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hum...
pour tout te dire je l'ai fait pour un autre titre ( copir/collir), Say hello to Black Jack,et
vu que j'ai un baobab dans chaque main
j'ai juste mis le lien sur un site
qui n'est pas mon site
en plus
Pour répondre à ta question :<< qui est Ken ?>>
c'est bien Ken le survivant de Buronson
En fait pour le dire simplement, ce qui m'a mis la puce à l'oreille
dans cette oeuvre
c'est qu'elle soit populaire
parce que les oeuvres légendaires
ça me laissent avec des yeux de merlan fris.
mes oeuvres préférées étant plus proche
des Westerns de Leone, ou de Baby Cart
que d'un 2001 l'odyssée de l'espace et
autre niaiserie
du meme genre
ce point étant éclairci
je passe à autre chose
c'est-à-dire au coté dépouillé de l'oeuvre ( je parle de berserk !)
ou l'on situe facilement l'action
ou la toute puissance des rondeurs passe à l'as ( manière classique de dessiner le manga)
d'ou cette difficulté à suivre certains évènements
parce que l'auteur éprouve tout autant ses personnages que le lecteur
alors certains y voient une forme d'honneteté, pour d'autre c'est cru...
moi ce que je trouve réellement interessant dans cette oeuvre
et là je parle graphiquement
c'est ( on le remarque très bien tome 14 aussi !) cette présence qui modifie l'environnement
d'habitude dans une oeuvre il y a le corps puis un trait noir autour du corps, et pour finir le décor
ben là...
pas du tout, nous avons bien le corps, le trait noir mais ensuite une sorte de "surface floue" autour du corps puis pour finir le décor
ma perception sur le coup est étrange mais interessante
on peut toujours dire que Miura ne sait pas dessiner, ce qui serait assez osé, mais ça fait 14 tomes que ça dure...
Pour en revenir donc
aux 3 premiers tomes
c'est le coté amoral que j'avais trouvé dépaysant, Carpe Diem....
aaaaaaahhhh!!!! quand à l'expression phallique....
pourquoi allez chercher le lecteur, la lectrice
parlons plutot de
Guts= j'en ai une grosse et je sais m'en servir ( je suis un mec n'en douter point !), ou lorsque un peuple, une nation, une civilisation, un monde part à la dérive que reste-t-il à l'homme sinon son corps et son épée ( bon, en fonction des époques c'est variable !)
les créations nipponnes, là dessus, sont plus ou moins bien réussies
l'exemple d'une ratée
évangélion
je risque de me faire foudroyer
je parle d'une imagerie qui
renvoie à la seconde guerre mondiale
et aux deux champignons, impacts...
( Zur qui preche pour sa paroisse !)
c'était surtout au niveau sacrificiel, dénué de reconnaissance...
mais quand tu parles de Conan
tu ne peux qu'avoir raison ( ben, c'est normal ...je l'ai marqué...l'égo qui remonte

!), ou renouant avec des chansons de gestes ( instant animeland !)...
Quand tu me dis que je n'approfondis pas "griffith"
c'est pour la bonne et simple raison
que j'ai mis ma chronique sous l'hypothèse de la création de l'héros type
c'était écrit, au début, des tomes 4,5,6...
alors par contre selon "moi", il n' y a pas de qui couchera avec qui...
c'est plutot clair, puisque l'on ne peut se représenter les " sensations" des démons, et donc on ne peut savoir s'il hait
Guts ou non...
seconde conclusion donc c'était le "lien" dans le sang et les larmes qui m'importait plus et cela aboutissait au réalisme du couple
sans parler d'une union d'ame...
Et moi qui voulait faire court....

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---------- La peur c'est quelque chose comme une réminiscence des terreurs fantastiques d'autrefois !!-----------