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iori
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Message par iori »

bon allez je viens ajouter un post super pas constructif à ce topic! (désolée mais j'ai pas de posts constructifs en réserve :???: )

bon alors j'ai pas lu tous les dossiers (rooo c'ets maaaaal :non:)

mais bon y a des sujets qui m'interpellent plus que d'autres, et là je pouvais difficilement passer à côté de jack the ripper!!!


j'ai lu la "bd" from hell, et je dois dire qu'à défaut d'établir la vérité vraie (oui j'aime faire des pléonasmes! :razz: ), il s'ne dégage une ambiance vraiment particulière.
je crois que je 'ai jamais ressenti autrant de malaise en lisant une bd, c'ets vraiment très glauque (en même temps je m'attendais pas à quelque chose de gai :roll:)

enfin bref, tout ça pour dire que le film from hell était bien, mais alors à côté de la bd c'est vraiment nul (comem beaucoup d'adaptations d'ailleurs! :lol:)

en tout cas voilà un sujet bien fascinant et qui n'a pas fini de fasciner je pense (de toute façon on trouvera jamais avec certitude l'identité de jack)


voilà c'est à peu près tout ce que j'avais à dire!

en tout cas contuinuez ce topic, c'est toujours agréable de se faire des petites frayeurs!
:twisted:
Jade Von Memeth
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Message par Jade Von Memeth »

Et c'est reparti pour un autre dossier mon quiqui (kiki ?) !




Dossier 17 : Les enfants à la peau verte





Introduction :

Au cours du mois d’août 1887, près de Banjos, en Espagne, deux enfants inconnus sortirent d’une grotte.
Ils avaient la peau verte, les yeux bridés et portaient des vêtements faits d’une matière insolite. Ils ne parlaient pas espagnol.



Faits :

On les confia au juge de paix local qui tenta d’ôter la couleur verte. Mais, il s’aperçut que ce n’était pas du maquillage, mais bien la pigmentation de leur peau.
Pendant presque une semaine, ils refusèrent de s’alimenter. Finalement, ils acceptèrent de manger des haricots frais.
Le garçon, trop affaibli, mourut peu de temps après. La petite fille survécut. Peu à peu, sa pigmentation verte disparut.
Ayant appris suffisamment d’espagnol pour s’expliquer, elle raconta qu’elle venait d’un pays sans soleil, où régnait un crépuscule permanent.
Ce mystérieux pays était séparé d’une région lumineuse qu’éclairait le soleil par une large rivière.
Un jour, un mystérieux tourbillon les avait emportés, elle et son frère et déposés dans la grotte.
La jeune fille mourut en 1892, sans pouvoir nous éclairer d’avantage sur ce mystère.



Similitudes :

Cette histoire est très proche de celle des enfants verts qui sortirent d’une grotte de Woolpit (Angleterre), au XIe siècle.
Là aussi, il s’agissait d’un garçon et d’une fille ayant la peau et les cheveux verts. Eux aussi refusèrent tout d’abord toute nourriture et perdirent peu à peu leur étrange pigmentation.

On leur enseigna l’anglais et ils racontèrent leur histoire. Ils dirent venir d’une région appelée « le pays de saint-Martin » où le soleil ne brillait jamais.
Alors qu’ils gardaient un troupeau, ils avaient entendu un grand bruit. Voulant savoir d’où il venait, ils étaient entrés dans un tunnel. Ensuite, ils ne se souvenaient plus de rien.
Le garçon mourut un an après. Sa sœur resta à Woolpit et épousa un homme du village voisin.



Explications :

On a cherché des explications à ces deux énigmes. On a ainsi observé que non loin de Woolpit se trouve le village de Fornham Saint Martin, qui aurait bien pu être ce mystérieux pays de saint-Martin.
Là s’étend la vaste forêt de Thetford. Cette région est également connue pour posséder de nombreuses galeries d’anciennes mines de silex.
Il s’agit peut-être de l’un de ces souterrains empruntés par les enfants.

La pigmentation verte de la peau s’explique assez facilement. On sait que certaines anémies peuvent rendre la peau verte. Ce symptôme s’aggrave en cas de malnutrition, assez courante à l’époque.
Le fait que la pigmentation soit redevenue normale après plusieurs semaines d’une alimentation plus équilibrée semble en être la preuve.

Ils auraient pu également être empoisonnés à l’arsenic car la peau peut alors devenir verte et abandonnés.



Enigme :

Le vrai mystère réside dans ce langage que personne ne comprenait. S’ils venaient d’un village assez proche, même avec un accent différent, ils auraient du pouvoir se faire comprendre.

