisé pendant ces vacances d'été le monstre du Loch Ness (ou quelque chose y ressemblant) en... Tunisie :shock: ! Le fou rire que j'ai pas tapé :mrgreen: Mais en y réfléchissant bien, elle était pas du genre à divaguer mais portait tjs un regard rationnel sur toutes choses. Mystères et boules de gum :columbo: ...
Dernière modification par Jade Von Memeth le mer. 12 oct. 2005, 19:38, modifié 2 fois.
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Flyers
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Message par Flyers »

Woua ce topic va me plaire :grin:

La combustion instantanée ca parait vraiment incroyable! :shock: Les fans d'Alias remarqueront le lien avec la bombe a neutron de Rambaldi ;-)



Sinon pour le monstre du Loch Ness, je croyais qu'ils avaient trouvé y'a quelques années que c'etait bidon... M'enfin si y'en a toujours pour chercher pourquoi pas ^^
Image - AzuManga Fan
Lister
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Message par Lister »

On va donc continuer avec ce

3eme Dossier :Le Triangle des Bermudes

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Le phénomène :
Les hypothèses les plus diverses sont avancées pour tenter de résoudre le mystère du triangle des Bermudes . Certains auteurs parlent de visiteurs extraterrestres venus de l'espace pour enlever des hommes et des appareils modernes afin de les étudier. Beaucoup de témoignages font en revanche référence à des événements inhabituels tels que la panne totale des équipements de bords, à des phénomènes visuels incompréhensibles ou des observations de curieuses lumières sous-marine. Fait curieux, à l'exception du vol 19, les victimes n'envoient jamais le moindre S.O.S.

Le triangle des Bermudes, zone géographique également surnommée triangle du diable, s'étendant sur 3 900 000 km2 entre les Bermudes, Porto Rico et Melbourne (Floride), située par 55° et 85° de longitude ouest, 30° et 40° de longitude nord. Elle est connue pour les nombreuses disparitions inexpliquées de bateaux et d'avions dont elle a été le théâtre.

Le mystère remonte au milieu du XIXe siècle : depuis, plus de cinquante bateaux et vingt avions ont disparu dans le triangle des Bermudes. Le cas le plus célèbre concerne le fameux vol 19. Le 5 décembre 1945, cinq bombardiers américains quittèrent Fort Lauderdale pour une mission d'entraînement. Malgré d'excellentes conditions météorologiques, aucun ne regagna la base. L'hydravion parti à leur recherche disparut tout aussi mystérieusement. On raconte aussi que des bateaux furent retrouvés abandonnés, des aliments encore chauds sur la table, tandis que des avions s'évanouirent sans même émettre d'appel de détresse. Le caractère mystérieux du triangle est renforcé par l'absence d'épave.

Ce que l'homme a fait pour percer ce mystère :

Des sous-marins, bateaux, avions sont allés là- bas pour voir ce qui s'y passait. Ils ont coulé. Conclusion : ils ne sont jamais revenus. Alors personnes ne sait rien.

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Quelques solutions au mystère:

Malgré la multitude de raisons avancées pour expliquer ce phénomène : rayons mortels émanant de l’Atlantide, enlèvements perpétrés par des O.V.N.I., des analyses scientifiques plus rationnelles ont été effectuées. Elles mettent l’absence d’épaves sur le compte des forts courants et de la profondeur élevée des fonds marins, et indiquent que plusieurs des disparitions qu’on lui attribue se sont produites jusqu’à quelque 600 km de cette zone. De plus, des avions et bateaux militaires et civils traversent quotidiennement cette région sans aucun problème.

D’autres scientifiques analysent différemment les faits et développent leur propre théorie. Ils expliquent ainsi les disparitions : "Dans les fonds marins, la pression serait tellement énorme que les molécules de gaz et d’eau se rassembleraient pour former des hydrates de gaz. Lorsque la température se réchaufferait, et la pression diminuerait, les hydrates libéreraient une immense quantité de gaz qui créerait un tourbillon sur la mer aspirant les bateaux. Quant aux avions, le méthane (gaz) sortant de l’eau pourrait provoquer une panne ou pire, une petite étincelle pourrait enflammer tout l’avion.

D’une époque à l’autre, les responsables de ces faits étranges ont changé de visage. Au siècle dernier, on mettait les disparitions sur le dos de serpents de mer, d’immenses tortues ou même de créatures démoniaques. Depuis, les hypothèses sont quelque peu plus scientifiques.

