32e de Finale: c'est fini !
Modérateur : Ero-modos
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- Sannin
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Re: 32e de Finale: Crazy Kung fu vs Les Temps Modernes
Crazy Kung Fu m'avait bien fait rire, un peu à la shaolin soccer mais bon chaplin reste une de mes idoles, et surtout ici il s'agit d'un de ses (multiples) chef d'oeuvres donc mon vote va pour: Les temps modernes

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- Jounin
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Re: 32e de Finale: Crazy Kung fu vs Les Temps Modernes
Crazy Kung Fu pardi !
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This show contains adult humour, strong language, random acts of violence, unrestrained flatulence and scenes of a sexually explicit nature between puppets and puppets which some viewers may find offensive.
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Re: 32e de Finale: Crazy Kung fu vs Les Temps Modernes
Les temps modernes
Les films chinois sont en progrets mais celui la ne fais pas parti des progres d'ou mon choix et puis Chaplin rien peut te battre ! ( croustiba? )
Les films chinois sont en progrets mais celui la ne fais pas parti des progres d'ou mon choix et puis Chaplin rien peut te battre ! ( croustiba? )
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Re: 32e de Finale: Crazy Kung fu vs Les Temps Modernes
Croustibat, il se fait manger par Chuck Norris.
Crazy Kung fu.
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Re: 32e de Finale: Crazy Kung fu vs Les Temps Modernes
Les Temps Modernes
Un de mes préférés de Chaplin
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- Ninja de Légende
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Re: 32e de Finale: Crazy Kung fu vs Les Temps Modernes
OMG c'est quoi ce versus
Les Temps Modernes of course



Les Temps Modernes of course

Obenes.com : site de petites annonces classées (livres, mangas, comics, téléphones, smartphones...)
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Re: 32e de Finale: Crazy Kung fu vs Les Temps Modernes
Les Temps Modernes
Re: 32e de Finale: Crazy Kung fu vs Les Temps Modernes
Il est magnifique ce poème de Yeats ( poète que je connais fort peu) Magnifique comme...
Les temps modernes
Je retiens juste un passage qui me fera toujours rire dans Crazy kung fu, c'est avec la proprio dans la voiture.
Les temps modernes

Je retiens juste un passage qui me fera toujours rire dans Crazy kung fu, c'est avec la proprio dans la voiture.


Re: 32e de Finale: Mission Cléopâtre vs Star Wars
Ouais voilà.God of Baka a écrit :+1000, Star Wars quoiStar Wars.
L'autre est bien mais Star Wars quoi.
Dark Vador, les épées lasers, "que la force soit avec toi", "Luke, je suis ton père", cultissisme
PS: même si Mission Cléopâtre est génial aussi.
Bon je suis en retard d'un versus mais bon chuis en exam moi

Les Temps Modernes !

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- Jounin
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Re: 32e de Finale: Crazy Kung fu vs Les Temps Modernes
J'éspère que Stephen Chow ne lit pas le forum è_é
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- Chunnin
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Re: 32e de Finale: Monty Python sacré Graal vs Full metal jacket
Belle victoire des Temps Modernes avec 14 voix, contre seulement 4 pour Crazy Kung Fu.
Petite aparté quand même, parce que c'est pas tout les jours qu'on a 26 ans
Donc, Joyeux Anniversaire Gohan82...
Allez, un petit jeu pour ce versus
Le premier qui me dit d'où cette image est tirée à gagner un coup à boire:

