Ecrasante victoire des
Doors avec
17 voix pour seulement
7 voix à
Air (qui malgré son bon départ s'est un peu essouflé en fin de versus... je sais elle est bonne...)
Sinon à part ça les beatles ont honteusement gagner après avoir lâchement acheté un voix. La corruption c'est mal... Et seul la corruption peut permettre de donner sa voix au Beatles...
Bon sur cette parenthèse achevée on va passer à quelque chose de plus réjouissant... le prochain versus...
Et comme je suis fou on va en faire deux

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David Bowie VS
Bjork
Metallica VS
NERD
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Présentation de David Bowie :
Tiré de :
http://musique.fluctuat.net/david-bowie.html
Personnage controversé. Artiste fuyant. David Bowie est l’un des rares dinosaures de la pop toujours en activité. Cité comme référence par de nombreux jeunes groupes, et pas les moins talentueux, il reste capable du meilleur... quand il s'y met.
C’est le 8 janvier 1947 à Brixton que le petit David Robert Jones est mis au monde. Il découvre le rock’n roll à travers Chuck Berry, Little Richard, Jimmy Reed et continue son initiation sur les Stooges, T-Rex, et le Velvet Underground.
Jeune saxophoniste, il sort quelques disques qui n'ont pas le succès escompté. Le jeune David se retire dans un monastère bouddhiste en Ecosse, avant de rejoindre la troupe de mimes de Lindsay Kemp, puis de créer sa propre troupe en 68, mêlant mime, poésie et musique, qui se nommera Becken Arts Lab. Pour financer ce laboratoire, il s’invente faux-compositeur hippie, et passe leur discours au filtre de son ironie sur l’album qui le fera connaître : Man of Words, Man on Music, rapidement rebaptisé Space Oddity, en référence à la pièce maîtresse du disque, qui fît exploser David Bowie auprès du public. Ironiquement, celle-ci servira de bande-son pour ouvrir les émissions de la BBC couvrant les premiers pas de l’homme sur la Lune.
Entre 69 et 70, Bowie tourne avec T-Rex. Il rencontre le bassiste Tony Visconti et le guitariste Mark Ronson et sort avec eux The Man who sold the World, un album grunge avant l’heure, dont la pochette fait scandale : Bowie y pose allongé sur un lit en robe de femme. Prenant ses détracteurs à contre-pied, il sort l'année d'après un disque de pop illuminée qui fera date dans l’histoire de la musique : Hunky Dory. Succès.
Bowie et sa bande se mettent alors à plancher sur The Rise and Fall of Ziggy Stardust and the Spiders from Mars. L’album, destiné à être direct, facile d’accès et à hanter les charts durant trois semaines se dessine un univers sonore et un imaginaire si théatrâls qu’il en devient emblématique. L'avatar Ziggy Stardust surpasse David Bowie et entraîne un déluge de fans dans sa science-fiction glam. Le succès est écrasant, Bowie devient un personnage important et influent de la scène pop internationale.
C’est sans doute en travaillant sur l'album d'après, Aladdin Sane (1973), que Bowie a réellement commencé à se pencher vers l’introduction d’élément visiblement novateurs dans sa musique. Avec ce disque Bowie installe une logique de métissage dans sa musique, qui lui vaudra son appellation de caméléon. Se servant de l’incroyable talent du pianiste Mike Garson, il introduit le free jazz dans le rock. Sur scène, et sur le conseil de son manager, le personnage Ziggy Stardust se suicide pour disparaître à jamais de la discographie de David Bowie.
Pour assurer la transition, Bowie sort Pins Up, fin 1973, un album de reprises, joli mais finalement anecdotique. Il revient l'année d’après avec Diamond Dogs, inspiré de l’univers d’anticipation desespéré du roman 1984 et très orienté vers le funk et la soul. Il poursuivra ses efforts soul sur Young Americans (1975), où il plonge encore plus avant dans la musique populaire noire américaine, qui sera le premier disque chanté par un blanc à entrer dans les charts noirs.
Junkie convaincu, Bowie est sujet de crises paranoïaques aiguës. La cocaïne le rend famélique. Il abandonne la soul et adopte le style éthéré du Thin White Duke (fin duc blanc), pour un album mêlant expérimentations soniques et tubes pop taillés pour le dance floor : Station to Station.