Pour Charles Berlitz, auteur du premier livre sur le sujet, des sources d’énergie entreraient en activité à l’occasion de mouvements de fonds marins et détruiraient les avions et les bateaux qui passent par-là.

Yvan T. Sanderson prétend que les extraterrestres kidnappent les êtres humains de cette région pour constituer un musée vivant de la planète Terre.

D’autres auteurs, plus pragmatiques y voient l’effet d’une anomalie dans le champ magnétique terrestre ou encore de trous noirs qui ralentissent ou accélèrent le temps, projetant les objets des environs dans une quatrième dimension !

Mais rendons tout d’abord au triangle des Bermudes ce qui lui appartient vraiment : dans les faits, la plupart des tragédies portées à son compte se sont, en réalité, produites à l’extérieur de la zone des Bermudes. Quant au triangle lui-même une région météorologiquement instable de l’Atlantique (La mer des Sargasses est située à l’intersection de deux masses d’air, une chaude et une froide, ce qui explique le nombre impressionnant de cyclones et de tempêtes), il ne reçoit pas plus que sa part normale de désastres et d’accidents.

Dans "le mystère des Bermudes - la solution", Lawrence Kusche, bibliothécaire à l’Université d’Etat de l’Arizona, a démontré que la plupart des grands mystères du triangle sont basés sur des citations tronquées, des distorsions ou omission de faits. Dans presque tous les cas, les conditions météo, l’erreur humaine ou incidents techniques constituent la véritable cause des disparitions. D’ailleurs, une grande partie de ces naufrages n’ont pas fait la une des journaux en leur temps ; ils ne sont devenus des mystères qu’à partir du moment où le triangle des Bermudes a acquis une certaine notoriété.

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Yiliboo
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Message par Yiliboo »

Pour le Loch Ness, j'avais vu un documentaire qui avait une hypothèse que je vais essayer de vous raconter de mémoire (ça sera pas très précis, désolée...).
En fait, il est probable qu'il y ait un grand nombre d'arbres morts au fond du lac (me demandez pas pourquoi), et en pourrissant (donc plus en été, à la chaleur), ces débris dégageraient de grandes quantités de gaz qui les feraient remonter vers la surface et flotter de manière bizarre avant de replonger quand il n'y a plus de gaz...
Bon c'est sûr c'est pas très poétique, et en plus ce n'est pas prouvé du tout! Mais enfin, c'est un petit quelquechose... ;-)
Lister
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Message par Lister »

Aller on va pas nop plus abusé, je finirais sur ce Dossier (qui me fesait tant peur etant marmmot)

4eme Dossier : Les Dames Blanches

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Les dames blanches, ou grises se matérialisent toujours au même endroit. Elles tirent leur nom de leur vêtement ou de la lumière qui émane d'elles. Leur identité et la raison pour laquelle elles se montrent sont souvent connues des personnes qui les voient fréquemment. Les traits légendaires ou susceptibles d'être "tirés" vers le légendaire se perçoivent clairement. L'apparition se manifeste vers minuit, heure propice aux fantômes. Les lieux d'apparition sont situés près de croisements de routes et de ponts, endroits traditionnellement choisis par les créatures surnaturelles pour se manifester (ces lieux symbolisent un "passage" entre l'Ici-bas et l'Au-delà); enfin, la "femme en blanc" correspond à une figure classique d'être fantastique du folklore européen".

Les Dames blanches seraient des substitut à la vieille mythologie européenne des dames blanches, qui, elles aussi, apparaissent régulièrement, parfois sur des siècles, après être mortes de façon inattendu et soudaine. Maisdans la majorité des cas il ne s’agit pas de légendes. Il y a des témoins, des descriptions concordantes et souvent des dépositions en gendarmerie. Devant le flux croisant des témoignages, les gendarmeries ont reçu des directives spécifiques et traitent ces cas de manifestations comme les phénomènes de maisons hantés ou d’apparitions d’OVNI.

