bon ! voilà le troisième chapitre ! nom de dieu, j'aurais eu du mal ! bon alors euh comme il est vraiment long (un truc genre 8 pages word) je vais le mettre en deux parties.
La première est traitée sur un ton léger, la 2ème bcp moins mais vous verrez par vous même.
Sinon euh bon j'ai pris le nom que t'as dit Jainas. Je l'aime pas beaucoup mais bon...
Chapitre III
C’est ma faute
1ère partie
Si les trois quarts de Konoha avaient été détruits, le quartier résidentiel des Uchiwa avait été relativement épargné. Les maisons avaient encore leur toit et certaines portes n’avaient pas été totalement arrachées voire pulvérisées par une quelconque explosion. Les rues n’étaient pas (trop) jonchées de gravats, de morceaux de murs ou de bouts de bois et chose curieuse, il n’y avait que très peu de cadavres. Normal direz-vous – le clan Uchiwa n’était pas le plus puissant du village de la Feuille pour rien ; mais lorsque l’on considérait la force avec laquelle Kiri avait frappé, l’état des autres quartiers et le nombre global de victimes, on pouvait dire sans crainte d’exagérer qu’il s’agissait d’un score honorable.
En effet, malgré l’absence du chef, Tashiro, le clan s’était bien défendu et n’avait à déplorer que trois morts. Trois morts insignifiantes. Trois morts que l’on ne pleurerait pas puisqu’il s’agissait justement de trois personnes qui n’avaient pas su sauver leur vie. Trois morts qu’on oublierait rapidement.
Debout au pied du porche de la maison principale, Uchiwa Harumi scrutait avec anxiété la rue déserte. Elle avait fait la liste des membres du clan revenus à la résidence et à présent, il n’en manquait plus que deux : son mari, Tashiro, et Obito, le fils d’une de ses cousines. Bien que n’étant pas liée affectivement à lui, c’était son rôle, en tant que maîtresse, de veiller à ce que tous les Uchiha soient en sécurité ; et le petit garçon était si faible... En ce qui concernait son époux, elle ne pouvait rien faire. Qu’il soit en mission ne l’inquiétait pas outre mesure ; Tashiro était le plus puissant du clan et tout à fait capable de se défendre. Non, ce qui l’effrayait, c’était le lieu de son affectation : la frontière entre Kiri et Konoha. Sachant que Kiri venait d’attaquer, qu’était-il arrivé à tous les ninjas envoyés là-bas ?
Une larme roula sur sa joue pâle. S’il arrivait malheur à Tashiro, que deviendrait-elle ? Elle et leur fils. Juste à cet instant, elle sentit quelque chose lui agripper le bas de sa jupe. Baissant les yeux, un sourire tendre se dessina sur son visage fatigué. Elle s’agenouilla pour caresser la tête du petit garçon venu près d’elle.
- Ita-chan, murmura-t-elle avec douceur. Qu’est-ce que tu fais là, petit polisson ? Tu devrais être à l’intérieur. C’est dangereux, tu sais.
Itachi secoua la tête avec force, une moue boudeuse sur son visage lisse, et tira plus fort sur la jupe de sa mère. Attendrie, Hamuri prit le petit garçon dans ses bras et le serra fort. Elle pouvait déjà sentir sa force, sa volonté. Il la rassurait. Il deviendrait un grand ninja, courageux et loyal. Elle le savait.
Des pas précipités retentirent derrière eux et une voix anxieuse résonna dans l’atmosphère silencieuse de la résidence
- Itachi-kun !! Oh, mon dieu, où êtes-vous ? Itachi-kuuun !
Harumi sourit. Son fils n’était pas vraiment facile à surveiller étant donné sa plus que précoce vivacité et il donnait beaucoup de fil à retordre aux différentes nourrices qui s’occupaient de lui. En entendant les pas se rapprocher, la maîtresse de maison se retourna. Une jeune femme aux cheveux bruns tirés en arrière venait d’apparaître, visiblement soulagée d’avoir enfin localisé le petit garnement dont elle avait la charge. Elle s’inclina précipitamment.