En proie aux élucubrations causées par la drogue, il surprend la foule anglaise amassée pour saluer le retour du héros des Etats-Unis en la gratifiant d’un salut hitlérien. Il s’enfuie alors vers le vieux continent, accompagné d’un Iggy Pop dans le même état que lui, pour se calmer et composer. Il émigre à Berlin et commence à travailler avec Brian Eno, tandis qu’il aide Iggy Pop à composer son album Lust for Life et produit The Idiot.
De cette collaboration, émergeront trois albums. Le premier, Low, marque un sommet dans la carrière de Bowie. Eno et lui créent un disque double, fait de pop électronique dansante, et d'une pure électronique instrumentale, qui jette les bases de l’ambient. Le disque déroute les fans du caméléon et les ventes ne suivent pas. Mais le disque suivant, Heroes, corrige le tir en proposant un album à l'architecture sensiblement identique mais plus accessible, et surtout porté par la chanson-titre "Heroes" qui deviendra l’un des (nombreux) strandards de Bowie. Le troisième disque, Lodger, achève de créer une pop à tendance et thématique électronique.
Il achève sa décennie pop avec Scary Monsters, un album freak, ou il suicide ses anciens personnages et attaque son penchant pour la drogue.
En 1983, son plus grand carton au box-office, Let's Dance, signe la fin de son âge d'or. Plutôt disco, il annonce une décennie durant laquelle le musicien va s'enfoncer dans une musique kitsch et formatée, très peu inspirée, et qu'il avouera lui-même regretter plus tard. Tonight (1984), Never Let Me Down (1987), ses deux albums sortis au sein du groupe Tin Machine (1989 et 1991), Black Tie White Noise (1993), les disques se suivent et disparaissent sans laisser de traces.
Impressioné par les efforts de la génération 90, Bowie s'inspire de l'indus et du shock rock, débauche Brian Eno, et s'attèle à Outside, qui sort en 1995. Véritable renouveau, l'album est lourd, sombre, conceptuel, avant-guardiste, et bénéficie d'un son très travaillé. Bowie regagne l'état de grâce. Il enregistre un titre avec Trent Reznor (monsieur Nine Inch Nails), qui assure la première partie de la tournée Outside. Il enchaîne en s'occupant de l'honorable bande originale du film Buddha of Subburbia, et Earthling en 1997.
Bowie s'occupe ensuite de la bande-son du jeu vidéo français The Nomad Soul (deux personnages du jeu hériteront de son visage). Mais mis en album sur Hours (1999), sa musique passe moins bien. Il revient à quelque chose de plus épuré, où il met en avant ses talents de crooner (sa voix a pris de l'âge), Heathen (2002), un joli succès critique. Et revient au rock e 2003 avec Reality. Le résultat est bancal, mais il repart pour une tournée mondiale qui fait fureur, même si l'artiste approchant la soixantaine se révèle de plus en plus fatigué. Il y a un problème et Bowie subit une opération cardiaque en urgance, ce qui met une fin brutale à sa tournée.
Depuis, Bowie a participé à l'enregistrement de quelques jeunes groupes, donnant un appui de poids à Arcade Fire et TV On The Radio. Il annonce en 2006 sa décision de prendre une année sabatique, sans enregistrement, sans tournée, pour se reposer et regarder tourner le monde dans lequel il a si souvent joué le premier rôle.
Les liens à écouter avant de voter 
:
Space Oddity
Ziggy Stardust
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Présentation de Björk :
Tiré de :
http://musique.fluctuat.net/bjork.html
Björk Gudmunsdottir naît le 21 novembre 1965 à Reykjavik en Islande. Depuis, elle a décidé de ne garder que son prénom, grand bien lui en a pris ! Elevée dans une communauté hippie, elle est dès son plus jeune age baignée dans la musique. Enfant précoce, Björk à 3 ans fait déjà étalage de ses qualités vocales à son entourage et en anglais (yaourt ?) s’il vous plait. Deux ans plus tard elle s’empare d’une flûte et d’un piano dans sa première école de musique. En 1977, fan de Jimi Hendrix et Eric Clapton, son talent est repéré par une maison de disque locale qui sort son premier album « Björk » en 1977, un disque de comptines pour enfants… Ado, Björk se rebelle et passe au punk. Elle écume plusieurs formations, mais ne s’y sent pas à son aise. En 1983, le groupe Kukl lui donne enfin l’occasion de s’exprimer comme elle l’entend. 1987 : Kukl devient The Sugarcubes et accessoirement le groupe islandais le plus célèbre au Monde. Après trois albums, la chanteuse-leadeuse, trop à l’étroit décide de voler de ses propres ailes. The Sugarcubes se saborde en 1992. Björk, déjà mère d’un garçon s’exile en Angleterre afin de produire son premier disque au titre évocateur : « Debut » (1993) en collaboration avec Nellee Hooper. Une réussite pop qui lui vaut une seconde tournée, en solo cette fois-ci.
