cyborg, ce sont des jugements téméraires...
tu as le droit d'être incroyant, mais tu dois comprendre que l'incroyance est une forme de croyance... et croire qu'il n'existe pas dans l'être un principe intelligent universel et absolu, c'est la plus téméraire et la plus absurde de toutes les croyances. croyance, parce que c'est la négation de l'indéfini et de l'indéfinissable. croyance téméraire, parce qu'elle est isolante et désolante; croyance absurde, parce qu'elle suppose le plus complet néant, à la place de la plus entière perfection.
laissons à la foi les aspirations et les définitions à la science. c'est pourquoi je me garde bien de définir Dieu. Dieu, pour la science n'est qu'une hypothèse raisonnable, parce que la science peut affirmer qu'il n'est pas absurde de croire. mais l'objet de la foi, étant nécessairement l'infini, et par conséquent l'indéfini, toute définition de Dieu est une négation de l'infini divin, et devient une formule d'idolâtrique. je ne peux donc pas même dire "je crois à une intelligence suprême et infinie", car le mot intelligence sera toujours compris par moi à la ressemblance plus ou moi agrandie de ma propre intelligence, et je ferai ainsi de l'anthropomorphisme spirituel. raisonner sur Dieu, c'est déraisonner ; le définir, c'est le finir. il faut croire en lui dans
manifestation qui est l'intelligence et dans sa "création" qui est l'amour, l'esprit de charité, la compassion... la foi ne peut être opposée à la raison, elle est nécessitée par l'amour, elle est identique à l'espérance. aimer, c'est croire et espérer, et ce triple élan de l'âme est appelé vertu, parce qu'il faut du courage pour le faire. mais y aurait-il du courage en cela, si le doute n'était pas possible ? non, car le doute est la force équilibrante de la foi et il en fait tout le mérite. nous sommes aussi et surtout les enfants de la femme, qui avons dormi sur son sein, été bercés dans ses bras et consolés par ses caresses, aimons-la et entr'aimons-nous !
tu ne veux pas réaliser que ce n'est pas pour le droit que nous devons tout oser, c'est pour le devoir. c'est le devoir qui est l'expansion et la jouissance de la liberté ; le droit isolé est le père de la servitude ! le devoir c'est le dévouement, le droit c'est l'égoïsme. le devoir c'est le sacrifice, le droit c'est l'égoïsme. le devoir c'est l'amour, et le droit c'est la haine. le devoir c'est la vie infinie, le droit c'est la mort éternelle.
s'il faut combattre pour la conquêtre du droit, ce n'est que pour acquérir la puissance du devoir : et pourquoi donc serions-nous libres, si ce n'est pour aimer, nous dévouer...et s'il faut enfreindre la loi, c'est lorsqu'elle captive l'amour dans la crainte... et c'est précisement ce qui sépare Naruto de Sasuke... religion et science… deux contradictions qui se détruisent mutuellement en tant que contradictions, et s’affirment réciproquement si on les considère comme deux affirmations fraternelles… fleuves échappées d’une même source, ils ne se séparent que pour mieux embrasser le monde, et quand ils se réuniront, ils entraineront tout avec eux.
bref, parler de paix et d’alliance au milieu d’une bataille, c’est, en effet, prendre assez mal son temps et vouloir perdre ses paroles… mais dans l’espoir d’une attention complaisante, je vais prendre le risque de demeurer isolé entre deux armées qui s’attaquent, et j’affirme que c’est par l’intelligence du vrai et la pratique du bien que s’affranchissent non-seulement les individus, mais les peuples. sur des hommes dont l’âme est libre, la tyrannie matérielle est impraticable ; mais aussi la liberté extérieure des hommes et des multitudes, qui sont intérieurement asservis à des préjugés ou à des vices, n’est qu’une multiplication et une complication de tyrannie… et la tactique des hérésiarques et des matérialistes a été de tout temps d’abuser des mots pour pervertir les choses... et c'est précisement ce qui me désole... quelqu'un s'est permis de m'associer à l'églique catholique, que je désavoue, parce qu'elle n'a servit qu'a installer un pouvoir barbare et bestial...