Les enfants verts d’Espagne ont une histoire trop semblable à celle des enfants de Woolpit pour n’être qu’un hasard.
L’histoire des enfants de Woolpit pouvait être connue car William de Newburgh la rapporta dans un ouvrage publié en 1618.
Cette histoire a certainement inspiré celle de Banjos. Dans quel but ? Par qui ? Nous ne le saurons jamais.
Quelle langue avait-on apprise à ces enfants ? Un autre mystère sans réponse.



Mot perso :
Ben je vous dis que c'est bien étrange tout celà !
Et euh... Mystère et boules de gum :columbo:

(je sais, je suis en manque d'inspiration ¬___¬)
Dernière modification par Jade Von Memeth le dim. 26 févr. 2006, 18:24, modifié 1 fois.
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shinigami-naruto
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Message par shinigami-naruto »

umh, en effet cher jade, c'est un mister et boule de gum :shock:

tous ca est bien étrange, enfant venu d'une autre planet? ou bien simplemment.... eu?..... je sais pas moi. autre chose quoi :lol:
nugg
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Message par nugg »

waayye genial ton article^^
j'aime le coté un peu reptilien de ton histoire
et comme d'hab moi j'ai jamais rien a soumettre =_='
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Jade Von Memeth
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Message par Jade Von Memeth »

tous ca est bien étrange, enfant venu d'une autre planet? ou bien simplemment.... eu?..... je sais pas moi. autre chose quoi Laughing
Ouai voilà quoi, c'est sûrement une sorte de mutation génétique dûes à cetains phénomènes environnementaux d'un certain genre bien particulier :lol:
Ca fait plaisir d'être sur la même longueur d'onde shinigami-naruto :lol: :lol:

Et c'est sympa que tu ai apprécié nugg ;-) On reconnait bien le bon goût strabourgeois :mrgreen: :arrow:
Dernière modification par Jade Von Memeth le dim. 26 févr. 2006, 18:25, modifié 2 fois.
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kakashi-le-meilleur
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Message par kakashi-le-meilleur »

très bien cette article je n'avais jamais entendus parler !
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shinigami-naruto
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Message par shinigami-naruto »

Jade Von Memeth a écrit :
tous ca est bien étrange, enfant venu d'une autre planet? ou bien simplemment.... eu?..... je sais pas moi. autre chose quoi Laughing
Ouai voilà quoi, c'est sûrement une sorte de mutation génétique dûes à cetains phénomènes environnementaux d'un certain genre bien particulier :lol:
Ca fait plaisir d'être sur la même longueur d'onde shinigami-naruto :lol: :lol:
comme tres souvent d'ailleur ma chere jade ;-) :bizou:
nugg
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Message par nugg »

Jade Von Memeth a écrit :Et c'est sympa que tu ai apprécié nugg ;-) On reconnait bien le bon goût strabourgeois :mrgreen: :arrow:
8-) 8-) 8-) on a la classe nous les strasbourgeois :mrgreen:

alors c'est pas grand choses mais j'aime assez ce dossier^^

L'insaisissable trésor de l'Ile-aux-Chênes

intro
C'est l'Ile mystérieuse. On y cherche un trésor depuis deux siècles. On sait où chercher. Mais après plus de 200 ans de fouilles avec des techniques de plus en plus perfectionnées, plusieurs faillites et quelques morts, on ne sait toujours pas qui a caché quoi sur Oak Island, l'Ile-aux-Chênes.

C'est la plus bizarre des "îles au trésor" de la planète. D'ordinaire, les chercheurs savent ce qu'ils cherchent: un galion coulé avec telle cargaison. Tout ce qu'ils ignorent, c'est où chercher. Dans le cas de la petite Ile-aux-Chênes, au large de la Nouvelle-Ecosse, c'est le contraire: on sait où se trouve le "trésor". Mais on n'a pas l'ombre d'une idée de ce qu'il contient. Et surtout, on ignore qui a pu construire le système de pièges le plus ingénieux qu'une île au trésor ait jamais renfermé.

Au début, ça semblait facile: en 1795, Daniel McGinnis, un adolescent habitant sur le continent, qui s'amusait à chasser la perdrix dans cette île inhabitée, aperçoit une poulie de navire pendue à une branche de chêne. Juste au-dessous, il remarque une légère dépression du sol, comme si on avait rebouché un trou. Persuadé qu'il s'agit d'un trésor laissé par les pirates, il court prévenir deux copains.

À quelques pieds de profondeur, ils rencontrent une rangée de dalles (flagstones ); ils l'enlèvent et continuent à creuser. À trois mètres (dix pieds), c'est une deuxième plate-forme, faite de billes de chêne (oak ). Ils l'enlèvent et continuent à creuser.