L'apparition se manifeste vers minuit, heure propice aux fantômes. Les lieux d'apparition sont situés près de croisements de routes et de ponts, endroits traditionnellement choisis par les créatures surnaturelles pour se manifester (ces lieux symbolisent un "passage" entre l'Ici-bas et l'Au-delà); enfin, la "femme en blanc" correspond à une figure classique d'être fantastique du folklore européen". Parfois, l'être évanescent laisse derrière lui un objet, ou emporte quelque chose pris dans la voiture et parfois des contacts physiques ont laissé une impression bien plus désagréable à ceux qui ont eu l'imprudence de tenter de toucher ces apparitions. C’est toujours une mort violente qui semble conditionner le retour momentané des fantômes, comme si le processus de départ ne s’était pas déclenché. Certains parlent d’incorporations d’esprits sur le lieu du drame. Des parapsychologues avance la théorie selon laquelle ces êtres viendraient prévenir des accidents même si, parfois, on a au contraire constaté qu’ils les provoquaient !

Ces manifestations sont durables et se répètent toujours aux mêmes endroits. On constate aussi qu'il s'agit de femmes ou de jeunes filles, presque toujours vêtues de blanc. Pourquoi ce costume ? On remarque que la plupart des auto-stoppeuses sont mortes au sortir de boites de nuit. Portent-elles encore les vêtements adaptés aux effets de la lumière noire des discothèques ? Il faut cependant noter que, parfois, les stoppeuses sont en habit de cuir noir ou brun, casque au bras. Ce sont des victimes de la moto.

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Dans tout les cas, les revenantes ont été foudroyées par la mort, sans comprendre, et de là vient peut-être la persistance de leur présence sur les lieux, comme si elles flottaient, indécises, entre l'existence et le néant. Jouent-elles un rôle préventif, tels des anges gardiens protégeant les vivants d'accidents de la route ? A quel monde appartiennent-elles? Toutes ces questions restent pour l'heure sans réponse.

Extrait du Recit:

Main dans la main, Mathilde et Louis marchaient au bord de la rivière Montmorency dont ils connaissaient tous les méandres. Après les durs travaux du jour, ils se rendaient parfois jusqu'en haut du grand sault, là où on voit toute l'île d'Orléans qui ressemble à un gros poisson couché au milieu du fleuve. Ils faisaient mille projets et leur coeur débordait d'amour. Mathilde refusait de décrire la robe blanche qu'elle avait cousue pour le grand jour. Louis ne la verrait que le matin des noces !

Voici qu'un matin de juillet, dans toutes les paroisses de la côte, les curés avaient réuni les familles et lancé :

