Publié : lun. 05 févr. 2007, 18:06
Pourtant c'est souvent que les indemnités de transfert sont verser sur 1 voir 2 ans , donc rien de surprenant!Le fait de pas avoir tout touché de suite, j'y avais pensé, mais ça parait gros.
Pourtant c'est souvent que les indemnités de transfert sont verser sur 1 voir 2 ans , donc rien de surprenant!Le fait de pas avoir tout touché de suite, j'y avais pensé, mais ça parait gros.
L'Italie sous le choc attend des mesures pour enrayer la violence dans les stades
Plusieurs milliers de personnes, dont les ministres de l'intérieur, Giuliano Amato, et des sports, Giovanna Melandri, ont assisté lundi 5 février à Catane à l'enterrement du policier tué vendredi lors d'un match de football. Les leaders de l'opposition de droite, Gianfranco Fini (Alliance nationale) et Pierferdinando Casini (démocrates-chrétiens), étaient également présents à l'enterrement du policier, dont la mort a choqué tout le pays.
Le policier de 38 ans, père de deux enfants, qui se trouvait à l'extérieur du stade de Catane, est mort de blessures à l'abdomen et au foie provoquées par l'explosion d'un pétard artisanal, selon le procureur adjoint de Catane, Renato Papa. Les autorités sportives ont décidé de suspendre sine die tous les championnats de football, à tous les niveaux, sur le sol italien, à la suite des incidents, qui ont également fait une centaine de blessés.
LE CALCIO MENACÉ
Une réunion pour décider de nouvelles mesures à prendre contre la violence dans les stades doit avoir lieu cet après-midi à 16 h 30 à Rome entre les ministres de l'intérieur, des sports, de la justice, le président du Comité olympique national italien, Gianni Petrucci, et le commissaire extraordinaire de la Fédération italienne de football, Luca Pancalli. Des mesures draconiennes ont été promises : rencontres à huis clos dans les stades en proie à l'insécurité et prélèvement sur les droits télévisés pour lutter contre les violences ont notamment été évoqués.
L'"industrie" du football italien a exhorté le gouvernement et les autorités sportives à lever l'interdiction des matches ordonnée après la mort du policier. Sept mois après sa victoire en finale de la Coupe du monde, les acteurs économiques du Calcio, qui représente six milliards d'euros par an, craignent que la suspension des rencontres ne se prolonge. "Nous sommes affligés, mais le spectacle doit continuer. Le football ne doit jamais s'arrêter", affirme ainsi Antonio Matarrese, qui représente les intérêts financiers des clubs de série A, dans les colonnes de La Repubblica. "Les morts dans le système footballistique font malheureusement partie de ce gigantesque mouvement [de hooliganisme] que la police n'est toujours pas en mesure de contrôler", poursuit-il.
Les autorités italiennes annoncent des mesures contre la violence
Encore abasourdie par les violences du match Catane-Palerme, au cours desquelles un policier a trouvé la mort, vendredi 2 février, l'Italie s'interroge sur l'avenir du Calcio (Le Monde du 4 et 5 février). Au lendemain d'un week-end privé de son rituel footballistique, la journée de championnat ayant été annulée en signe de deuil et de réprobation, les autorités sportives italiennes et les représentants du gouvernement Prodi devaient décider, lundi 5 février, d'un ensemble de mesures pour enrayer l'escalade violente autour des stades.
Depuis le début de la saison, 55 rencontres ont donné lieu à des affrontements, qui ont fait au total 270 blessés dans les trois divisions professionnelles.
Le Comité national olympique (CONI), dont dépend la Fédération de football (FIGC), devrait proposer la création d'une structure fédérale pour contrôler la conformité des stades avec les normes de sécurité du décret dit Pisanu, adopté en juin 2005 après la mort d'un supporteur napolitain.
Ceux qui ne sont pas en règle - la grande majorité des clubs pour l'instant - pourraient être privés de licence pour la saison 2007-2008 : les clubs concernés seraient alors condamnés à jouer soit dans un autre stade, soit à huis clos. Le secrétaire général du CONI, Raffaele Pagnozzi, a de surcroît mis en garde les dirigeants de clubs qui entretiennent des "rapports non vertueux avec les groupes de supporteurs ultras".
Le gouvernement envisage d'interdire les déplacements de certains supporteurs, la programmation en matinée des matches à risques ou encore l'extension de la compétence de la justice sportive à certaines zones à l'extérieur des stades.
"LIGNE DURE"
Giuliano Amato, le ministre de l'intérieur, a promis "une ligne dure" contre les ultras : "Nous leur ferons comprendre que c'est fini, a-t-il déclaré dimanche. Nous les arrêterons, quitte à arrêter le football." Les autorités pourraient décider une suspension des compétitions pendant deux semaines, puis une reprise à huis clos.
A Catane, la tension et l'émotion sont toujours palpables alors que devaient avoir lieu, lundi 5 février, en milieu de journée, les obsèques de l'inspecteur Filippo Raciti. Le policier aurait succombé, selon l'autopsie, à un écrasement du foie par une grosse pierre ou un morceau de marbre lancé à travers le pare-brise de son véhicule. Ce n'est qu'ensuite qu'un engin explosif a été jeté dans l'habitacle.
Pour les magistrats siciliens, les agresseurs visaient délibérément les forces de l'ordre car les ultras de Palerme avaient quitté les lieux quand s'est produit le drame. Renato Papa, procureur adjoint de Catane, parle d'"intifada" et d'"embuscade". Pendant le week-end, la police a procédé à une trentaine d'arrestations dans les milieux ultras de Catane.