- Oh, Harumi-sama… On devinait à son souffle haletant qu’elle venait de parcourir une certaine distance au pas de course. Excusez-moi mais… mais votre fils est insaisissable… Il disparaît dès que j’ai le dos tourné et…
- Si vous vous occupez de lui, vous n’avez pas à avoir le dos tourné, Ai-kun, répliqua sèchement Harumi. Je vous le confie ; ce n’est pas pour que vous alliez faire un tour ailleurs ou dieu sait quoi !
- Je suis désolée, bafouilla la pauvre Ai, les joues rouges. Ça ne se reproduira plus. Je vous le promets.
- Tenez, fit Harumi en tendant le petit Itachi à sa servante. Et ne le laissez plus disparaître.
- Euh, bien Harumi-sam… Aïe !
Le gamin venait en effet de lui tirer sauvagement les cheveux, et semblait en retirer une grande satisfaction. Harumi eut un petit sourire amusé et s’éloigna. Elle avait été un peu dure avec cette pauvre Ai mais l’absence prolongée d’Obito et surtout de Tashiro l’inquiétait. Les rues étaient encore dangereuses et le petit n’avait jamais eu un sens de l’orientation très prononcé. Peut-être devrait-elle envoyer quelqu’un à sa recherche …
- Où allez-vous encore ? Oh non ! Itachi-kun ! Revenez ici !
Exaspérée, Harumi se retourna, prête à passer un savon à sa servante. Nom d’un chien, ne pouvait-elle pas faire attention ? Mais en voyant la scène, elle ne put s’empêcher de rire. Un air désespérée sur le visage, Ai essayait tant bien que mal de récupérer Itachi qui s’était, allez savoir pourquoi, jeté tête la première dans un buisson. Après quelques secondes au cours desquelles il réalisa sûrement qu’il était coincé, il se mit à pousser des cris de goret qu’on égorge, à la grande gêne de la jeune servante. Tout en riant, Harumi s’approcha de Ai et l’aida à dégager Itachi qui émergea du buisson les cheveux emmêlés et plein de feuilles. Elle allait les lui retirer quand un cri l’arrêta.
- Harumi-sama !
Reconnaissant la voix, la jeune femme fit volte face et un sourire soulagé éclaira son visage.
- Obito-kun ! Enfin te voilà.
Le petit garçon brun aux yeux recouverts par des lunettes à verres épais, baissa la tête. Ses vêtements étaient sales, déchirés en certains points et ses cheveux blanchis par la poussière. Une coupure barrait sa joue gauche et ses mains portaient des traces de sang. Harumi les lui saisit d’un geste vif.
- Tu es blessé ! Que t’est-il arrivé ?
- Je… ce n’est pas mon sang, Harumi-sama… C’est celui d’un Jounin qui m’a sauvé la vie.
L’expression du visage d’Harumi se figea l’espace d’un instant puis elle demanda :
- Il est mort ?
Obito baissa encore la tête et ne répondit rien. Harumi soupira mais elle ne rabroua pas le garçon qui semblait suffisamment choqué pour ne pas avoir besoin de reproches en plus. Mais force était de constater qu’Obito ne possédait pas le talent que l’on était en droit d’attendre d’un Uchiwa. A ce qu’elle savait, il était même le plus faible de sa génération. Ça ne contribuait certes pas à sa popularité mais ne l’empêchait pas pour autant de vivre. Du moins, elle le croyait.
Car Obito était complexé par ses lacunes physiques et surtout mentales. Stressé et étourdi, il paniquait facilement. Et pour ne rien arranger, comme si être la honte du clan ne suffisait pas, il était dans la même équipe que Hatake Kakashi, génie affiché.
