Incroyable mais vrai, des gens suivent encore cette fichue fic (lebibou... lebiou... Je croyais que tu m'avais définitivement abandonnée moi... Remarque, je pourrais difficilement te le repprocher )
Grand merci également à Quiyez et à Jainas, même si j'ai déjà eu l'occasion de recevoir ses commentaires en direct. C'est flatteur de voir que vous suivez toujours cett fic malgré le temps écoulé.
Bonne nouvelle, le chapitre suivant est bien commencé, même s'il ne faut pas s'attendre à en entendre parler avant au moins 3 semaines minimum, vu que je pars me resourcer dans me province natale, puis dans les verts paturages de la Toscane (je ne sais pas si il ya des paturages en Toscane mais ce sera la moyen de la découvrir...).
Au programme, chapitre assez bizarre avec trèèèèèèèèèèèès long monologue d'Ohira qui va pouvoir s'en donner à coeur joie et se délecter de ses propres discours. Tout bon méchant doit être complétement mégalomane et profondement égocentrique, c'est un trait carastéristique de la profession.
Le politesse en est également un, trucidons et manimulons noter prochain, certes, mais avec élégance. ^ ^
Comme l'a fait remarqué Lebibou, j'ai une facheuse tendance à reléguer au second plan les personnages principaux du mange. Peut-être est-ce du au fait que Naruto me fatigue un peu ces temps-ci, même si Sakura arrive progressivement à reconquérir mon affection et que je continue à poser un regard attendri sur ce petit con de Sasuke. J'avoue que les trois zouaves commencent à me lasser et que je leur préféré largement les personnages plus sécondaires et le dévellopement des OOC.
Parait que les nouveaux personnages tuent une fic selon certains auteurs, surtout si ils font de l'ombre aux personnages originels. Je ne suis pas vraiment d'accord pour ce qui est de la qualité de la narration mais je reconnais que "Sang et cendre" ressemble de moins et moins à une fanfic de Naruto, ce qui pourrait déconcentrer les eventuels lecteurs.
Si influence il y a je pense qu'elle est tout à fait inconsciente ^ ^.C'est marrant, dans ta prose on retrouve des tournures rigides, un peu théatrales. Serait-ce l'influence de Dumas et de Rostan, par l'intermédiaire de ce très cher Savinien ?
mais comme tu l'as remarqué Ohira et l'ami Oro ne sont pas hommes à dédaigner le mélodrame.