Narutotrad.com

Bon film et gros guerroyage et les stratégies militaires sont bien traitées et limpides, 2:30 de bonheur.

Je viens de voir Southland Tales...



A la fin je me suis demandé si c'était une blague ce film en fait Enfin, je pense que j'ai dû passer à côté du truc, mais j'ai trouvé ça vraiment à chier

Kakashi_ a écrit :Je viens de voir Southland Tales...



A la fin je me suis demandé si c'était une blague ce film en fait Enfin, je pense que j'ai dû passer à côté du truc, mais j'ai trouvé ça vraiment à chier

Tiens j'avais commencé à le regarder ce soir. J'ai fait une bonne demi-heure puis finalement j'ai enchaîné sur L'incroyable Hulk

Je pense que je le regarderais en entier mais je dois avouer que c'est super space ce film (la NSA a une équipe de nain spécialisé dans la communication...)

Ben je l'ai regardé en entier, mais après 30 minutes, c'était déjà plus par curiosité que par réel intérêt En fait, je me demandais si le film allait décoller à un moment, ou s'il allait se passer un truc spécial qui me ferait capter un truc

Mais bon...non en fait.


Franchement, faut qu'on m'explique comment on peut s'extasier devant ce film...

nan mais pareil pour moi aussi, au bout d'un demi heure ma copine me lache, moi jvoulais continué, la b.a était bien donc j'ai voulu continué mais c'était trop dur j'ai arreté a 50 min

sinon hier j'ai vu "la 1e étoile", c'était vraiment pas mal, depuis un moment je suis moins déçu en allant voir un film français qu'un film américain

Le premier cercle - chiant, en même temps on m'a payer ma place donc bon...


Monstres contre Aliens - techniquement résussi même si j'ai pas eu droit à la version en 3D , par contre le film est marrant, pas du niveau d'un wall-e, mais bien sympatoche.

Un bon moment, c'est du Dreamworks quoi

Annie Hall de Woody Allen :



L'un des meilleurs Woody Allen. C'est drôle, touchant et magnifiquement écrit (s'ajoute à l'ensemble d'excellentes références dont celles à Bergman ).

Southland Tales de Richard Kelly :



Bon en ce qui me concerne, même avis qu'auparavant, mais amplifiée. Southlans Tales, c'est génial. Imparfait sur quelques points, mais génial quand même. C'est un cinéma personnel, déroutant, obscur et passionnant. Malgré les multiples zones d'ombres qu'il reste, je commence à mieux cerner les intentions du réalisateur sur le plan des références et bien entendu, de l'histoire. Southland Tales, c'est un puzzle complexe constitué d'un enchevêtrement d'intrigues et sous-intrigues finalement toutes connectés et jouant sur plusieurs registres et genres cinématographiques. En ce qui me concerne, le brassage drogue, culture underground, politique et voyage dans le temps, j'adore. Le spectateur sombre dans cet univers pre-apocalyptique névrosé.
La mise en scène est limpide, parfaitement adaptée au propos, idem en ce qui concerne le casting totalement justifié et incroyablement charismatique, ou encore la magnifique bande originale avec un Moby toujours aussi puissant.

Clairement déroutant et peu accessible au premier abord car ultra dense, mais c'est là la volonté de Kelly. C'est un film passionnant, sorte de comédie cynique sur un univers parallèle sombrant dans la névrose et où les pornstars discutent politique et sodomie tout en côtoyant des savants grisés par leur pouvoir et des néo-marxistes cinglés.

Les 3 Royaumes de John Woo :



Mitigé sur le dernier Woo. Non pas que je n'ai pas apprécié le film (loin de là), mais le métrage que j'ai vu en salle est très imparfait et beaucoup trop creux. La faute à ce remontage destiné aux spectateurs occidents, lesquels ne semblent pas aptes à découvrir l' oeuvre initiale de Woo, c'est-à-dire une fresque épique divisée en deux films de 2h30.
Là, nous avons donc droit à une moitié de film où les personnages existent peu (alors qu'ils semblent riches et passionnants), où les tactiques militaires sont peu développées et les ellipses beaucoup trop nombreuses et implicites. Résultat, on sent le terrible effort de montage qui, tout en imposant un rythme et une structure assez hermétique, peu avenante, qui annhile les personnages pour ne conserver qu'une succession de batailles - certes époustouflantes de maitrise - qui ne prennent pas véritablement aux tripes. D'où un sentiment de redondance lorsque l'on arrive à la fin du film.

