Si sa première série était chez une maison d'édition mineure, Square Enix, sa deuxième ce retrouve chez Kondansha, le rival de Shueisha, l'employeur de son frère. Kishimoto est la vedette d'un nouveau magazine shônen, le mensuel Shônen Rival, qui est apparu en avril 2008. Sept numéro du magazine sont sortis jusqu'ici, et les six premiers chapitres de la série ont une page titre couleur.
Notez aussi qu'il y a déjà un jeux sur DS. Il y a même un site internet officiel dédié à la série, blazerdrive.jp On sent qu'ils exploitent à fond le "nous aussi on a un Kishimoto!"Pour la série en elle même, l'intrigue est situé à Tôkyô dans un futur proche. La ville est le terrain d'essai d'un nouveau genre d'énergie qui pourrait sauver la planet du réchauffement climatique, les mystickers (contraction de mystic et sticker, les autocollants mystiques). C'est la fureur auprès des jeunes et Daichi, dont le but est d'être l'ultime incarnation de ce qui est cool (ça change de la conquête du monde de Jio
) est passé maître dans l'utilisation des mystickers. Mais il semble qu'il y ait d'autres utilisations aux mystickers...Je trouve que les personnages sont beaucoup plus attachants que ceux de 666 Satan, je sais pas si c'est son nouvel éditeur qui lui a donné quelques trucs ou si ce sont ces nouveaux personnages qui vont le chercher plus profondément, mais il y a un changement de ton. L'intrigue est plus condensée aussi. Et comme d'habitude, Seishi fait du bien meilleur chara design que Masashi.
Le héros de BD a l'air de péter une classe surhumaine quand même.
Seishi n'arrive vraiment pas à faire des chapitres denses sans que ce soit au détriment de l'intensité (à part peut-être à la fin de la première partie de Satan, clairement son passage le plus maîtrisé). N'est pas Oda qui veut.
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Même pouvoir et look très similaire. Kubo a dû se dire «personne connaît, ils y verront que du feu» 
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