Et ça continue ainsi pendant des jours. A six mètres (20 pieds), nouvelle plate-forme en chêne. À neuf mètres (30 pieds), une autre. Et sous elle, toujours cette terre tassée, avec de l'argile et des roches. Les garçons comprennent que ces plates-formes servent à se partager le poids des tonnes de terre. Sauf que neuf mètres de profondeur, c'est trop pour eux.

Ils abandonnent donc, et les choses en restent là pendant près de dix ans. Jusqu'en 1804...

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un ptit encas? rien de mieux qu'une danette!!!!!(dsl je sais pas ce que j'ai)
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En 1804, un nommé Simeon Lynds entend parler de la découverte des trois jeunes garçons. Il forme une compagnie et apporte sur l'île du matériel de mines.

Les ouvriers dépassent sans problème le niveau atteint dix ans plus tôt et, en continuant à creuser, découvrent à leur tour, tous les dix pieds, des plate-formes recouvertes tantôt de couches d'algues, tantôt de charbon... et même de fibres de cocotier!


Dans l'esprit des plus rêveurs, l'association cocotiers = Antilles = pirates = trésor, est rapidement faite...



À la 9e plate-forme (27 mètres ou 90 pieds), première découverte intéressante: une lourde dalle de pierre marquée, au verso, d'une inscription dans un langage indéchiffrable. Elle est mise de côté, et il faudra longtemps avant que quiconque ne la juge digne d'intérêt...


Les ouvriers atteignent 33 mètres (110 pieds) et s'arrêtent pour la nuit. Le lendemain matin, surprise: le puits est rempli aux trois quarts d'eau! D'où vient-elle? On ne sait pas. Mais surtout, pourquoi le puits ne s'est-il pas rempli plus tôt? Sur le coup, on n'a pas de réponse. Pendant des semaines, les hommes écopent avec des seaux et des pompes improvisées, sans parvenir à abaisser le niveau d'eau.


Au printemps suivant, ils creusent un deuxième puits, dans l'espoir de prendre le trésor par en-dessous. Ils descendent jusqu'à 37 mètres (123 pieds) puis se dirigent vers le puits au trésor. Alors qu'ils l'atteignent, l'eau commence à jaillir avec force. Les ouvriers n'échappent que de justesse à la noyade. Le deuxième puits est lui aussi inondé.


Certains s'interrogent: l'eau a, comme par hasard, commencé à jaillir lorsqu'on a enlevé la dalle gravée. Cette dalle aurait-elle agi comme un bouchon? Le puits aurait donc été conçu comme une paille à l'intérieur de laquelle l'eau ne montera pas si on en bouche l'extrémité avec le doigt?

L'hypothèse est séduisante. Mais n'apporte aucune solution au problème. La compagnie abandonne. Lynds est ruiné.

Les recherches ne reprendront qu'en 1849...
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ouaf!!!!(jme fais de la poub^^)
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En 1849, les recherches reprennent avec la coopérative de Truro. Il ne s'agit plus cette fois de creuser mais de faire des forages, pour savoir une fois pour toutes ce qui se trouve au fond. Les premiers résultats confirment les espoirs les plus fous: après avoir dépassé les 110 pieds, la foreuse passe à travers 10 cm de bois (le sommet d'une caisse?) et pénètre dans du métal en vrac!

Lorsqu'on remonte la foreuse, on y trouve des échantillons de chêne et ce qui semble être trois maillons en or d'une chaîne de gousset. C'est la première fois qu'on a la preuve que quelque chose de payant se trouve au fond. Encouragé, on refait descendre la foreuse. Au-delà du métal, elle traverse 20 cm de bois; sans doute le fond du coffre suivi du sommet d'un autre. Puis, 56 cm de métal en vrac. Puis, 10 cm de chêne (le fond du 2e coffre?) et 15 cm d'épinette (le plancher?).

Persuadés d'avoir enfin atteint la chambre au trésor, les chercheurs ne sont pas pour autant au bout de leurs peines: personne n'est encore parvenu à abaisser l'eau du puits, même avec des pompes.

A l'été 1850, ils décident donc de forer un second puits pour faciliter le pompage. Ils creusent jusqu'à 36 mètres (120 pieds), un niveau jamais atteint jusque-là. Puis, ils se dirigent vers le premier puits, dans l'espoir d'atteindre le trésor par en-dessous. C'est la catastrophe: en moins de 20 minutes, le second puits se remplit au même niveau que le premier. Pire encore, à en juger par le bruit, les ouvriers en déduisent que le fond du puits au trésor s'est affaissé dans leur propre conduit. Lequel est maintenant tout aussi inondé que le premier puits. Chou blanc.

