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Publié : lun. 12 mars 2007, 12:58
par Heaven smile
Elvis Presley

Publié : lun. 12 mars 2007, 14:50
par Kakashi_
J'ai jamais accroché à Elvis :mrbrelle:

Donc Jamiroquai pour moi !

Publié : lun. 12 mars 2007, 17:04
par lebibou
Comme dirait Dire Straits, l'un de mes chouchoux absent de ce tournoi :

Calling Elvis
(I'm here all alone
Did he leave the building
Or can he come to the phone)

Publié : lun. 12 mars 2007, 19:18
par Yiliboo
Elvis Presley.


Pourquoi? Ben pour une fois c'est simple: J'aime pas Jamiroquai, j'aime Elvis Presley. Vite fait ^^

Let's rock, everybody, let's rock.
Everybody in the whole cell block
was dancin' to the Jailhouse Rock.

:dance:

Publié : lun. 12 mars 2007, 19:25
par iori
Elvis saybien mais je suis pas une grande fan , et puis bon il est même pas mort pour de vrai alors ça c'est la honte quand même :roll:

je dis que je suis pas uen grande fan, mais j'ai jamais non plus réellement essayé alors ça saymaaaal :non:

mais de toute façon j'accroche plus à Jamiroquai alors vive lui :banane:

mdr kisame l'abus de "c'est pas sorcier" nuit gravement à l'intégrité des neurones n'ayant pas l'habitude d'être sollicités (je le sais bien, je rencontre le même problème ^^)

Publié : lun. 12 mars 2007, 19:36
par R.A.F
Je crois que si je votais pas ELVIS, pok cabane et flo (le gros rouquin dégueulasse) m'en voudraient.......awandjousi I lose my mind ! Ohhh Elvis !!

et puis aussi : love me tender, love me true



faites pas attention....

Publié : lun. 12 mars 2007, 20:23
par Heinz
Je ne connaissais pas Jamiroquai, et après une première écoute, c'est pas mal du tout !! :shock:
Elvis j'aimais bien, mais sans plus...
Donc a défault de connaitre mieux Jamiroquai, je vote blanc :roll: .

Publié : mar. 13 mars 2007, 01:36
par gamabeta
Bon bon bon......

j'vais pas faire dans la longueur, pour moi c'est JAMIROQUAI !!!! :happy:

Elvis respect !!!!! mais j'aime pas quand tu chantes...... :roll:
Et de mémoire, je dirais qu'il n'a rien inventé, mais plutot qu'il a popularisé ce style de musique.
Mais respect quand meme.....nos mamas ont kiffé son déhanché !!!!!

Jami, il a rien inventé non plus, mais son style me ressemble un peu plus!!!
j'aimais bien sa période fou fou- hippie-space! quand y f'sais des bonds sous weed!!! :razz: :razz: cette touche acid jazz déjantée quoi!!
.....et son 2éme batteur est une merveille!!!......

PEACE

Publié : mar. 13 mars 2007, 03:15
par palmocorse
Jamiroquai
dur à départager tout de même...
elvis est une légende mais bon c'est pas de notre époque donc rien qu'à penser à son look ringard... tandis que jamiroquai dans ses ferrari, porsch & co ça en jete de suite plus 8-)

Publié : mar. 13 mars 2007, 10:09
par Aizen
Elvis Presley... pour Suspicious Mind !

:banane: :banane: :banane:

Pourquoi je l'ai pas mise d'ailleurs :bizzare: ...

Publié : mar. 13 mars 2007, 16:58
par galam
THE KING

Publié : mar. 13 mars 2007, 21:02
par pyjama
Je ne maitrise aucun des deux, mais Jamiroquai.

Parce que.

(remarquez le post de 2 lignes) (non, 3 lignes, ça c'est de la rentabilisation d'espace!)

Publié : mer. 14 mars 2007, 13:38
par Ancilla
Je vote Elvis Presley, et ce les yeux fermés...

