Caravane
Publié : lun. 28 nov. 2005, 22:44
Voila ma deuxième fic, je ne l'avais pas posté ici a cause des fautes d'orthographe, mais grâce a Vampire-Master qui a bien voulut me la corriger (t'es le meilleur ) je la post
Bon l'histoire se détache du monde des ninjas, mais reste lier, le premier chapitre reste classique, dans le second vous découvrirez le monde dans lequel évoluera le héros,
Chapitre 1 :
Le pays de la falaise, un petit pays sans grande prétention, une dizaine de petits villages, une grande ville, la capitale, un Daimyo, pas de ninjas propres au pays, mais un accord de défense avec l’un de leurs voisins, le pays de la terre, un pays où règne le calme et la prospérité.
Palais royal :
- Kira-sama, je vous en prie, levez-vous … Kira-sama …
- Une seconde Katarine-chan.
- Il est l’heure.
Une lumière aveuglante emplit l’immense chambre, simple et luxueuse à la fois, la chambre du premier fils du Daimyo était parfaite, le petit garçon de six ans qui l’habitait se leva enfin de son lit.
- Il faut se changer maintenant, Kira-sama.
- Je peux le faire seul, protesta l’enfant.
- Bien sûr, mais le temps presse, dit la jeune femme en retirant le pyjama du petit garçon et en lui enfilant un petit kimono, vous avez un cours avec Maître Zang dans vingt minutes.
- Je ne veux pas y aller, Sho-chan part pour Iwa demain matin, je veux jouer avec elle.
- Vous aurez tout le temps pour la voir en fin d’après midi.
- Mais …
- Pas de mais, Kira-sama, un ordre de votre père ne se discute pas.
Le petit Kira, résigné termina de se préparer seul, sous la surveillance de Katarine, puis, tous deux traversèrent le palais pour se rendre dans la salle de cours du Sensei particulier du prince, Maître Zang.
- Vous êtes en retard Katarine.
- Mille excuses, Zang-san, je n’ai aucune excuse.
- Bon, passons, Kira-sama, êtes-vous prêt pour votre cours de calligraphie.
- Non.
- Fort bien, dans ce cas, commençons.
Pendant plus de deux heures, Maître Zang expliqua à Kira les milles et une façons d’écrire, un cours que le petit Kira n’écouta que d’une oreille, il contemplait le ciel bleu azur en rêvant comme tout enfant de son âge, laissant voyager son imagination telle une feuille dans le vent.
- Kira-sama, m’écoutez-vous ?
- Hein … euh oui sensei, le mouvement du poignet …
- Bien, ou le mouvement du poignet …
Le vieux Maitre poursuivit, Katarine, elle, dormait profondément sur une chaise, Kira se demanda d’ailleurs comment elle pouvait réussir a dormir les yeux ouverts, la matinée passa désespérément lentement, bientôt, même Maître Zang piqua du nez, le jeune prince en profita pour s’éclipser par la porte de derrière, il devait absolument voir Sho, parcourant le palais, il arriva finalement devant une grande porte, il entra sans frapper.
- Kira-sama, que faites vous ici, s’exclama la seule personne dans la pièce, un homme d’une trentaine d’années.
- Puis-je utiliser votre chemin secret, mon oncle ?
- Ne devrais–tu pas être en cours ?
- Et bien … disons que …
- Inutile d’inventer une excuse, votre père et moi aussi quittions souvent les cours de Maître Zang avant la fin, et je présume que si tu veux utiliser le « chemin », c’est pour aller voir Sho-chan ?
- Oui, je peux ? demanda Kira, le sourire aux lèvres.
- Et bien, voyons … c’est d’accord, mais n’oublie pas …
- Vous ne m’avez pas vue, je ne vous ai pas vu.
- Bien, bien, déclara l’oncle en riant, il se leva et poussa une pierre contre l’un des murs, une petite porte cachée s’ouvrit, mais tu devras rentrer avant la fin de l’après-midi, ou Katarine-san aura de gros problèmes.
- Merci mon oncle.