Passons maintenant aux choses sérieuses, le nouveau versus:
Monty Python : Sacré Graal vs Full Metal Jacket
Place aux fiches
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Monty Python, Sacré Graal
Monty Python and the Holy Grail
Film britannique de Terry Gilliam et Terry Jones (1975)
Scénario: Graham Chapman, John Cleese, Eric Idle, Terry Gilliam, Terry Jones, Michael Palin
Image: Terry Bedford (non crédité)
Musique: De Wolfe, Neil Innes
Casting:
Graham Chapman: le roi Arthur
John Cleese: le chevalier noir/le chevalier français/un paysan/le chevalier qui veut sauver une jouvencelle et qui se rend compte que la jouvencelle est un jouvenceau efféminé
Eric Idle: Robin/Concorde/Frère Maynard
Terry Gilliam: Gauvain/Patsy/le devin (gardien du pont)
Terry Jones: Bedevere/le prince Herbert
Michael Palin: Galahad/le roi du château marécageux
Synopsis:
L'histoire proprement dite commence sur les tentatives du Roi Arthur de recruter des chevaliers de la Table Ronde à travers l'Angleterre. Plusieurs d'entre elles se révèlent vaines (la rencontre du Chevalier Noir par exemple, ou celle des paysans syndicalistes) mais il est finalement rejoint par Sir Bedevere le Sage, qu'Arthur rencontre au cours du jugement d'une sorcière, par Sir Lancelot le Courageux, par Sir Galahad le Pur et par Sir Robin le Pas-tout-à-fait-aussi-courageux-que-Sir-Lancelot. Le groupe chemine d'abord vers Camelot, où des chevaliers se livrent à un numéro musical, puis, suite à une rencontre avec Dieu, part à la recherche du Graal.
Leur pérégrinations les amènent près d'un château tenu par des Français prétendant posséder un Graal. À la suite d'une offensive manquée, les chevaliers construisent un lapin de Troie (en référence au cheval de Troie) mais oublient de se cacher à l'intérieur et doivent ainsi renoncer à prendre le château. Le groupe décide ensuite de se séparer et l'on suit les aventures individuelles des chevaliers. On assiste ainsi à la rencontre de Robin avec un géant à trois têtes, au passage de Galahad dans le château d'Anthrax, peuplé exclusivement de jeunes filles, au face-à-face entre Arthur et les Chevaliers Qui Disent Ni, et à l'irruption de Lancelot dans une noce dans le but de secourir un homme marié de force par son père.
A nouveau réunis, les chevaliers font la rencontre de Tim l'Enchanteur, qui les mène à une grotte gardée par un terrible lapin tueur. S'étant débarrassés du lapin grâce à la Sainte Grenade d'Antioche, ils sont alors poursuivis par un monstre et finissent par atteindre le Pont de la Mort, qu'ils ne peuvent traverser qu'après avoir répondu à trois questions. Avec plus ou moins de succès, les chevaliers passent le pont pour se retrouver près du château français du début du film. Alors qu'Arthur s'apprête à donner l'assaut à l'aide d'une armée surgie de nulle part, des policiers arrivent et arrêtent les chevaliers pour le meurtre d'un historien survenu plus tôt dans le film. Le film prend fin brusquement après qu'un policier ait bousculé le cameraman.
Dès le générique, qui nous promet « un élan (si, si, l’animal) dans des positions suggestives », on entre glorieusement en Loufoquerie, royaume enchanteur et débridé. Quand les Monty Python, mythique sextuor de zozos made in Britain, s’attaquent au roman arthurien, le pauvre Chrétien de Troyes doit faire des loopings dans sa tombe. Pas une noble figure de légende ne résiste au déluge d’humour foutraque (ce célèbre et délicieux nonsense cher à nos voisins anglais). Arthur trottine sans cheval comme un enfant qui joue à dada, suivi d’un valet imitant le bruit des sabots à l’aide de noix de coco, Galaad le pur s’égare dans un château bourré de jeunes filles « entre 16 et 19 ans et demi », et pour finir, les flics embarquent tout le monde. Les enluminures elles-mêmes s’affolent sous la patte de Terry Gilliam. Chaque membre de ce groupe unique multiplie les rôles et les facéties, le heaume de traviole et l’épée en berne. Dérision, absurdité, cocasserie, satires des mythes et des travers de la société britannique: le rire surgit de partout, infiltre tout, dans une joyeuse apparence de désordre absolu. Sacré Graal reste à ce jour le plus réussi, le plus hilarant des films hilarants réalisés par la fine équipe. Un régal absolu, extrêmement dangereux pour les zygomatiques.