Tu trouve que malouda, govou, abidal vice champion du monde, fred, cris et juni équipe du brésil ne sont pas des grands joueurLe Prince du Foot a écrit :Le problème c'est qu'a Lyon il n'y a pas d'histoire : Quand tu regardes l'histoire du foot Lyon est absent. Y a pas de véritable identité pour le club, on a du mal à y trouver des références. C'est plus un club moderne qui réussit avec le football actuel, plus avec du business qu'avec des grands joueurs et du beau jeu qui fait rêver. On sait bien que tout tourne autour de la thune aujourd'hui mais l'OL n'attire pas les foules... sauf à l'extérieur où tout le monde veut les battre. Je suis allé à Gerland et je peux vous dire qu'il n'y a pas l'ambiance ni la chaleur de Geoffroy-Guichard, j'ai aussi vu le Vélodrome en Coupe de France no comment... Bah à Lyon tu verras jamais ça pourtant on peut pas dire qu'il y ait autant d'habitants à Lyon qu'a Bastia ou Monaco.
Lyon dérange par son manque de ferveur et d'engouement dans sa propre ville (je sais de quoi je parle).
De plus, il n'y a pas de grand joueur à Lyon y a bien des Juninho, Tiago, Govou (v'la la gueule de la star quoi) ou Coupet mais ce ne sont pas des stars genre Zidane, Gerrard, Ronaldinho ou Totti.
Tu prends par exemple Manchester 1er : Que des grands joueurs avec quelques phénomènes qui se détachent comme Ronaldo, Rooney et Scholes.
Inter 1er : Pareil sauf qu'il n'y a que des stars.![]()
Barça 1er : Malgré la méforme comme à Lyon, il reste quand même Eto'o, Messi, Ronaldinho, Thuram, Puyol, Giuly, Saviola etc...
Ptet que dans 10 ans ça changera et que les gens pourront faire référence à leur gloire actuelle mais bon... Pour moi ça reste incomparable avec l'épopée des verts des années 70 ou l'OM le PSG et Monaco des années 90.
uand vous prener les autres équipe coté en bourse ils n'ont pas développé des services et des magasins en dehors du club donc leur CA était basé sur les seuls résultats sportif d'ou la fluctuation et la baisse des actionxs.
Un petit article sur la réalité de l'OL : http://www.cahiersdufootball.com/article.php?id=2374
Moi non plus, je ne comprends pas. Surtout dans le contexte.Ahlala, on aime toujours taper sur le maillot jaune...
toujours lemonde.fr comme sourceLe gouvernement italien interdit 13 des 18 stades du Calcio aux spectateurs
Le gouvernement italien a annoncé, lundi 5 février, que seuls les stades répondant aux normes de sécurité pourront accueillir des spectateurs. Les matchs qui auront lieu dans les autres stades auront lieu à huis clos. Cette décision s'inscrit dans un ensemble de mesures visant à renforcer la sécurité, après les violents affrontements qui ont causé la mort d'un policier et fait 70 blessés vendredi soir au stade de Catane, en Sicile.
Une décision devrait être prise d'ici à jeudi concernant la reprise des compétitions, a annoncé le commissaire extraordinaire de la Fédération italienne de football (FIGC), Luca Pancalli. "Techniquement, cela laissera suffisamment de temps pour reprendre le championnat le week-end prochain", a-t-il dit. M. Pancalli s'est dit optimiste sur le fait que "tous les acteurs impliqués dans le football auront la maturité nécessaire pour accepter ces nouvelles règles et participeront à la refonte de l'avenir du football italien".
Seules cinq enceintes sportives de Série A sur dix-huit sont actuellement en conformité avec les normes de sécurité, d'après le sous-secrétaire d'Etat à la justice, Luigi Scotti. Il s'agirait de celles de Rome, Turin, Milan, Palerme et Sienne, précise L'Equipe. Cinq autres sont susceptibles d'être prochainement homologuées.
LES MINEURS INTERDITS DE STADE
Le ministre de l'intérieur, Giuliano Amato, a précisé que la vente groupée de billets pour les supporters d'une équipe en déplacement sera supprimée. Les pouvoirs des forces de l'ordre seront élargis : les policiers auront désormais le droit de procéder à des arrestations sans mandat jusqu'à quarante-huit heures après un incident lié au football. Quant au système permettant de frapper d'interdiction de stade des supporters coupables de violences, il sera élargi aux moins de 18 ans. Le gouvernement a aussi prévu mercredi un conseil des ministres extraordinaire, consacré à la lutte contre la violence dans les stades.
Le stade de Catane ne devrait plus accueillir de spectateurs avant longtemps. C'est là que Filippo Raciti, un policier de 38 ans qui tentait de mettre fin à des heurts entre supporters, a trouvé la mort vendredi en marge du derby sicilien Catane-Palerme, en match avancé de la 22e journée de Série A. Des milliers de personnes ont assisté, lundi, à Catane, à ses funérailles, retransmises en direct à la télévision. Dans tout le pays, des Italiens se sont arrêtés pour lui rendre hommage. A l'aéroport de Rome, l'activité a été interrompue pendant une minute pour saluer sa mémoire.
Dans un message adressé à la famille du policier, le chef du gouvernement, Romano Prodi, déplore"le sacrifice de [cet] époux et père (...), [qui] a choqué et ému l'Italie". "Mourir un jour de fête, lors d'un événement sportif que plusieurs dizaines de criminels ont transformé en guérilla, est (...) encore plus absurde", ajoute M. Prodi. Le pape Benoît XVI a condamné les violences "qui entachent le monde du football". Filippo Raciti est la treizième personne tuée depuis 1962 dans ou autour d'un stade de football italien.