Kira se précipita par la porte, qui se referma derrière lui, après une minute de course, il arriva devant un rideau rouge, derrière se trouvait la cour du palais, il utilisa un chemin connu uniquement des serviteurs de la cour pour sortir discrètement, arrivé dans la ville, il continua pendant vingt minutes pour finir dans un petit parc boisé où une dizaine d’enfants de son âge jouaient tranquilles à l’abri du soleil, il se dirigea vers un groupe de quatre filles qui discutaient, mais avant qu’il ne les ai rejoint, trois d’entre elles étaient déjà parties, il ne restait plus qu’une fille d’environ 8 ans.
- Pourquoi tes copines partent toujours quand j’arrive, Sho-chan ?
- Tu leurs fais peur.
- Pourquoi ça ?
- Idiot, parce que ton père est le Daimyo et que toi tu es surement le prochain.
- Et alors, je ne devrais pas leur faire peur.
- De toutes façons, elles sont bêtes, au fait, qu'est-ce que tu fais là, t’as pas des cours le matin.
- Je voulais te parler, avant que tu partes.
- Tu as peur de plus me revoir ? demanda la fille avec un sourire.
- Un peu, avoua doucement Kira.
- Tes bête ou quoi ? je reviendrai, Kira-chan.
- Quand ?
- La formation dure quatre ans à l’académie d’ Iwa, mais ne t’en fais pas, je reviendrai souvent.
Le petit Kira la regarda, le visage triste, au seuil des larmes, elle lui frappa l’épaule, ce qui sembla le faire sourire.
- KIRA-SAMA !
Katarine venait d’apparaître devant les deux enfants, l’air terrifié.
- Kira-sama, tout le monde vous recherche, vous ne devez sous aucun prétexte quitter le palais sans une escorte.
- Je suis juste venu voir Sho-chan.
- Ce n’est pas une excuse, venez, dit elle en saisissant Kira par la main et en le traînant vers le palais.
- Au revoir Kira-chan, on se reverra une fois que je serai une ninja.
Le pauvre Kira ne put lui dire au revoir, Katarine le traînait trop vite, il se résigna à la suivre, arrivé au palais, il connut les cris et les phrases habituels de Katarine, jusqu'à l’arrivée de son père, Sandaiyu Kazanara, Daimyo du pays de la falaise.
- Alors comme ça, tu t'es de nouveau aventuré en ville ?
- Oui, père.
- Tu sais pourtant qu’il est dangereux de se promener seul en ville.
- Oui, père.
- Bien, à partir de ce jour, tu seras accompagné en permanence par au moins deux gardes du palais, il t’est formellement interdit de sortir.
- Kazanara-sama, je ne pense pas que priver Kira-sama de liberté l’empêchera d’aller où bon lui semble, il connait le palais de fond en comble, rien ne peut … intervint Katarine.
- Il suffit Katarine, votre faute est encore plus grande, je tiens à vous parler ce soir de votre avenir.
- Bien Kazanara-sama.
- Que Kira soit ramené à ses appartements, je choisirai sa punition dans la soirée.
Deux gardes ramenèrent le petit Kira dans sa chambre, il y resta plusieurs heures, on lui apporta le diner, puis vint la nuit, puis vint le sommeil, puis vinrent les rêves, puis les cauchemars et c’est finalement une odeur de grillé qui réveilla le jeune enfant. Il se leva et constata par la fenêtre de sa chambre que le palais brûlait, il se précipita à la porte, mais elle était fermée, vite, il poussa avec difficulté une malle qui dissimulait une petite ouverture, trop petite pour un homme, mais suffisante pour qu’un enfant de l’âge de Kira puisse passer, il arriva dans la chambre voisine, vide et poussiéreuse, continuant son parcours en direction des appartements de son père, il ne vit personne sur sa route, courant inlassablement vers son but, les flammes n’avaient pas atteint l’étage royal , il finit par arriver devant la chambre.
- PAPA, PAPA, cria t'il en entrant, quelle ne fut pas son horreur en voyant deux hommes masqués tuer l’homme, Kira poussa un hurlement d’horreur.
- C’est le fils du Daimyo ? demanda l’un des deux hommes.
- Oui, dit il avant de se précipiter sur l’enfant, à une vitesse que ses yeux ne pouvaient voir, mais rien ne se produit, quelqu’un venait de s’interposer, Katarine, habillée d’un gilet pare balle, d’un uniforme de ninja et un kunai à la main, elle arborait aussi un bandeau d’Iwa.