Le groupe se reforme (avec Cleese) en 1974 pour produire son premier film original. Monty Python : Sacré Graal ! (1975, Monty Python and the Holy Grail) était librement inspiré de la légende Arthurienne et était mis en scène par Jones et Gilliam. Ce dernier a aussi réalisé les animations et le générique de début. Comme les autres Python, Jones et Gilliam ont tenu plusieurs rôles dans le film, mais ce fut Chapman qui prit le rôle du Roi Arthur. Sacré Graal ! fut tourné avec un budget de 230 000 £; l'argent fut trouvé en partie grâce aux investissements de groupes de rock tel que Pink Floyd et Led Zeppelin et d'autre part du gérant de maison de disque Tony Stratton-Smith, propriétaire de Charisma Records chez qui les Python enregistraient. Le film fut tourné en Écosse, en particulier autour du château de Doune, dans la vallée de Glen Coe et du château de Stalker. À cause du budget limité, le film fut tourné sans chevaux, ce qui conduisit au gag le plus célèbre du film. Chaque fois que le scénario avait besoin de chevaliers chevauchant majestueusement leurs montures, les acteurs mimaient la chevauchée à pied, tandis que les écuyers tapaient deux demis noix de coco l'une contre l'autre pour imiter le bruit des sabots, un trucage assez courant à la radio, mais rarement montré au cinéma. (Le titre allemand du film est d'ailleurs : 'Die Ritter der Kokosnuss' - Les Chevaliers à la Noix de coco.) Ce gag avait déjà été fait une fois à la télévision en 1965 dans A Show Called Fred, produit par Richard Lester avec Peter Sellers). Les cottes de mailles portées par les chevaliers étaient en fait des pulls en laine teintés de peinture argentée, les différents châteaux du film était toujours le même, mais sous des angles différents ou une maquette placée contre l'horizon.
Les conditions de tournage furent très mauvaises. Le temps était médiocre, et les « cottes de mailles » s'imbibaient d'eau de pluie. Le faible budget du film n'autorisait que des hôtels de qualité médiocre (l'un d'entre eux inspira Fawlty Towers) où les membres du groupe ne pouvaient pas se laver tous les soirs faute d'eau chaude en quantité suffisante. Gilliam et Jones se disputaient entre eux, ou avec d'autres membres du groupe. L'alcoolisme de Chapman devint évident quand il commença à souffrir de delirium tremens pendant le tournage. Les Pythons se rappellent que le tournage de Sacré Graal ! fut la seule fois où Palin, habituellement aimable, s'est franchement énervé. Cela arriva quand Jones et Gilliam lui firent refaire plusieurs fois une scène où il jouait un « avaleur de boue ». Pour combler le tout, la scène ne fut même pas gardée au montage final…
Le film sortit en salle au Royaume-Uni le 3 avril 1975 et en France le 3 décembre 1975.

Bande Annonce

*******************************************************************

Full Metal Jacket
Full metal Jacket
Film américain de Stanley Kubrick (1987)
Scénario: Stanley Kubrick, Michael Herr, Gustav Hasford
Image: Douglas Milsome
Musique: Vivian Kubrick
Casting:
Matthew Modine: Joker
Vincent D'Onofrio: Gomer Pyle
Dorian Harewood: Eightball
Arliss Howard: Cowboy
Kevyn Major Howard: Rafterman
Ed O'Rossle: lieutenant Touchdown
John Terry: Lieutenant Lockhart
Kieron Jecchinis: Crazy Earl
Synopsis:
Attention, spoiler
Centré sur le personnage de J.T. Davis, surnommé "Joker" ("Guignol" dans la version française), jeune engagé dans les Marines durant la guerre du Vietnam, le film commence par des images d'un camp d'entraînement en Caroline du Sud, à la fin des années 1960. Le sergent Hartman, du corps des marines, prend en main avec brutalité un groupe de nouvelles recrues.
Pratiquant une méthode d'entraînement basée sur l'injure et l'humiliation, Hartman concentre son attention sur le soldat Leonard Lawrence, assez enrobé, qu'il surnomme "Gomer Pyle" («Grosse Baleine» en VF) et accable tout particulièrement. La malheureuse recrue est en effet lente, peine aux exercices physiques et fait montre d'une personnalité très limitée (confond parfois la droite et la gauche, a du mal à faire son lit seul etc.). Le personnage principal, Davis, le prend sous son aile et l'aide à faire face à ses difficultés, mais Lawrence ne peut arriver au niveau requis,ce qui, à cause des méthodes d'Hartman, fait de lui le mouton noir de la chambrée et il reçoit une sévère "correction" de la part de ses camarades. Il décide finalement de devenir un soldat particulièrement discipliné pour mieux se venger.Il obtiendra son brevet militaire et achèvera de façon tragique son entraînement en abattant Hartman puis en se suicidant.
L'action du film se déplace ensuite au Vietnam, où Davis a choisi d'être affecté à une unité de journalistes militaires du magazine Stars and Stripes. Se heurtant à ses supérieurs sur le terrain de l'intégrité journalistique, il est finalement envoyé en reportage sur le champ de bataille, que l'offensive du Tết a considérablement bouleversé. Il y retrouve l'un des ses anciens camarades de chambrée, surnommé "Cowboy", aux côtés duquel il est engagé de manière directe dans les combats. Perdant plusieurs de ses compagnons lors d'une escarmouche avec un tireur d'élite, le jeune Davis est confronté à ses propres limites morales, ainsi qu'à la violence brute de la guerre et à son effet psychologique sur les hommes.
Les origines du film
L'origine de Full Metal Jacket se trouve dans la rencontre en 1980 entre Stanley Kubrick et Michael Herr, ancien du Vietnam auteur d'un livre de mémoires sur cette guerre, Dispatches. Le projet initial de Kubrick était de réaliser un film sur l'Holocauste, sujet qui fut abandonné en faveur de la guerre du Vietnam.
D'autre part, Kubrick était depuis 1982 un admirateur fervent du roman de Gustav Hasford sur ce conflit, The Short Timers, qu'il considérait comme "un livre unique, absolument fantastique" ("a unique, absolutely wonderful book"). En accord avec Herr, il décida d'employer le roman comme base pour les dialogues de son film.
Kubrick commença à se documenter en 1983, visionnant de très nombreux films et documentaires, lisant des journaux vietnamiens conservés sur microfilms à la Bibliothèque du Congrès et amassant un nombre considérable de photographies d'époque. Enfin, Herr se montrant très réticent à revisiter son expérience du Vietnam, Kubrick entreprit de le convaincre au cours de ce qui fut, d'après Herr, "un coup de téléphone long de 3 ans, avec quelques interruptions" ("a single phone call lasting three years, with interruptions").