Ce n'est qu'à ce moment qu'un ouvrier a l'idée de goûter l'eau du puits: elle est salée. C'est donc de l'eau de mer, et non un lac souterrain. Le puits est relié à la mer: pas étonnant qu'on n'arrive pas à le pomper!

On finit par trouver dans une anse, à une centaine de mètres de là, un endroit d'où l'eau s'échappe, à marée basse, à travers le sable. Les ouvriers enlèvent aussitôt le sable et le gravier et s'aperçoivent que la plage a été recouverte d'une couche compacte de galets et de roches entre lesquels on a tassé des algues et des fibres de noix de coco. Autrement dit, quelqu'un a transformé 45 mètres de plage en éponge, puis recouvert le tout de sable. La plage au complet est artificielle!

Ce n'est pas tout: cinq conduits souterrains d'écoulement recouverts de gros galets et de roches plates conduisent à l'entrée d'un tunnel. À marée haute, l'eau s'infiltre par ces cinq conduits, et de là par le tunnel (no. 5, ci-contre), en direction du puits au trésor. Et l'hypothèse de la paille se révèle exacte: quiconque enlève les plate-formes de chêne du puits, enlève les "bouchons" qui empêchaient l'eau de la mer d'atteindre le puits (sur le dessin ci-contre, 2 représente le niveau de la mer). Comme une paille qui ne se remplira pas si on en bouche une extrémité avec le doigt!

De toute évidence, les mystérieux constructeurs de cet ingénieux système se sont donnés un mal fou pour empêcher des intrus d'accéder à leur trésor...


Qui a fait ça?


Mais qui sont ces constructeurs? Au fil des générations, toutes les hypothèses y sont passées. Sauf qu'on estime que la construction du puits et des conduits aurait exigé une centaine d'hommes pendant six mois. Or, la région n'a gardé aucun souvenir d'une quelconque activité -l'île est à quelques coups de rames de la côte, il aurait donc été difficile de cacher un séjour de six mois aux riverains.

Aucune légende dans aucun port. On n'a jamais retrouvé la moindre trace d'une habitation humaine sur l'île. Bref, le mystère avec un grand M.

***

De 1850 à aujourd'hui...
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j'ai plus de pub a faire =__=......vive les strasbourgeois!!!!!!!!!
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Du milieu du XIXe siècle jusqu'à aujourd'hui, plus d'une dizaine de compagnies ont tenté de récupérer le trésor de la mystérieuse Ile-aux-Chênes, au large de la Nouvelle-Ecosse. Toutes se sont butées aux problèmes d'inondations souterraines. Quelques personnes ont même perdu la vie, dans ces efforts répétés pour surmonter des obstacles ingénieusement dressés par on ne sait qui, il y a très longtemps.

La compagnie Truro, celle qui avait découvert la plage artificielle en 1850 , a dû à son tour abandonner les travaux, ruinée, sans jamais être parvenue à pomper le puits principal. Après une autre vaine tentative pour atteindre le puits principal au moyen d'un autre tunnel, le fond du puits s'effondre en partie dans le tunnel, en partie on ne sait où, peut-être dans une grotte ou une cavité située dans les profondeurs de cette île.

En 1861, une nouvelle firme recommence le creusage. Le puits-au-trésor s'effondre encore une fois. On achète une pompe à moteur. La chaudière éclate, tuant un ouvrier. La compagnie est en faillite en 1867.

Une troisième reprend en 1897 avec une pompe à vapeur. On creuse le puits jusqu'à 111 pieds, mais la pompe tombe en panne et l'eau s'élève à nouveau.

Écoeuré, on prend alors les grands moyens: on fore cinq trous dans le sol, dans lesquels on insère des charges de dynamite, le long de la direction présumée du tunnel d'irrigation, qui amène l'eau de mer jusqu'au puits. On fait sauter. L'eau est pompée, avec succès, pour la première fois en 90 ans.

Le forage reprend, et dépasse les niveaux de toutes les explorations précédentes. À 50 mètres (163 pieds), la pointe de la foreuse rencontre un obstacle: 17,5 cm de ce qui semble être du ciment. Sous le ciment, il y a dix centimètres de bois, puis un mètre de métal, puis de nouveau du bois et du ciment. Touche-t-on enfin au but? Il semble y avoir là une voûte de deux mètres. Les coffres placés 20 mètres plus haut, qu'un forage avait localisé 50 ans plus tôt -et dont on a perdu la trace lorsque le plancher qui les soutenait s'est effondré- ne l'auraient-ils été que pour satisfaire la curiosité, alors que le vrai trésor se trouverait plus bas?