- Sales bâtards d’ANBU de Konoha, cracha t’elle.
- Tiens, une junin d’Iwa, seule tu ne résisteras pas longtemps.
- Qui te dit que je suis seule
Trois autres ninjas d’Iwa apparurent autour de Kira.
- Juste ça ? tu te moques de nous ? questionna le second ANBU.
- Absolument pas, les gars, retenez ces deux chiens pendant que je mets Kira-sama en lieu sûr.
- A vos ordres, dirent d’une seule voix les trois ninjas.
A une vitesse dépassant l’entendement de l’enfant, Katarine l’agrippa et l’entraîna avec elle hors de la chambre, bientôt elle arriva hors du palais.
- Katarine-chan, papa … papa …
- Kira-sama, veuillez-vous taire, je vous expliquerai plus tard.
Elle continua de courir pendant deux minutes, ils étaient maintenant dans des bois, puis, Katarine s’arrêta.
- Fais chier, dit elle d’un ton féroce.
- Katarine-chan qu'est-ce qu’il se passe, demanda le petit garçon, la voix bégayant.
- Vous êtes malheureusement trop jeune pour comprendre, mais écoutez moi, des méchantes personnes cherchent à vous tuer, il faut fuir, mais ces chiens de konoha se rapprochent, vous allez poursuivre seul, je vais les retenir, continuez pendant deux heures sur ce chemin, vous arriverez à un avant poste d’Iwa, la bas, dites que le palais a été attaqué, le nombre de victimes est total.
- Ca veut dire quoi ?
- Ils comprendront, maintenant allez y, et ne vous arrêtez sous aucun prétexte, dit elle, puis elle lui donna un baiser sur le front et disparut.
Kira, désormais seul, obéit et marcha, marcha, marcha, surmontant sa peur du noir, il continua, bientôt le sommeil fut le plus fort, il s’égara sur le chemin, mais bien que ses yeux furent fermés, il continua, encore et toujours, soudain, le vide sous ses pieds, il se sentit tomber, puis la douleur, le goût du sang et pour finir plus rien.
- Est-il mort ? dit une voix dans les ténèbres
- Non, il respire, mais faiblement, lui répondit une autre voix.
- Il faut le soigner.
- Ouais, on l’amène au doc.
Bon l'histoire se détache du monde des ninjas, mais reste lier, le premier chapitre reste classique, dans le second vous découvrirez le monde dans lequel évoluera le héros,
Chapitre 1 :
Le pays de la falaise, un petit pays sans grande prétention, une dizaine de petits villages, une grande ville, la capitale, un Daimyo, pas de ninjas propres au pays, mais un accord de défense avec l’un de leurs voisins, le pays de la terre, un pays où règne le calme et la prospérité.
Palais royal :
- Kira-sama, je vous en prie, levez-vous … Kira-sama …
- Une seconde Katarine-chan.
- Il est l’heure.
Une lumière aveuglante emplit l’immense chambre, simple et luxueuse à la fois, la chambre du premier fils du Daimyo était parfaite, le petit garçon de six ans qui l’habitait se leva enfin de son lit.
- Il faut se changer maintenant, Kira-sama.
- Je peux le faire seul, protesta l’enfant.
- Bien sûr, mais le temps presse, dit la jeune femme en retirant le pyjama du petit garçon et en lui enfilant un petit kimono, vous avez un cours avec Maître Zang dans vingt minutes.
- Je ne veux pas y aller, Sho-chan part pour Iwa demain matin, je veux jouer avec elle.
- Vous aurez tout le temps pour la voir en fin d’après midi.
- Mais …
- Pas de mais, Kira-sama, un ordre de votre père ne se discute pas.
Le petit Kira, résigné termina de se préparer seul, sous la surveillance de Katarine, puis, tous deux traversèrent le palais pour se rendre dans la salle de cours du Sensei particulier du prince, Maître Zang.
- Vous êtes en retard Katarine.
- Mille excuses, Zang-san, je n’ai aucune excuse.
- Bon, passons, Kira-sama, êtes-vous prêt pour votre cours de calligraphie.
- Non.
- Fort bien, dans ce cas, commençons.
