La Vie et l'Amour sont si compliqués... [Harry Potter]

[Nathalie]

Alors, je me permets de mettre ma fic ici. Elle est basé sur l'univers d'Harry Potter, a l'époque des Maraudeurs (Donc du père d'Harry).

Cette fic comporte des scènes violentes et gores, ainsi que du Lemon soft (Je sais pas si j'en ai le droit mais sinon, dites le moi). Elle sera normalement en 4 chapitres.
Alors, comme j'aime plus les noms Anglais que Français, je les utiliserais : Snape = Rogue, Marauders = Maraudeurs, Moony = Lunard, Padfood = Patmol, Wortmail = Queudvert, Prong = Cornedrue.

Voila, je pense que c'est bon...

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Résumé : Après avoir passé les 16 premières années de sa vie séquestrée par son père, dans une chambre noire, loin de dehors et de ses semblables, Christianne Aoi va être libéré par sa mère. Cette dernière va l'emmener à Poudlard. Mais n'est il pas dangereux de permettre à une fille atteinte de crises de folie se mêler au élèves de l’école ? Heureusement, les Marauders sont là.

Chapitre I : Je ne veux pas devenir un monstre...

Voila bien deux ans maintenant que je les fréquente : Le timide Moony, toujours collé à ma sœur Moro. L’amoureux Prong, toujours derrière « sa » Lily. Le silencieux Wortmail, Toujours caché derrière Remus. Et le ténébreux Padfood… Le seul que je vois normalement lors de mes crises. Car oui, je fais des crises de folie durant lequel je vois tout ce qui m’entoure, paysage, gens, avec du sang, des boyaux, des triples… Bref tout ce qui peut s’apparenter a l’intérieure d’un corps humain. Pourquoi ? Allez savoir ! Moro, ma grande sœur est un demi loup garou, alors pourquoi pas ? Etrangement, je ne vois ce genre de chose que d’un seul œil : Mon œil gauche. Ce dernier est en général entouré d’un bandeau, mais lors de mes crises, je l’enlève à cause de la douleur. Cela ne se passe que quand je suis énervé ou si je suis en danger.

Flash Back.

C’est lors de ce fameux jour où je fis ma première crise, dans l’enceinte du château, pendant le repas, que je l’ai rencontré. Semblant être la seule chose « normal » dans une pièce bondé de monde aux formes diverses.
C’était un grand chien noir, pareil à un Sinistros. Je fus si surprise ce jour la, que cette rencontre apaisa ma rage. C’était bien la première fois que cela m’arrivais dans un moment pareil. Puis lors d’une de mes balades nocturne, je l’ai rencontré de nouveau. Il y avait un cerf et un rat à ses coté. Je me rapprochai, alors que lui, était méfiant. J’étais comme hypnotisé, je voulais le toucher, le sentir. J’y étais presque, lorsque soudain ! Quelque chose m’attaqua dans le dos !
Me retournant rapidement dans un reflexe salvateur, j’eue le temps d’apercevoir un loup garou, un bref instant, sortant de la pénombre.
Son coup me toucha…
Une vive douleur ce fit brutalement sentir, révélant une terrible griffure sur mes omoplate.
A ce moment là, le danger me fit entrer en transe et à nouveau, tous se brouilla, révélant ensuite un monde teinté de rouge vif. Je ne savais plus ce qu’était quoi, et dans cette confusion des sens, seul le chien m’apparaissait normalement. Malheureusement, la douleur elle, m’aveugla, me faisant arracher le bandeau et attaquer devant moi sans discernement. C’était une transe violente, durant laquelle je combattis mon agresseur. Je m’étais transformée en puma, ma forme Animagus, pour griffer et mordre. Le combat entre nous deux ce déroulant, le cerf et le rat profitèrent de cette instant pour s’éloigner, de peur d’être blessés, pendant que le chien tentait de nous séparer, en vain.
Soudain, quelque chose me plaquais au sol, mettant fin au combat. Je redevenais humaine afin de savoir d’où pouvait venir le poids et aperçue, juste au dessus de moi, une énorme masse difforme comme entouré de boyaux. Je connaissais cette forme, l’ayant déjà rencontrée plusieurs fois, comme étant une louve. Me mordant au ventre, elle me souleva du sol. J’entendis un grognement monstrueux avant qu’elle ne ressert sa gueule au point de rentrer ses crocs dans mon ventre me brisant quelques cotes. Elle relâcha ensuite son emprise, me laissant m’écrouler au sol, dans une marre de sang.