Conseillée par son illustre compagnon de l’époque, Tricky (Massive Attack), toujours aidée de Hooper auquel s’est adjoint le producteur Howie B, Björk retourne sur son île gelée en 1995 pour réaliser son second disque : « Post », clairement orienté trip hop. Le nom de Björk se fait vite connaître de par le monde et dépasse la sphère des simples amateurs du genre. S’aventurant encore plus loin dans l’expérimentation, « Homogenic » produit en duo avec Mark Bell (de la formation techno LFO) parait en 1997. Plongée dans ses racines Islandaises, parée de beats industriels saccadés, distorsions sonores et mélodies glaciales, Björk propose son album le plus personnel et sans doute l’un des plus aboutis de sa discographie, à l’image des excellents morceaux « Bachelorette » ou « Hunter ». Artiste résolument à part et icône bobo, pas étonnant que Björk s’acoquine avec le très underground cinéaste Lars von Trier. En 2000 elle incarne le personnage principal de son film « Dancer in the Dark » qui lui permet de remporter le prix d’interprétation féminine au Festival de Cannes et pour lequel elle à composé la bande originale : « Selma Songs ». L’année suivante la petite Islandaise pond un quatrième opus solo « Vespertine », aux sonorités toujours aussi froides, bien plus douces et intimistes que le grandiose « Homogenic », où Björk fait une fois de plus merveilleusement étalage de sa grande sensibilité. En 2002 et 2003 suivent son « Greatest Hits » et « Live Box », coffret constitué de quatre CD et d'un DVD de chansons enregistrées en concerts.
Installée à New York, où elle vit désormais avec son mari plasticien Matthew Barney et son deuxième enfant Isadora, elle ne fait pas relâche et décide de centrer son nouveau disque « Medulla » (2004) sur la voix humaine, album concept où les instruments ont été éradiqués. En 2005 elle décide de faire les choses en famille et met en musique le film « Drawing Restraint 9 » réalisé par son compagnon, un grand touche a tout lui aussi. En 2007, Björk revient pour un nouvel album aux sonorités plus dans les tons du moment avec Volta en invitant notamment Antony Hegarty et Timbaland derrière les manettes pour certaines chansons.
Les liens à écouter avant de voter 
:
Hunter
Bachelorette
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Présentation de Metallica :
Tiré de :
http://www.w-fenec.org/metal/metallica.html
Lars Ulrich est un jeune homme d'origine danoise, qui, en août 1980, déménage aux Etats-Unis avec toute sa famille pour préparer une carrière de joueur de tennis. Seulement voilà : Le tennis n'est pas le rêve de sa vie et le Lars s'ennuie ferme. Secrètement, il espère déjà fonder un groupe et ainsi emprunter la voie de son idole et maître : Ritchie Blackmoore, guitariste de Deep Purple. Tout a en fait débuté à Copenhague après un concert du groupe en question alors qu'il avait neuf ans... Lars est subjugué et s'empresse dès le lendemain de réunir ses maigres économies pour acheter son premier album, Fireball, (un des meilleurs disques de Blackmoore et Co.), avec lequel il s'initie au rock. Il a dès lors trouvé sa motivation et n'en démordra plus...
Pendant ce temps, à Downey, une des banlieues de Los Angeles, James Hetfield, se traîne péniblement dans un climat social délicat. Il partage avec quelques amis son goût pour la musique et forme quelques groupes pour jouer dans les fêtes typiques de lycées. Différents projets prennent forme peu à peu. Ils créent de nouveaux groupes comme Obsession, Phantom Lord et Leather Charm où il partage la direction des opérations avec son meilleur ami Ron McGovney, qui l'installe dans une des maisons vides que sa mère possède en ville et qui fera dorénavant office de salle de répétition. Sans sortir tout de suite de la médiocrité ambiante, ils passent de bons moments à reprendre et retoucher les titres de leurs idoles : Thin Lizzy, Black Sabbatth et beaucoup d'autres, en accélérant les tempos.
