32e de Finale: c'est fini !
Modérateur : Ero-modos
Re: 32ème de Finale: Braveheart vs Il faut sauver le soldat Ryan
Il faut sauver le soldat Ryan, j'ai aps vu l'autre...

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- Chunnin
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Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
Et ben, les cocos, le moins qu'on puisse dire, c'est que c'était serré.
Victoire de Il faut sauver le soldat Ryan avec 13 voix, contre 12 pour Braveheart.
Je soupçonne les smileys de Rila d'y être pour quelque chose
Bravo en tout cas au vainqueur 
Et pour votre plus grand plaisir, voici la suite de ces 32èmes de finale.
Avec, au programme, un duel à la hauteur de vos espérances:
Sleepy Hollow vs Le Dictateur
Ca va saigner
******************************************************************************

Sleepy Hollow
Film américain de Tim Burton (1999)
Scénario: Andrew Kevin Walker, d'après le roman de Washington Irving
Image: Emmanuel Lubezki
Musique: Danny Elfman
Casting:
Johnny Depp: Ichabod Crane
Christina Ricci: Katrina Van Tassel
Miranda Richardson: Lady Van Tassel
Christopher Walken: le Cavalier sans tête
Synopsis:
En 1799, dans une bourgade de La Nouvelle-Angleterre, plusieurs cadavres sont successivement retrouvés décapités. Les têtes ont disparu. Terrifiés, les habitants sont persuadés que ces meurtres sont commis par un étrange et furieux cavalier, dont la rumeur prétend qu'il est lui-même sans tête. Les autorités new-yorkaises envoient alors leur plus fin limier pour éclaircir ce mystère. Ichabod Crane ne croit ni aux légendes, ni aux vengeances post-mortem. Mais, à peine arrivé, il succombe au charme étrange et vénéneux de la belle Katrina Van Tassel.
Comme à son habitude Tim Burton arrive à plonger ses spectateurs dans autre univers, ici particulièrement marqué par une forte atmosphère gothique et irréelle. Le film mêle rire et suspense. Un conte merveilleux pour tous, revu et corrigé par ce réalisateur devient un jeu de piste pour le spectateur pris en admiration. Le jeu des acteurs est tout aussi impressionnant, Johnny Depp interprète un Ichabod Crane mêlant subtilement maladresse et fermeté.

Petites annecdotes:
-Deux cascadeurs pour le Cavalier:
Ray Park, maître en arts martiaux chinois, prête son corps au Cavalier sans tête dans les scènes de combat.
Rob Inch, quant à lui, chevauche la monture du Cavalier en lieu et place de Christopher Walken, que la vue d'un équidé suffit à rendre mal à l'aise...
-Johnny Depp cerne son personnage:
"Ce qu'il y avait de passionnant pour moi dans la perspective d'interpréter ce rôle, c'était l'idée d'être sans cesse sur la corde raide entre le jeu sincère et la nécessité d'en faire un petit peu trop, dans le style des films d'épouvante de la Hammer avec Peter Cushing et Christopher Lee. J'aimais aussi l'idée de jouer un jeune premier un peu atypique. Ichabod a des tics nerveux. Délicat, il s'effarouche d'un rien. Il est extrêmement coincé. Il est un peu comme une corde tendue à l'extrême et prête à rompre à chaque instant. "
-Du réalisme avant toute chose:
Tim Burton a voulu que les têtes décapitées soient aussi réalistes que possible. Il a pour cela fait appel à des spécialistes du maquillage et des effets spéciaux : Kevin Yagher, Joss Williams et Jim Mitchell.
Fabriquées en plâtre et en silicone, ces têtes ont été sculptées et peintes à la main, et les cheveux implantés un à un. Il a fallu cinq semaines de travail pour créer une seule tête.

