Tu débordes d'imagination scénaristique. Tu as imaginé des histoires parallèles à celle de Naruto. Alors asseyons-nous autour d'un feu et raconte-nous ton histoire dans le monde des ninjas.
ca fais avancer les posts , je me demande si Tinton vas nous sortir un autre jeu de mots bidon dans ce chapitre c'est marent tellement ca l'ai pas
En méme temps c'est quand méme une technique un peut malhonnéte de profiter de l'impatience de ces lecteur pour gonfler le nombre de message de sont sujet
Mais faut dire bien jouer car on plonge tous dedans(enfin plus ou moin 2)
c'est vrai que c'est malhonnéte de faire ca, aaaaaaaaaah maudit Tinton, j'éprouvre une frustration interieur forte a cose de toi, je vois deja la crise cardiaque arriver a mes 19ans et ca sera entiérement de ta faute
NB : COCOTOUCH je fais toujours ce que je dis, chose promise chose due, it's a way of life for me. (oui je parle espagnol... ne sois pas jaloux !)
Je vois pas en quoi c'est malhonnête ce que j'ai fait, vous auriez eu de toute facon le chapitre cet après midi donc c'était à vous de me tenir tête...
Allez j'arrête de vous embêter. Voici le chapitre.
Chapitre 11 : Une rencontre inattendue.
Le soleil était au zénith alors que l’équipe d’Ebisu, la numéro vingt deux, approchait du village victime des ninjas apatrides. Village était un bien grand mot pour un si petit ‘hameau’. Il devait y avoir tout au plus une cinquantaine d’âmes qui y vivaient. Une dizaine de baraquements s’agglutinaient autour d’une masure un peu plus imposante qui servait à la fois d’épicerie, d’auberge, de restaurant et de salle de réunion quand l’occasion se présentait. L’ensemble du village était fait de bois et n’existait que pour cultiver les terres aux alentours qui clairsemaient légèrement la forêt dense de Konoha. L’équipe fut accueillie par le ‘chef’ du village.
« Vous n’êtes qu’une seule équipe ? Avec des enfants en plus ? »
« Ne vous inquiétez pas, l’Hokage sait ce qu’elle fait. Dîtes nous tout ce que vous savez, nous nous reposerons l’après midi puis attaquerons à la tombée de la nuit. »
Le chef énonça les nombreux pillages qu’ils avaient eus à subir, puis indiqua la colline où il pensait que leur camp était établi. De plus, d’après les renseignements obtenus par les paysans sur les vêtements des ninjas, la team vingt deux conclût qu’ils ne devaient être que des chuunins. L’essentiel de la force des chuunins d’Oto résidait dans les sceaux qu’avait apposés Orochimaru, or sa mort les a rendus inefficaces, c’est pour ça que Tsunade considérait qu’une équipe suffirait.
Après cette petite réunion, les ninjas de Konoha allèrent se restaurer puis s’installèrent dans une chambre de l’auberge.
A la nuit tombée, ils partirent en direction de cette fameuse colline, arriver à seulement quelques kilomètres Hanabi puit scanner les lieux avec sa pupille.
« Je les vois, ils sont à un peu plus de trois kilomètres au nord ouest, je dénombre quatre ninjas. Ils sont assis autour du feu en train de manger. Ils ne semblent pas sur leurs gardes… Attendez… Un cinquième est caché dans un arbre cinquante mètre plus à l’ouest. Nous devrons impérativement le prendre par surprise pour avoir une chance de monter une embuscade à ses équipiers. »
« Très bien Hanabi, désactive ton Byakugan, tu le réactiveras quand on ne sera qu’à un kilomètre de leur repaire. » Répondît Ebisu.
Un peu plus de cinq minutes après, la cadette de la sôke réactiva donc son dojutsu. Après quelques secondes de recherche intensive, elle prit la parole, dubitative.
« Je ne vois plus le garde… Et ils ne sont toujours que quatre au camp… A… Attendez, il y a une cinquième personne, mais ce n’est pas l’autre ninja, c’est quelqu’un d’autre. Il a une longue cape noire, une capuche qui masque son visage et un katana attaché dans le dos. C’est étrange… Je n’arrive pas à voir son visage, on dirait qu’il a un écran occulte… Je n’avais jamais vu ça ! »
« Il doit être au courant de notre venue !!! Il n’y a pas d’autre explication, nous allons attendre ici. Il faut connaître les intentions de cet inconnu, Hanabi que se passe-t-il ? »
« Les quatre autres ninjas se lèvent et piochent dans leurs jambières, ce combat va être inégal ; quatre contre un ! Attendez, quatre autres personnes sortent des bois… C’est bizarre, chacun a une boule de chakra dans la main, les quatre ninjas du son vont se faire avoir ! Ca y est, ils ont été projetés par cette boule de chakra, ils sont tous morts. Les quatre assaillants ont disparu instantanément, cela devait être des clones… » commenta en direct Hanabi.