l'équilibre moral, c'est le concours de la science et le de la foi, distinctes dans leurs forces et réunies dans leur action pour donner à l'esprit et au coeur de l'homme une règle qui est la raison. car, la science qui nie la foi est aussi déraisonnable que la foi qui nie la science... l'objet de la foi ne saurait être ni defini ni surtout ni par la science, mais la science est appelée elle-même à constater la base rationnelle des hypothèses de la foi. une croyance isolée de constitue pas la foi parce qu'elle manque d'autorité, et par conséquent de garantie morale, elle ne peut aboutir qu'au fanatisme ou à la superstition... la foi est la confiance que donne une religion, c'est à dire une communion de croyance... le monde entier rêve encore l'unité de pouvoir, et ne comprend pas la puissance du dualisme équilibré... la science de l'équilibre moral fera cesser les querelles de religion et les blasphèmes philosophiques. tous les hommes intelligents seront religieux, quand il sera bien reconnu que la religion n'attente pas à la liberté d'examen, et tous les hommes vraiment religieux respecteront une science qui reconnaitra l'existence et la nécessité d'une religion universelle. cette science répandra un jour nouveau sur la philosophie de l'histoire et donnera un plan synthétique de toutes les sciences naturelles. la loi des forces équilibrées et des compensations organiques révèlera une physique et une chimie nouvelles; alors de découvertes en découvertes, on en reviendra à la philosophie hermétique, et l'on admirera ces prodiges de simplicité et de clarté oubliés depuis si longtemps... la philosophie alors sera exacte comme les mathématiques, car les idées vraies, c'est à dire, identiques à l'être constituant la science de la réalité fournissent avec la raison et à la justice des proportions exactes et des équations rigoureuses comme les nombres. l’erreur donc ne sera plus possible qu'à l'ignorance ; le vrai savoir ne se trompera plus... l'esthétique cessera d'être subordonnée aux caprices du goût qui change comme la mode. si le beau est la splendeur du vrai, la poésie n'aura plus de tendances folles et subversives. les poètes ne seront plus ces enchanteurs dangereux que Platon bannissait de sa république en les couronnant de fleurs ; ils seront les musiciens de la raison et les gracieux mathématiciens de l'harmonie.
être poète, c'est créer; ce n'est pas rêver ni mentir. Dieu a été poète lorsqu'il a fait le monde, et son immortelle épopée est écrite avec des étoiles. les sciences ont reçu de lui les secrets de la poésie, parce que les clefs de l'harmonie ont été remises entre leurs mains. les nombres sont poètes, car ils chantent avec ces notes toujours justes, qui donnaient des ravissement au génie de Pythagore. la poésie qui n'accepte pas le monde tel que Dieu l'a fait, et qui cherche à en inventer un autre, n'est que le délire des esprits des ténèbres: c'est celle-là qui aime le mystère et qui nie les progrès de l'intelligence humaine. à celle-là donc les enchantements de l'ignorance et les faux miracles de la théurgie ! à celle-là le despotisme de la matière et les caprices des passions ! à la poésie anarchique, en un mot, les tentatives toujours vaines, les espérances toujours déçues, le vautour et la rage impuissante de Prométhée, tandis que la poésie soumise à l'ordre, qui lui garantit une liberté inviolable, cueillera les fleurs de la science, traduira l'harmonie des nombres, interprétera la prière universelle et marchera tantôt devant la science, tantôt sur ses traces, mais toujours près d'elle, dans la lumière vivante du Verbe, c'est à dire la parole d'action, et dans la voie assurée du progrès...
