merci à deidara-san d'avoir poster). voici dans un nouvel essai naruto. que j'espere un peu plus long bien que l'histoire reste encore assez floue pour moi. Autant avertir ici, c'est une fanfiction où je mettrais à 60 ou 70 pour cent d'aventure et 40 ou 30 pour cent d'humour (cela dépend des chapitres). Généralement donc, çà sera sérieux mais un ou deux petit 'délire' pourrait se glisser dans les lignes. Toute fois j'essai de respecter les caractères des persos au maximum.
Nibi correspond dans le récit au démon à deux queues. (si mon dico est bon, ni veut dire deux.)
Chronologiquement, l'aventure se passe un peu avant la next génération.
S'il vous plaît, si vous lisez écriver se que vous en avez penser. Même si vous n'avez pas aimé, dire pourquoi me permettrait d'améliorer ce fanfic.
niveau disclaimer c'est la routine habituelle naruto n'est pas a moi.
bonne lecture ^_^ en esperant que cela vous plaise.
Sous le regard de la lune rouge
Chapitre un : Rien n'échappe aux nuages
Je ne pardonnerais jamais...
L'enfant se trouvait devant ce qui fut autrefois sa maison. Du ciel désespérément gris commençait à tomber une pluie fine, qui collait aux vêtements, les imprégnait comme une éponge. Il ne rentra pas s'abriter. Au contraire, il pencha la tête en arrière, ferma les yeux. Savourant cet instant de paix, tandis que la pluie faisait lentement couler le sang qu'il avait sur lui, ce sang qui n'était pas le sien, pour qu'il se mélange à l'eau envahissant le sol pour créer une flaque.
L'enfant avait toujours aimé la pluie, elle avait le don de l'apaiser, elle semblait le protéger. Maintenant... il savait pourquoi.
Après être rester un instant ainsi, il se détacha finalement de sa contemplation du ciel pour regarder son village, simple silhouettes de maisons au loin.
Il regardait le village sans vraiment le voir, il voyait au-delà du village, d'une certaine façon. Il luttait contre les tourments de son âme, de sa deuxième âme, en train de lui parler de vengeance.
L'instant d'après, il n'y avait plus personne devant la petite maison à l'écart du village.
Je ne pardonnerais jamais à mon village...
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"Janken."
"..."
"Hé, itachi tu m'écoutes ?"
Le déserteur tourna légèrement sa tête vers son coéquipier, toujours sans dire un mot, puis se décida à répondre. "...Non."
"Non tu ne m'écoutes pas ou non à ma proposition ?"
Itachi accéléra légèrement le rythme pour devancer Kisame, il poussa un soupir imperceptible. "Je me demandais comment la discussion en était arrivée là ?..."
Kisame rattrapa l'Uchiha en deux enjambées. "Ecoute, autant décidé maintenant qui capture le jinchuuriki, non ? Je propose le janken."
"Je propose que tu te taises jusqu'à ce qu'une idée plus censée te traverse le cerveau." Répliqua de façon neutre Itachi.
"L'ennui avec toi, c'est qu'on ne peut jamais discuter." Grommela le déserteur de Kiri no kuni.
Itachi ouvrit la bouche, il allait demander à Kisame pourquoi il tenait tellement à décider d'une chose aussi futile. Puis d'ajouter qu'il n'avait jamais été contre une discussion du moment qu'elle restait logique et parlerait d'un sujet intéressant. Ce qui était loin d'être le cas de cette conversation. Et il aurait peut-être ajouté dans la foulée que s'il tenait vraiment à avoir le jinchuuriki, il n'avait qu'à essayer de le prendre, pas besoin de jeu stupide pour en décider. Mais il ne dit rien, parce qu'il ne voulait pas entrer dans un débat inutile. Il soupira d'agacement et continua sa route vers Kumo no kuni.
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Un jour plus tôt...
"Nîsan ?"
Son grand frère arrêta son travail pour se tourner vers l'enfant. "Qui a-t-il Kazuma ?"