Pendant plus de deux heures, Maître Zang expliqua à Kira les milles et une façons d’écrire, un cours que le petit Kira n’écouta que d’une oreille, il contemplait le ciel bleu azur en rêvant comme tout enfant de son âge, laissant voyager son imagination telle une feuille dans le vent.
- Kira-sama, m’écoutez-vous ?
- Hein … euh oui sensei, le mouvement du poignet …
- Bien, ou le mouvement du poignet …
Le vieux Maitre poursuivit, Katarine, elle, dormait profondément sur une chaise, Kira se demanda d’ailleurs comment elle pouvait réussir a dormir les yeux ouverts, la matinée passa désespérément lentement, bientôt, même Maître Zang piqua du nez, le jeune prince en profita pour s’éclipser par la porte de derrière, il devait absolument voir Sho, parcourant le palais, il arriva finalement devant une grande porte, il entra sans frapper.
- Kira-sama, que faites vous ici, s’exclama la seule personne dans la pièce, un homme d’une trentaine d’années.
- Puis-je utiliser votre chemin secret, mon oncle ?
- Ne devrais–tu pas être en cours ?
- Et bien … disons que …
- Inutile d’inventer une excuse, votre père et moi aussi quittions souvent les cours de Maître Zang avant la fin, et je présume que si tu veux utiliser le « chemin », c’est pour aller voir Sho-chan ?
- Oui, je peux ? demanda Kira, le sourire aux lèvres.
- Et bien, voyons … c’est d’accord, mais n’oublie pas …
- Vous ne m’avez pas vue, je ne vous ai pas vu.
- Bien, bien, déclara l’oncle en riant, il se leva et poussa une pierre contre l’un des murs, une petite porte cachée s’ouvrit, mais tu devras rentrer avant la fin de l’après-midi, ou Katarine-san aura de gros problèmes.
- Merci mon oncle.
Kira se précipita par la porte, qui se referma derrière lui, après une minute de course, il arriva devant un rideau rouge, derrière se trouvait la cour du palais, il utilisa un chemin connu uniquement des serviteurs de la cour pour sortir discrètement, arrivé dans la ville, il continua pendant vingt minutes pour finir dans un petit parc boisé où une dizaine d’enfants de son âge jouaient tranquilles à l’abri du soleil, il se dirigea vers un groupe de quatre filles qui discutaient, mais avant qu’il ne les ai rejoint, trois d’entre elles étaient déjà parties, il ne restait plus qu’une fille d’environ 8 ans.
- Pourquoi tes copines partent toujours quand j’arrive, Sho-chan ?
- Tu leurs fais peur.
- Pourquoi ça ?
- Idiot, parce que ton père est le Daimyo et que toi tu es surement le prochain.
- Et alors, je ne devrais pas leur faire peur.
- De toutes façons, elles sont bêtes, au fait, qu'est-ce que tu fais là, t’as pas des cours le matin.
- Je voulais te parler, avant que tu partes.
- Tu as peur de plus me revoir ? demanda la fille avec un sourire.
- Un peu, avoua doucement Kira.
- Tes bête ou quoi ? je reviendrai, Kira-chan.
- Quand ?
- La formation dure quatre ans à l’académie d’ Iwa, mais ne t’en fais pas, je reviendrai souvent.
Le petit Kira la regarda, le visage triste, au seuil des larmes, elle lui frappa l’épaule, ce qui sembla le faire sourire.
- KIRA-SAMA !
Katarine venait d’apparaître devant les deux enfants, l’air terrifié.
- Kira-sama, tout le monde vous recherche, vous ne devez sous aucun prétexte quitter le palais sans une escorte.
- Je suis juste venu voir Sho-chan.
- Ce n’est pas une excuse, venez, dit elle en saisissant Kira par la main et en le traînant vers le palais.
- Au revoir Kira-chan, on se reverra une fois que je serai une ninja.
Le pauvre Kira ne put lui dire au revoir, Katarine le traînait trop vite, il se résigna à la suivre, arrivé au palais, il connut les cris et les phrases habituels de Katarine, jusqu'à l’arrivée de son père, Sandaiyu Kazanara, Daimyo du pays de la falaise.
- Alors comme ça, tu t'es de nouveau aventuré en ville ?
- Oui, père.
- Tu sais pourtant qu’il est dangereux de se promener seul en ville.
- Oui, père.