Avant d'aller plus loin, en mai 1898, par mesure de prudence, on répand de la teinture rouge dans le fond du puits afin de s'assurer que le tunnel d'irrigation a bel et bien été détruit. On ne voit rien sur la plage: victoire!... jusqu'à ce que, plus tard dans la journée, des ouvriers aperçoivent une immense tache rouge qui recouvre une autre partie de la plage. Il existe donc un deuxième tunnel d'irrigation!

On cherche son entrée, en vain. Les forages continuent, se multiplient. Après des semaines de travail, dans un amoncellement de boue, les hommes ne peuvent même plus localiser le puits original. Après avoir investi plus de 115 000$, les nouveaux actionnaires décident d'abandonner.

Leurs successeurs n'auront pas plus de succès. En fait, le travail est devenu aujourd'hui considérablement plus difficile: l'île a tant et si bien été creusée qu'elle s'est transformée en une éponge. Les chênes ont disparu. Plus personne ne sait où se trouve le puits original. Et on n'a toujours pas l'ombre d'un indice sur ses constructeurs.

Mais on continue à creuser. Les actuels rêveurs sont ceux de la compagnie Triton Alliance, qui creusait toujours, à l'été 1997. Mais c'est là tout ce qu'il était possible d'arracher à son président, M. Tobias. Pour le reste, comme d'habitude, le mutisme. On ne sait donc pas si Triton a trouvé quelque chose... ou si elle connaîtra le sort de ses prédécesseurs...

finiii!!!!!


alors votre avis???civilisation antiqique???extra terrestre???ou tout betement pirates???
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shinigami-naruto
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Message par shinigami-naruto »

c'est gold D roger qui a caché le one piece :mrgreen:

nene serieu c'est vraimment bizar que personne n'arrive a creuser jusqu"au bout, surtout avec les moyens de maintennant :shock:

enfin si quelqu'un arrive a savoir ou ca en est maintennant ca serai bien ;-)


et moi j'opte pour des pirates (oui ca me plais cette idée :mrgreen: )
Nil Sanyas
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Message par Nil Sanyas »

La création de mes topics peuvent-ils faire parti des mystères ? :mrgreen:
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shinigami-naruto
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Message par shinigami-naruto »

Nil Sanyas a écrit :La création de mes topics peuvent-ils faire parti des mystères ? :mrgreen:
nan je pense que toi ca peut s'expliquer :twisted: :kamool: :kamool:
Jade Von Memeth
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Message par Jade Von Memeth »

La création de mes topics peuvent-ils faire parti des mystères ? Mr. Green
Dois-je vraiment répondre à ta question Nil ou trouveras-tu la réponse tout seul :mrgreen: !
alors votre avis???civilisation antiqique???extra terrestre???ou tout betement pirates???
Ben ça j'opte plutôt pour les pirates comme shinigami-naruto ! Obligé c'est cette histoire qui a inspirée Oda :shock: 8-) :lol: !

Nan mais plus sérieusement, creuser une île au point d'en faire une éponge, faut le faire :lol:


Et merci à toi mon cher nugg :bizou:
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Heaven smile
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Message par Heaven smile »

Ma foi c'est vraiment très mystérieux. :columbo:

Super intéressant,mais enigmatique.Je ne pense pas que tout ce tavail soit l'oeuvre de pirates (et encore moins d'extra-terrrestres ^__^).Si on s'en réfère aux témoignages,personnes n'a découvert de traces d'habitations,de même,si un groupe de pirates (d'une centaine d'hommes minimum) c'était aventuré sur cette île (proche de la côte)leur présence aurait,à mon avis,été décelée.Après,cela dépend aussi de la géographie de l'île,peut-être qu'il était possible d'établir un camp dissimulé sur l'île.Encore une fois,cacher plus de 100 hommes aurait été quelques choses d'assez complexe.
Des pirates n'auraient à mon avis pris autant de temps pour dissimuler un trésor.J'veux dire,des trésors,il doit y en avoir des paquets qu'on a pas encore trouvé et pourtant ils sont près de la plage enterrés a 1m sous le cocotier qui à la forme d'une bouteille de rhum.

Bon je vois vraiment pas,donc j'y vais.Très mystérieux tt ça mais vraiment prenant .
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nugg
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Message par nugg »

yeah jpeux de nouveaux participer a ce topic genial j'ai trouvé une ptite mine d'or :razz:

on enchaine 8-) (jvais essayer de me retenir sur la pub cette fois :lol: )
un sujet intriguant...

