[one-shot] Le coffre....

Tu débordes d'imagination scénaristique. Tu as imaginé des histoires parallèles à celle de Naruto. Alors asseyons-nous autour d'un feu et raconte-nous ton histoire dans le monde des ninjas.

Modérateur : Ero-modos

corossol
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[one-shot] Le coffre....

Message par corossol »

Auteur : ben... moi Corossol ^^
Type : drame un peu gore
Note :inspiré d'un tableau
Com : c'est ma première histoire :oops: et c'est un one-shot. Il est un zarb je sais, mais j'espère que malgré cela il vous plaira!!^^

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« Ne t’en sépare qu’à ta mort, ne la vends pas et surtout ne l’ouvre jamais, sinon ces …. Les tiens. »

Drôle de testament que celui de mon oncle, drôle de message et drôle d’héritage que celui qu’il venait de me faire !
J’étais là, seul, au milieu du brouhaha que produisaient les déménageurs, seul debout, tenant dans mes mains cet étrange message à demi effacé ainsi que l’objet dont il parlait. C’était une boîte ou plutôt un petit coffre comme on les faisait autrefois. Il n’était pas bien grand : 30 centimètres de long sur 20 de profondeur, et était assez lourd : « la chose », qu’il contenait devait peser, oh, 1 à 2 kilos ni plus, ni moins. Je continuais à examiner le petit coffre et à me demander ce qu’il pouvait bien receler.

« Monsieur, nous pouvons partir.
Bien. »
Dis-je en déposant le coffre parmis les autres objets.

Le temps passa et le coffre sortit de mon esprit comme il y était entré. Un jour de novembre particulièrement pluvieux, je me mis à fouiller, tel un acheteur dans une brocante, parmi le fatras que mon oncle m’avait cédé : vieux livres, photos jaunies par le temps. Je me serais vraiment cru dans une brocante et, au milieu de tout cela, un insignifiant petit secrétaire. Je l’ouvris, il était vide ! Etonnant, en général un secrétaire est plein de factures et autres papiers. Mais au moment de le refermer, j’entendis un insignifiant petit « clic » et là, maintenant me faisaient face, des dizaines et des dizaines de petits livres, soigneusement rangés par ordre chronologique. J’en pris un « Marcel V***, Mai 1969-Avril 1971 » . Des journaux intimes ! Intrigué, je commençai par ceux de mon oncle. Jour après jour, j’en apprenais davantage sur lui : qui il était, ce qu’il avait fait. Il me ressemblait assez jusqu’au jour, où lui aussi, hérita d’un de ses oncles. A partir de là, sa vie sembla plus sombre, comme si une épée de Damoclès se trouvait au-dessus de sa tête. « C’est comme une malédiction ». Plus loin, il avait écrit « C’est une malédiction, une vraie.. » Il me semblait terrorisé et à chaque fois, il m’était impossible de savoir de quoi il était question ! Comme pour me tenir en haleine, le temps avait effacé les mots précédents, les rendant de ce fait illisible. Les mois passèrent, et je commençais à lire les autres journaux. D’après ce que je pu en déduire, c’étaient les journaux des oncles de mon oncle depuis des générations !! Et à chaque fois, revenait la même chose : cette « fameuse » malédiction. Cette histoire m’intriguait de plus en plus, et je finis par ne plus manger et dormir pour pouvoir lire ces journaux. Je lisais, je lisais…

« Pour que ce qui m’est arrivé, n’arrive pas à mes descendants, faite passer ce message à chaque génération, je vous en conjure : Ne vous en séparez qu’à votre mort, ne le vendez jamais et surtout ne l’ouvrez jamais, sinon… »
« …Sinon, ces…les tiens. »


D’un seul coup, tout fut très clair. Je me revis le jour de l’héritage avec ce surprenant message et le coffre. Ce fameux coffre que j’avais oublié !! Je me mis insatiablement à sa recherche. Tout à coup, je sentis derrière moi un vent glacial, qui me gela l’échine. Le coffre était là, posé évidence comme si il m’attendait. C’était donc lui la malédiction. Je m’en saisis et à partir de cet instant, il devint pour moi la boîte de pandore. Oui, la boîte de Pandore…
J’eus beau faire toutes les recherches possibles et inimaginables, impossible d’en apprendre davantage sur ce maudit coffre. Je décidai donc de relire les Journaux de mes aïeux, pour voir si rien ne m’avait échappé, mais stupeur : les pages faisant allusion au coffre avaient disparues !! Volatilisées !! Je crus devenir fou. Alors, j’entrepris d’ouvrir ce coffre mais rien n’y fit. Il était plus dur que le roc, même à coups de masse rien n’y fit, rien n’y fit…

« Quel bric à brac, quelle poussière !
Oui, le proprio, enfin l’ancien est interné depuis 2 ans, c’est pour cela que l’on vient saisir. »

« Bon, nous pouvons commencer : un petit coffre de style ancien, mise à prix : 50 Francs…
70 Francs adjugé, vendu ! Vendu… »

« Information de dernière minute. On m’annonce qu’un fait suspect vient de se produire aujourd’hui à l’hôpital psychiatrique de ***. Un patient interné depuis 2ans a été retrouvé ce matin, les pieds pelés de leur peau, les infirmières encore… »


Au milieu d’un bric à brac digne d’une brocante, se trouvait là un petit coffre et un petit message à demi-effacé. Il n’était pas bien grand : 30 centimètres de long sur 20 de profondeur. Il y eut un petit « clic », un insignifiant petit « clic » et le coffre s’ouvrit laissant apparaître une paire de chaussures en forme de pieds, tachée ça et là de sang frais.
Une goutte ruissela sur le petit message.

« Ne t’en sépare qu’à ta mort, ne le vends pas et surtout ne l’ouvre jamais, sinon ces pieds pelés deviendraient les tiens. »


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Voila j'attends vos commentaires avec impatience!! :grin:
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la vie n'est pas un long fleuve tranquille, mais elle vaut la peine d'être vécue.^^
Flore Risa
Jounin
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Localisation : Āυ δεšşυŝ δε τα τετε! ;)..

Message par Flore Risa »

Bouh...! La première fois que j'ai lu ce truc, bouh...! Tu sais que j'ai postée mon histoire aussi? Celle sur le tableau de Vittore...? Enfin, elle avait pas eu autant de succés que la tienne! :sad:

Ben, moi j'ai bien aimée en tout cas! J'te dis chapeau bas mamzelle! :jap:
0°*°0 Ange 0°*°0
Chunnin
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Message par 0°*°0 Ange 0°*°0 »

ça fait longtemps que je n'étais pas revenue sur les topics des fanfics... honte à moi. :respect:
J'ai adoré cette histoire bravo. j'avais hâte de connaître le fin mot de l'histoire. ;-)
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