Publié : mer. 14 mars 2007, 18:23
par ShikamonculHIHIHI
The King

Publié : mer. 14 mars 2007, 22:09
par Aizen
Victoire d'une courte tête d'Elvis Presley avec 12 voix pour 11 voix à Jamiroquai, rajoutons à cela 2 votes blancs =).

Image

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Prochain versus opposition totale de style entre Mr Dynamite et la tête de la radio (c'est pas ça la trad :langue: ? ). Bref un beau versus en perspective avec une belle opposition de style =D.

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Présentation de Radiohead :
L’histoire de Radiohead commence en 1982 quand quatre étudiants d’Oxford se décident à former un petit groupe de punk rock, qu’ils baptisent sans trop d’originalité « TNT ». Dans la foulée, le quatuor composé de Thom Yorke (chant, guitare), Ed O'Brien (chant, guitare), Colin Greenwood (basse) et Phil Selway (batterie) se trouve un vrai nom, ce sera « On a Friday ». En 1991 ils enregistrent une première démo plutôt brouillonne et commencent à se faire connaître.

La même année, ils sont signés par le label EMI et changent une nouvelle et une dernière fois d’appellation : ce sera Radio Head, nom inspiré d’un morceau des Talking Heads. Un cinquième larron rejoint le groupe : le guitariste Jonny Greenwood. Leurs premiers singles n’ont que peu d’impact et c’est « Creep » qui les tirera définitivement de l’anonymat en 1993, date de sa seconde sortie, la première ayant été quelque peu ratée (78ème place dans les charts et 6000 copies vendues). Le single tirera les ventes de leur premier album « Pablo Honey » vers le haut. Il atteindra avec difficulté le million de disques.

Mais ce succès soudain fait peur au groupe pour qui « Creep » pèse comme un fardeau, Yorke et ses acolytes appréciant modérément la quasi obsession de leur public pour ce titre au détriment du reste de leurs productions.
En 1995 Radiohead – en un mot désormais – montre qu’il n’est pas le groupe d’un seul album en sortant « The Bends ». Les mélodies simplistes y sont délaissées au profit d’un son plus profond et mélancolique, gage de leur maturité et de leur talent.

Avec « OK Computer » (1997), premier fruit de la collaboration avec le producteur Nigel Godrich, considéré comme le sixième membre du groupe, Radiohead s’assoit comme l’une des meilleures formations de rock alternatif mondiales et impose son style à la fois pop, ambient et expérimental. Le single « Karmapolice » trotte dans toutes les têtes.
La tournée qui suivit fut vécue comme une descente aux enfers pour les cinq membres de Radiohead. Ebouriffés par le succès, la pression des médias, des maisons de disques et même du public… Il est grand temps de faire une pause.

Après deux ans de mutisme et de remise en cause, le groupe est de retour avec « Kid A » (2000). L’album, lancé avec une promo minimum, brillant et très expérimental déroute. Balbutiante sur « OK Computer », l’électro est désormais omniprésente, tout comme le free jazz et le recours aux samples qui remplacent les guitares. Quelques mois plus tard, les Radiohead en grande forme sortent « Amnesiac » (2001).

Une nouvelle tournée et nous voila en 2003, année de parution de « Hail to the Thief ». Moins expérimental, plus pop et spontané, ce disque est en quelque sorte un retour aux sources et aux guitares, une fois de plus salué par la critique et le public.

Après une nouvelle série de concerts qui les a vus se produire au festival Rock en Seine et une parenthèse en solo plus que réussie pour Thom Yorke avec « The Eraser » (2006), Radiohead devrait sortir son septième album courant 2007.
Tiré de :
http://musique.fluctuat.net/radiohead.html

Les liens à écouter avant de voter ;-) :

True Love Waits
Thom Yorke - Videotape

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Présentation de James Brown :
Le « Godfather of soul » n’a pas de date de naissance précise. En effet James Brown à toujours ménagé le suspense autour de l’instant où il a vu le jour, soit en 1928 soit en 1933, c’est au choix. Une chose est sûre, James a grandi dans une famille pauvre pendant la Grande Dépression qui frappe les Etats-Unis.