L'indéchiffrable manuscrit


intro

On ne connaît ni son auteur, ni son origine. Nul cryptographe n'a encore réussi à déchiffrer un seul mot ni d'ailleurs une seule lettre du texte. On ne sait même pas en quelle langue il a été écrit! Depuis cinq siècles, le manuscrit de Voynich garde son secret.

Le manuscrit mesure neuf pouces par six et comprend 204 pages de texte. Presque chaque page contient une illustration parfois en couleurs: plantes fantastiques, diagrames astrologiques, panoramas bizarres avec des femmes nues. Mais même si les dessins sont étranges, c'est le texte, de petites lettres écrites avec soin, qui étonne vraiment. Il est écrit dans un alphabet mystérieux qui n'existe nulle part au monde et, après des siècles d'études, ni le meilleur médiéviste, ni le plus patient des cryptographes n'a encore réussi à établir ce qu'il dit, qui l'a écrit, où, quand, ou pourquoi...

D'où vient ce livre étrange?

On y fait référence pour la première fois dans une lettre écrite à Prague le 19 août 1666 par Joannes Marcus Marci, Marci , docteur, scientifique, orientaliste, et recteur de l'université de Prague, la plus ancienne de l'Europe centrale. Marci avait obtenu le manuscrit d'un ami, médecin de Rodolphe II, l'empereur du Saint Empire. Ce Habsbourg, collectionneur de tableaux, passionné de science avait fondé un jardin botanique et construit un observatoire pour Tycho Brahe et Johannes Kepler. Il avait aussi acquis une impressionnante collection de livres rares dont le célèbre manuscrit pour lequel il avait payé 600 ducats.

On ne sait pas si Marci avait tenté de déchiffrer le manuscrit. Mais, septuagénaire, voyant la mort venir, il avait commencé à distribuer sa bibliothèque personnelle à ses amis. Il réserve le manuscrit pour le jésuite Athanasius Kircher à Rome qui avait été son professeur. Dans sa lettre à Kircher il se dit convaincu que le manuscrit, convaincu, ne
pourrait être lu par personne d'autre.Le père Kircher est en effet un bon choix. Son intérêt pour les hiéroglyphes et autres sujets archéologiques était bien connu. Mais il semble qu'il n'ait pas tenté de déchiffrer le texte. Trois siècles passent durant lesquels le manuscrit tombe dans l'oubli.



En 1912, Wilfrid M. Voynich, collectionneur de livres anciens, découvre le manuscrit dans la bibliothèque de la Villa Mondragore, un collège jésuite près de Rome. Voynich l'achète et le ramène en Amérique. Il en fait parvenir des copies à des spécialistes: linguistes, paléographes, médiévistes et même astronomes et botanistes. Le manuscrit résiste à toutes les tentatives de déchiffrement.

En 1919, il demande l'aide de William R. Newbol, un spécialiste du grec, du latin et d'autres langues anciennes. Pendant six ans, Newbold s'acharne. Il meurt convaincu, comme d'ailleurs l'empereur Rodolphe II, que l'auteur est Roger Bacon. Ce dernier est le scientifique le plus étrange du Moyen Age. Ce moine anglais du XIII siècle, théologien et savant est le précurseur de la science expérimentale. En fait, ce personnage est tellement extraordinaire que les spécialistes lui accordent la paternité de tous les manuscrits intéressants dont on ne connaît pas les auteurs. Bien avant Vinci, Bacon avait eu la prémonition des voitures sans chevaux, des bateaux à moteur, des machines volantes etc. On lui attribue même l'invention de la poudre à canon. Mais les dernières recherches montrent que le manuscrit a été écrit vers 1500 deux siècles après la mort de Bacon. Mais c'est peut-être une copie d'un texte de Bacon....

Si l'auteur reste inconnu, le texte demeure une véritable sirène pour les cryptographes. et, puisqu'on ne peut pas lire le texte, il faut se tourner vers les dessins. La majorité représente des plantes ou leurs parties. Sur les 400 dessins botaniques seules seize plantes ont été identifiées, et encore, on n'est pas certain. Etrangement, certains dessins ressemblent à des sections minuscules d'organismes végétaux comme si l'auteur les avait observés à travers un microscope lequel n'a pas été inventé avant le XVI siècle. Il n'y a aucune explication pour les nombreuses femmes - il n'y a aucun mâle- nues qui apparaissent dans des cercles concentriques.