« Bon, ça suffit, on y va, préparez vous au combat ! Soyez sur vos gardes, il est seul et n’a eu aucun mal à se débarrasser de quatre chuunin ! De plus, cette technique ne m’inspire rien qui vaille. »
Ils s’exécutèrent et arrivèrent vite sur les lieux. En bons ninjas ils ne rentrèrent pas dans le tas, ils s’étaient approchés à pas de velours et postés autour de la petite clairière qui servait de base aux ninjas désormais éteints. Leur bourreau inspectait les affaires de ses victimes paisiblement, comme si de rien n’était. Tout à coup, sans lever le nez de la malle qu’il fouillait, il cria.
« Sortez vous quatre ! Vous n’êtes pas très discrets ! » Sa voix était grave mais pas menaçante, on pouvait même y lire un certain désintérêt.
Se sachant repérer l’équipe vingt deux se montra.
« Déclinez votre identité et les motivations de votre agression ! » fit Ebisu d’un ton autoritaire.
« Et en quel honneur vous dirai-je mon nom ? Ensuite ces soi-disant ninjas ne faisaient que piller des villages sur leur passage. Je viens prendre la récompense pour m’être débarrassé d’eux. C’est tout. »
« Cette mission a été confiée aux ninjas de Konoha. Personne ne peut la remplir à part ceux à qui en ont la charge. La récompense ne vous sera donc pas délivrée, de plus nous ne pouvons permettre à des mercenaires de circuler librement sur nos terres, donc je réitère ma demande, quelle est votre identité ? »
« Je vois que je n’ai pas le choix face à de si valeureux ninjas, n’est ce pas Ebisu ? » Répondît l’inconnu d’un ton faussement embêté, il baissa la tête comme pour entrer en action.
« Il connaît mon nom… »
L’équipe d’Ebisu se mit en garde en voyant le ninja ennemi se baisser, cependant celui-ci n’attaqua pas. Il ne baissa la tête que pour enlever sa capuche révélant une magnifique et sauvage touffe blonde, un sourire reflétant la joie de vivre, des yeux d’un bleu tirant légèrement vers le violet, et des moustaches plus courtes et fines qu’à l’accoutumée. Ce ninja avait dix sept ans et les traits incontestablement tirés par la fatigue. Konohamaru reconnût tout de suite le grand frère qu’il avait tant pleuré, les larmes jaillirent dès que ses yeux lui avaient révélé l’invraisemblable ; Naruto était bel et bien vivant, et devant lui.
« NARUTO TU ES VIVANT !!! »
« Konohamaru kun, oui, je vais bien ! » fit Naruto d’une voix douce pour rassurer son jeune ami.
« Mais l’Hokage a dit que tu avais été tué par deux membres de l’akatsuki l’an dernier !!! J’ai même assisté à ton enterrement ! »
« Excuse moi si je t’ai fait de la peine Konohamaru, je suis sincèrement désolé, mais il le fallait… » Naruto avait l’air visiblement triste.
« Tu es un déserteur Naruto, nous ne pouvons te laisser t’en aller… » fit Ebisu.
« Non, je ne peux pas rentrer à Konoha. » Naruto voulait protéger sa couverture, mais savait très bien qu’il ne pourrait partir juste en disant à Ebisu de demander à Godaime de le mettre au courant.
« Il le faut pourtant. »
« Que comptez vous faire ? »
« Etant considéré comme déserteur, je dois te ramener au village par tous moyens, y compris la force. »
« Soit Ebisu, je vous affronterai donc ! »
Naruto avait à peine fini sa phrase que trois shurikens volaient en sa direction.
« Ce jeune est très doué, il faut que je me donne à fond et puis… j’ai déjà vu ce sabre quelque part... ça ne m’inspire rien de bon ! » Pensa le jounin de l’équipe vingt deux.
Naruto ouvrit la main, ce qui eut pour effet d’attirer immédiatement le katana, ce dernier quitta son fourreau pour rejoindre la paume qui s’offrait à lui. Le katana était long d’un mètre trente, garde comprise. Sa lame faisait un mètre, elle semblait avoir été forgée dans les flammes de l’enfer tellement le métal qui la composait paraissait pur. La garde était sans fioriture et faite de bois, cependant on pouvait remarquer un dessin plus qu’étrange tout du long. C’était un tourbillon rouge qui remontait du bas de la garde jusqu’à la partie tranchante, ce tourbillon était surmonté en son extrémité par un homme érigé sur le dos d’un majestueux crapaud.