- Partez ! Emmenez bêtes et provisions ! Terrez-vous au fond des bois ! Les Anglais sont là ! Seuls demeuraient sur les bords du fleuve Saint-Laurent les hommes, jeunes et vieux, qui s'étaient engagés dans les milices pour défendre leurs biens jusqu'au dernier souffle. Non, les Anglais venant de l'ouest ne franchiraient pas la rivière ! Mathilde Robin aurait bien voulu camper avec les miliciens. Elle aurait tout accepté pour être auprès de Louis ! Mais la guerre est l'affaire des hommes, elle le savait. Réfugiée dans les bois avec sa famille, elle languissait. À chaque fois qu'arrivait un nouveau venu parmi les tentes, elle posait toujours la même question : - Avez-vous vu Louis Tessier ? Sa compagnie est-elle sur les battures Puis, un jour, un milicien arriva avec quelques Indiens et un blessé qu'il confia aux femmes. - Les Habits rouges ont attaqué les redoutes, dit-il, hors d'haleine, et ils ont tenté de gravir les falaises et de franchir les gués. Mais nos troupes les attendaient derrière les fascines et elles ont empêché leur avance. La bataille de Montmorency se terminait par une brillante victoire des Français. Dans le bois, tout le monde attendait des nouvelles. Quelques soldats et miliciens essoufflés et trempés vinrent rassurer leurs parents. Mathilde eut beau attendre et attendre encore, Louis ne vint pas au campement dans le bois. Alors, n'y tenant plus, elle quitta les autres sous la pluie et se dirigea en hâte vers la rivière. Elle se mit à courir sur les rochers sans se soucier des ronces qui déchiraient son mantelet et son jupon . Bientôt elle arriva au premier gué. Louis Tessier ? Non, il n'était pas là. À l'autre gué, peut-être. Mathilde, haletante, continua son chemin. Au deuxième gué, on n'avait pas vu Louis. Mathilde repartit, mais là aussi, elle fut déçu, il n'était pas au troisième gué. « Il a peut-être tenté d'aller à la ferme », se dit-elle. Elle se précipita sur le sentier qui menait aux habitations. Et cette fois encore, elle ne trouva personne. Mais elle fut saisie de crainte en voyant flamber autour d'elle des granges et des maisons. Elle comprit que les Anglais avaient incendié les fermes et les granges. Elle courut à perdre haleine vers sa maison encore intacte. Elle ouvrit la porte et appela : - Louis ! Seul le silence lui répondit. Mathilde réussit à se guider dans la noirceur. À tâtons, elle ouvrit l'armoire et repéra sa robe blanche. Elle la saisit et la serra contre elle. Puis elle se dépêcha de ressortir. Elle poursuivait sa quête en répétant le nom de l'aimé. Elle arriva enfin en amont de la grande chute ; elle vit des gens et entendit des appels. - Mathilde ! Oh ! Mathilde ! Folle d'espoir elle alla vers les voix qui montaient dans la nuit. En la voyant, les miliciens s'écartèrent et firent silence. Il était là, son Louis : il reposait sur la rive dans ses habits familiers. Mathilde l'appela doucement, attendant qu'il se lève et qu'il accoure vers elle. Mais Louis restait couché et ne donnait aucun signe de vie. Alors, elle comprit qu'elle arrivait trop tard. Elle se jeta sur son corps en hurlant sa douleur. Au bout d'un moment, elle sécha ses larmes et s'enfuit. Guidée par le bruit grandissant de l'eau qui se précipitait vers le fleuve, elle arriva juste en haut, au bord du rocher. C'était là où tant de fois elle s'était tenue avec Louis, là où toute la rivière, d'un geste majestueux, bascule dans le vide. Mathilde enfila sa robe blanche et sans hésiter un seul instant, elle ouvrit tout grand les bras et se laissa glisser dans la chute. On ne la revit plus jamais. Encore aujourd'hui, pendant les belles soirées d'automne, juste à la fin du jour, les gens de l'île d'Orléans racontent qu'ils peuvent voir distinctement une jeune femme toute vêtue de blanc errer au pied du grand sault de Montmorency. C'est le fantôme de Mathilde Robin qui, les soirs de lune, semble chercher encore dans les bouillons de la chute le corps de son bien-aimé. Et le vent apporte parfois sa plainte jusqu'à Saint-Pierre ou Sainte-Pétronille. Alors, les gens s'arrêtent et disent : - La voilà. C'est Mathilde Robin, la dame blanche.


Ce récit est adapté d'une légende orale qui circule encore sur la côte de Beaupré. La bataille à laquelle on fait référence est celle de Montmorency, qui précéda de quelques mois celle dite des « Plaines d'Abraham » (1759) où les Anglais conquirent, après tant d'efforts, la Nouvelle-France.

http://www.contes.net


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Quelles sont les motivations des entités routières ?

Des hypothèses ne manquent pas de jaillir au coeur des esprits : quel rôle semble être rejoué incessamment par ces fameuses "Dames Blanches" ? Est-ce un rôle protecteur et bienveillant afin d'anticiper et éviter les accidents de la route ? Où bien incarnent-elles des âmes vengeresses errant sur terre pour au contraire entraîner dans la mort de pauvres automobilistes serviables n'ayant apparemment rien à voir avec leur destin funeste ?

Tous les témoins semblent se rejoindre pour confirmer l'attitude au demeurant sympathique de ces jeunes âmes errantes sur les routes de France. Avouons qu'il est plutôt difficile de contredire tous ces témoignages plus solides les uns que les autres !

Les psychologues réagissent aux faits en avançant la thèse des visions épileptiques, ou même d'hallucinations collectives quand les témoins sont nombreux. En ce cas, comment expliquer d'éventuelles "preuves matérielles" constatées en certains cas ?

Quant aux sociologues, il serait tout juste question de légendes urbaines pour attester du phénomène au sein de nos ères contemporaines. Mais qui dit "légendes" révèle un mythe de source populaire intégré aux traditions : ce qui fait de lui en l'occurrence, une croyance non constatée par le biais d'un témoignage où tout paraît concorder ! Ce qui réfute alors cette dernière hypothèse, décidément moins fondée, surtout au regard des nombreux témoins du phénomène...