Sentant le regard inquisiteur de Harumi, il rougit de honte et détourna la tête. Il avait vu Kakashi se battre contre l’ennemi, véritable virtuose, agile, léger, efficace. Bondissant de tous côtés, ses kunaïs à la main, il avait frappé avec une telle rapidité que lui n’en avait vu que l’éclat argenté. Le sang l’avait fait fuir. Le sang et la honte. Paralysé par une peur viscérale, il avait été incapable de bouger quand un ninja de Kiri lui avait sauté dessus. Il n’avait eu la vie sauve que grâce à l’intervention d’un Jounin de Konoha. Pétrifié, Obito avait assisté au combat avec l’intense sensation d’être un poids mort pour le village. Et comble de malheur, il n’avait même pas eu le temps de remercier son sauveur qui fut soufflé par une explosion toute proche quelques secondes après sa victoire. Des morceaux de bois et de pierres s’étaient mis à tomber du ciel, semblables à un déluge brutal et soudain. A moitié enseveli, l’instinct de survie d’Obito avait pris le dessus. Il chercha un moment le shinobi qui l’avait aidé avant de découvrir son crâne littéralement broyé sous un bloc de pierre. Après, il ne se souvenait que de sa course éperdue jusqu’à la résidence Uchiwa où il était arrivé sain et sauf. Vivant mais mortifié à l’idée que Kakashi avait combattu et avait sans aucun doute survécu tandis que lui avait fui comme un lâche et provoqué la mort d’un ninja. Tashiro le sermonnerait sûrement une fois rentré.
- Ta… Tashiro-sama est rentré ? murmura-t-il sans regarder Harumi. Il m’en veut beaucoup ?
La jeune femme abaissa sur lui un regard peu amical.
- Rentre chez ta mère et fais-toi oublier, se contenta-t-elle de répondre.
Obito rougit jusqu’au blanc des yeux et se rua à l’intérieur, les larmes dévalant ses joues salies par la sueur et le sang. De nouveau, Harumi s’en voulut mais l’inquiétude qu’elle ressentait était trop forte pour être refoulée.
Tashiro… Bon sang, où es-tu ?
- Harumi-san !
Tournant la tête vers la rue, elle vit un infirmier courir vers elle. Elle blêmit et se précipita.
- Que se passe-t-il ? C’est Tashiro ? Il est blessé ? Il est rentré ?
- Votre époux a été retrouvé à quelques minutes de chez vous dans un état critique. On l’a transporté à l’hôpital en urgence.
- En urgence ?? Je veux que Tsunade-sama s’occupe de lui !
- Elle a été prévenue. Venez avec moi s’il vous plait.
Harumi se retourna vers la maison.
- Ai-kun !!
La jeune servante apparut dans l’embrasure, portant dans ses bras un petit Itachi bien agité.
- Occupez-vous bien de mon fils. Je vais à l’hôpital.
- Bien Harumi-sama.
L’épouse de Tashiro hocha la tête – pas le temps de se demander au bout de combien de minutes Itachi fausserait compagnie à sa nourrice – et disparut avec l’infirmier. A peine furent-ils partis qu’Itachi se mit à hurler dans les oreilles de la pauvre Ai, lui explosant les tympans au passage. Par réflexe, elle plaqua convulsivement ses mains sur ses oreilles, lâchant du même coup le petit garçon qui en profita pour filer.
Incontestablement, on faisait grise mine dans le bureau du Sandaime. Les visages étaient tirés par la fatigue, luisants de sueur, parfois rougis par le sang. Et l’atmosphère, oscillant entre découragement et colère, offrait un spectacle saisissant d’impuissance. Konoha avait beau avoir repoussé l’ennemi, les difficultés ne faisaient que commencer et tous en avaient conscience. Le village aurait-il la force de se relever ?
Et cependant lorsque l’on regardait le Troisième, les craintes s’envolaient littéralement. Assis à son bureau au centre de la pièce, le dos droit et le visage serein, il était l’incarnation de la sécurité. Ses yeux sombres offraient un regard direct et clair que peu de gens avaient le courage de soutenir. Le Sandaime Hokage de Konoha, à ce qu’on disait le plus puissant de tous, était redouté mais surtout il était respecté et chacun faisait preuve d’humilité.