D’un geste souple du poignet, le katana stoppa la course des projectiles, puis Naruto le rangea, il n’avait visiblement aucune intention de blesser le sensei de son ami. Sa course le mena à hauteur de son adversaire. Notre héros tenta un ample coup de pied qu’Ebisu para facilement mais fut quand même repoussé par sa force. Au lieu d’enchaîner, Naruto esquissa un sourire narquois et reporta son attention ver les deux chuunins qui se jetaient à présent vers lui, Konohamaru quant à lui restait en retrait, visiblement choqué par les évènements. Naruto bondît en arrière en effectuant une rapide série de sceaux et cria !
« Doton, le marécage boueux ! »
Au moment d’atterrir, le sol sous Udon et Hanabi devînt une vaste mare de terre, ces derniers n’eurent d’autre choix que de prendre un bain de boue. Une fois recouverts de terre jusqu’aux coudes ils entendirent.
« Doton, Solidification de la terre ! »
Les deux ninjas étaient paralysés, ils ne pouvaient plus bouger le moindre membre, la terre n’était plus meuble, il était impossible de l’effriter, ils étaient ensevelis jusqu’à la poitrine par de la terre dure comme de la roche, ils étaient pris au piège. Ebisu, conscient du danger, se rua vers eux, mais Naruto apparut devant lui alors qu’il était à vingt mètres de lui un battement de paupières auparavant. Le sensei se prit un coup de talon d’une violence peu commune dans l’estomac, ce qui lui fit poser un genou à terre. Notre héros repartit s’occuper des deux chuunins qui étaient quelques mètres derrière lui, ils avaient les yeux écarquillés. Leur sensei, qui leur paraissait intouchable, était à genoux !
Une fois à leur hauteur, d’un bref coup à la carotide, Naruto les endormît. Ebisu s’était péniblement relevé, et après une violente quinte de toux, il parvînt à dire.
« Cet… Cette technique, c’est Sh… »
« Oui, c’est Shunshin no jutsu, le scintillement du corps ! »
« Mais co… comment as-tu… »
« Avec beaucoup d’entraînement, je ne la maîtrise que depuis peu de temps et pourtant je n’ai pas chômé, je suis dessus depuis que j’ai trouvé un endroit sûr après avoir quitté le village. Et ensuite, c’est mon coup de pied, son but n’était pas de vous blesser, il était bien trop prévisible, il m’a juste servi à vous marquer, vous êtes à ma merci ! » Un sourire confiant émana de notre héros.
Ebisu recula d’un pas trahissant la terreur qui l’envahissait, or il était trop tard, quand il vît Naruto disparaître, il n’eut pas le temps de se retourner que ce dernier l’avait assommé d’un coup du tranchant de la main derrière la nuque. Konohamaru était pétrifié, il suait à grosses gouttes, il ne savait plus à quel saint se vouer. Son meilleur ami était vivant, mais il était devenu un ennemi, un ennemi qui a décimé son équipe en moins de temps qu’il en faut pour le dire qui plus est ! Il avait les deux bras tendus en tenant un kunaï mais les tremblements de ces derniers démontraient clairement son actuelle inaptitude au combat. Naruto vint à sa hauteur et arracha le kunaï, il lisait bien la peur dans les yeux de son ami.
« Konohamaru calme toi ! » lui sourît-il en lui ébouriffant les cheveux. Constatant le manque de réaction Naruto renchérît « Ne t’inquiète pas, tes amis sont juste évanouis. »
« C’est… C’est vrai ? »
« Promis ! Il fallait que je les endorme pour pouvoir te parler. Ecoute moi bien, rentrez au village et allez faire part de votre découverte sans détour à Tsunade baba. Elle vous expliquera, et tu comprendras tout. En tout cas pardonne moi de t’avoir fait de la peine. J’espère qu’on se reverra en de meilleures circonstances ! »
Puis les yeux de Konohamaru se fermèrent à leur tour, Naruto l’avait mis KO pour lui laisser le temps de disparaître et empêcher Ebisu de douter de l’intégrité de son jeune élève.
Le lendemain matin, vers six heures, le petit fils du Sandaime ouvrît difficilement les yeux. Il vît son maître et ses deux coéquipiers éveillés et en parfaite santé.
« Alors Konohamaru, que s’est-il passé ? » Demanda Ebisu.
« Bah je pense que vous étiez tous là, on s’est pris une sacrée dérouillée… » sourît l’intéressé.
« Je ne vois pas ce qui te fait sourire ! »
« Et bien vu les circonstances, nous ne sommes vivants que parce qu’il l’a décidé, car il est toujours notre allié. Il m’a demandé de rentrer directement à Konoha et de ne parler de cette mission qu’avec l’Hokage, après nous devrons suivre les instructions de cette dernière. »
« Oui, je pense que sa proposition est acceptable, en route ! » répondît le jounin après mûre réflexion.