Le scénario
L'écriture du scénario débuta en 1983, en collaboration entre Kubrick, Hasford et Herr et selon un rythme de travail soutenu : Le premier téléphonait ses instructions aux suivants (au rythme de trois ou quatre appels par semaine, longs chacun de plusieurs heures), puis ces derniers lui expédiaient leur travail par courrier. Le réalisateur leur faisait ensuite part des modifications qu'il souhaitait apporter, et la boucle reprenait.
Malgré l'importance de leur contribution, ni Herr ni Hasford n'avaient d'idée précise de ce à quoi allait ressembler le scénario final, sans parler du film, ce qui amena Hasford à comparer l'écriture du scénario à un travail à la chaîne et entraîna finalement une dispute entre les auteurs au sujet des crédits.
Selon Herr, Kubrick n'avait pas à l'époque l'intention de réaliser un film anti-guerre, mais plutôt de montrer "à quoi la guerre ressemble vraiment" ("he wanted to show what war is like").
La collaboration avec Hasford ne dépassa pas le stade du scénario : Lorsque Kubrick décida enfin de rencontrer en personne l'auteur de The Short Timers, malgré les conseils de Herr qui le décrivait comme un "homme effrayant" ("scary man"), l'entrevue, dans la résidence anglaise du réalisateur, ne se passa pas très bien, et Hasford fut écarté de la production. Crédité pour des "dialogues additionnels", il engagea plus tard une procédure judiciaire pour être considéré comme l'auteur des dialogues.
L'audition
L'une des curiosités du film est le rôle de l'instructeur des Marines, le sergent Hartman, tenu par R. Lee Ermey, qui avait autrefois exercé réellement ce métier.
Originellement engagé comme conseiller technique, Ermey improvisa des heures durant des centaines d'insulte au cours des auditions des acteurs devant interprèter les jeunes élèves marines. Après avoir visionné le film de ces auditions, Kubrick lui attribua le rôle de l'instructeur, considérant Ermey comme un véritable "génie dans ce rôle". Les insultes, qui constituent environ la moitié des dialogues du sergent Hartman, ont en effet été entièrement écrites par l'acteur. Kubrick estima à environ 150 pages la quantité d'insultes que lui apporta Ermey pour ses dialogues.
Pour Vincent D'Onofrio, se glisser dans le rôle du soldat Pyle fut plus difficile : il dut prendre environ 30 kilos.
Lieux de tournage et équipement
La première partie du film, située dans le camp d'entraînement des Marines à Parris Island, fut tournée sur une base de l'armée britannique au Royaume-Uni, la caserne de Bassingbourn, dans le Cambridgeshire. Pour la seconde partie, qui se déroule au Vietnam, Kubrick employa un terrain en cours de démolition à Newham, à l'Est de Londres, qui appartenait à la compagnie de Gaz britannique et présentait une certaine ressemblance avec les photographies de Huế sur lesquelles les décors sont basés.
Deux mois durant, l'équipe du film prépara le terrain en faisait exploser des batiments ou en les défonçant à l'aide d'une énorme boule de métal balancée par une grue. Une jungle artificielle en plastique fabriquée en Californie ne satisfaisant pas Kubrick, on fit venir 200 palmiers d'Espagne et près de 100 000 arbres en plastiques de Hong Kong pour les scènes en extérieur.
Par ce que Kubrick décrivit comme "accident extraordinaire" ("extraordinary accident."), l'arrière-plan de la scène de la mort du soldat (et sergent improvisé) "Cowboy" est occupé par un énorme batiment accusant une grande ressemblance avec le fameux monolithe extraterrestre de son film 2001 : l'odyssée de l'espace.
Jugé trop critique envers les militaires, le film ne fut pas soutenu par l'armée américaine. Kubrick a donc du passer par des voies détournées pour obtenir l'équipement militaire dont il avait besoin : quatre tanks M41 lui furent ainsi prêtés par l'un de ses fans, colonel de l'armée belge. Plusieurs hélicoptères S55 furent loués et repeints aux couleurs des Marines, tandis que les armes de poing - fusils d'assaut, lance-grenades M79 et mitrailleuse M60 - furent achetées à un armurier privé.