A sa droite, se tenait un homme d’environ trente ans avec de longs cheveux noirs, la peau très blanche et des yeux jaunes, ressemblant à s’y méprendre à ceux d’un serpent. Droit et fier, il dominait tout le monde par sa prestance physique. Une veste de Jounin tombait sur une chemise noire légère, accentuant la pâleur de son visage creusé. Orochimaru… Le plus fort des trois Sannins et aussi le plus inquiétant, dont la puissance avait fait le tour de tous les villages cachés du monde ninja.
A la gauche du Troisième se trouvait un autre homme, un peu plus grand que le Sannin brun. Ses cheveux étaient aussi blancs et ébouriffés que ceux d’Orochimaru étaient noirs et lisses, et lui tombaient jusqu’aux hanches. Deux traits rouges partaient de ses yeux, créant des stries sanglantes dans son visage bronzé. Jiraya… Deuxième Sannin et le total opposé de son équipier et ami Orochimaru, mais respecté autant que lui.
Plusieurs autres Jounins étaient présents, dont un à la forte carrure et au visage basané. Il portait un long manteau en cuir noir et son bandeau était noué à l’arrière de son crâne presque rasé. Près de la porte, se tenaient trois hommes. L’un grand avec de longs cheveux dorés noués en une queue de cheval ; le deuxième brun, coiffé en brosse, un anneau dans l’oreille gauche et un air blasé sur le visage ; et le troisième, les cheveux rouge vif et possédant une corpulence impressionnante. Tous les trois répondaient respectivement aux noms de Yamanaka Inoshi, Nara Shikato et Akimichi Chomaru, et formaient une des plus redoutables équipes de Konoha, également connue sous le nom de « Trio Ino-Shika-Cho ». Un ANBU était également là, son masque d’oiseau relevé sur son front. Finalement, le Sandaime prit la parole.
- Bon, je n’irai pas par quatre chemins : la situation est grave. Mais avant tout, il faut que nous sachions de quoi il retourne. Takuya, bilan s’il te plait.
L’ANBU s’approcha.
- Nous avons dénombré une cinquantaine de morts parmi les ninjas et une centaine chez les civils dont 70% d’enfants, commença-t-il d’une voix qui se voulait contrôlée mais qui tremblait légèrement. Les ¾ du quartier étudiant ont été détruits. Le réseau d’approvisionnement en eau a été pulvérisé et les stocks de nourriture sont tellement détrempés que rien n’est consommable ; et ce sans compter le risque de propagation de maladies diverses dans tout le village à cause de l’humidité. Seul point positif : la plupart des stocks de matériel militaire est intact donc…
- Et à quoi ça servira si la population meurt de faim ?? tonna une Jounin aux longs cheveux bruns noués en une tresse épaisse et aux grands yeux verts.
Il y eut un bref silence puis l’ANBU se tourna vers elle.
- Je n’ai pas fini, dit-il froidement.
- Désolée, répliqua-t-elle sans avoir l’air désolé pour autant. Mais cet aspect des choses est toujours ignoré lors des séances et…
- Saya, laisse parler le Sandaime, intervint Shikato avec douceur.
- Elle soulève un point important, fit remarquer Chomaru.
- Oui mais considérons d’abord les dégâts d’un point de vue général. Ensuite, on déterminera les priorités.
- La priorité, c’est…
- Oui, on sait, Saya ! coupa alors Jiraya. Laisse l’Hokage s’exprimer.
Assis à son bureau, le Sandaime hocha la tête.
- Rassure-toi, Saya, dit-il de sa voix posée. En premier lieu, on s’occupera des problèmes d’alimentation et de la reconstruction.
- Ne baissons pas notre garde, répliqua Orochimaru de sa voix doucereuse. L’ennemi peut revenir.
- Certes mais là n’est pas le sujet pour l’instant, trancha le Troisième avec fermeté. Takuya, que voulais-tu ajouter ?
- Que nous avons fait quelques prisonniers, répondit l’ANBU. Si on les interroge comme il faut, on obtiendra sûrement des informations précieuses.
Le Sandaime se tourna vers le Jounin à l’imper noir.
- Tu t’en occupes, Ichiro.