Bande Annonce
***************************************

Le Dictateur
The Great Dictator
Film américain de Charlie Chaplin (1940)
Scénario: Charlie Chaplin
Images (NB): Roland Totheroh, Karl Struss
Musique: Wagner, Brahms
Casting:
Charles Chaplin: Hynkel, le barbier
Paulette Goddard: Hannah
Jack Oakie: Napaloni
Reginald Gardiner: Schultz
Synopsis:
Dans le ghetto juif vit un petit barbier qui ressemble énormément à Adenoid Hynkel, le dictateur de Tomania qui a décidé l'extermination du peuple juif. Au cours d'une rafle, le barbier est arrêté en compagnie de Schultz, un farouche adversaire d'Hynkel...
Le premier film parlant de Chaplin, ce sera Le Dictateur : il le sait, il le sent. Mis au courant du projet, des diplomates allemands interviennent. Le Foreign Office, précautionneux, aussi. Hollywood prend peur. Chaplin est même mis en cause par la Commission des activités antiaméricaines ! Il n’en a cure. Il étudie minutieusement les bandes d’actualité du Führer, qu’il ponctue d’exclamations furieuses : « Toi, espèce de bâtard, fils de pute, espèce de porc, je sais ce que tu as en tête », avant de constater, presque à regret : « Ce type est l’un des plus grands acteurs que je connaisse ».
Le Dictateur sort en octobre 1940, dans une Amérique pas vraiment décidée à intervenir dans le conflit qui fait rage là-bas, si loin. L’Europe, elle, découvre le film en 1945. Avec gêne. Tant d’horreurs vécues entre temps, tant d’autres tues ou refoulées se heurtent à cette farce cinglante, mais presque trop douce. Depuis, le temps s’est montré incroyablement généreux avec Le Dictateur, sans doute parce que ce film est la générosité même. Première idée géniale de Chaplin : ne jamais insister sur l’évidente ressemblance entre Hynkel, le tyran régnant sur la Tomania, et le petit barbier juif, qu’il interprète tous deux. Ce qui permettra au second de remplacer le premier le plus naturellement du monde pour un discours qui renverra au néant tous les tyrans du monde et ceux qui n’auront pas eu la dignité de leur résister.
Deuxième idée géniale : faire commencer l’intrigue en 1918, lors d’une défaite militaire subie par la Tomania – défaite qui amènera Hynkel au pouvoir, comme Hitler en Allemagne. Donc, dans un petit avion, un petit barbier juif gaffeur (il ressemble encore au Charlot des débuts) emporte au nez et à la barbe de l’ennemi le général Schultz, totalement dans les vapes. Soudain, l’avion se met à voler sur le dos et Charlot ne s’en rend pas compte. « Tiens, le soleil éclaire vers le haut », se dit-il, très étonné. Et lorsqu’il voit sa montre et sa chaîne sortir de son gousset et s’élever à la verticale, il s’exclame, ravi : « Nous défions les lois de la pesanteur ! »

A partir de là, nous allons vivre, en effet, dans un monde à l’envers, sans repères. Un univers tourneboulé, déréglé, fou. Lorsque, après des années d’amnésie, le barbier revient chez lui, il constate qu’on a tracé des lettres sur sa boutique : « J,E,W » (« juif »). Il se fait molester dès qu’il entreprend de les effacer. Et lorsqu’il fait appel à la police, sur qui tapent les forces de la loi ? Sur lui. Incroyable, non ? Ca le trouble tant, le petit barbier, qu’il est gagné par l’illogisme. Chargé de rendre belle Paulette Goddard (ce n’est pas bien difficile), il commence par vouloir la raser, comme un mec, avant de se rendre compte de sa bévue…
Et prenez Hynkel dans son repaire : il dicte à sa secrétaire une phrase interminable dans son sabir. La secrétaire frappe trois touches : étonnement du dictateur. Il rajoute un seul mot et la secrétaire se lance, durant de longues secondes, dans une frappe terrifiante qui laisse le dictateur médusé : même lui est victime du syndrome de l’avion qui volait à l’envers. Il ne comprend plus rien à rien, comme tout le monde.
Et Charlie Chaplin se déchaîne. Ses gags deviennent des obus chargés de détruire à tout jamais Hynkel et ses sbires. La mappemonde du tyran lui pète à la gueule. Le train de son ami Napaloni (alias Mussolini) ne cesse de s’arrêter et de repartir, forçant Hynkel à courir à droite et à gauche comme un clown. Lors d’un souper, les deux dictateurs se battent comme des chiffonniers à coup de spaghettis élastiques et incassables. On est fasciné devant la perfection d’un comique qui jamais, pourtant, n’efface la terreur diffuse. La peur rôde, sous le rire.
L’absurde s’efface lors du discours final, que certains, à l’époque, trouvèrent gnangnan. « On y chercherait en vain une analyse politique », notera même un critique particulièrement aveugle. N’est-ce pas pourtant le plus beau discours du monde que prononce, en plan fixe, ce Chaplin soudain vieilli, bouleversant sous son maquillage outrancier ? Comme s’il voulait crier au monde que « les dictateurs périront. Et le pouvoir qu’ils ont usurpé au peuple retournera au peuple ». Et d’ajouter qu’un homme politique digne de ce nom se doit de « considérer comme égaux les juifs et les chrétiens, les Blancs et les Noirs ».
Proclamer Blancs et Noirs égaux dans l’Amérique de 1940 ? Rien que pour cette profession de foi, il faudrait voir et revoir Le Dictateur. Pour en célébrer, chaque fois davantage, l’audace et l’humanisme.