…
L’équipe vingt deux respecta scrupuleusement les instructions du jeune blond, fut placée dans la confidence et avait prévenu Godaime de la nouvelle technique qu’il avait apprise, sans omettre que c’était cette même technique qui avait en partie causé leur perte. Cette information fit naître un grand sourire aux lèvres de Tsunade.
…
Les semaines passaient, Jiraya avait été mis au courant des progrès de son protégé, ce qui fit exploser en lui un profond sentiment de fierté. De son côté, il avait informé son village natal que l’akatsuki avait repris ses recherches, plus déterminée que jamais.
Kakashi quant à lui avait réapprit ce que le mot sociable voulait dire. Kurenaï avait réussi à le sortir de sa nostalgie et de sa culpabilité pour l’ouvrir aux joies présentes. Celui-ci s’était ouvert à elle, il avait décidé d’abaisser toutes les barrières qu’il avait posées. Quitte à souffrir plus après, il voulait goûter au bonheur, peu lui importait si ce dernier ne serait qu’éphémère. D’une idylle naissante, leur passion se transforma vite en relation sérieuse.
Depuis le départ de Naruto, Shikamaru avait quitté son rôle de chuunin partisan du moindre effort, son intelligence hors du commun pouvait enfin s’exprimer. Il a eu à étudier les stratégies et logiques militaires afin de participer au comité des stratèges qui sera mis en place pendant la prochaine guerre qui aurait lieu au maximum dans les cinq ans à venir. Son emploi du temps différait donc légèrement de celui de son équipe, il étudiait le matin, ce qui mettait ses neurones en fusion puis l’après midi, il allait s’entraîner. Ce changement de rythme lui fut plus que bénéfique, en effet, étudier de telles logiques le passionnaient, cela lui rappelait le jeu de go et ensuite s’entraîner lui permettait de faire reposer sa tête et de s’amuser à atteindre les limites de son corps, lui évitant ainsi d’innombrables maux de tête le soir. Il avait enfin trouvé sa voie. Il faisait quelque chose d’important et qui ne l’ennuyait pas.
…
Il était minuit quand un ninja avec une cape noire survolait littéralement de par sa vitesse la forêt. Il s’arrêta net lorsqu’il arriva au bord d’une grande rivière. La nuit en ce mois d’août était douce et claire, la lune et les innombrables étoiles éclairaient parfaitement le paysage où étaient érigées deux énormes statuts représentant les deux premiers Hokage fondateurs du village caché de Konoha. Le ninja contemplait la vallée de la fin, malgré le fait que l’obscurité masquait son visage, ce dernier trahissait de la mélancolie. Soudain, un craquement inaudible pour toute personne non aguerrie aux arts ninjas le sortit de son recueillement. Il lança en réflexe un kunaï qui alla se planter dans un arbre puis s’exclama.
Bon, pour le chapitre onze, c'était le tintonthon.
si vous voulez un spoil du 12 faut arriver à la page 16... c'était une boutade. Tout ce que je peux vous dire c'est que le douze annonce la fin de la transition.
et Scorpion, mes jeux de mots sont magiques, je veux te l'entendre dire (sinon, j'envoie le prochain chapitre aux autres en message privé !!! et évidemment, je ne publierai pas sur les autres sites ! )
et Scorpion, mes jeux de mots sont magiques, je veux te l'entendre dire (sinon, j'envoie le prochain chapitre aux autres en message privé !!! et évidemment, je ne publierai pas sur les autres sites ! )
tres bien, dans ce cas je fais de meme avec les 6 prochaines chapitres du mien, ( c'est qui le plus drole, un ? )
loool bah je dit quand y a des truc que j'aime pas, jlé trouve bien le 9 10 11, c'est tout^^ et puis j'aime bien ta fic en general ^^ ce qui veut aps dire que j'aime tout dans ta fic^^ le debut est pas mal, l'historie est pas mal, mais y a des truc que j'aime pas, est c'est que MON AVIS ^^
bon voilà je viens de lire les 3 derniers chapitres!
euh en fait j'ai pas grand chose à dire mais je poste quand même pour te faire plaisir^^
donc ces chapitres je les ai trouvés sympas mais sans plus. Bon c'est normal c'est de la transition alors ça manque d'intensité mais apparemment ça va vite redevenir intéressant
stp poste le prochain avant lundi matin, ce serait cool sinon je vais devoir attendre encore une semaine
pour te motiver: tes jeux de mots sont géniaux
.
, aaaaaaaaaah maudit Tinton ( je me répète) c'est de ta faute 
)
j'attend la suite... 
