Les films que vous venez de voir

[Itachi-san]

Sur TV Tropes ils disent que ça se réfère à la Révolution Française, m'enfin j'ai l'impression que c'est une représentation un peu (beaucoup) simpliste de révolution violente en général quoi…

[Shinfei]

A ben oui le film est pas parfait on est d'accord hein^^

Après ça dépend je pense vraiment de ce qu'on attend d'un film au cinéma.
Perso pour moi une sortie ciné, c'est pour en prendre plein les yeux/oreilles bien souvent et du coup je vais voir des Inception, Avatar, Dark Knight, Avengers, Prometheus, etc... Bref plus des films visuels qui ont tous des défauts ou des clichés.
Les autres films c'est à la maison ou si j'ai des places en trop quoi.

Donc pour moi TDKR atteins son but, me divertir, en plus sur un univers que j'adore particulièrement qu'est Batman.

Sinon on est d'accord, tout se passe vraiment très vite pour Bruce, mais c'est vrai qu'avec déja 2h45 faudrait le faire en deux parties lol

[Xen]

Rebelle

pas mal,un peu pompé sur Dragon mais bon tres joli graphiquement

[Itachi-san]

………



………



………

C'est une expérience unique je suppose………

[Heaven smile]

Total Recall : Mémoires programmées de Len Wiseman :



"Un jour on me call,
Pour aller voir Total Recall.
J'étais pas chaud,
Mais dehors y fzait trop chaud.

Dans la salle très calme,
J'ai senti le facepalm.
Deux heures ça a duré,
Et presque autant j'ai pleuré,
Car voir un mec bouffer à tous les râteliers,
M'a aussi fait dormir comme un bébé.

Farrell à l'air hagard,
Dans un film plein de bagarre.
Beckinsale en petite culotte,
Mériterait bien les menottes.
Biel, les jambes en l'air,
Se fritte même pas le boule à l'air."

Moralité, Wiseman est autant cinéaste que moi je suis poète.

[Itachi-san]

C'est déjà pas mal.

[kito]

Quelqu'un est allé voir David et Madame Hansell (le dernier d'Astier) ?
Ça à l'air bien sympathique ça.

Je vais essayer d'y aller ce WE.

[Heaven smile]

The Expendables 2 de Simon West :



Baroud d'honneur, acte II. Pur produit mercantile, ce nouveau volet des aventures de l'escouade bad-ass de Stallone amplifie de manière exponentielle les tares du premier - médiocre - opus sorti en 2010. Étrange objet, il rend plus palpable que jamais la césure propre à l'actionner US intervenue dans les années 90. Les vieilles gloires sont là, certes, mais poussiéreuses et désincarnées. Le film de West tente de manière permanente, dans un grand écart à la Van Damme particulièrement douloureux, de concilier l'âge d'or que constituent les 80's et les productions des années 00's. L'inconvénient étant que ce genre actuellement moribond outre-atlantique - youpi, vive les années 2000 ! - prend un large ascendant sur le second, personnifié par des cocaïnomanes liftés cafi de stéroïdes.

En définitive, Expendables 2, c'est quoi ? Un DTV thuné mais malgré tout tourné en Bulgarie où les putes et la coke y sont, parait-il, formidables ; où les acteurs viennent faire les couillons 5 jours pour toucher un chèque en prévision de leurs impôts ; sans scénario parce qu'après tout, fuck, le star-system c'est le panard et on évite les problèmes d'emplois fictifs ; de la baston entre vieux séniles ; des punchlines vaseuses, foireuses ; de la baston entre vieux séniles ; des punchlines racistes ; de la baston entre vieux séniles ; Chuck Norris ; des punchlines racistes. C'est aussi débile que le premier, mais un chouilla moins moche.

Ça raconte rien, y a pas de direction d'acteurs et en plus, ça draine des geekos dégueulasses déguisés en avatar de Stallone. Et la 'stache dessinée au feutre... pitié quoi.
Reagan a emporté le cinéma d'action avec lui. Salaud.