Discours Final
*****************************************************************************
Vous avez jusqu'au Dimanche 16 décembre, 21 heures pour voter.
Votez bien...
Victoire de Il faut sauver le soldat Ryan avec 13 voix, contre 12 pour Braveheart.
Je soupçonne les smileys de Rila d'y être pour quelque chose



Et pour votre plus grand plaisir, voici la suite de ces 32èmes de finale.
Avec, au programme, un duel à la hauteur de vos espérances:
Sleepy Hollow vs Le Dictateur


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Sleepy Hollow
Film américain de Tim Burton (1999)
Scénario: Andrew Kevin Walker, d'après le roman de Washington Irving
Image: Emmanuel Lubezki
Musique: Danny Elfman
Casting:
Johnny Depp: Ichabod Crane
Christina Ricci: Katrina Van Tassel
Miranda Richardson: Lady Van Tassel
Christopher Walken: le Cavalier sans tête
Synopsis:
En 1799, dans une bourgade de La Nouvelle-Angleterre, plusieurs cadavres sont successivement retrouvés décapités. Les têtes ont disparu. Terrifiés, les habitants sont persuadés que ces meurtres sont commis par un étrange et furieux cavalier, dont la rumeur prétend qu'il est lui-même sans tête. Les autorités new-yorkaises envoient alors leur plus fin limier pour éclaircir ce mystère. Ichabod Crane ne croit ni aux légendes, ni aux vengeances post-mortem. Mais, à peine arrivé, il succombe au charme étrange et vénéneux de la belle Katrina Van Tassel.
Comme à son habitude Tim Burton arrive à plonger ses spectateurs dans autre univers, ici particulièrement marqué par une forte atmosphère gothique et irréelle. Le film mêle rire et suspense. Un conte merveilleux pour tous, revu et corrigé par ce réalisateur devient un jeu de piste pour le spectateur pris en admiration. Le jeu des acteurs est tout aussi impressionnant, Johnny Depp interprète un Ichabod Crane mêlant subtilement maladresse et fermeté.

Petites annecdotes:
-Deux cascadeurs pour le Cavalier:
Ray Park, maître en arts martiaux chinois, prête son corps au Cavalier sans tête dans les scènes de combat.
Rob Inch, quant à lui, chevauche la monture du Cavalier en lieu et place de Christopher Walken, que la vue d'un équidé suffit à rendre mal à l'aise...
-Johnny Depp cerne son personnage:
"Ce qu'il y avait de passionnant pour moi dans la perspective d'interpréter ce rôle, c'était l'idée d'être sans cesse sur la corde raide entre le jeu sincère et la nécessité d'en faire un petit peu trop, dans le style des films d'épouvante de la Hammer avec Peter Cushing et Christopher Lee. J'aimais aussi l'idée de jouer un jeune premier un peu atypique. Ichabod a des tics nerveux. Délicat, il s'effarouche d'un rien. Il est extrêmement coincé. Il est un peu comme une corde tendue à l'extrême et prête à rompre à chaque instant. "
-Du réalisme avant toute chose:
Tim Burton a voulu que les têtes décapitées soient aussi réalistes que possible. Il a pour cela fait appel à des spécialistes du maquillage et des effets spéciaux : Kevin Yagher, Joss Williams et Jim Mitchell.
Fabriquées en plâtre et en silicone, ces têtes ont été sculptées et peintes à la main, et les cheveux implantés un à un. Il a fallu cinq semaines de travail pour créer une seule tête.