James n’est pas un enfant modèle et à 16 ans il se retrouve derrière les barreaux pour un vol à main armée. La prison aura au moins le mérite de lui faire rencontrer Bobby Byrd qui lui fait intégrer son groupe de rythm & blues, les Avons à sa libération. Bientôt James Brown et sa voix extraordinaire éclipse son leader, qui consent en conséquence à renommer le groupe James Brown and the Famous Flames. Signés sur le label country King Records, ils enregistrent le single « Please, please, please » puis l’album du même nom en 1956. Alors qu’ils se produisent dans le sud du pays, le morceau remporte un succès phénoménal : 1 million de disques sont écoulés.

C’est le début de la gloire pour James Brown et sa bande, mais ils ne parviennent pas à transformer l’essai. Leur maison de disques s’impatiente et menace de les virer quand enfin arrive « Try me » (1958) qui fait encore mieux et se place en première position des hits parades R’n’B. A King Records on a de nouveau le sourire et on compte les billets mais James Brown veut aller plus loin, il veut conquérir l’Amérique. Il est décidé, il lui faut se produire en concert à New York. La maison de disque désapprouve et ne le suit pas, tant pis, le chanteur finance lui-même le show qui se tient le 24 octobre 1962 à l’Apollo Theatre d’Harlem.

Ce soir là c’est un triomphe, la salle qui affiche complet est subjuguée devant le talent et la colossale énergie de James Brown, qui se transcende littéralement sur scène. Ce live mémorable sera immortalisé sur un disque édité chez Polygram et écoulé à plus d’1 millions d’exemplaires. En 1964, consacré, James Brown lache ses Famous Flames devenues trop encombrantes et part en solo. Il publie son premier album, « Out of sight » et sa doublette de tubes « Papa’s got a brand new bag » et l’énormissime, l’éternel « I got you (I feel good) » qui posent alors les bases d’un genre nouveau : le funk.

Implacable quand il s’agit d’enflammer les pistes de danse, James Brown est aussi à l’aise dans les ballades poignantes, à l’image de « It’s a man’s, man’s world » (1965) qui vient rappeler qu’il est aussi un soulman. En 1970 il connaît l’apogée de sa carrière avec le mythique « Sex Machine » et son groove lancinant ultra dansant. Brown, désormais surnommé « Mister Dynamite » et entouré des plus grands musiciens du moment (Maceo Parker, Pee Wee Ellis, Bootsy Collins et une douzaine d’autres) : les JB’s, donne les plus hallucinants concerts funk de toute l’histoire de l’humanité. Des dizaines de milliers de personnes y assistent, toutes en transe.

Cette décennie 70 est l’occasion d’une baisse de régime pour James Brown, quelque peu dépassé par la déferlante disco du moment. Sursaut d’orgueil en 1978 avec le hit « It’s too funky here » mais l’éclaircie est de courte durée. Le cinéma lui vient en aide dans les années 80 : les Blues Brothers lui rendent hommage en lui offrant le rôle d’un pasteur allumé dans leur film homonyme (1980), puis il revient sous le feu des projecteurs grâce au film « Rocky IV » qui fait honneur à son « Living in America » en 1986.

Depuis, James Brown se reposait sur ses lauriers, quand il n’était pas en cure de désintoxication ou derrière les barreaux pour quelques écarts de conduite. En 2004 on lui diagnostique un cancer de la prostate, raison de plus pour calmer le jeu. Mais quel jeu ! Le Godmather of soul est décédé un certain 25 décembre 2006, date de l'anniversaire supposé de Jésus ; le Pape n'a fait aucun commentaire mais toute la planète a fait un bond, James ; il avait 73 ans.
Les liens à écouter avant de voter ;-) :

Sex Machine (surtout pour la moustache sexy ! )
A l'Olympia en 66

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Les votes seront clos le dimanche 18 mars à 12 heures.

Bons votes et bonne écoute =D !