Les 3 Royaumes est un très bel objet, mais dénaturé. Je suis impatient de découvrir le montage initial.

Mwarf, je ne me souviens pas de tout les films que j'ai vu récemment. je vais tenter de faire les plus "mémorables" :

Le Che de Steven Soderbergh :

On va faire simple. Un film incroyablement vide pour un personnage incroyablement complexe. Si je devais être sarcastique (et je vais l'être), je dirais que pendant plus de 4 heures de film nous voyons le Che se promener dans les bois et... c'est tout. Wahou. Je suis encore impressionné par la manière dont Soderbergh passe complètement à côté de son sujet. A vouloir retranscrire de trop près la réalité, il en oublie l'essentiel, le caractère de son personnage principale, ses motivations, ses convictions, ce qui le pousse à marcher ainsi dans la forêt (et à supporter son asthme... j'ai ainsi découvert que le Che avait de l'asthme, je crois que je ne me remettrai pas de cette découverte, merci Steven...).
Vraiment deux films à éviter, en ayant tout de même conscience que le premier demeure malgré tout plus intéressant que le second car, justement dans le premier, est montré par bribe une intervention du Che à l'ONU, sa présence aux Etats-Unis, rendant son discours un peu plus lisible.
En fait, c'est plat, c'est propre, mais ça manque de chair, de cœur.
Un film biographique raté ce que n'est pas...

Harvey Milk de Gus Van Sant:

Et oui, ça c'est de l'enchaînement. Harvey Milk, un film extrêmement sobre et limpide de Gus van Sant. Sans doute sa réalisation la plus accessible de ces dernières années, mais toujours avec la même épure, le même goût pour les silhouettes et les gens. Le combat d'Harvey Milk au sein de la communauté, s'inscrit graduellement, règle du genre et pourtant le tout conserve sa cohérence. Ce qui l'oppose au Che qui voit les jours s'égrener sans que cela ait la moindre importance pour le spectateur. Au fil des ans Harvey évolue, dans son combat, dans l'approche de celui-ci, accroche de nouvelle tête etc etc. La caméra de Van Sant, une nouvelle fois plonge au plus près de l'intimité, sans tomber dans le voyeurisme. Tout est évoqué, sans pesanteur, sans fausse note avec comme fil continu la confession d'Harvey Milk, idée qui tient et rend cohérent l'ensemble du film.

Gran Torino de Clint Eastwood:

Un Eatstwood qui s'amuse avec lui-même et sa propre "mythologie". Vieux con réac, comme pouvait l'être Dirty harry, justicier sur le retour, le pétoir dans la ceinture comme pouvait l'être l'Homme des hautes plaines ou le "Blond". Eastwood s'amuse de chacune de ces images tout au long de son dernier film, il s'en amuse et prend leur contre-pied dans l'ultime scène finale. Contre-pied, car l'homme est vieux et il se cherche une fin, un départ honorable, une mort choisie. Il y a des thèmes forts et chers au cinéaste. Le plus évident étant celui de la rédemption avec la double scène de la confession, celle au parloir et celle dernière une grille évoquant celle d'un parloir, mais qui se trouve être la porte menant à son garage. Un film classique, droit, sincère et émouvant, filmé avec justesse et honnêteté comme l'a toujours fait Eastwood. Un nouveau beau film de ce cinéaste "à l'ancienne", toujours aussi moderne.

Le Secret de Térabithia :