L'enfant regarda les herbes médicales que son frère était en train de couper. Comme à chaque fois qu'il avait une question à lui poser.
"Pourquoi le village nous déteste ?" Finit-il par demander.
Son frère le regarda sans rien dire, puis finalement il sourit. Un sourire qui sonnait faux. Suivit d'un rire qui sonnait tout aussi faux.
"Mais que racontes-tu là ? Le village ne nous déteste pas, voyons." Et il passa une main sale de terre dans les cheveux de Kazuma.
"Alors... pourquoi on doit vivre si loin d'eux ?" Instinctivement, son regard se posa sur le village, qu'on ne pouvait que deviner vu d'ici.
Shun prit alors un air grave, l'air qu'il prenait pour dire des choses importantes. Du genre, quand il avait dit à l'enfant qu'il n'y avait pas de monstre dans son placard. Ni dans aucun placard d'ailleurs. "Kazuma... je te l'ai déjà dit. Ce n'est pas de l'isolement, c'est pour les plantes qu'on est ici, uniquement. Le sol est bien meilleur qu'au village. Et puis...Tu n'y es jamais aller, comment tu peux savoir s'ils nous détestent ou non ?"
Le petit frère avait un nœud dans la gorge. Le ton c'était adouci mais il avait l'impression qu'il se faisait gronder. Aussi, il n'osa pas répondre. Il regarda simplement un tas de plante qui avait été écrabouillé par des gens du village. Shun suivit son regard et, curieusement, retrouva son sourire. Un vrai sourire cette fois, bien qu'un peu triste.
"Il y a des gens idiots partout." Expliqua-t-il en regardant les herbes devenues inutilisables.
"Mais..." commença Kazuma d'une petite voix triste.
"Petit frère, quelqu'un qui ne connaît pas une personne ne peut la haïr. Je t'assure qu'ils ne nous détestent pas. Ce que nous faisons leur est très utile bien au contraire. Alors chasse ses vilaines pensées et ne t'inquiète pas." Il repassa sa main dans les cheveux de l'enfant, finissant d'ébouriffer sa coiffure définitivement. Puis il ramassa les herbes récoltées.
"Je n'en ai pas pour longtemps, sois sage et attend moi."
Kazuma acquiesça lentement puis regarda son frère avec crainte et envie empruntée le chemin qu'il avait toujours rêvé d'emprunter. Vers ses maisons qu'il n'avait jamais vu, vers ses gens qu'il n'avait vu que fuir après avoir détruit leurs plantes.
"Il commence à poser beaucoup de questions. J'ai toujours réussi à le rassurer jusqu'ici mais..."
La personne avec qui Shun parlait finit d'un geste souple la calligraphie qu'il était en train de peindre. "Shun, nous avons déjà eu cette discussion."
Shun s'inclina. "Je sais bien, Raikage sama."
"Nibi ne dois pas aller au village avant d'être prêt. Il est encore trop jeune, trop instable. Il ne peut pas encore servir au village. S'il venait maintenant, nous serrions peut-être tous en danger. Le veux-tu ?" Dit-il d'une voix autoritaire mais aussi un peu lasse, comme s'il répétait se discours pour la centième fois.
"Bien sûr que non, Raikage sama. Je ne veux que le bien de mon village."
"N'oublie pas ce que tu viens de me dire et tout ira pour le mieux. Je sais qu'il est un fardeau lourd à porter mais c'était ton choix." Le kage fit un petit geste indiquant à Shun qu'il pouvait disposer.
"Kage sama." Dit Shun d'une voix éteinte, s'inclina un peu plus, avant de sortir.
"Kumiko... je peux venir ?" La petite fille courait pour rattraper sa cousine à travers les rues.
"Asuka, lâche-moi un peu. En plus je t'ai dit de m'appeler Kumiko-sama." Le groupe d'amies avec qui elle était rigola.