croire, c’est savoir sur parole, c’est devancer la science par l’intuition qu’elle doit justifier plus tard, croire véritablement, c’est échapper à l’incrédulité et à l’ignorance parce que l’on s’appuie également et sur la science et sur la foi. le monde est las de morcellements et de divisions, et tend de toutes ses forces à l’unité, l’universalité, las de marcher toujours sans arriver jamais, mais pour cela il faudra cesser de se séparer des autres que par des mots mal entendus... mais loin de moi l’idée de priver qui que ce soit du sens de sa vie, vous voyagez péniblement comme moi, et par des chemins différents, nous devrions arriver ensemble… toute foi qui n'éclaire pas et n'agrandit pas la raison, tout dogme qui nie la vie de l'intelligence et la spontanéité du libre arbitre, constituent une superstition...
il est certains que, la parole est à la fois une conception intelligente et une conception vulgaire, toute définition risquée par l'intelligence humaine, est une recette d'empirisme de la pensée, c'est vrai... mais la lumière seule, sans ombre, serait invisible pour nos yeux, et produirait un éblouissement équivalent aux plus profondes ténèbres... la religion, c'est à dire, l'amour universel ? n'en parlons pas à la légère, et surtout ne la jugeons pas avant de l'avoir sérieusement étudiée... je ne veux pas me maintenir au-dessus des autres hommes alors je prend le risque de prostituer à vos commentaires et à votre risée ma parole... ne rien penser, ne rien aimer, ne rien vouloir, ne rien faire, voilà le vrai péché... combien de poltrons et de lâches se croient vertueux parce qu'ils ont peur ?
voilà le post effacé :
danzô, je ne le regrette pas... tout est négatif dans son oeuvre... le charlatanisme, lorsqu'il réussit, est donc, en toutes choses, un grand instrument de puissance. fasciner habilement le vulgaire, n'est ce pas déjà le dominer ? mais lorsque l'on exerce un pouvoir un apparence surhumain, il faut l'exercer toujours ou se résigner à perir. car le monde se venge toujours lâchement d'avoir trop cru, trop admiré et surtout trop obéi. il n'est pas de vice qui ne laisse une trace, pas une vertu qui n'ait son signe
(et c'est précisement pour cela que j'expliquais Sasuke de cette manière: "les injures faites à un seul homme peuvent et doivent si on ne les répare pas, causer la perte de tout un peuple ou de toute une société : c'est ce que l'on appelle le cri du sang, car au fond de toute injustice il y a le germe d'un homicide." ; au passage, merci R'iryh 
- je ne prenais plus le temps d'intervenir, parce que je prépare un déménagement, je quitte enfin Paris ! dès la fin du mois de février). l'homme formule la lumière par son imagination ; il attire à lui la lumière suffisante pour donner les formes convenables à ses pensées et même à ses rêves ; si cette lumière l'envahit, s'il noie son entendement dans les formes qu'il évoque, il est fou. les maladies magnétiques sont par elles-mêmes un acheminement à la folie, et naissent toujours de l'hypertrophie ou de l'atrophie du système nerveux... danzô ressemble à un hystérique... et cela nous permet de comprendre que le diable existe bien réellement, mais ce n'est ni une personne, ni une puissance distincte des forces mêmes de la nature. le diable c'est la divagation ou le sommeil de l'intelligence. c'est la folie ou le mensonge... mais on ne conçoit jamais le mal absolu que comme une fausse idée du bien. le bien seul peut être absolu, et le mal est uniquement relatif à nos ignorances et à nos erreurs. tout homme se fait diable d'abord pour être dieu ; mais, comme la loi de solidarité est universelle, la hiérarchie existe dans l'enfer comme dans le ciel. un méchant trouvera toujours un plus méchant que lui pour lui faire du mal ; et c'est là que Sasuke intervient...
ce nouveau Sasuke nous permet de réaliser une chose : le mal existe. nous pouvons faire bien ou mal. il est des êtres qui sciemment et volontairement font le mal. l’esprit qui anime ces êtres et qui les excite à mal faire est dévoyé, détourné de la bonne route, jeté en travers du bien comme un obstacle ; et voilà précisément ce que signifie le mot greg diabolos.