The Village de M. N. Shyamalan :



Changement de style. En toute honnêteté, je crois que c'est la première fois depuis la sortie ciné que je le revois. À l'époque, je n'avais que partiellement adhéré au film, la faut à une fin que je trouvais hors de propos. Fin qui par la suite m'a rendu très frileux vis-à-vis du film. Genre, "nan mais tu 'ois, The Village c'est trop surfait. Shyamalan, il s'est vautré sur ce coup-là." Sauf qu'en réalité, j'avais complétement tort.
The Village est peut-être même le plus grand film de Shyamalan, le plus puissant et le plus émouvant. C'est aussi l'une des plus belles histoires d'amour de ces dix dernières années. La réalisation est magistrale et d'une richesse symbolique époustouflante. Deakins accompli une nouvelle fois un travail monstre tout en marquant une franche transition avec ce que Fujimoto a développé dans les précédents films du cinéaste. Le score d'Howard démonte - autant sinon plus que ceux de Signs et Unbreakable. Les acteurs, Phoenix et Dallas Howard en tête, sont fantastiques et tout en subtilité. Tout est parfaitement agencé, à la manière d'un conte - ce qu'est le film - tout en étant terriblement vivant.
C'est un film d'une incroyable modernité, fourmillant de surprises et sur lequel plane une étrange atmosphère. Tout est d'une logique imparable, tant dans le déroulement de l'histoire que sur le plan thématique. The Village s’insère parfaitement dans la filmographie de Shyamalan. Il reprend une nouvelle fois la thématique de la foi, thème certes récurrent chez le cinéastes mais qui atteignait des sommets dans Signs et le pur conte, à la manière de Lady In The Water.
Manoj, il fait pas semblant d'envoyer la purée.

[Shinfei]

The Expendables 2 de Simon West :



Baroud d'honneur, acte II. Pur produit mercantile, ce nouveau volet des aventures de l'escouade bad-ass de Stallone amplifie de manière exponentielle les tares du premier - médiocre - opus sorti en 2010. Étrange objet, il rend plus palpable que jamais la césure propre à l'actionner US intervenue dans les années 90. Les vieilles gloires sont là, certes, mais poussiéreuses et désincarnées. Le film de West tente de manière permanente, dans un grand écart à la Van Damme particulièrement douloureux, de concilier l'âge d'or que constituent les 80's et les productions des années 00's. L'inconvénient étant que ce genre actuellement moribond outre-atlantique - youpi, vive les années 2000 ! - prend un large ascendant sur le second, personnifié par des cocaïnomanes liftés cafi de stéroïdes.

En définitive, Expendables 2, c'est quoi ? Un DTV thuné mais malgré tout tourné en Bulgarie où les putes et la coke y sont, parait-il, formidables ; où les acteurs viennent faire les couillons 5 jours pour toucher un chèque en prévision de leurs impôts ; sans scénario parce qu'après tout, fuck, le star-system c'est le panard et on évite les problèmes d'emplois fictifs ; de la baston entre vieux séniles ; des punchlines vaseuses, foireuses ; de la baston entre vieux séniles ; des punchlines racistes ; de la baston entre vieux séniles ; Chuck Norris ; des punchlines racistes. C'est aussi débile que le premier, mais un chouilla moins moche.

Ça raconte rien, y a pas de direction d'acteurs et en plus, ça draine des geekos dégueulasses déguisés en avatar de Stallone. Et la 'stache dessinée au feutre... pitié quoi.
Reagan a emporté le cinéma d'action avec lui. Salaud.


The Village de M. N. Shyamalan :



Changement de style. En toute honnêteté, je crois que c'est la première fois depuis la sortie ciné que je le revois. À l'époque, je n'avais que partiellement adhéré au film, la faut à une fin que je trouvais hors de propos. Fin qui par la suite m'a rendu très frileux vis-à-vis du film. Genre, "nan mais tu 'ois, The Village c'est trop surfait. Shyamalan, il s'est vautré sur ce coup-là." Sauf qu'en réalité, j'avais complétement tort.
The Village est peut-être même le plus grand film de Shyamalan, le plus puissant et le plus émouvant. C'est aussi l'une des plus belles histoires d'amour de ces dix dernières années. La réalisation est magistrale et d'une richesse symbolique époustouflante. Deakins accompli une nouvelle fois un travail monstre tout en marquant une franche transition avec ce que Fujimoto a développé dans les précédents films du cinéaste. Le score d'Howard démonte - autant sinon plus que ceux de Signs et Unbreakable. Les acteurs, Phoenix et Dallas Howard en tête, sont fantastiques et tout en subtilité. Tout est parfaitement agencé, à la manière d'un conte - ce qu'est le film - tout en étant terriblement vivant.
C'est un film d'une incroyable modernité, fourmillant de surprises et sur lequel plane une étrange atmosphère. Tout est d'une logique imparable, tant dans le déroulement de l'histoire que sur le plan thématique. The Village s’insère parfaitement dans la filmographie de Shyamalan. Il reprend une nouvelle fois la thématique de la foi, thème certes récurrent chez le cinéastes mais qui atteignait des sommets dans Signs et le pur conte, à la manière de Lady In The Water.
Manoj, il fait pas semblant d'envoyer la purée.

