Les Chroniques de Raki

Tu débordes d'imagination scénaristique. Tu as imaginé des histoires parallèles à celle de Naruto. Alors asseyons-nous autour d'un feu et raconte-nous ton histoire dans le monde des ninjas.

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guiguizmo
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Les Chroniques de Raki

Message par guiguizmo »

Bon, ben specialement pour mon 3000e post, je poste un debut de fanfic Claymore, dont le personnage principal sera Raki. Alors, forcemet pour pas que tous les lecteurs de Claymore qui meprisent Raki ne partent tout de suite, je commence par un passage que je pense plus interessant, normalement. Alors, je sais ca coupe la ou ca commence a etre interessant, mais je completerais demain ce premier chapitre, parce que je veux poster et poster une fic, pour le 3010e post c est moins glop que pour le 3000e.


Prologue :

Nous étions neuf. J'étais le plus jeune du groupe, celui qui vient d'arriver comme un cheveu dans le soupe. Le Roi d'Argent m'avait fait rejoindre cette équipe car je connaissais la ville où nous nous rendions. Je m'y était rendu plusieurs années auparavant, quand je n'étais encore qu'un jeune garçon, a vrai c est bien l'un des rares souvenirs de mon passé que j avais à l'époque. En effet, nous nous dirigions vers Rabona. Le Roi nous avait donné l'ordre de progresser vers l'Ouest et de détruire certaines cités. La première de la liste était la ville sainte. Le commandement de notre escouade était assuré par Van, un puissant guerrier en qui le Roi avait confiance. En fait, il était juste le plus violent et le plus sanguinaire d'entre nous. Pendant que je me contentais de tuer suffisament d'humains pour mes besoins vitaux, mes compagnons s'adonnaient à de grands massacres. Décimant en plein jour des villages entiers, ne se nourissant d'à peine un dixième de leurs victimes, nous laissions derrière nous de véritables charniers. Les jours passaient et étrangement, personne ne venait à notre encontre, à croire que malgré les tueries, nous n'étions pas découverts.


Et le jour fatidique arriva, nous apercevions enfin les hautes murailles encerclant la ville de Rabona et sa cathédrale. Van ordonna que l'on s'arrête et que l'on mette des vétements propres. Il nous expliqua son plan. Nous devions nous séparer et entrer par les différentes portes de la ville. Ensuite, le plan prévoyait que nous attendions chacun de notre coté dans différents quartiers de la cité jusqu'à la tombée de la nuit pour passer à l'attaque. Un plan des plus classiques et qui avaient de grandes chances de réussir si tous les membres du groupe parvenaient à s'abstenir de l'odeur et du goût du sang pendant une demi-journée. Une fois, le plan expliqué, nous reprimes tous forme humaine, et mirent des vétements que nous avions pris dans le dernier village que nous avions traversé. Et enfin,nous nous séparames.


Un peu plus d'heure plus tard, j'arrivais enfin à proximité d'une des portes de la ville. Il y avait une queue immense le long de la route. Cela etait du a la presence d'un barrage filtrant où des gardes inspectaient les bagages des personnes desirant entrées en ville. Quand mon tour arriva, un des gardes, un grand blond avec une cicatrice au visage, me devisageait. Il se pourrait que je l'ai deja croisé lors de ma dernière visite. Lorsqu'on me demanda la raison de ma venue, je leur expliquais, je venais de loin afin de pouvoir me faire baptiser à la cathédrale. Après avoir fouillé, mon sac, et n'y avoir decouvert rien d'intéressant, ils me laissèrent entrer. J'espérais que ce contrôle se passerait également bien pour mes compagnons d'armes. Afin de patienter, je recherchais une auberge à prix raisonnable, où les prix pratiqués etaient raisonnables, bien que une telle recherche ne servait pas a grand chose, vu que je recupererais mon argent lors de la mise à sac de la ville.


Le ciel commençait à prendre une teinte rouge orangé lorsque les premiers heurts ont commencé. Les gardes commençaient à converger vers une des places de la cité en criant au monstre quand à un autre endroit, l'un des notres commenca egalement à s'agiter. Un cri puissant fendit les cieux, le cri de guerre de Van, l'attaque avait été avancée car soit l un des notres a perdu patience (et faut avouer que c est pas leur fort) soit il s'était fait repérer. Personnellement, je pencherais plutot pour la premiere solution. Mais le temps n'était plus à la réflexion mais au carnage, ni une ni deux, je repris ma véritable forme, celle qui etait mienne depuis maintenant deux ans, et sauta dans la rue au beau milieu d un groupe de gardes partis en renfort là où les autres se battaient. Bien que vetus d'armures de plates et equipés de lances et d'épées, ce petit groupe ne fit pas long feu face à la puissance des poings combinée à ma vitesse surhumaine. Et tres rapidement, leurs cadavres et ceux des passants encombraient la chaussée, baignant dans une sorte bouillasse ou se melangeaient terre et sang. Afin d'accomplir le rapidement possible nos objectifs, je dirigeais vers une caserne que j avais remarqué lors des demabulations de cet apres-midi. Bien evidemment, je ne laissais, aucun etre humain vivant sur mon passage, c'était bien différent de lors de notre voyage, le Roi nous avait ordonné de ne laisser aucun survivant, et c est ce à quoi je m'employais. Je ne saurais dire le nombre de personnes que j ai tué cette soirée la, au point où j en etais cela n avait plus beaucoup d importance. Une fois arrivé à la caserne, je fus rejoint par Katéa, une Être élevé, tout comme moi qui fait partie du groupe.


Lorsque nous sommes parvenus à éradiquer toute resistance, deux heures s'etaient ecoulées, deux heures d'âpres combats dans lesquels, Katéa fut grièvement blessée. Alors que, je faisais un dernier tour de la caserne pour m'assurer qu'aucun d'entre eux n'est survécu, je remarquai que le garde qui m'avait devisage plus tot dans l apres midi. Son corps gisait dans les escaliers, la ou je l avais occis de mes propres mains. J'examina son visage, car il me semblait le connaître et que peut etre que revoir son visage de pres, pourrais me refaire gagner ma memoire. Je l'examina et me suis souvenu de qui il etait, Galk, il etait un garde de la ville, lorsque je suis venu dans cette ville avec une claymore du nom de Claire, elle m avait recueilli alors que ma famille avait ete detruite par des monstres comme celui que j etais devenu, et que Galk etait la personne que je pouvais considerer le plus comme ami apres Claire. Des larmes commencèrent à rouler sur mes joues, la part d humanité en moi que je croyais a tout jamais disparue remontait à la surface. J enlassa pendant un long moment la depouille de l ami que je venais de tuer, et me vida de toutes les larmes de mon corps. Lorsque Katéa arriva, elle n eu pas le temps d ouvrir la bouche que deja, je me precipitais vers elle, épée en main, prêt à la faire trépasser. Elle n eut meme pas le temps d'esquiver et l'épée la traversa de par en par.
Dans son dernier souffleelledit : « Raki, pourquoi? »
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Kazekage le 3e
Gennin
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Message par Kazekage le 3e »

Moi j'attend la suite pour me faire une réele idée sur cet fic. :???:
Il n'y a pas de mort , il y a la force.
Flore Risa
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Message par Flore Risa »

Comme pour Kazekage-kun, j'attends de lier la suite pour pouvoir y apporter un jugement. :mrgreen:

Alors mets nous vite la suite si t'as pas abandonné la fic, ne?! ;-)
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