les esprits qui aiment et font le mal sont accidentellement mauvais. il y a donc un diable qui est l'esprit d'erreur, d'ignorance volontaire, de vertige ; et il y a des êtres qui lui obéissent, qui sont ses envoyés, ses émissaires, ses anges, et c'est pour cela qu'il est parlé dans l'évangile d'un feu éternel qui est préparé, prédestiné en quelque sorte au diable et à ses anges. mais ici c'est le chrétien qui s'incline ; laissons parler la science ou la raison, c'est la même chose: le mal moral est le mensonge en actions comme le mensonge est le crime en paroles. l’injustice est l'essence du mensonge ; tout mensonge est une injustice. quand ce qu'on dit est juste, il n'y a pas mensonge. quand on agit équitablement et d'une manière vraie, il n'y a pas péché. l’injustice est la mort de l'être moral, comme le mensonge est le poison de l'intelligence. l’esprit de mensonge est donc un esprit de mort. ceux qui l'écoutent sont empoisonnés par lui et sont ses dupes.
mais s'il fallait prendre sa personnification absolue au sérieux, il serait lui même absolument mort et absolument trompé, c'est à dire que l'affirmation de son existence impliquerait une évidente contradiction... jésus a dit : "le diable est menteur ainsi que son père." qu'est ce que le père du diable ? c’est celui qui lui donne une existence personnelle en vivant d'après ses inspirations ; l'homme qui se fait diable est le père du mauvais esprit incarné... mais quand le mal est à son comble, il faut qu'il cesse, car il ne pourrait continuer que par l'anéantissement de l'être, ce qui est impossible. et c'est là que Naruto intervient... le vide attire le plein, et c'est ainsi que l'abime de pauvreté et de misère, le prétendu mal, le prétendu néant, la passagère rébellion des créatures attire éternellement un océan d'être, de richesse, de miséricorde et d'amour... alors les hommes-diables, à bout de ressources, retombent sous l'empire des hommes-Dieu et sont sauvés par ceux qu'on croyait d'abord leurs victimes ; mais l'homme qui s'évertue à vivre en faisant le mal rend hommage au bien par tout ce qu'il développe en lui même d'intelligence et d'énergie...
personne n'est isolé dans le monde, tout homme est une fatalité ou une providence. et tant que l'homme est asservi aux exigences de la fatalité, orgueilleux et implacable, c'est un profane, c'est à dire, en l'occurence, un homme qu'il faut repousser loin du sanctuaire de la science ninja... la science ninja, en effet, serait entre ses mains un instrument terrible de destruction. l'homme libre au contraire, c'est à dire celui qui domine par l'intelligence les instincts aveugles de la vie, celui-là est essentiellement conservateur et réparateur, car la nature est le domaine de sa puissance. et quand le profane voudrait bien faire, il ferait mal... l'homme libre ne peut pas vouloir mal faire; s'il frappe, c'est pour châtier et pour guérir. le souffle du Sasuke est mortel, celui de Naruto est vivifiant. Sasuke souffre pour faire souffrir les autres, Naruto souffre pour que les autres ne souffrent pas. Sasuke trempe ses flèches dans son propre sang et les empoisonne ; Naruto, libre avec une goutte de son sang, guérit les plus cruelles blessures...
est-ce à dire que la terre deviendra un eldorado lorsque Naruto sera Hokage ? non, car tant qu'il y aura une humanité, il y aura des enfants, c'est à dire des faibles, des petits, des ignorants et des pauvres. mais la société ninja sera gouvernée par ses véritables maitres, et il n'y aura plus de mal sans remède dans la vie humaine.
Naruto vs Sasuke ?
deux joueurs d'échec d'égale force, sont assis à une table, ils commencent la partie, lequel des deux gagnera ?