Pour Expendables 2 en même temps il n'a jamais caché son jeu.
C'est juste un film qui réalise un rêve de gosse dans la surenchère d'un casting inimaginable et plein de grosbillisme pour le fun. Il n'a jamais été question que ce soit un film sérieux avec un scenario et tout.
Donc quand tu prends ta place de ciné tu sais à quoi tu t'attends, et celui qui s’attend à autre chose a un problème.

Sinon, le Village j'en garde un très bon souvenir effectivement. Bien mieux que Signes...

[Heaven smile]

On a quand même dans le casting des mecs qui ont tourné sinon des chefs-d’œuvre, du moins de grands films d'action. Stallone avec Rambo par exemple. Il y a un vrai discours dans le film. Une véritable réflexion. Schwarzy, c'est Predator, Terminator. Des films qui font office de monuments. Predator, c'est juste un chef-d’œuvre de mise en scène. Li, c'est Il était une fois en Chine. Et Tsui Hark, c'est pas un manche. Juste le Dieu de Hong-Kong dans les années 80, 90. Ce sont des films où l'action voulait dire quelque chose. Où il y avait un regard.

Mais dans l'absolu, peu importe.

Le problème de la franchise Expendables n'est pas tant le fait qu'elle soit complétement conne (on le sait), mais qu'elle bouffe à tous les râteliers faute de savoir quoi faire. C'est de la shaky dégueulasse, c'est cheap (Roumanie, bonjour), bourré de CGI post 00's et dénué de tout intérêt en terme d'action - malheureusement. Pourtant l'action je kiffe. Vraiment. Mais il faut un minimum d'investissement. J'aurai aimé renouer avec les émotions que me procuraient les actionners 80's que je matais en douce en VHS à 5 piges. Mais là c'est juste pas possible. La seule ambition du film, c'est le cast au final. Le challenge, c'est qu'il vienne. Ce qu'ils font après, on s'en bat les roupettes. C'est ça qui est dommage.

Exemple :
Un film comme Commando, objectivement, ça vaut queud'. C'est con, y a pas de scénario, seulement Schwarzy qui commet un génocide pour récupérer sa fille. Mais là, ça marche. Tout est hyper rythmé, c'est carré, les punchlines marchent à 100%, John Matrix mitraille à gogo, c'est immoral au possible et terriblement drôle.

Commando, c'est quand même ça et ça. Ça vole pas haut hein, mais c'est énorme. C'est fun, y a de l'iconisation à gogo et de la violence. C'est un plaisir régressif qui fonctionne. Dans Expendables, ça fait tièp. Heureusement que j'ai été invité.

[nataku]

J'ai pas vu le 2 mais Expendable 1 est juste nul à chi* dans sa catégorie. (film action pure)

Aucune mise en scène de potable et je parle même pas de la chorégraphie des combats qui est presque inexistant, Jet Lee c'est du "sous-exploitage" et même Jason Statham qui est pas un manche pour les choré c'est bof bof.( dans le Transporteur par exemple il gère pas mal les combats)

De la poudre aux yeux, le même casting dans les année 90 ça aurait juste pété l'écran de cinéma, quand je vois un versus avec seulement 2 acteurs comme dans "Demolition Man" par exemple je me dis que les scénaristes ce sont bien touché pour Expendable, là ils ont pas 2 acteurs ils ont une brochette d'acteurs et c'est le néant, en dirais qu'ils savent pas quoi faire avec eux finalement.

Pour The Village j'ai beaucoup aimé aussi, j'étais vraiment dedans avec eux quoi.

[Shinfei]

Après je pense que justement vu le casting, ça doit être ingérable

Merci pour Commando, je suis mort de rire en revoyant ça XD

[Zikmu]

Ah oui Commando, je connais par le Nostalgia Critic, et c'est vrai qu'il a l'air bien ouf dans son genre (Par pour rien si il commence par ce film pour entamer son mois spécial Schwarzenegger )

http://www.dailymotion.com/video/xfv53r ... rch_algo=1

[DesLife]

What. The. Fuck. C'est quoi ce film

[Itachi-san]

Nan mais… c'est justement à ce film que j'en étais dans mon marathon NC, entre ça et le topic Naruto y a quelqu'un qui m'observe ou quoi ?

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