Asuka fit une moue, les larmes aux yeux. Elle n'aimait pas quand sa cousine était avec ces filles là. Elle devenait alors une toute autre personne, plus méchante. "S'il te plaît....." pleurnicha-t-elle en serrant son doudou.
"Oh mais quel bébé." Commenta une des filles, suivit d'un nouveau rire du groupe.
Asuka attendait en se frottant l’œil, espérant que sa cousine n'était pas devenue méchante au point de la laisser pleurer et de s'en moquer.
"Très bien tu peux venir."
"Quoi ? Kumiko, tu ne vas pas laisser ce bébé traîner avec nous ?!" S’étrangla presque une du groupe.
"Du calme, les filles." Puis elle s'adressa à sa petite cousine. "Tu peux venir mais d'abord, tu dois passer une épreuve...." elle marqua une pause, dite d'intensité dramatique. "Une épreuve de courage." Elle lança à ses amies un regard plein de sous-entendu.
Kumiko regarda les filles pouffées sans comprendre pourquoi elle réagissait ainsi.
Kazuma était sagement assis à attendre le retour de son grand frère. Il essayait de faire comme on lui avait conseillé, de ne pas s'inquiéter. Son regard passait du placard à la porte ouverte pour qu'il puisse voir l'arrivée de Shun. Il regardait toujours le placard quand il était inquiet. Ou bien il allait dehors quand il pleuvait, ce qui n'était pas le cas.
Il entendit soudain un petit bruit de pas, l'enfant se tourna de nouveau vers la porte. Rien... ce n'était certainement pas Shun. Alors qui?
Il frissonna, peut-être que s'il ne bougeait pas, le bruit partirait tout seul.
Il entendit quelque chose craquer, provoquant une nouvelle montée d'adrénaline. Cette fois, il ne pouvait plus l'ignorer.
Lentement, il alla vers la porte pour connaître l'origine de tout se bruit. Essayant de se rassurer. Ce n'était rien, peut-être un visiteur timide... oui ce devait être un visiteur.
Il pointa le bout de son nez dehors mais n'eut le temps de rien voir, une pierre obscurcit son champ de vision, puis se fit la douleur.
"Aïe." Se plaignit-il en sortant à toute vitesse pour connaître le lanceur de caillou. "Qui a fait çà ?! Montre-toi espèce de lâche !"
Il n'avait pas vraiment mal c'était plutôt le geste qui l'avait attristé. Au point que les questions de ce matin lui revenaient en mémoire.
"Pourquoi vous faite çà ? Je vous ai rien fait ! J'ai rien fait de mal à personne !" Des larmes de colère commençaient à naître aux coins de ses yeux. Il allait continuer quand soudain... un pleur se fit entendre.
"Ouinnnnn. C'est pas ma fauteeeuuhhhhhh..."
Kazuma se frotta les yeux pour se tourner vers la petite fille qui pleurait, serrant son doudou d'une main, tenant encore un pierre de l'autre. Il écarquilla les yeux, n'arrivant pas à y croire. Lui qui s'attendait à voir un colosse...
"Kumikkoo elle a dit... snif... que si je le faisais pas et bin je pourrais pas jouer avec elle." Parvint-elle à articulée entre deux pleurs.
La colère de Kazuma fondit comme neige au soleil. Il s'approcha alors de la petite, il n'avait jamais aimé voir des gens pleurer.
"Allons... je suis pas fâché..." il n'était pas non plus très doué pour réconforter les gens car il n'avait jamais eu à le faire.
Quand il fut assez prêt, Asuka lança de nouveau en pleine figure la pierre qu'elle tenait et détalla à toute vitesse en continuant de pleurnicher. "Parddonnn monsieurrr le monsttreuh." Et elle arracha une plante au passage avant de courir vers le village.
Shun revenait du village, il croisa une petite fille en train de pleurer. Il esquissa un geste vers elle mais la petite accéléra sa course.