Depuis l'arrivée d'Internet, il y a regain d'intérêt pour le manuscrit. Plusieurs chercheurs de différentes disciplines peuvent désormais unir leurs efforts pour déchiffrer le manuscrit et essayer d'en découvrir la langue, l'auteur, l'origine et le sens.

il y'avait une image mais le lien etait mort :cry:

vos avis?pur delire de monsieur bacon?oua lors quelque chose de plus....mysterieux :lol:

ps:j'ai pas mis de pub :grin:
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Lister
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Message par Lister »

Devant la détresse du Topic, Maitresse Suzy je propose un Petit Article sur un Lieux Français connu pour ces Legendes et autres Sites.
En attendant le Futur Dossier en preparation, voici

Mythes & Legendes liées à La Forêt de Brocéliande:

Le val sans retour

Selon la légende, Morgane la fée, demi-sœur du roi Arthur, trahie par son amant décida de retenir prisonniers dans ce val tous les chevaliers infidèles. Seul le chevalier Lancelot, fidèle à la Reine Guenièvre, pu rompre l’enchantement, échapper au sortilège et délivrer les chevaliers.

Le Val sans Retour est une vallée encaissée très contrastée par ses paysages, creusée profondément dans le schiste rouge, (c’est le minerai de fer qui donne au schiste sa couleur rouge; ce même minerai fausse les boussoles des randonneurs).


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L’étang du Miroir-aux-Fées

A l’entrée du Val sans Retour, il souligne l’emprise féerique sur cette vallée. Il est dit que si l’on passe par le Miroir-aux-Fées, on passe la porte des légendes.

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Le Siège de Merlin

Situé en haut du val, c’est une formation rocheuse où Merlin avait coutume de venir voir le soleil se coucher sur la forêt. Il réfléchissait sur les mille manières d’enchanter le monde.

Le moulin de la Vallée

Il n’en reste plus que des ruines que l’on peut apercevoir contre la digue du Miroir-aux-Fées. Quatre étangs alimentaient le moulin. A l’ouest du Val, le quatrième étang a été remis en eau en 1987 par l’association de Sauvegarde du Val sans Retour. On voit encore les digues éventrées des deux autres étangs.

L’Arbre d’Or

En septembre 1990, le val a brûlé pendant 5 jours. Après l’incendie, les dons ont afflué et l’Association de Sauvegarde du Val sans Retour a organisé la restauration des zones sinistrées. En mémoire de ces évènements et pour rappeler la nécessité de la forêt des légendes, l’artiste F.Davin a créé l’Arbre d’Or. C’est un châtaignier doré à la feuille (90 grammes d’or le recouvrent), entouré de cinq arbres noirs. Les arbres noirs symbolisent la forêt brûlée et toutes les forêts détruites par négligence ou profit.

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La fontaine de Barenton

Située dans la forêt de Paimpont, accessible par le village de Folle Pensée.

Selon la légende, c’est une fontaine merveilleuse dotée de pouvoirs surnaturels: les imprudents qui déversent l'eau sur le perron de pierre voient se déchaîner les orages.

Cette croyance populaire entraînera des processions durant des années de sécheresse pour réclamer la pluie.

Cette fontaine aurait eu également des propriétés curatives pour les maladies chroniques en général, mais aussi pour les maladies mentales (d'où l'étymologie du village de Folle pensée: Fol Pansi).
La fontaine fut aussi le premier lieu de rencontre de l’Enchanteur Merlin et de la fée Viviane.


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Le tombeau de Merlin

Situé dans le bois de Trécouët, par St Malon sur Mel. Le Tombeau de Merlin était jusqu'en 1892 une allée couverte qui présentait huit dalles de schiste rouge. Fin 19ième siècle, il est définitivement saccagé par des chercheurs hypothétiques de trésor. Aujourd'hui il ne se compose plus que de deux modestes dalles de schiste rouge, adossées à un vieux houx.
Merlin, héros légendaire du 5ème siècle, fils d'un démon et d'une nonne, échappe au diable par le baptême. Devin et magicien, il rencontre Viviane, la fée du Lac dans la forêt de Brocéliande, à qui il confie le secret pour retenir un homme à jamais.

Viviane le garde alors prisonnier dans une prison d'air délimitée par neuf cercles magiques au coeur de la forêt. Arthur, fondateur de la confrérie des Chevaliers de la Table Ronde, est instruit par Merlin.


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Montfort-sur-Meu et la Légende de la Cane

Montfort fut célèbre autrefois grâce à la Légende de la Cane.
Il existe deux versions de cette légende :

Dans la première, une jeune fille prisonnière du Seigneur de Montfort, se lamente. Elle prie St Nicolas pour échapper à son ravisseur. Le Saint l'ayant exaucée, elle se retrouve miraculeusement transformée en cane et s'envole par la fenêtre du château pour se poser sur l'étang. Par la suite et durant plusieurs siècles, une cane sauvage vient tous les ans le jour de la St Nicolas, et entre dans l'église suivie de ses canetons. Elle dépose au pied du saint, un de ses petits cannetons puis s'en retourne vers l'étang.

