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Bah le titre c'est Origins, donc....
Une préquelle oué (c'est la mode après tout)

kito a écrit :

Alors, oui mais non en fait.

Ce film est formidablement stupide au point que ça mérite une récompense.
95% de l'invasion alien se concentre sur l'immeuble où sont les héros (lol), les aliens ont besoins des cerveaux humains pour survivre mais on sait pas comment ils faisaient avant (lol x 2), les personnages sont tous dotés d'une ouïe hyper développée (vas y que j'entends ce qui ce dit de l'autre côté de la rue en pleine attaque, ou mieux: j'entends les battements du coeurs de mon foetus de 3 semaines (mega-lol); et enfin le super plan des héros: s'enfuir en bateau (c'est tellement discret un bateau qui se barre seul de la marina quand les ennemis possèdent des vaisseaux aériens) (giga-lol).

Et je parle pas de la fin.
Vivement l'épisode 2.

Après avoir vu ça faudrait que je regarde Battle Los Angeles (plus sur du nom) histoire de rester dans le même ton.

J'ai la chance (oui oui) d'avoir vu les deux et c'est deux bonnes grosse daubes, avec peut être une légère préférence pour Battle Los Angeles étant l'un des seuls films où Skyline est définitivement mauvais de chez mauvais dans tout.

kito a écrit : Genre le boss du héros

"- mais monsieur ça augmente l'intelligence!
- m'en fiche vous êtes viré!

15min de film plus tard:
- il faut reprendre le projet! le produit rend intelligent!
- vraiment? c'est génial! vous êtes ré-engagé!"

WTF

Ou le type qui se fait contaminer au labo, il pourrait rester au près des scientifiques qui ont mis au point le truc pour essayer de le guérir ou même juste aller à l'hosto, non non lui il préfère vomir sur les gens. Normal.

moi jsuis allé le voir en y ayant peur par rapport aux films, mais au final j'ai beaucoup aimé

Scott Pilgrim. J'ai adoré.

Heat de Mann :



Je ne compte même plus le nombre de fois que je l'ai vu. C'est toujours la même chose avec ce genre de films. "Je matte juste de début histoire de. Juste a première demi-heure." Et comme à chaque fois, je suis incapable d'arrêter le film.

Le casse d'intro est fabuleux.
De Niro est magique.
Al Pacino est dantesque.
La mise en scène est absolument magistrale.
Los Angeles est tentaculaire.

La relation De Niro / Brenneman est belle à en crever.
Le casse dans la banque est fou.
La fusillade qui en découle, un sommet en terme d'intensité et de réalisation.
Val Kilmer déboite.
Sizemore transpire la classe.

Le score de Goldenthal envoie la purée.
Le face à face entre Hanna et McCauley est somptueux.
Le final laisse pantois.

Heat est grand, fort, beau. Quelle histoire. Quels personnages. Quelle réal...
Heat est un chef-d’œuvre.

Bah le titre c'est Origins, donc....
Une préquelle oué (c'est la mode après tout)

OK… mais comment les singes se retrouvent sur une autre planète du coup ? Le scénario «resident evil» d'Origins n'a rien à voir avec ce qui est expliqué dans le premier film Bah, j'me casse trop la tête sans doute.

Mais... la planète des singes ça a toujours été la Terre.

Oui c'est d'ailleurs tout l'intérêt de la dernière scène du premier film

Je parlais de la Planète des Singes de Tim Burton en fait, celui où des singes massacrent l'équipage d'un vaisseau échoué sur une planète inconnue et la colonisent… beaucoup de gens ont préféré oublier l'existence de ce film pour une raison ou une autre Vu l'affiche ça me semblait être une préquelle à celui-là, mais apparemment c'est une préquelle à l'original…

edit : OK je comprends mieux !

A 2011 reboot of the Planet of the Apes franchise. Word Of God says that whilst the film is a loose remake of Conquest of the Planet of the Apes it's set in a new continuity intended to be the Origin Story for future films.

Il y aura donc d'autres films…

en faite c'est même pas un prequel tout court car dans le premier film (1968) l'équipage se retrouve sur une planète du système de l'étoile de Betelgeuse
mais en retournant sur Terre il (le urvivant) se rend compte que l'évolution est la même (il a fait un bond dans le future)

Edit: je me plante la c'est le roman

dans le film de 68, l'équipage traverse une brèche de l'espace-temps et se retrouve sur la terre 2000 ans plus tard.