Anecdotes:
* La première partie a comme sujet central un exposé du thème du conditionnement, faisant écho aux techniques développées dans le film précédent de Kubrick Orange mécanique pour redresser radicalement les délinquants.
* Full Metal Jacket est sorti près de 20 ans après les faits relatés, durant lesquels des films majeurs concernant la guerre du Viet-Nam étaient déjà sortis (Apocalypse Now ouvrant le bal, suivi par Voyage au bout de l'enfer, puis Platoon, entre autres), de sorte que la vision du cinéaste sur le sujet s'ajouta à un ensemble déjà traité.
* Le titre Full Metal jacket fait référence à un type de munition utilisé par l'armée américaine. Munition dite FMJ : Full Metal Jacketed, balle entièrement chemisée, c'est-à-dire plomb enrobé de cuivre. Conforme à la Convention de Genève qui interdit pour la guerre les munitions dites "expansives", partiellement chemisées, employées pour la grande chasse, la balle FMJ est une balle typiquement militaire.
*Le personnage principal, Joker, porte un casque sur lequel il a inscrit Born to kill (né pour tuer) en même temps qu'il arbore un badge représentant le symbole de la paix. Il déclare qu'il symbolise ainsi "la dualité de l'homme" mais il semble incapable d'en dire plus, peut-être par manque d'interlocuteur.
Bande Annonce
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Fin des votes le Lundi 11 février à 12 heures.
Bon vote

Petite aparté quand même, parce que c'est pas tout les jours qu'on a 26 ans

Donc, Joyeux Anniversaire Gohan82...




Allez, un petit jeu pour ce versus

Le premier qui me dit d'où cette image est tirée à gagner un coup à boire:

Passons maintenant aux choses sérieuses, le nouveau versus:
Monty Python : Sacré Graal vs Full Metal Jacket
Place aux fiches
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Monty Python, Sacré Graal
Monty Python and the Holy Grail
Film britannique de Terry Gilliam et Terry Jones (1975)
Scénario: Graham Chapman, John Cleese, Eric Idle, Terry Gilliam, Terry Jones, Michael Palin
Image: Terry Bedford (non crédité)
Musique: De Wolfe, Neil Innes
Casting:
Graham Chapman: le roi Arthur
John Cleese: le chevalier noir/le chevalier français/un paysan/le chevalier qui veut sauver une jouvencelle et qui se rend compte que la jouvencelle est un jouvenceau efféminé
Eric Idle: Robin/Concorde/Frère Maynard
Terry Gilliam: Gauvain/Patsy/le devin (gardien du pont)
Terry Jones: Bedevere/le prince Herbert
Michael Palin: Galahad/le roi du château marécageux
Synopsis:
L'histoire proprement dite commence sur les tentatives du Roi Arthur de recruter des chevaliers de la Table Ronde à travers l'Angleterre. Plusieurs d'entre elles se révèlent vaines (la rencontre du Chevalier Noir par exemple, ou celle des paysans syndicalistes) mais il est finalement rejoint par Sir Bedevere le Sage, qu'Arthur rencontre au cours du jugement d'une sorcière, par Sir Lancelot le Courageux, par Sir Galahad le Pur et par Sir Robin le Pas-tout-à-fait-aussi-courageux-que-Sir-Lancelot. Le groupe chemine d'abord vers Camelot, où des chevaliers se livrent à un numéro musical, puis, suite à une rencontre avec Dieu, part à la recherche du Graal.
Leur pérégrinations les amènent près d'un château tenu par des Français prétendant posséder un Graal. À la suite d'une offensive manquée, les chevaliers construisent un lapin de Troie (en référence au cheval de Troie) mais oublient de se cacher à l'intérieur et doivent ainsi renoncer à prendre le château. Le groupe décide ensuite de se séparer et l'on suit les aventures individuelles des chevaliers. On assiste ainsi à la rencontre de Robin avec un géant à trois têtes, au passage de Galahad dans le château d'Anthrax, peuplé exclusivement de jeunes filles, au face-à-face entre Arthur et les Chevaliers Qui Disent Ni, et à l'irruption de Lancelot dans une noce dans le but de secourir un homme marié de force par son père.
A nouveau réunis, les chevaliers font la rencontre de Tim l'Enchanteur, qui les mène à une grotte gardée par un terrible lapin tueur. S'étant débarrassés du lapin grâce à la Sainte Grenade d'Antioche, ils sont alors poursuivis par un monstre et finissent par atteindre le Pont de la Mort, qu'ils ne peuvent traverser qu'après avoir répondu à trois questions. Avec plus ou moins de succès, les chevaliers passent le pont pour se retrouver près du château français du début du film. Alors qu'Arthur s'apprête à donner l'assaut à l'aide d'une armée surgie de nulle part, des policiers arrivent et arrêtent les chevaliers pour le meurtre d'un historien survenu plus tôt dans le film. Le film prend fin brusquement après qu'un policier ait bousculé le cameraman.
Dès le générique, qui nous promet « un élan (si, si, l’animal) dans des positions suggestives », on entre glorieusement en Loufoquerie, royaume enchanteur et débridé. Quand les Monty Python, mythique sextuor de zozos made in Britain, s’attaquent au roman arthurien, le pauvre Chrétien de Troyes doit faire des loopings dans sa tombe. Pas une noble figure de légende ne résiste au déluge d’humour foutraque (ce célèbre et délicieux nonsense cher à nos voisins anglais). Arthur trottine sans cheval comme un enfant qui joue à dada, suivi d’un valet imitant le bruit des sabots à l’aide de noix de coco, Galaad le pur s’égare dans un château bourré de jeunes filles « entre 16 et 19 ans et demi », et pour finir, les flics embarquent tout le monde. Les enluminures elles-mêmes s’affolent sous la patte de Terry Gilliam. Chaque membre de ce groupe unique multiplie les rôles et les facéties, le heaume de traviole et l’épée en berne. Dérision, absurdité, cocasserie, satires des mythes et des travers de la société britannique: le rire surgit de partout, infiltre tout, dans une joyeuse apparence de désordre absolu. Sacré Graal reste à ce jour le plus réussi, le plus hilarant des films hilarants réalisés par la fine équipe. Un régal absolu, extrêmement dangereux pour les zygomatiques.