Un scénario récurrent

Toujours ou presque le scénario similaire : une jeune femme accidentée quelques années auparavant se plante au beau milieu d'un virage qui a fait sa perte, ou bien près d'un carrefour non moins dangereux, pousse un cri puis disparaît de leur siège passager.

Certaines de ces âmes en détresse s'agitent et semblent incontrôlables quand le lieu funeste apparaît : c'est ainsi le cas d'une auto-stoppeuse fantôme régulière du Calvados, décédée au croisement près de la forêt de Cerisy.

Cette âme en peine semble très persuasive et se manifeste toujours par temps pluvieux ce qui rappelle immanquablement un décor de film d'horreur !

Plusieurs habitants du village confirment de cette apparition insistante. Il s'agit apparemment d'une jeune fille de moins de 20 ans, qui éternellement rejoue la scène de son propre drame depuis 1960 ! Celle-ci compte bien se faire "entendre" afin que la signalisation soit respectée, puis comme les autres elle disparaît sa mission accomplie...

On pourrait ainsi se dire que les mystérieuses "Dames Blanches" sont bénéfiques en cas d'automobilistes imprudents : leur seule apparition serait sans doute un électrochoc pour bon nombre d'insouciants de la route.

Pas d' "hommes blancs" recensés ?

Et l'on peut aussi s'interroger quant aux hommes morts accidentellement. Que sont devenues leurs âmes, pour quelle raison ne s'investissent-elles pas, elles aussi de cette mission auprès des automobilistes ? Peut-être est-ce tout simplement parce que les autos-stoppeurs masculins sont moins nombreux que les autos-stoppeuses, qui sait ?

Cela ferait figure d'hypothèse...

On parle en effet souvent des "Dames Blanches" car ce sont elles qui sont recensées à sillonner certaines zones routières de notre pays.

Rencontres plus fréquentes dans certaines régions françaises

Tout ce que l'on sait c'est que le phénomène est récurrent, surtout dans certaines régions comme la Bretagne, et en Poitou. Peut-être avez-vous déjà trouvé sur votre chemin ces fameuses "Dames Blanches", peut-être même avez-vous également fait votre déposition dans un commissariat proche de cet incident, mais il est certain en tout cas que vous ne sortirez pas indemne de cette étrange rencontre du 3e type.

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Autostoppeuses fantômes, apparitions routières...

Il est recensé en France 297 apparitions régulières de ces spectres exclusivement féminins, qui hantent certaines de nos routes. De nombreux témoignages s'accumulent au sein de nos commissariats faisant face à un phénomène certes pas nouveau.

Differents Temoignages sur ces quelques Pages:
http://secretebase.free.fr/etrange/fant ... lanche.htm
http://monsite.wanadoo.fr/guenot.polar/page6.html
http://www.alliancespirite.org/message-9210.html
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Radaj
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Message par Radaj »

j'ai pas tout lu sur le loch ness, mais totu ce que j'ai et qu'i est à savoir c'est que l'homme qui a donné naissance à la rumeur (enfin celui qui a lancé les chercheurs o nva dire) avec une photo a donné sur son lit de mort l'aveu comme quoi c'était un montage, et la photo de base le prouvant après pour les témoins du passé pas d'expliqation ceux d'après, que du pipeau
Jade Von Memeth
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Message par Jade Von Memeth »

5ème Dossier : Les agrolyphes ou crops circle


Description :

Le crop circle est une formation généralement circulaire apparaissant au milieu de champ de blé, de seigle, de colza ou d'avoine. Les tiges des plantes sont couchées, tordues, mais jamais arrachées ni abîmées. Elles continuent à pousser à l'horizontale sans se redresser, suivant le mouvement spiralé qui leur a été imposé lors de la formation. Ce mouvement spiralé peut se superposer à un autre mouvement spiralé sur la même formation, mais de sens inverse au premier, ce qui a pour effet de tresser étroitement les plantes entre elles. Le bord des figures sera toujours délimité d'une façon extrêmement nette.

