Graphiquement, je trouve quand même ce chapitre impressionnant au niveau de la mise en scène.
Ça commence avec 3 pages totalement statiques, sans la moindre bulle (c'est assez rare pour être noté dans One Piece), puis en quelques cases tout part en vrille, on entre dans un gros bordel. Puis à nouveau quand Rayleigh entre en scène, on sent le calme plat, comme si le temps s'arrêtait...
Oda gère parfaitement le découpage, très serré et bordélique quand ça bouge, très clair et espacé quand c'est calme. On ressent une ambiance vraiment palpable rien que grâce au découpage et au niveau de détails dans les dessins... c'est du grand art
Qui fait que je trouve ce chapitre assez énorme.