Le groupe se reforme (avec Cleese) en 1974 pour produire son premier film original. Monty Python : Sacré Graal ! (1975, Monty Python and the Holy Grail) était librement inspiré de la légende Arthurienne et était mis en scène par Jones et Gilliam. Ce dernier a aussi réalisé les animations et le générique de début. Comme les autres Python, Jones et Gilliam ont tenu plusieurs rôles dans le film, mais ce fut Chapman qui prit le rôle du Roi Arthur. Sacré Graal ! fut tourné avec un budget de 230 000 £; l'argent fut trouvé en partie grâce aux investissements de groupes de rock tel que Pink Floyd et Led Zeppelin et d'autre part du gérant de maison de disque Tony Stratton-Smith, propriétaire de Charisma Records chez qui les Python enregistraient. Le film fut tourné en Écosse, en particulier autour du château de Doune, dans la vallée de Glen Coe et du château de Stalker. À cause du budget limité, le film fut tourné sans chevaux, ce qui conduisit au gag le plus célèbre du film. Chaque fois que le scénario avait besoin de chevaliers chevauchant majestueusement leurs montures, les acteurs mimaient la chevauchée à pied, tandis que les écuyers tapaient deux demis noix de coco l'une contre l'autre pour imiter le bruit des sabots, un trucage assez courant à la radio, mais rarement montré au cinéma. (Le titre allemand du film est d'ailleurs : 'Die Ritter der Kokosnuss' - Les Chevaliers à la Noix de coco.) Ce gag avait déjà été fait une fois à la télévision en 1965 dans A Show Called Fred, produit par Richard Lester avec Peter Sellers). Les cottes de mailles portées par les chevaliers étaient en fait des pulls en laine teintés de peinture argentée, les différents châteaux du film était toujours le même, mais sous des angles différents ou une maquette placée contre l'horizon.
Les conditions de tournage furent très mauvaises. Le temps était médiocre, et les « cottes de mailles » s'imbibaient d'eau de pluie. Le faible budget du film n'autorisait que des hôtels de qualité médiocre (l'un d'entre eux inspira Fawlty Towers) où les membres du groupe ne pouvaient pas se laver tous les soirs faute d'eau chaude en quantité suffisante. Gilliam et Jones se disputaient entre eux, ou avec d'autres membres du groupe. L'alcoolisme de Chapman devint évident quand il commença à souffrir de delirium tremens pendant le tournage. Les Pythons se rappellent que le tournage de Sacré Graal ! fut la seule fois où Palin, habituellement aimable, s'est franchement énervé. Cela arriva quand Jones et Gilliam lui firent refaire plusieurs fois une scène où il jouait un « avaleur de boue ». Pour combler le tout, la scène ne fut même pas gardée au montage final…
Le film sortit en salle au Royaume-Uni le 3 avril 1975 et en France le 3 décembre 1975.