Hochement de tête. Jiraya retint une grimace. D’avance, il plaignait les prisonniers en question. Morino Ichiro était réputé pour savoir délier la langue à n’importe qui et lui-même n’avait jamais été capable de lui cacher quoi que ce soit.
Trois coups furent alors frappés à la porte. Le Sandaime haussa les sourcils.
- Entrez.
La porte s’ouvrit, laissant passer un jeune homme d’environ vingt ans aux cheveux couleur de soleil et aux yeux très bleus. Comme toutes les personnes présentes, il portait une veste de Jounin et dégageait terriblement d’énergie et de force. Un sourire apparut sur le visage de Jiraya et du Troisième.
- Ah, Arashi ! Te voilà enfin.
- Pardonnez-moi, Hokage-sama. Mais je récoltais des informations de la plus haute importance.
- De quel ordre ?
- C’est à propos de la mission d’espionnage menée par Hatake Sakumo.
Le Troisième fronça les sourcils. Jiraya se crispa un peu. Un silence pesant s’installa qu’Orochimaru fut le premier à rompre.
- Eh bien ? fit-il sèchement.
Arashi se tourna vers lui et ses yeux limpides se plissèrent un instant d’hostilité.
- Ils sont rentrés mais…
- Rentrés ? coupa un autre Jounin. Depuis quand ?
- A peine une heure. Mais ce n’est pas le plus grave. Ils sont rentrés certes, mais seulement à quatre et dans un piteux état.
- A quatre ? répéta vivement le Sandaime. Qui ?
- Hatake Sakumo, Uchiwa Tashiro, Yuuhi Hanata et Kurichi Akito. Je l’ai appris de Tsunade-sama il y a quelques minutes.
- Où est-elle à propos ? s’enquit Jiraya.
- A l’hôpital. Mais elle a croisé Sakumo-sama peu après son arrivée au village.
Il y eut quelques secondes de silence puis le Troisième dit comme à regrets :
- Amenez-moi Sakumo ici. Non, pas toi, Arashi. Haru, vas-y.
Un petit Jounin s’inclina et disparut.
- Vous pensez qu’ils ont eu un problème ? demanda Ichiro.
- Ils ont sans aucun doute eu un problème, sinon ils seraient revenus en plus grand nombre ou nous auraient avertis. C’était leur mission.
- C’était risqué de mettre Sakumo à la tête d’une telle mission, persifla Orochimaru.
- Qu’est-ce que vous dites ? répliqua sèchement Arashi.
Le Sannin se tourna vers lui et ses pupilles fendues se rétrécirent brusquement.
- Hatake Sakumo est connu pour faire des choix disons… discutables lorsqu’il s’agi de trancher entre la vie de ses équipiers et le succès de la mission.
- Et vous trouvez ça anormal ?
- Si c’est ce qui s’est effectivement produit, je pense que la situation tient lieu de réponse.
Arashi fusilla Orochimaru du regard. Le Troisième soupira intérieurement. Jiraya secoua la tête d’un air lassé. Orochimaru et Arashi ne s’étaient jamais très bien entendus, que ce soit au niveau professionnel ou humain.
Soudain, la porte se rouvrit et Haru reparut, accompagné de Sakumo. Les yeux de Crocs Blancs balayèrent la pièce et leur lueur se ternit un peu. Il devinait aisément la raison de sa convocation, et après sa dispute avec Tsunade, il avait l’intense sensation de se trouver au bord d’un précipice sans fond. Son malaise s’accentua quand il vit Orochimaru lui lancer un regard méprisant. Mais à côté du Sannin, Arashi lui fit un signe de tête encourageant. Il inspira à fond.
- Vous m’avez demandé, Hokage-sama.
- Oui, Sakumo. Mais avant, que tout le monde sorte, excepté Orochimaru, Jiraya et Arashi.
Il y eut un mouvement de foule et peu à peu, la pièce se vida. Quand tous furent sortis, le Troisième posa son regard sur Sakumo.
- Raconte-nous. Que s’est-il passé ?
la deuxième partie bientot. j'espère que ça vous a plu !