- Bien, à partir de ce jour, tu seras accompagné en permanence par au moins deux gardes du palais, il t’est formellement interdit de sortir.
- Kazanara-sama, je ne pense pas que priver Kira-sama de liberté l’empêchera d’aller où bon lui semble, il connait le palais de fond en comble, rien ne peut … intervint Katarine.
- Il suffit Katarine, votre faute est encore plus grande, je tiens à vous parler ce soir de votre avenir.
- Bien Kazanara-sama.
- Que Kira soit ramené à ses appartements, je choisirai sa punition dans la soirée.
Deux gardes ramenèrent le petit Kira dans sa chambre, il y resta plusieurs heures, on lui apporta le diner, puis vint la nuit, puis vint le sommeil, puis vinrent les rêves, puis les cauchemars et c’est finalement une odeur de grillé qui réveilla le jeune enfant. Il se leva et constata par la fenêtre de sa chambre que le palais brûlait, il se précipita à la porte, mais elle était fermée, vite, il poussa avec difficulté une malle qui dissimulait une petite ouverture, trop petite pour un homme, mais suffisante pour qu’un enfant de l’âge de Kira puisse passer, il arriva dans la chambre voisine, vide et poussiéreuse, continuant son parcours en direction des appartements de son père, il ne vit personne sur sa route, courant inlassablement vers son but, les flammes n’avaient pas atteint l’étage royal , il finit par arriver devant la chambre.
- PAPA, PAPA, cria t'il en entrant, quelle ne fut pas son horreur en voyant deux hommes masqués tuer l’homme, Kira poussa un hurlement d’horreur.
- C’est le fils du Daimyo ? demanda l’un des deux hommes.
- Oui, dit il avant de se précipiter sur l’enfant, à une vitesse que ses yeux ne pouvaient voir, mais rien ne se produit, quelqu’un venait de s’interposer, Katarine, habillée d’un gilet pare balle, d’un uniforme de ninja et un kunai à la main, elle arborait aussi un bandeau d’Iwa.
- Sales bâtards d’ANBU de Konoha, cracha t’elle.
- Tiens, une junin d’Iwa, seule tu ne résisteras pas longtemps.
- Qui te dit que je suis seule
Trois autres ninjas d’Iwa apparurent autour de Kira.
- Juste ça ? tu te moques de nous ? questionna le second ANBU.
- Absolument pas, les gars, retenez ces deux chiens pendant que je mets Kira-sama en lieu sûr.
- A vos ordres, dirent d’une seule voix les trois ninjas.
A une vitesse dépassant l’entendement de l’enfant, Katarine l’agrippa et l’entraîna avec elle hors de la chambre, bientôt elle arriva hors du palais.
- Katarine-chan, papa … papa …
- Kira-sama, veuillez-vous taire, je vous expliquerai plus tard.
Elle continua de courir pendant deux minutes, ils étaient maintenant dans des bois, puis, Katarine s’arrêta.
- Fais chier, dit elle d’un ton féroce.
- Katarine-chan qu'est-ce qu’il se passe, demanda le petit garçon, la voix bégayant.
- Vous êtes malheureusement trop jeune pour comprendre, mais écoutez moi, des méchantes personnes cherchent à vous tuer, il faut fuir, mais ces chiens de konoha se rapprochent, vous allez poursuivre seul, je vais les retenir, continuez pendant deux heures sur ce chemin, vous arriverez à un avant poste d’Iwa, la bas, dites que le palais a été attaqué, le nombre de victimes est total.
- Ca veut dire quoi ?
- Ils comprendront, maintenant allez y, et ne vous arrêtez sous aucun prétexte, dit elle, puis elle lui donna un baiser sur le front et disparut.
Kira, désormais seul, obéit et marcha, marcha, marcha, surmontant sa peur du noir, il continua, bientôt le sommeil fut le plus fort, il s’égara sur le chemin, mais bien que ses yeux furent fermés, il continua, encore et toujours, soudain, le vide sous ses pieds, il se sentit tomber, puis la douleur, le goût du sang et pour finir plus rien.
- Est-il mort ? dit une voix dans les ténèbres
- Non, il respire, mais faiblement, lui répondit une autre voix.
- Il faut le soigner.
- Ouais, on l’amène au doc.