Lars, quant à lui, n'a pas encore de groupe stable mais continue son apprentissage avec une batterie toute neuve après avoir définitivement rangé ses raquettes au grand désespoir de son père. Il se lance donc dans le recrutement et contacte Jaymz et Ron avec qui il avait déjà tenté quelques essais peu concluants. Le courant passe bien, les goûts et influences convergent... La légende est en marche... Il ne lui manque qu'un nom. Selon la mythologie "horsemenienne", il aurait été "volé" par Lars à un journaliste qui cherchait un titre à son projet de magazine. Ce pauvre gratte-papier a commis l'énorme erreur de soumettre au batteur Danois les deux propositions entre lesquelles il hésitait, à savoir MetallicA et Metal mania. Lars lui a ainsi conseillé l'autre nom afin de s'approprier celui que nous connaissons tous...
Les trois s'appliquent dès lors à trouver un second guitariste... Après l'enregistrement de la célèbre et introuvable démo No life till leather avec Lloyd Grant, guitariste de blues de son état, uniquement présent en dépannage, MetallicA enrôle Dave Mustaine. Malheureusement, ses rapports avec Jaymz s'avèrant houleux et sa consommation de substances illicites se faisant chaque jour plus importante, il est délicatement évincé par les autres qui lui envoient un ticket de bus sur le dos duquel ils ont écrit : "Casse-toi. Vite." C'est donc Kirk Hammet qui reprend le flambeau une fois débauché de chez Exodus.
Tout semble réuni pour que la machine se mette en route mais un autre problème émerge. La motivation de Ron se fait de plus en plus douteuse. A son tour, il fait les frais de la dictature Ulrich/Hetfield. Les fausses pistes s'enchaînent pour lui trouver un successeur. Alors que Lars et Jaymz se préparent à assister à un concert local comme il y en a tous les jours, ils distinguent du fond de la salle le plus incroyable solo de guitare qu'ils aient jamais entendu. En s'approchant, la surprise est énorme ! Cette abondance de notes véloces et précises n'émane pas d'une guitare mais d'une basse... C'est leur première rencontre avec celui qui deviendra le quatre-cordiste ultime de la formation : Cliff Burton.
Les Horsemen enregistrent donc en 1983 leur premier album Kill'em all, un receuil ultra explosif de riffs acérés et novateurs avec un son à l'implacable efficacité pour l'époque. A l'origine il était prévu que ce premier opus s'intitule "Metal up your ass" (un slogan trouvé par Lars bien avant que MetallicA ne soit fondé). Mais pour des raisons liées aux plaintes imminentes des représentants de l'Amérique puritaine et bien-pensante, le nom a été remplacé par Kill'em all... Allez savoir pourquoi, le nouveau titre n'a pas choqué grand-monde... Certains y auront sans doute vu (en ce début des années 80, n'oublions pas !!!) dans le rouge et le marteau de la pochette une symbolique prônant la mort du communisme... God bless America !
Peu importe, les Mets enchaînent Ride the lightning en 1984 et Master of puppets en 1986. Ce sera le chant du cygne pour Cliff qui décède lors de la tournée Danoise, écrasé par le bus qui devait l'emmener à Copenhague suite à un dérapage sur une route verglassante un matin de septembre 86. Les trois autres ne s'en tirent qu'avec quelques écorchures mais les blessures psychologiques sont plus profondes. L'existence même du groupe est remise en cause... Personne n'oublie Cliff, (Jaymz porte aujourd'hui encore sa bague en médaillon) mais la motivation revient et Jason Newsted rejoint les rangs.
MetallicA sort alors Garage days re-revisited - the $5.98 ep, un collector de reprises pour se faire la main avant de reprendre le chemin des stades puis ...And Justice For All, pied-de-nez à la fin du serment d'allégeance au drapeau Américain. Les textes sont plus corrosifs, plus engagés, plus dérangeants...