En 1652, un récit écrit par le révèrend père Barbeuf rapporte une autre version de la légende. En 1821, François-René de Chateaubriand en fait part dans son autobiographie Mémoire d'Outre-Tombe:

" Certain seigneur avait renfermé une jeune fille de grande beauté dans le château de Montfort, à dessein de lui ravir l'honneur. A travers une lucarne, elle apercevait l'église de Saint-Nicolas; elle pria le saint avec des yeux plein de larmes, et elle fut miraculeusement transportée hors du château; mais elle tomba entre les mains des serviteurs du félon, qui voulurent en user avec elle comme ils supposaient qu'en avait fait leur maître. La pauvre fille éperdue, regardant de tous côtés pour chercher quelques secours, n'aperçut que des canes sauvages sur l'étang du château. Renouvelant sa prière à Saint-Nicolas, elle le supplia de permettre à ces animaux d'être témoins de son innocence, afin que si elle devait perdre la vie, et qu'elle ne pût accomplir les voeux faits à Saint-Nicolas, les oiseaux les remplissent eux-mêmes à leur façon, en son nom et pour sa personne.
La fille mourut dans l'année: voici qu'à la translation des os de Saint-Nicolas, le 9 de mai, une cane sauvage accompagnée de ses petits cannetons, vint à l'église de Saint-Nicolas. Elle y entra et voltigea devant l'image du bienheureux libérateur, pour lui applaudir par le battement de ses ailes; après quoi, elle retourna à l'étang, ayant laissé un de ses petits en offrande. Quelques temps après, le caneton s'en retourna sans qu'on s'en aperçu. Pendant deux cents ans et plus, la cane, toujours la même cane, est revenue, à jour fixe, avec sa couvée, dans l'église du grand saint Nicolas à Montfort."

Si les versions diffèrent sur l'origine de la légende, les deux s'accordent sur la venue régulière de la cane autour du 9 et 10 mai de chaque année.
La légende, qui semble issue de la pensée populaire très vivace au Moyen-Age, paraît avoir tellement été intégrée dans les mentalités que l'Eglise en a fait une fête religieuse locale.



Le tumulus des moines

Tertre funéraire sans chambre d'une longueur de 27 mètres. La masse de terre est bordée de 27 petits blocs dressés du côté nord et 26 du côté sud. Il est construit alternativement en quartz et en schiste rouge.

Il est daté de 3000 à 2500 avant notre ère, mais il fut réutilisé plus tard à l'age de bronze.

Les moines menaient mauvaise vie avec leur seigneur en ces lieux. Saint Méen les surprit en pleine orgie et ils furent changés en pierres sur les lieux même de leurs débauches


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Le chêne a Guillotin

Avec près de dix mètres de circonférence, la légende veut qu’un prêtre réfractaire nommé Guillotin s’y soit réfugié pendant la Révolution. Prêtre réfractaire, il vint se réfugier à Concoret en 1791. Il continua à administrer sacrements et bénédictions dans la région, et rédigea un précieux journal des événements révolutionnaires.

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Le tombeau du géant

Sépulture de l'age de Bronze, le Tombeau du Géant appelé aussi La Roche à la Vieille, offre l'exemple d'un ensemble néolithique transformé à l'age de bronze. Quatre menhirs furent abattus au deuxième millénaire pour la construction de cette sépulture individuelle qui était initialement recouverte d'un petit tumulus.

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L'hotie de Viviane

Appellé aussi le Tombeau des Druides, la couverture de cette sépulture collective néolithique à disparu.

Lors des fouilles, les archéologues ont retrouvé des polies, des tessons de poterie.

D'après la légende, c'est en ces lieux que Merlin aurait livré ses secrets à Viviane, avant que celle-ci ne trace les cercles magiques et ne l'enferme dans une prison sans chaînes ni murailles.

Il parait que par les nuits de grand vent, les plaintes de Merlin s'entendent dans tout le Val sans retour.


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La fontaine de Jouvance

Autrefois, le recensement des enfants nés pendant l'année se faisait proche de la fontaines. A la date du solstice d'été (21 juin), ces enfants étaient présentés aux prêtres afin qu'ils puissent être lavé et inscrits sur le "marith" (registre). La cérémonie avait lieu la nuit et de grand feux étaient allumés. Les enfants qui n'avaient pu être présentés au recensement de l'année étaient ramenés l'année suivante, et inscrits comme nouveaux-nés de la nouvelle année, de sorte qu'il se retrouvaient rajeunis d'un an sur le marith.

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