Zombie Diaries 2:





De loin le plus mauvais film de zombi avec Diaries of the Dead (coincidence?) que j'ai vu à ce jour.
C'est...c'est.... y a absolument rien à garder c'est affligeant

Au moins Diaries of the Dead tu pouvais le prendre au millième degré et marrer mais là même pas vu que le film tente d'être sérieux avec des scènes pseudo chocantes (viols où on y croit pas une seconde: "salut je me fais violer mais j'ai encore mes sous vêtements et mon pantalon!")

Comme dans la plupart des films de ce genre les personnages sont stupides (oui même ceux qui ont reçus un entrainement militiaire; en fait surtout eux) ce qui donne de nombreuses scènes du type "les zombies ne nous ont pas vu, on peut les contourner tranquillement ou foncer dans le tas avec presque plus de munitions et prendre le risque d'en attirer d'autres".

Je vous laisse deviner l'option choisit.

Pire, on doit voir 3-4 zombies max et le reste du temps des ombres / silhouettes: SU-PER

D'ailleurs parlons en des zombies, outre le fait qu'ils soient des morts vivants qu'on peut tuer grâce à un coup de couteau dans le bide ( :facepalm: ) ces derniers sont lents.
Alors c'est vrai que depuis l'arrivée des zombies sprinteurs les "walking deads" ont perdus de leur force mais bon ils sont toujours censé être menaçants.
Bah là honnêtement à part si vous êtes tétraplégique je vois pas comment on peut se faire avoir par ces trucs (mention spéciale au travail absolument nul à chier des figurants zombies).

En plus de se déplacer à la vitesse d'une grand mère sous tranquillisant ces derniers sont visiblement dépourvus de leur 5 sens (comme on peut le constater dans la scène du cimetière où pour fêter cette nouvelle nos héros ne trouveront rien de mieux que de zigouiller tout ceux qu'ils croisent, histoire de se foutre un peu plus dans la merde).

Autant vous dire que le côté "documentaire" avec caméra à l'épaule n'apporte absolument rien; d'ailleurs à part dans le projet Blair Witch (et encore) j'ai jamais vu un film justifier qu'un personnage du groupe puisse s'amuser à faire des zooms pendant que les autres sont en train de galérer à survivre.

Car oui dans ZD2 le caméraman semble avoir utilisé un code d'invisibilité qui lui permet de faire des gros plans sur ses potes en train de se faire dévorer alors qu'il est lui même encerclé ( :facepalm: ).



Je vais m'arrêter là mais faut savoir que j'ai à peine craché sur la moitié du film là
C'est quand même triste de se dire que les meilleurs films de zombies (saga des 28) sont des films où ce ne sont pas des zombies justement

(Y avait bien celui qui se passait dans un centre commercial qui était pas mal mais bon...)

D'ailleurs parlons en des zombies, outre le fait qu'ils soient des morts vivants qu'on peut tuer grâce à un coup de couteau dans le bide ( :facepalm: )

Tite parenthèse, les justifications scientifique sur le pourquoi des zombies et comment les tuer, je trouve qu'il y en a pas l'un pour rattraper l'autre

Donc entre le "quand le petit morceau cerveau va, tout va", et "je suis aussi solide qu'un humain normal, bouuuuh", c'est kiff kiff. Après pour le coté film d'horreur, la première version fais plus peur. Mais bon vu comment le réalisateur semble se foirer dans ta review sa aurait pas sauvé le film

Rien ne vaux les zombies d'heroic fantasy. Sa bouge par magie, c'est comme des marionnette, et même si une morsure d'un cadavre putréfié s'pas super hygiénique, sa risque pas de te transformer direct =p

C'est quand même triste de se dire que les meilleurs films de zombies (saga des 28) sont des films où ce ne sont pas des zombies justement

CQFD

Alors c'est vrai que depuis l'arrivée des zombies sprinteurs les "walking deads" ont perdus de leur force mais bon ils sont toujours censé être menaçants.
Bah là honnêtement à part si vous êtes tétraplégique je vois pas comment on peut se faire avoir par ces trucs (mention spéciale au travail absolument nul à chier des figurants zombies).