- Moro… Eu-je le temps de gémir avant de sombrer dans le coma.

Je ne me réveillai que le lendemain soir dans ce qu’il semblait être l’infirmerie. La pièce était sombre, je n’arrivais pas à distinguer quoi que ce sois de clair. Malgré tout, je savais que ma crise était finie, étant donné que les draps ainsi que mes mains étaient normaux, et non sous l’apparence de viscères.
Dans le silence de la pièce, je pouvais entendre le bruit d’une respiration. Aussi, j’essayai de me relever pour voir qui était là, mais une vive douleur dans tout mon corps me força à me recoucher. Je me touchais le ventre pour faire un constat, sentant de grandes cicatrices tout le long de ce dernier. Les souvenirs de la nuit passée me revinrent alors en tête.
C’était ma grande sœur qui m’avait rendu dans cet état. Normalement, étant un demi-loup garou, les soirs de pleine lune, elle ne prend que les oreilles, les yeux et les pattes de son aspect. De plus, elle a une particularité : Elle n’a pas une, mais deux grandes queues. Pourtant, la veille au soir, elle s’était entièrement transformée en louve de plusieurs mètres. Elle ne peut se transformer qu’avec suffisamment d’énergie. Elle récupère cette dernière de ce qu’elle appelle « l’essence » d’un homme. Je ne savais pas encore ce que ca voulait dire, mais je m’en moquais.
Il y avait aussi le loup-garou qui m’avait attaqué. D’où venait-il ? Et le chien ? Qu’était-il devenu ? Le seul que j’arrivais à voir normalement. J’espérais qu’il aille bien.
Un bruit de pas me fit sortir de ma rêverie et m’alerta. J’essayai de distinguer quelque chose mais c’était impossible dans le noir. Je tendis alors l’oreille et entendit les pas se rapprocher. Il y eu un bruit, comme un froissement, puis comme si quelque chose de mou tombait au sol. Un murmure « Lumos… » Et une lumière vive m’aveuglait quelques instants. Lorsque mon œil s’habituait enfin, je vis un homme que je ne connaissais pas. Il fit le tour de la pièce du regard et tomba sur moi. Je restai là, sans pouvoir bouger, tendis qu’il s’approchait.

- Ca va ? Me demandait-il si brusquement qu’il me fit sursauter. Tu es la sœur de Moro non ?

Je me taisais, pendant qu’il examinait le lit voisin, celui d’où venait la respiration.

- Ouha… Fit-il impressionné. Tu n’y as pas été de main morte. Un peu plus et tu l’aurais tué. Il aura de sacrées cicatrices maintenant…
- C’est le chien ? M’exclamais-je brusquement sans réfléchir.

Je voulu me relever en même temps mais la douleur, une nouvelle fois, eu tôt fait de me rappeler mon état. Étouffant un gémissement de douleur, l’homme se précipitait vers moi pour me soutenir. Il m’aidait à m’assoir et sentit les cicatrices sur mon corps. Il restait un moment interdit, la main sur mon ventre. Lorsqu’il se rendit compte de son geste, il retirait précipitamment sa main et tournait la tête.

- Purée… Chuchota-t-il. Ta sœur non plus ne t’as pas fait de cadeaux. C’est toujours comme ca entre vous ? Heureusement que Mme Pomfresh était là pour te soigner, sinon, tu serais peut être…
- Le chien… Soufflais-je sans pouvoir parler plus fort.
- Le chien ? Me demanda t’il en tournant sa tête pour me regarder surprit.
- Oui le chien… C’est lui ?
- Lui ? Il pointa l’homme sur le lit. Non, ce n’est pas un chien. C’est… Il hésitait un instant. Bon, puisque tu l’as vu et que Moro est ta sœur, je pense que je peux te le dire…

J’eue un discret sursaut au nom de Moro, cachant ma surprise. Je le laissai continuer.