Bande Annonce

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Full Metal Jacket
Full metal Jacket
Film américain de Stanley Kubrick (1987)
Scénario: Stanley Kubrick, Michael Herr, Gustav Hasford
Image: Douglas Milsome
Musique: Vivian Kubrick
Casting:
Matthew Modine: Joker
Vincent D'Onofrio: Gomer Pyle
Dorian Harewood: Eightball
Arliss Howard: Cowboy
Kevyn Major Howard: Rafterman
Ed O'Rossle: lieutenant Touchdown
John Terry: Lieutenant Lockhart
Kieron Jecchinis: Crazy Earl
Synopsis:
Attention, spoiler
Centré sur le personnage de J.T. Davis, surnommé "Joker" ("Guignol" dans la version française), jeune engagé dans les Marines durant la guerre du Vietnam, le film commence par des images d'un camp d'entraînement en Caroline du Sud, à la fin des années 1960. Le sergent Hartman, du corps des marines, prend en main avec brutalité un groupe de nouvelles recrues.
Pratiquant une méthode d'entraînement basée sur l'injure et l'humiliation, Hartman concentre son attention sur le soldat Leonard Lawrence, assez enrobé, qu'il surnomme "Gomer Pyle" («Grosse Baleine» en VF) et accable tout particulièrement. La malheureuse recrue est en effet lente, peine aux exercices physiques et fait montre d'une personnalité très limitée (confond parfois la droite et la gauche, a du mal à faire son lit seul etc.). Le personnage principal, Davis, le prend sous son aile et l'aide à faire face à ses difficultés, mais Lawrence ne peut arriver au niveau requis,ce qui, à cause des méthodes d'Hartman, fait de lui le mouton noir de la chambrée et il reçoit une sévère "correction" de la part de ses camarades. Il décide finalement de devenir un soldat particulièrement discipliné pour mieux se venger.Il obtiendra son brevet militaire et achèvera de façon tragique son entraînement en abattant Hartman puis en se suicidant.
L'action du film se déplace ensuite au Vietnam, où Davis a choisi d'être affecté à une unité de journalistes militaires du magazine Stars and Stripes. Se heurtant à ses supérieurs sur le terrain de l'intégrité journalistique, il est finalement envoyé en reportage sur le champ de bataille, que l'offensive du Tết a considérablement bouleversé. Il y retrouve l'un des ses anciens camarades de chambrée, surnommé "Cowboy", aux côtés duquel il est engagé de manière directe dans les combats. Perdant plusieurs de ses compagnons lors d'une escarmouche avec un tireur d'élite, le jeune Davis est confronté à ses propres limites morales, ainsi qu'à la violence brute de la guerre et à son effet psychologique sur les hommes.
Les origines du film
L'origine de Full Metal Jacket se trouve dans la rencontre en 1980 entre Stanley Kubrick et Michael Herr, ancien du Vietnam auteur d'un livre de mémoires sur cette guerre, Dispatches. Le projet initial de Kubrick était de réaliser un film sur l'Holocauste, sujet qui fut abandonné en faveur de la guerre du Vietnam.
D'autre part, Kubrick était depuis 1982 un admirateur fervent du roman de Gustav Hasford sur ce conflit, The Short Timers, qu'il considérait comme "un livre unique, absolument fantastique" ("a unique, absolutely wonderful book"). En accord avec Herr, il décida d'employer le roman comme base pour les dialogues de son film.
Kubrick commença à se documenter en 1983, visionnant de très nombreux films et documentaires, lisant des journaux vietnamiens conservés sur microfilms à la Bibliothèque du Congrès et amassant un nombre considérable de photographies d'époque. Enfin, Herr se montrant très réticent à revisiter son expérience du Vietnam, Kubrick entreprit de le convaincre au cours de ce qui fut, d'après Herr, "un coup de téléphone long de 3 ans, avec quelques interruptions" ("a single phone call lasting three years, with interruptions").