Film touchant qui n'est absolument pas vendu pour ce qu'il est, c'est-à-dire un drame sur le monde de l'enfance et non un énième Narnia-like. Voilà comment passer à côté d'une petite perle d'émotion pure, simplement à cause d'une promotion littéralement hors sujet. Etonnante surprise donc que ce petit film qui mérite d'être vu. Terabithia, c'est une plongée d'une heure et demi en enfance, un voyage dans le temps qui fonctionne puisque le spectateur ne peut que s'identifier aux deux principaux protagonistes.
Fort d'une écriture de qualité étudiant les thèmes de l'amitié, la famille ou bien encore l'imagination, le Secret de Terabithia s'articule logiquement autour de cette amitié, tout en proposant un point de vue d'une extrême justesse. Au service de ce script mélancholique invitant à l'évasion par le biais de l'imagination, une mise en scène claire qui offre notamment sur la fin de très belles séquences ou bien encore un jeu d'acteurs fort et juste. Mention spéciale à Robert Patrick ainsi qu'au jeune duo.
En résumé, une belle surprise. Le Secret de Terabithia est un film mélancholique qui ne sombre jamais dans le récit infantile. Toujours très juste, très mature, il confronte l'enfance à la vie en société et ce qu'elle implique, tout en insistant sur l'importance clé de l'imagination.

Frost / Nixon :



Bonne surprise que ce Frost / Nixon, surtout lorsque l'on voit qui est aux commandes.
Entre deux niaiseries Brownienne, Howard "signe" un long métrage politique fort intéressant, et ce grâce au script de Peter Morgan, également auteur de The Queen et The Last King Of Scotland. Morgan propose ici de retracer le duel télévisuel désormais culte ayant fait exploser l'audimat, entre David Frost et l'ex-président Richard Nixon. Bien construit, le film d'Howard, après une contextualisation efficace, s'attache à présenter les intentions des personnages et les enjeux soulevés par cette interview. Suite logique, le réalisateur va nous plonger au coeur du plateau, afin de revivre les quatre sessions de ce qui ne devait initialement être qu'une banale interview.

Au therme d'une lutte acharnée durant ce véritable procès d'intention, Frost parvint à obtenir, au nom des citoyens des Etats-Unis, les excuses de l'ancien président. Sur le fond, le film est donc bien abouti et Langella et Sheen parviennent à donner vie à leur personnage.
Le problème étant que derrière la caméra, il y a Ron Howard...et quand bien même il est ici nettement plus inspiré, le résultat final demeure très impersonnel et sans grand relief. Ce qui manque à Frost / Nixon, c'est l'intensité palpable provoquée par ce duel au sommet, au sein d'un plateau devenu ring. Là où un Stone livre une oeuvre percutante prenant le spectateur à bras-le-corps, Howard reste en retrait. Malgré cet aspect là du film, Howard alterne avec un certains succès les séquences cinématographiques et télévisuelles avec ce que chaque support implique en matière de représentation et de traitement de l'image.

Vu avec toute la clique chez Coco (comprenne qui pourra)

Résultat des courses : LE FILM DE L'ANNEE.

Symphony a écrit :

Vu avec toute la clique chez Coco (comprenne qui pourra)

Perso j'ai même eu honte de le voir en streaming ^^ Un viol de bande passante, voilà c'que c'est
...et dire que le 2 est déjà en prod d'après ce qu'on m'a dit...

Syrah a écrit :

Symphony a écrit :

Vu avec toute la clique chez Coco (comprenne qui pourra)

Perso j'ai même eu honte de le voir en streaming ^^ Un viol de bande passante, voilà c'que c'est
...et dire que le 2 est déjà en prod d'après ce qu'on m'a dit...

Je prévois un coup à la Eragon, un semi bide qui ne verra au final pas le jour.
Need un gros reboot de la saga en cas contraire

Non mais en fait c'est bien pire que tout ce qu'on pourrait imaginer.

Un film d'1h16 mou comme pas possible, sans aucun intérêt, des personnages vides, non charismatiques, même pas drôle, l'histoire originale est très peu respectée.
Aucune cohésion dans le film, aucune logique, c'est un enchainement de plans divers qui n'ont limite aucun rapport, et des plans tout droits sortis de Twilight.

Et effectivement il semblerait qu'un numéro deux soit déjà en préparation, avec en plus le héros de Twilight (d'ou ma petite blague Twilight Evolution )

Bref un film tellement à chier qu'il en est inclassable

Symphony a écrit :

Vu avec toute la clique chez Coco (comprenne qui pourra)

Résultat des courses : LE FILM DE L'ANNEE.

Les répliques du film :
J'ai promis de jamais me battre
C'est pas parce que je m'appelle Chichi qu'il faut me prendre pour une idiote...
KAME HAME HA !
Si tu veux garder tes mains tu ferais mieux de les mettre ailleurs !