Bon désolé, je vais juste vous fournir les liens sur ce sujet car cela pourrait prendre plusieurs pages :???: ! Et puis les sites ci-dessous vous expliqueront le phénomène mieux que je le ferais ;-)
Tout de même, ceux qui ont accomplis un tel prodige sont sacrément doués d'un bel sens artistiques et scientifique. Car dessiner des pictogrammes représentant l'application du mouvement fondamental à l'ensemble Terre-Lune ou encore une fractale connue comme l'ensemble Mandlebrot, qui est la forme la plus complexe des mathématiques et qui est employée pour étudier la théorie du chaos, faut franchement le faire :shock: ! Humains d'ailleurs ou pas :razz: ;-) .

J'ai rajouté quelques dessins pour illustrer le dossier ^^
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C'est pas merveilleux cà 0_o ?



Mystère et boules de gum :columbo: ...


Edit: Pour les sites ci-dessous, apparement il y aurait des virus donc si vous n'êtes pas bien équipé, n'y mettez surtout pas les pieds !!!

http://www.rr0.org/CropCircles.html
http://www.chez.com/frenzy/crop_circle.htm
http://www.zetetique.ldh.org/agrogrammes.html

Et si vous êtes vraiment désireux dans savoir plus, ben Google est votre meilleur ami 8-)
Dernière modification par Jade Von Memeth le ven. 27 janv. 2006, 22:06, modifié 3 fois.
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palmocorse
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Re: Secrets, mystères, paranormal et surnaturel...

Message par palmocorse »

Les 2 derniers liens sont des sites qui contiennent des virus... m'ont antivirus en a détecté tout du moins, n'y allez pas !!!
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Ichigo
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Message par Ichigo »

Ha nan pas les dames blanches !!! C le seul truc sur terre qui me fait fliper ,autant j ai vraiment peur de rien mais alors rien du tt ,mais c truc la sont pour moi un flippe enorme (aller savoir pk)
Sinon bravo Jade pour l idée du topic je trouve ça genial ;-)
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Jade Von Memeth
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Message par Jade Von Memeth »




Les 2 derniers liens sont des sites qui contiennent des virus... m'ont antivirus en a détecté tout du moins, n'y allez pas !!!
Ouah désoléééééééé :oops: :oops: :oops: !
Je n'en savais absolument rien ! Et puis quand j'y vais faire un tour, j'ai jamais chopé de virus donc gomennnn !!

Honte à moi, déshonneur ultime, bassesse suprême :tombe: ..... (dîte moi si j'en fait trop :razz: )

Bon sinon ça fait plaisir de voir des gens visiter et apprécier un tantinet soit peu ce topic. J'essayerait de le renouveler d'ici peu ;-) .
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Zilium
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Message par Zilium »

En passant, je voudrai rajouter ce site : http://www.paranormal-fr.net/
C'est probablement le plus gros site francophone sur le paranormal. Il contient des articles très intéressant et un forum très complet. Je vous le conseille vraiment !

:grin:
Jade Von Memeth
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Message par Jade Von Memeth »

Oki merci bien Zilium :grin: !



6ème Dossier : L'incident de Roswell en 1947

L'affaire Roswell est sans doute le cas, en matière d'OVNI, qui a le plus passionné le public et remporté ainsi un franc succès. Il se révèle être un marché énorme. En effet, des dizaines de livres ont été publiés sur le sujet et les télévisions du monde entier y ont consacré des heures de reportages. La ville de Roswell compte aujourd'hui 2 musées sur les extraterrestres et un merchandising énorme s'est créé autour du mythe des petits hommes verts.



L'HISTORIQUE DE L'AFFAIRE



1 LE CADRE GEOGRAPHIQUE

On désigne par Roswell, l'affaire mais aussi le lieu des événements de juillet 1947 alors que le crash est censé s'être produit à côté de la ville de Corona au Nouveau Mexique. Roswell est en fait le nom de la base militaire la plus proche


2 LA CHRONOLOGIE DES FAITS


Le mercredi 2 juillet,William "Mac" Brazel, propriétaire d'un ranch au Nouveau Mexique, entend, au coeur d'une nuit orageuse, une grande explosion. Le lendemain, en promenant ses chèvres, il découvre un tas de débris éparpillés sur une grande zone. Surpris par l'aspect de ces débris, il en ramasse quelques-uns qu'il ramène à son ranch, les montrant à ses voisins et à sa famille.

Le dimanche 6 juillet, il va avertir le shérif du comté de Chaves : George Wilcox. Celui-ci avertit alors la base militaire de Roswell : le " Roswell Army Air Field ".