- Le loup garou que tu as combattu C’était lui.

Je le regardai surprit puis baissa la tête en signe de culpabilité.

- J’espère que je ne l’ai pas trop blessé… Marmonnais-je
- Non, ne t’en fais pas ! Me dis-t-il avec un grand sourire. Il a l’habitude. Quand on se transforme à chaque plaine lune, on s’accoutume.
- D’accord… Et… Et le chien alors ? Comment va-t-il ? Tu le sais ?

Il enleva les boutons de sa chemise et s’examina. Je le regardai sans comprendre.

- D’après ce que je vois, il va bien. Quelques petites blessures par ci par la, mais rien qui ne nécessite un vrai soin.
- Pa… Balbutiais-je. Pardon ? Comment peux-tu savoir qu’il va bien en t’examin…

Soudain, je compris. C’était pourtant logique, mais mon cerveau encore engourdit avait prit du temps.

- Tu… Tu es le chien ?
- Oh, bien joué. En effet, je suis le chien. Sirius Black, pour te servir. Le gars à coté c’est Remus Lupin.
- Je… Je m’appelle Christianne Aoi…
- Oui je sais, ta maman nous a beaucoup parlé de toi.
- Ah… C’est plutôt surprenant. Marmonnais-je plus à moi-même que pour Sirius. Mais… Je suis désolé de t’avoir fais du mal. Je ne me contrôlais plus….
- Oui, un peu comme Remus.

Il marqua un temps d’arrêt avant de me fixer dans les yeux.

- Lui a un loup garou dans le corps. Et de ton coté, tu as quoi comme genre de monstre en toi ?

Je baissai la tête. Un monstre, il n’avait pas vraiment tort. On me l’avait souvent répété. Mon père, ma sœur…

- Je… Je… Commençais-je.

Mais les mots n’auraient pu suffirent à dire ce qui ce cachait en moi. Je décidais alors de pousser les mèches masquant habituellement mon bandeau sur l’œil gauche tout en me rendant compte qu’il n’était plus à sa place. Il devait être dans le parc. J’ouvris mon œil afin de lui montrer. Il eu un sursaut en le voyant : Le contour était rouge sang, la pupille noir et sur mes paupières, c’était comme si j’avais était brulé.

- Je ne sais pas vraiment ce que c’est… Continuais-je, mais je sais que lorsque je suis en danger ou en colère, quelque chose se déclenche qui fait que je vois tout ce qui m’entoure, paysage, gens, avec des boyaux, du sang, des choses horribles. Je vois tout comme ca, sauf toi en chien. Je ne sais pas pourquoi, mais je sais que cela me calme, car comme tu as pus le remarquer, je fais des crises assez violentes… Je… Je ne veux pas devenir un monstre… Alors… S’il te plaît, reste près de moi…

Les larmes coulèrent sans que je puisse les arrêter. Voila bien des années que je n’avais pas pleurées.

Notre discussion s’achevait sur cette note pessimiste.

Le lendemain, je vins m’excuser auprès de Remus et lui expliquais les raisons de ma riposte aussi violente à son attaque. Peu après, je commençais à rester de plus en plus souvent avec l’équipe des « Marauders», comme ils s’appellent et participait même à leurs balades nocturne, étant moi aussi un Animagus. J’eue pour nom « Noiselessly » ne faisant jamais de bruit lors que je marche.

Fin Flash Back

[Itachi-san]

J'étais passé complètement à côté de ça… bah, je doute que l'auteur soit encore sur le forum depuis le temps mais je laisse une réponse, histoire de faire vivre la section

J'aime bien l'histoire de base… les descriptions sont succintes mais assez claire et on rentre assez bien dans le personnage. Pas mal de fautes d'orthographe par contre, surtout dans la seconde moitié du chapitre.

Ce commentaire restera sans doute sans suite, mais c'est pour la forme