- celui qui sera le plus attentif à son jeu.
si je connais les préoccupations de l'un et de l'autre, je puis prédire certainement le résultat de leur partie. au jeu d'échecs, prévoir c'est gagner, il en est de même au jeu de la vie. car rien dans la vie n'arrive par hasard, le hasard, c'est l'imprévu; mais l'imprévu de l'ignorant avait été prévu par le sage. tout événement, comme toute forme, résulte d'un conflit ou d'un équilibre de forces, et ces forces peuvent être représentées par des nombres: l'avenir peut donc être d'avance déterminé par le calcul.
Kage Bunshin vs Sharingan...
la clef ?
Sasuke empoisone son intelligence et ne réalise pas que la hardiesse unie à l'intelligence est la mère de tous les succès en ce monde...
nous sommes jetés dans la vie comme en pleine mer : il faut nager ou périr... et il n'y a rien de mieux à faire en ce monde que d'aider les autres a sortir de l'influence de cet orgueil qui les manipules comme des pantins, de leur illusoire Ego et de l'ignorance fondamentale... courage Naruto ! tu comprends parfaitement qu'être riche c'est donner ; et que ne rien donner c'est être pauvre ; que vivre c'est aimer ; que ne rien aimer c'est être mort ; qu'être heureux c'est se devouer ; que n'exister que pour soi c'est se réprouver soi-même et se séquestrer dans l'enfer... Naruto, il faut savoir que la volonté de l'homme modifie les causes fatales. Sasuke, ce n'est pas pour le droit que nous devons tout oser, c'est pour le devoir. c'est le devoir qui est l'expansion et la jouissance de la liberté ; le droit isolé est le père de la servitude ! le devoir c'est le dévouement, le droit c'est l'égoïsme. le devoir c'est le sacrifice, le droit c'est l'égoïsme. le devoir c'est l'amour, et le droit c'est la haine. le devoir c'est la vie infinie, le droit c'est la mort éternelle. l'homme du droit c'est Caïn qui tue Abel par envie ; l'homme du devoir c'est Abel qui meurt pour Caïn par amour...
s'il veut libérer Sasuke, Naruto va devoir se défaire de Madara... l'atmosphère fluidique des fous est souvent un poison pour les raisons chancelantes et pour les imaginations exaltées, et c'est de là que viennent les monomanies meurtrières et les tentations du suicide, de là vient cet esprit de perversité que Poe a décrit d'une manière si saisissante et si vraie, d'où l'avertissement d'Itachi au sujet de la nature naïve de son petit frère... car on s’endort parfois sans s’en apercevoir au milieu de la vie réelle, et alors, au lieu de penser, on rêve. et lorsqu’un homme succombe au sommeil, il a en horreur tout ce qui pourrait l’éveiller. il en est de même des hallucinés, des somnambules statiques, des maniaques, des épileptiques et de tous ceux qui s’abandonne au délire d’une passion. ils ont entendu la musique fatale, ils sont entrés dans la danse macabre, et ils se sentent entraînés dans le tourbillon du vertige. vous leur parlez, ils ne vous entendent plus, vous les avertissez, ils ne vous comprennent plus, mais votre voix les importune ; ils ont sommeil du sommeil de la mort...
une chanson en hommage à Karin, que je commençais à apprécier :
http://www.youtube.com/watch?v=BnXBAv3-TKQ bite marks de atlas sound...
bite marks..all over your back.. 
et paf ça fait des chocapic...
je suis désolé, c'est très long, mais j'ai quitté l'école à 17 ans, alors j'étudie dans la vie, avec les autres, plutôt que contre les autres...
Je pense que si c'était du à mon simple poste, sans valeur ajoutée certes, mais tout de même non dénué de sincérité, à savoir que ce que j'en ai lu et compris était en accord avec ce que je pense sur certains points, mais aussi une petite touche d'ironie (surtout que je me remate Kaamelott en ce moment, oui je sais je raconte ma vie XD) ce serait bien triste^^
Pourquoi cela ? 
La question qui me démange le plus est réellement de connaître ta religion. 