Bande Annonce
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Le Dictateur
The Great Dictator
Film américain de Charlie Chaplin (1940)
Scénario: Charlie Chaplin
Images (NB): Roland Totheroh, Karl Struss
Musique: Wagner, Brahms
Casting:
Charles Chaplin: Hynkel, le barbier
Paulette Goddard: Hannah
Jack Oakie: Napaloni
Reginald Gardiner: Schultz
Synopsis:
Dans le ghetto juif vit un petit barbier qui ressemble énormément à Adenoid Hynkel, le dictateur de Tomania qui a décidé l'extermination du peuple juif. Au cours d'une rafle, le barbier est arrêté en compagnie de Schultz, un farouche adversaire d'Hynkel...
Le premier film parlant de Chaplin, ce sera Le Dictateur : il le sait, il le sent. Mis au courant du projet, des diplomates allemands interviennent. Le Foreign Office, précautionneux, aussi. Hollywood prend peur. Chaplin est même mis en cause par la Commission des activités antiaméricaines ! Il n’en a cure. Il étudie minutieusement les bandes d’actualité du Führer, qu’il ponctue d’exclamations furieuses : « Toi, espèce de bâtard, fils de pute, espèce de porc, je sais ce que tu as en tête », avant de constater, presque à regret : « Ce type est l’un des plus grands acteurs que je connaisse ».
Le Dictateur sort en octobre 1940, dans une Amérique pas vraiment décidée à intervenir dans le conflit qui fait rage là-bas, si loin. L’Europe, elle, découvre le film en 1945. Avec gêne. Tant d’horreurs vécues entre temps, tant d’autres tues ou refoulées se heurtent à cette farce cinglante, mais presque trop douce. Depuis, le temps s’est montré incroyablement généreux avec Le Dictateur, sans doute parce que ce film est la générosité même. Première idée géniale de Chaplin : ne jamais insister sur l’évidente ressemblance entre Hynkel, le tyran régnant sur la Tomania, et le petit barbier juif, qu’il interprète tous deux. Ce qui permettra au second de remplacer le premier le plus naturellement du monde pour un discours qui renverra au néant tous les tyrans du monde et ceux qui n’auront pas eu la dignité de leur résister.
Deuxième idée géniale : faire commencer l’intrigue en 1918, lors d’une défaite militaire subie par la Tomania – défaite qui amènera Hynkel au pouvoir, comme Hitler en Allemagne. Donc, dans un petit avion, un petit barbier juif gaffeur (il ressemble encore au Charlot des débuts) emporte au nez et à la barbe de l’ennemi le général Schultz, totalement dans les vapes. Soudain, l’avion se met à voler sur le dos et Charlot ne s’en rend pas compte. « Tiens, le soleil éclaire vers le haut », se dit-il, très étonné. Et lorsqu’il voit sa montre et sa chaîne sortir de son gousset et s’élever à la verticale, il s’exclame, ravi : « Nous défions les lois de la pesanteur ! »