Honnêtement je suis bien d'accord, des zombies "marcheurs" c'est toujours bien flippant quand c'est bien fais, d'ailleurs c'est à ça qu'on vois que ton réalisateur à bien fail, car pour que tu es cette sensation, faut vraiment se planter dans la mise en scène. Pour qu'un zombie sois menaçant faut qu'il y est pas des masses d'endroit pour leurs échapper. Au hasard, un endroit clos, étroit, pile poil là où les gens se planquent en général, pas dur à comprendre

Je viens de choper guide de survie en territoire zombie, sa pourra peut être m'expliquer certaine choses

Sinon j'aime bien le sous titre "this tome they're ready", vu la bande de manches que tu décris, on dirait bien

Ha bah oué ils sont super ready les gonzes: au début du film ils sont sur une base militaire fortifiée mais y en a pas un qui se dit "hey Michel ptêt qu'on devrait installer des projecteurs en cas d'attaque nocturne tu crois pas? Histoire d'éviter qu'on se tire dessus toussa toussa..."

:facepalm:


J'ai pas vu le 1 (je vais le regarder maintenant je pense) donc je sais pas quel genre de zombies ils sont (morts-vivants, infectés...) mais j'ai jamais vu de zombies mourir après un coup de couteau dans le ventre Révolution des dialogues dans les films du genre: "visez la tête les intestins!"

Ah et aussi il semblerait que dans le film les humains sont fait en caoutchouc, puisque visiblement il suffit à un zombie sans super force d'avoir des ongles pour ouvrir un Homme tel un gigot du dimanche (alors autant dans Shaw of the Dead c'est marrant, autant là...)

Restless - Gus Van Sant :



2 ans après Milk, Gus Van Sant revient au cinéma avec son film Restless. Film tourné vers l'enfance et l'innocence, Gus Van Sant se tourne vers deux jeunes acteurs : Mia Wasikowska (Alice au pays des merveilles) et Henry Hopper qui signe ici son premier film (c'est le fils du géant et regrété Dennis Hopper) pour donner vie à son histoire.
Restless est un retour aux sources pour le cinéaste. On retrouve les thèmes chers qu'il a développé au cours de sa filmographie avec l'enfance et la mort. Tourné dans une très grande simplicité, le film est un vrai conte initiatique sur la mort et son acceptation. Fleurtant entre la poésie et le fantastique, on prend un très grand plaisir à voir se développer cette histoire d'amour entre Enoch et Annabelle.
La mort est ici abordée de façon très naturelle et très naïve. Après tout, elle est vue aux travers des yeux de jeunes adolescents qui font fassent pour la première fois à celle-ci et ne savent pas réellement comme la gérer. L'opposition entre Enoch, sombre, meurtri et fasciné par la mort qui cherche à fuir les êtres vivants et Annabelle, véritable rayon de soleil éphémère qui cherche à vivre ses derniers instants au maximum tout en se réfugiant dans la vie, dans sa découverte et dans son étude allant jusqu'à développer une fascination pour Darwin et l'ornithologie, est délicieuse. L'alchimie entre les deux acteurs est palpable et donne un vrai charme à ce film. Voir ces deux enfants s'embrasser sur le sol avec leurs corps dessinés à la craie offre quelque chose de très poétique. Ryo Kase, en kamikaze errant auprès d'Enoch donne une impression de réconfort face au thème fort du film : La mort d'une personne qui n'est même pas encore adulte.
Le tour de force du film est la chaleur qu'il procure. Après tout, Gus Van Sant arrive à nous offrir une scène finale où bien que le lieu soit hautement inapproprié (l'enterrement d'Annabelle), on ne peut s'empêcher de sourire face aux moments passés avec Annabelle que se remémorent Enoch. Il sourit enfin. Pas à la mort mais à la vie. Il semble être comme cette oiseau qui chante chaque matin parce qu'il est en vie dont Annablle nous racontés l'histoire au cour du récit.

En très grand fan de Gus Van Sant, j'ai été forcément conquis par cette fresque amoureuse portée par de très bons acteurs (la soeur d'Annabelle est aussi très convaincante). Pour l'anecdote, une grande partie de la bande-son a été écrite par Gus Van Sant et le morceau de clôture est même joué par lui.
Filmé avec une grande simplicité et surtout une grande délicatesse, Restless ne peut que nous attendrir sur le sort tragique de ce couple éphémère, qui découvrent aussi bien la vie que la mort. Cette dernière est vue sous tous les angles et les enfants se jouent d'elle (à l'image de la répétition de la mort d'Anna), pour pouvoir ensuite mieux l'accepter et permettre à ceux qui restent de vivre en paix avec eux-même.

Je suis allé voir DRIVE au cinéma cet aprem.... ET QUELLE CLAQUE ! Grandiose!