Le lundi 7 juillet, deux militaires se rendent sur les lieux du crash : il s'agit du major Jesse Marcel et du capitaine Sheridan Cavitt qui inspectent les débris. Les deux hommes ramènent quelques échantillons à la base.

Le 8 juillet, le colonel Blanchard ordonne de boucler le périmètre du crash. Les débris sont ramassés et emmenés par camion à la base de Roswell d'où ils seront transférés par avion aux bases militaires de Fort Worth et de Wright Field.

Lors de cette journée, un deuxième site aurait été découvert par des "archéologues" qui auraient observé l'épave d'un vaisseau avec quatre corps humanoïdes. Ce site aurait été rapidement balisé par les forces militaires.

Ce même 8 juillet, l'armée publie, par le porte-parole de la base, Walter Haut, un communiqué officiel annonçant qu'elle serait en possession de débris d'origine extraterrestre. Cette déclaration émane de William Blanchard, le commandant de la base de Roswell, et entraîne immédiatement une effervescence de toute la presse du pays qui se rue dans le région.

Mais quelques heures après le premier communiqué, un second est diffusé sous l'ordre du brigadier-général Roger Ramey qui prend l'affaire en main. Ramey annonce que le colonel Blanchard s'est trompé et qu'après examen des débris, il s'agirait, non pas d'une soucoupe volante, mais des restes d'un ballon météorologique couplé à un réflecteur radar.

Ce communiqué satisfait la presse et l'incident de Roswell tombe dans l'oubli.

C'est plus de 30 ans plus tard que l'affaire rebondit lorsque Charles Berlitz et l'ufologue William L. Moore (qui fait également appel aux recherches du physicien nucléaire Stanton Friedman) publient en 1980 un livre basé sur une enquête minutieuse réalisée à partir du milieu des années 70. Ils ont réussi à retrouver les témoins de l'époque et ont reconstitué une histoire où il serait question de soucoupe volante et d'extraterrestres et non pas de ballon météo.

Ce livre est un succès et contribue largement à répandre la rumeur selon laquelle l'armée américaine occulterait les événements de Roswell, notamment le fait qu'une soucoupe volante se serait bien écrasée.

En 1994, une antenne du Congrès américain, le General Accounting Office (GAO) demande aux militaires une enquête officielle sur l'affaire Roswell. Le colonel Richard Weaver rend un rapport qui désigne les débris comme ceux d'un ballon du projet classé top secret " Mogul ". Ce projet élaboré pendant la guerre froide devait servir au repérage d'une éventuelle activité nucléaire de la part des militaires soviétiques. Le système était constitué de ballons qui portaient des réflecteurs radars et des détecteurs acoustiques, le tout étant lancé à très haute altitude.

Cependant l'affaire n'en reste pas là, car en mai 1995, le producteur Ray Santilli affirme posséder une preuve visuelle d'un crash extraterrestre en 1947 : c'est un film de l'autopsie d'un des corps récupérés après le crash.

Suite à la diffusion de ce film, une partie de l'opinion publique en vient à croire à un complot militaire pour taire la vérité. Un nouveau rebondissement a cependant lieu : le film est un faux et la thèse des petits hommes verts tombe à l'eau car les ufologues sont tournés en dérision par ce canular. Officiellement, c'est donc la thèse du ballon top secret qui prévaut.



TEMOIGNAGES ET FILM DE L'AUTOPSIE

1 LES TEMOIGNAGES

Beaucoup de témoins furent entendus, ou encore cités par les auteurs des nombreux ouvrages sur l'extraterrestre de Roswell. D'après les livres, on peut constater que de nombreux récits de témoins se recoupent et convergent dans le même sens, comme on va le voir :

Le premier témoin d'importance est William "Mac" Brazel qui a trouvé les débris et par lequel tout a commencé. Il est dit que Brazel aurait été conduit par l'armée à la base de Roswell dans le but de le convaincre de modifier son témoignage à propos des débris, afin que celui-ci concorde enfin avec l'histoire du ballon.
Auparavant, William "Mac" Brazel avait raconté dans le journal de Roswell que les débris ressemblaient à du papier aluminium que l'on pouvait écraser mais qui reprenait toujours sa forme initiale. Selon lui, il était impossible de découper ce matériau.