En 1991, Le groupe écrase tout sur son passage avec l'album éponyme qui, de nos jours, est encore considéré comme le meilleur album heavy de tous les temps. Plus discutables, les très controversés Load et Re-load connaissent toutefois un énorme succès planétaire, s'assurant respectivement la première place du Billboard durant la semaine de leur sortie...
En 1998 et 1999, le groupe hiberne mais remplit encore la caisse aux dollars avec Garage, Inc (composé de reprises des groupes les plus influents sur la composition d'Ulrich et Hetfield) et le S and M, surprenant mélange de métal et de classique, sous la houlette de Mickael Kamen qui avait assuré les arrangements de la version "Elevator" de "Nothing else matters" uniquement disponible en face B des singles de "Sad but true". Mais entre choc et demi-surprise, Jason quitte la formation en janvier 2001. Jaymz entre en cure de désintox, le groupe semble avoir touché le fond. Le 24 février 2003, MetallicA annonce le nom de celui qui tiendra le manche "Excaliburien" de la basse des Horsemen, après 2 années d'attente, d'espoir, de déceptions, de rumeurs invraisemblables, parfois d'exaspération... Rob Trujillo (ex-Suicidal Tendencies, Jerry Cantrell, Ozzy Osbourne...) devient le 4ème bassiste de l'histoire du groupe (hormis Bob Rock, bien entendu).
La sortie de l'album St-Anger a quant à elle était programmée pour le 11 juin 2003, jour où les Horsemen interprèteront à Paris 3 concerts historiques.
Chaque album et chaque époque est marqué d'une ou plusieurs compositions Hetfieldienne(s).
Les liens à écouter avant de voter 
:
Kill'em all
Battery
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Présentation de N.E.R.D. :
Tiré de :
http://musique.fluctuat.net/nerd.html
N*E*R*D (prononcer "neurd") était un goupe de rock. Par opposition aux Neptunes, composé du même duo de tête (Pharrell Williams et Chad Hugo) et qui explore le hip hop.
N*E*R*D, c'est donc les Neptunes qui font du rock, avec un membre en plus : Shae Haley (mais son rôle semble plutôt limité, il se contente de quelques choeurs sur les chansons). Mais N*E*R*D est produit par les Neptunes (c'est écrit sur la pochette du disque), mais c'est pas compliqué, c'est tout le temps les mêmes personnes.
N*E*R*D est une formation très énergique, empruntant à l'électro, à la soul et au hip-hop, mais qui garde bien les deux pieds sur la piste rock. Selon Pharrell Williams, les initiales signifient "No one Ever Really Dies" : "Les Neptunes sont qui nous sommes et N*E*R*D est ce que nous faisons. C'est notre vie. N*E*R*D est juste une croyance basique. L'énergie des gens vient de leurs âmes. Quand vous mourrez, cette énergie disparaît mais n'est pas détruite." Cela n'explique rien, mais d'accord.
N*E*R*D a sorti son premier album, In Search Of... en 2002 (enregistré une première fois en 2001 et ré-enregistré l'année d'après suite à la décision que N*E*R*D devait sonner différement des Neptunes), mais a réellement percé dans le grand public en 2004, avec son second album Fly or Die, d'où est extrait le sulfureux single "She wants to move". L'album entre dans le top 10 aux Etats-Unis, et la chanson parade dans les tops mondiaux. La renommée de N*E*R*D s'additionne à celle des Neptunes est Pharrell Williams est sacré superstar.
L'année d'après, en mars 2005, Pharrell annonce la dissolution du groupe en direct sur BBC Radio 1 pour divergences d'opinions avec la direction de Virgin Records. Un communiqué, écrit par la suite, laissait vaguement entendre le contraire. Qui vivra entendra. Ou pas.
Les liens à écouter avant de voter 
:
Rockstar
She wants to move
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Je vous souhaite une bonne écoute avec tous ces morceaux mis à votre disposition et soigneusement choisi \o/ !!!
Et puis c'est pas comme si vous n'aviez pas le temps

!!!
Et oui on fait rallonge ^_^ !!!
Vous avez jusqu'au
mardi 25 mai à 17 heures pour voter ^_^.
Bah oui mercredi ya la Finale de League des Champions... préparation psychologique toussa

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Allez Milan

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Je glisse ça au passage

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Bons votes et bonne écoute

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