Finalement, il reprit sa route et vit son petit frère étalé dehors. Il courut vers lui.
"Kazuma !" Cria-t-il, les pires suppositions lui venaient à l'esprit.
L'enfant grommela quelque chose et se frotta le front. Il regarda alors son grand frère, avec des yeux larmoyants.
Et Shun eut un pincement au cœur quand son petit frère lui demande d'une voix étouffée. "Pourquoi elle a fait çà ?"
"Il y a des idiots partout." Répondit Shun qui ne savait pas quoi répondre.
Kumiko était méchante et elle n'avait pas besoin de ses copines pour l'être.
"Si tu répète à ton père ou au mien que c'est moi qui t'ai demandé de faire çà, tu es morte." Dit-elle en agitant son poing près du visage de sa cousine. Evidement en voyant leur fille rentrer en pleurant, les parents de l'enfant commençaient à se poser des questions et voulaient savoir la raison de tout çà.
Avant qu'elle n'aille tout expliquer, kumiko eut le bon réflexe de prendre sa cousine en aparté pour éviter la punition de l'avoir laissé aller dans un endroit interdit.
"Répète ce que tu dois dire."
"Si je le fais. Je pourrais jouer avec vous ?" Demanda la petite fille, qui aurait été bien triste d'avoir fait tous ses efforts pour rien.
"Mais oui mais oui. Aller, répète !" Ordonna sa cousine.
"Euh... je dis que je me baladais près des maisons et que le monstre m'a attaqué."Dit-elle d'une toute petite voix hésitante.
"Et ?"
"Et que quand j'ai voulu me défendre en lui lançant une pierre, il est partit en disant qu'il reviendrait."
"Parfait, tu peux y aller." Dit Kumiko, fièrement mais aussi le soulagement dû à la punition qui disparaissait.
La principale question était : comment des adultes aussi responsable pouvait gober un tel mensonge ? A cette question, il peut y avoir plusieurs réponses. La plus proche de la vérité semble être que lorsqu'on déteste quelqu'un, même si on ne connait pas cette personne, tous les prétextes sont bons pour aller le voir et se défouler sur lui.
Quoi qu'il en soit laissons ce mensonge fonctionna et bien vite deux paires de parents se dirigèrent donc vers la petite maison à l'écart de Kumo no kuni.
Kazuma était inquiet, son frère était bizarre depuis son retour. A cause de l'accident, il en venait à penser que c'était de sa faute.
"Pardon Nîsan." Dit-il avec sa mine des mauvais jours.
Un mince sourire traversa le visage de Shun. "Ce n'est pas ta faute." Kazuma ignorait bien sûr que ce n'était pas pour l'accident qu'il disait cela. Et la discussion n'alla pas plus loin.
Les deux frères étaient en train d'entamer leur maigre repas quand ils arrivèrent.
"Shun sort de là !" Tonna une voix.
Il semblait à l'enfant qu'aucune visite aussi rare soit-elle ne serait de bonne augure pour lui tandis que son frère eu un sourire rassurant avant de sortir.
Kazuma regarda son bol, l'idée de continuer ou non de manger n'eut pas le temps de pénétrer son esprit car il était déjà happé vers l'extérieur par une ombre.
"Qui a-t-il ?" Demanda Shun en étant surpris.
"Tu le sais très bien."
"Non, sinon je ne vous le demanderais pas." Plaida-t-il en restant aussi poli que possible.
"Ton monstre de frère est venu au village ! Alors que c'était interdit ! En plus il a blessé ma fille."
"Kazuma n'a pas quitté la maison sinon je le saurais." Il avait tout de même un doute. Puisqu'il était parti lui-même au village en le laissant seule.
"Tu traites donc ma fille de menteuse ?"
"Mais pas du tout..." Shun ne savait plus quoi dire pour calmer son interlocuteur.
"Donc tu avoues que c'était bien lui. Ne t'inquiète pas il ne te sera fait aucun mal. Tu n'y es pour rien. Mais le monstre doit payer."