Le scénario
L'écriture du scénario débuta en 1983, en collaboration entre Kubrick, Hasford et Herr et selon un rythme de travail soutenu : Le premier téléphonait ses instructions aux suivants (au rythme de trois ou quatre appels par semaine, longs chacun de plusieurs heures), puis ces derniers lui expédiaient leur travail par courrier. Le réalisateur leur faisait ensuite part des modifications qu'il souhaitait apporter, et la boucle reprenait.
Malgré l'importance de leur contribution, ni Herr ni Hasford n'avaient d'idée précise de ce à quoi allait ressembler le scénario final, sans parler du film, ce qui amena Hasford à comparer l'écriture du scénario à un travail à la chaîne et entraîna finalement une dispute entre les auteurs au sujet des crédits.
Selon Herr, Kubrick n'avait pas à l'époque l'intention de réaliser un film anti-guerre, mais plutôt de montrer "à quoi la guerre ressemble vraiment" ("he wanted to show what war is like").
La collaboration avec Hasford ne dépassa pas le stade du scénario : Lorsque Kubrick décida enfin de rencontrer en personne l'auteur de The Short Timers, malgré les conseils de Herr qui le décrivait comme un "homme effrayant" ("scary man"), l'entrevue, dans la résidence anglaise du réalisateur, ne se passa pas très bien, et Hasford fut écarté de la production. Crédité pour des "dialogues additionnels", il engagea plus tard une procédure judiciaire pour être considéré comme l'auteur des dialogues.
L'audition
L'une des curiosités du film est le rôle de l'instructeur des Marines, le sergent Hartman, tenu par R. Lee Ermey, qui avait autrefois exercé réellement ce métier.
Originellement engagé comme conseiller technique, Ermey improvisa des heures durant des centaines d'insulte au cours des auditions des acteurs devant interprèter les jeunes élèves marines. Après avoir visionné le film de ces auditions, Kubrick lui attribua le rôle de l'instructeur, considérant Ermey comme un véritable "génie dans ce rôle". Les insultes, qui constituent environ la moitié des dialogues du sergent Hartman, ont en effet été entièrement écrites par l'acteur. Kubrick estima à environ 150 pages la quantité d'insultes que lui apporta Ermey pour ses dialogues.
Pour Vincent D'Onofrio, se glisser dans le rôle du soldat Pyle fut plus difficile : il dut prendre environ 30 kilos.
Lieux de tournage et équipement
La première partie du film, située dans le camp d'entraînement des Marines à Parris Island, fut tournée sur une base de l'armée britannique au Royaume-Uni, la caserne de Bassingbourn, dans le Cambridgeshire. Pour la seconde partie, qui se déroule au Vietnam, Kubrick employa un terrain en cours de démolition à Newham, à l'Est de Londres, qui appartenait à la compagnie de Gaz britannique et présentait une certaine ressemblance avec les photographies de Huế sur lesquelles les décors sont basés.
Deux mois durant, l'équipe du film prépara le terrain en faisait exploser des batiments ou en les défonçant à l'aide d'une énorme boule de métal balancée par une grue. Une jungle artificielle en plastique fabriquée en Californie ne satisfaisant pas Kubrick, on fit venir 200 palmiers d'Espagne et près de 100 000 arbres en plastiques de Hong Kong pour les scènes en extérieur.
Par ce que Kubrick décrivit comme "accident extraordinaire" ("extraordinary accident."), l'arrière-plan de la scène de la mort du soldat (et sergent improvisé) "Cowboy" est occupé par un énorme batiment accusant une grande ressemblance avec le fameux monolithe extraterrestre de son film 2001 : l'odyssée de l'espace.
Jugé trop critique envers les militaires, le film ne fut pas soutenu par l'armée américaine. Kubrick a donc du passer par des voies détournées pour obtenir l'équipement militaire dont il avait besoin : quatre tanks M41 lui furent ainsi prêtés par l'un de ses fans, colonel de l'armée belge. Plusieurs hélicoptères S55 furent loués et repeints aux couleurs des Marines, tandis que les armes de poing - fusils d'assaut, lance-grenades M79 et mitrailleuse M60 - furent achetées à un armurier privé.

Anecdotes:
* La première partie a comme sujet central un exposé du thème du conditionnement, faisant écho aux techniques développées dans le film précédent de Kubrick Orange mécanique pour redresser radicalement les délinquants.
* Full Metal Jacket est sorti près de 20 ans après les faits relatés, durant lesquels des films majeurs concernant la guerre du Viet-Nam étaient déjà sortis (Apocalypse Now ouvrant le bal, suivi par Voyage au bout de l'enfer, puis Platoon, entre autres), de sorte que la vision du cinéaste sur le sujet s'ajouta à un ensemble déjà traité.
* Le titre Full Metal jacket fait référence à un type de munition utilisé par l'armée américaine. Munition dite FMJ : Full Metal Jacketed, balle entièrement chemisée, c'est-à-dire plomb enrobé de cuivre. Conforme à la Convention de Genève qui interdit pour la guerre les munitions dites "expansives", partiellement chemisées, employées pour la grande chasse, la balle FMJ est une balle typiquement militaire.
*Le personnage principal, Joker, porte un casque sur lequel il a inscrit Born to kill (né pour tuer) en même temps qu'il arbore un badge représentant le symbole de la paix. Il déclare qu'il symbolise ainsi "la dualité de l'homme" mais il semble incapable d'en dire plus, peut-être par manque d'interlocuteur.
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Re: 32e de Finale: Monty Python sacré Grall vs Full metal jacket
L'image c'est tiré de Mars Attack
(?)
Monty Python : Sacré Graal

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Re: 32e de Finale: Monty Python sacré Grall vs Full metal jacket
Mon dieu quel versus
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