Loretta Proctor : c'est la voisine de Brazel. Elle fut parmi les premières personnes à voir les débris. Elle parle d'un morceau qui ressemblait à du bronze ou du plastique, de couleur marron clair : " La pièce était légère comme du bois de balsa, elle faisait 10 cm de long et juste un peu plus large qu'un stylo ".
Elle mentionne aussi des sortes de hiéroglyphes, et une sorte de bande adhésive sur les morceaux.

Bessie Brazel, la fille de William "Mac" Brazel. Elle parle aussi de la ressemblance avec l'aluminium ainsi que du ruban adhésif. Elle déclare que les pièces avaient une largeur de la taille d'un ballon de basket et qu'elles ne pouvaient être tordues.
Bill Brazel, le fils de William "Mac" Brazel. Il cite également la ressemblance avec le papier aluminium et son extrême solidité. Il évoque aussi la ressemblance avec le bois de balsa.
Glenn Dennis, un employé de l'entreprise des pompes funèbres de la ville au moment des événements. Alors qu'il se rendait à l'hôpital de la base militaire, il aperçut les débris dans une ambulance : il parle d'acier inoxydable et de signes évoquant des hiéroglyphes. Il affirme avoir été contacté par les militaires qui voulaient savoir comment conserver des corps très abîmés. Glenn Dennis cite aussi une infirmière qui aurait pratiqué un examen des corps et qui lui en aurait donné la description. Cette infirmière n'a jamais été retrouvée, et Glenn Dennis refusera de donner son identité pour la protéger.
Jesse Marcel : major à la base de Roswell, il fut l'un des premiers militaires à voir les débris et était convaincu que ce n'étaient pas les débris d'un ballon. Jesse Marcel est mort en 1986. Il a cité des baguettes en I ainsi que des hiéroglyphes.
Sheridan Cavitt: capitaine à la base de Roswell, il accompagnait Jesse Marcel. Il est convaincu depuis le début qu'il s'agit d'un ballon météorologique et cite aussi des feuilles d'aluminium ainsi que les baguettes an I.

2 LE FILM DE L'AUTOPSIE


L'origine de ce film remonte à 1992. Le producteur Ray Santilli s'était rendu à Cleveland pour acheter des bobines d'un film sur la première apparition d'Elvis Presley en 1955. Le vendeur de bobines s'appelait Jack Barnett, ancien cameraman de l'armée. D'après Santilli, il lui proposa une autre bobine où l'on pouvait voir l'autopsie d'un extraterrestre.

Ce film a été diffusé pour la première fois le 5 mai 1995 au Museum of London où une centaine de personnes étaient présentes : des représentants des médias ainsi que des ufologues, en résumé des acheteurs potentiels.

C'est un document de 17 minutes en noir et blanc dont la qualité est plus que médiocre. Dans ce film, on voit deux médecins portant des masques et un cameraman dans une salle où l'on pratique l'autopsie d'un corps humanoïde dont la taille avoisine les 1,20 m. La tête et le ventre sont disproportionnés, le sexe est indéfini. Mis à part une plaie à la jambe, aucune autre blessure n'est visible. Le cadavre aurait été récupéré dans l'épave de l'engin qui se serait écrasé à Roswell en 1947. Ce film a fait le tour du monde et les chaînes de télévision de plus de 25 pays ont acheté les droits de diffusion à prix d'or (ce film aurait rapporté plus de 25 millions de dollars au producteur Ray Santilli). La projection de ce film s'accompagnait de débats où l'on discutait de son authenticité, débats au cours desquels, à la surprise générale, c'étaient les vrais experts en OVNI qui émettaient des doutes au sujet du document.

En effet, aucun visage n'a été identifié sur cette vidéo. Même la personne se trouvant à l'extérieur de la salle d'autopsie porte un masque. Pour quelle raison ?



Voilà, vous pourrez également visiter le site donné par Zilium ainsi que celui ci-dessous:

http://ufologie.net/indexf.htm


Mais voilà une bien drôle d'histoire ! L'un des plus grands coups médiatiques de l'histoire, qui fit énormément couler d'encre, parler les gens et engendra un réel commerce.
Les extra-terrestres seraient parmis nous :shock: ! Personnellement, je n'ai jamais cru à cette histoire mais ne sait-on jamais....
Mystère et boules de gum 8-) !
Dernière modification par Jade Von Memeth le ven. 27 janv. 2006, 22:07, modifié 1 fois.
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