Shun se retourna aussi vivement que possible. "Kazuma, cours !"
Il ignorait que son petit frère n'était déjà plus à l'intérieur.
Pourquoi lui ? Pourquoi toujours lui ? Pourquoi on l'appelait le monstre ? Pourquoi faire cela à un enfant de 9 ans qui n'avait jamais rien fait à personne ?
Kazuma se posait toutes ces questions pendant que les adultes qui l'avaient entraîné dehors était en train de le corriger pour quelque chose qu'il n'ait pas fait. Les larmes coulaient lentement le long de ses joues.
La seule réponse venait de celle de son frère. Il y a des idiots partout. C'était injuste, injuste ! N'avait-il pas droit de se défendre ?
Tu sais ce que tu dois faire... tu le sais depuis toujours. Lui dit une voix dans son cœur.
Lentement, la pluie commençait à tomber depuis le ciel gris.
S'ils ont peur, ils te laisseront tranquille. Renchérit la voix. Oui après tout... pourquoi pas. Il le traite bien de monstre.
Kazuma eut conscience d'avoir fait un geste mais pourtant il n'avait pas l'impression que c'était bien lui qui bougeait.
Que c'était lui qui était en train de tendre le bras vers ses bourreaux.
Il ne réalisa pas que c'était son geste qui entraîna le rassemblement des gouttes de pluie en une énorme boule d'eau autour de ses cibles.
Il n'eut pas conscience non plus qu'il resta ainsi, a regardé, jusqu'à ce que les corps à l'intérieur de la bulle ne bougèrent plus.
Kazuma n'était plus là, il était dans des ténèbres sans fond et les ténèbres lui dirent que tout allait mieux se passer maintenant.
La voix des ténèbres était tellement rassurante que kazuma crut en elle et se laissa bercer.
Et puis il entendit "Kazuma, cours !" Il reprit alors conscience de ce qui l'entourait. C'était son grand frère, il était en danger.
Kazuma courut aussi vite que ses petites jambes le lui permettaient, il courait vers Shun.
Ce qui devait arriver, arriva. L'interlocuteur de Shun, qui n'avait pour autre but que de faire diversion, pensera que ce n'était pas du tout sa faute. Si Shun n'avait pas tout essayer pour rejoindre son petit frère, il serait encore en pleine santé. C'était ce que l'agresseur pensait tandis qu'il détalait à toute vitesse , pensant aussi que les autres avaient du terminer leur travail.
Donc si Shun était rester bien sage, il serait encore en pleine forme et non allongé par terre en train de se vider petit à petit de tout le sang que contenait son corps.
"Nîsan !" Cria Kazuma en allant le rejoindre. Ses larmes se mélangeaient aux gouttes de pluie.
"Kazuma..." dit Shun d'une voix presque inaudible tandis que son frère était accroupi près de lui. "Kazuma pardonne moi..."
Kazuma sanglota s'en pouvoir rien dire. Pourtant ce n'était pas les idées qui lui manquaient.
"C'est... ma faute." Continua mollement Shun. "... j'étais trop faible. C'est pourquoi ils t'ont fait çà." Et Kazuma ignorait qu'il parlait d'autre chose, de quelque chose qui avait été décidé juste avant sa naissance.
"Avant de mourir... j'aimerais te dire..." Il fut interrompu par une quinte de toux. "pourquoi..."
Le nœud réapparut dans la gorge de Kazuma tendit qu'il écoutait son frère brûler ses dernières minutes de vie pour lui dire la vérité.
La vérité sur toute cette comédie que fut sa vie jusqu'à maintenant.
Quand Shun eut rendu son dernier souffle, il ne restait plus que de la colère. Colère partagée par ses deux âmes.
Je ne pardonnerais jamais...
A Suivre...
voilà pour le premier chapitre, a vos claviers please ^^
oh ben non c'est trop triste.
Mais c'est quelle demare super bien ta fic,j'adore 
)