A partir de là, nous allons vivre, en effet, dans un monde à l’envers, sans repères. Un univers tourneboulé, déréglé, fou. Lorsque, après des années d’amnésie, le barbier revient chez lui, il constate qu’on a tracé des lettres sur sa boutique : « J,E,W » (« juif »). Il se fait molester dès qu’il entreprend de les effacer. Et lorsqu’il fait appel à la police, sur qui tapent les forces de la loi ? Sur lui. Incroyable, non ? Ca le trouble tant, le petit barbier, qu’il est gagné par l’illogisme. Chargé de rendre belle Paulette Goddard (ce n’est pas bien difficile), il commence par vouloir la raser, comme un mec, avant de se rendre compte de sa bévue…
Et prenez Hynkel dans son repaire : il dicte à sa secrétaire une phrase interminable dans son sabir. La secrétaire frappe trois touches : étonnement du dictateur. Il rajoute un seul mot et la secrétaire se lance, durant de longues secondes, dans une frappe terrifiante qui laisse le dictateur médusé : même lui est victime du syndrome de l’avion qui volait à l’envers. Il ne comprend plus rien à rien, comme tout le monde.
Et Charlie Chaplin se déchaîne. Ses gags deviennent des obus chargés de détruire à tout jamais Hynkel et ses sbires. La mappemonde du tyran lui pète à la gueule. Le train de son ami Napaloni (alias Mussolini) ne cesse de s’arrêter et de repartir, forçant Hynkel à courir à droite et à gauche comme un clown. Lors d’un souper, les deux dictateurs se battent comme des chiffonniers à coup de spaghettis élastiques et incassables. On est fasciné devant la perfection d’un comique qui jamais, pourtant, n’efface la terreur diffuse. La peur rôde, sous le rire.
L’absurde s’efface lors du discours final, que certains, à l’époque, trouvèrent gnangnan. « On y chercherait en vain une analyse politique », notera même un critique particulièrement aveugle. N’est-ce pas pourtant le plus beau discours du monde que prononce, en plan fixe, ce Chaplin soudain vieilli, bouleversant sous son maquillage outrancier ? Comme s’il voulait crier au monde que « les dictateurs périront. Et le pouvoir qu’ils ont usurpé au peuple retournera au peuple ». Et d’ajouter qu’un homme politique digne de ce nom se doit de « considérer comme égaux les juifs et les chrétiens, les Blancs et les Noirs ».
Proclamer Blancs et Noirs égaux dans l’Amérique de 1940 ? Rien que pour cette profession de foi, il faudrait voir et revoir Le Dictateur. Pour en célébrer, chaque fois davantage, l’audace et l’humanisme.

Discours Final
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Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
Sleepy Hollow \o/ (ouais, au placard les classiques !)
Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
Chaud celui-là, ça a vraiment rien à voir
Mmmmh...Sleepy Hollow \o/

Mmmmh...Sleepy Hollow \o/

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- Localisation : Silent Hill
Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
clair....Sleepy Hollow.
Mon âme se compose et décompose
comme un puzzle mélancolique...
dont chaque pièce a sa propre tristesse.

comme un puzzle mélancolique...
dont chaque pièce a sa propre tristesse.

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- Chunnin
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- Inscription : ven. 16 mars 2007, 15:56
- Localisation : Berlin (-15C° dans les grands moment)
Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
Kurenai a écrit :Sleepy Hollow \o/
Kakashi_ a écrit :Sleepy Hollow \o/

Non, parce que je participerais bien avec Adrien


Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
Ah merde j'ai même pas fait gaffe qu'elle avait écrit pareil
Bah pourquoi pas hein le concours



Bah pourquoi pas hein le concours


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- Inscription : mer. 27 juil. 2005, 16:01
- Localisation : Isère
Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
.Sleepy Hollow. !
Le dictateur je me suis endormis devant
Tain trop deg que braveheart perde d'une voix -___-
Le dictateur je me suis endormis devant


Tain trop deg que braveheart perde d'une voix -___-
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- Agent Crockett
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- Inscription : dim. 24 juil. 2005, 12:03
Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
Hum...pas évident...Sleepy Hollow...voilà quoi...
mais le Dictateur...hum...
Au final, vote blanc.
Y aurait eu Miami Vice, le choix aurait été facile (Mann, best réal \o/).
mais le Dictateur...hum...
Au final, vote blanc.
Y aurait eu Miami Vice, le choix aurait été facile (Mann, best réal \o/).
Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
Sleepy Hollow
Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
J'aime beaucoup Tim Burton mais
Le Dictateur là, quand même.
Chef d'oeuvre de Chaplin. Un diamant parmi les alluvions cinématographiques (d'ou je sors ça moi ?
)
Le Dictateur là, quand même.

Chef d'oeuvre de Chaplin. Un diamant parmi les alluvions cinématographiques (d'ou je sors ça moi ?


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- Ninja de Légende
- Messages : 6094
- Inscription : dim. 24 juil. 2005, 15:47
Re: 32ème de Finale: Sleepy Hollow vs Le Dictateur
Les deux \o/ (quoi on peut pas ? c'est pas juste
).
Bon Le Dictateur alors, même s'il va perdre face à l'excellent Sleepy de Timounet.

Bon Le Dictateur alors, même s'il va perdre face à l'excellent Sleepy de Timounet.
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