Gorillaz
Publié : ven. 10 mars 2006, 15:57
Gorillaz est un groupe de hip hop et de trip hop virtuel (la catégorie la plus proche, du moins à mon avis, car ça reste pour le moins difficilement classable), dont les membres sont des personnages dessinés. Gorillaz a été créé par Damon Albarn (chanteur de Blur) et Jamie Hewlett (auteur de la bande dessinée Tank Girl) et est basé sur leurs intérêts, leurs rêves et leurs peurs.
Gorillaz :
Un premier album génialissime. Il est original, il ne donne pas l'impression d'avoir déjà déjà entendu les morceaux. A chaque écoute on découvre quelque chose, une nouvelle ligne de basse etc…
Certain morceau sont plus que géniaux tel le célèbre Clint Eastwood ou M1 A1
(ne pas oublier la remix de Clint Eastwood, qui le fait passer en accéler)
Demons Day :
Mon avis :
L'album avec lequel je les ai découvert. Ma préférence va à la première partie de l'album où s'enchaine d'excellent titre : Last Living Soul, Kids With Gun, et le fabuleux Green Day (j'aime beaucoup l'intro de ce morceau qui part d'une note simpliste et qui se finit avec un ptit riff).
Il y'a également l'indétrônable Feel Good Inc. qui m'a fait acheté l'album. J'adore également l'intro, que l'on se retrouve à chanter dans le bus avec une trentaine de paire d'yeux rond tourné vers vous.
La suite aussi est très bien avec une préférence for (voila que je me met à parler anglais sans m'en rendre compte) November Has Come.
Par contre, je déteste White Light
La fin aussi est très bien avec une transition entre les deux morceaux qui passe inaperçu…
Gorillaz :
Mon avis :Sur le papier, la réunion au sommet que représente Gorillaz suscite la curiosité. Jugeons plutôt : Dan The Automator, producteur vedette du hip-hop west coast, membre de Dr Octagon et Deltron 3030, croise le fer avec Damon Albarn, Blur. Que du beau monde, donc, méfiance ! À tort car, sans aucune autre prétention que le fun, le projet s'attelle au jouissif télescopage des disciplines (graphisme, multimédia) et des genres à la pointe que sont dub et hip-hop, servant ici admirablement la voix d'Albarn. Si les influences se bousculent au portillon (on songera forcément à Beck et UNKLE), l'ensemble n'en demeure pas moins singulier et ce, même en dépit de la brochette de stars invitées – le Cubain Ibrahim Ferrer, découvert par le grand public avec le Buena Vista Social Club, Miro Hatori de Cibo Matto et le Tom Tom Club, excusez du peu ! Funky, classe et sans complexe, Gorillaz a tout pour plaire aux amateurs de fusion prompts à emprunter les plus saugrenues des passerelles. --Hervé Comte
Un premier album génialissime. Il est original, il ne donne pas l'impression d'avoir déjà déjà entendu les morceaux. A chaque écoute on découvre quelque chose, une nouvelle ligne de basse etc…
Certain morceau sont plus que géniaux tel le célèbre Clint Eastwood ou M1 A1
(ne pas oublier la remix de Clint Eastwood, qui le fait passer en accéler)
Demons Day :
Mon avis :
L'album avec lequel je les ai découvert. Ma préférence va à la première partie de l'album où s'enchaine d'excellent titre : Last Living Soul, Kids With Gun, et le fabuleux Green Day (j'aime beaucoup l'intro de ce morceau qui part d'une note simpliste et qui se finit avec un ptit riff).
Il y'a également l'indétrônable Feel Good Inc. qui m'a fait acheté l'album. J'adore également l'intro, que l'on se retrouve à chanter dans le bus avec une trentaine de paire d'yeux rond tourné vers vous.
La suite aussi est très bien avec une préférence for (voila que je me met à parler anglais sans m'en rendre compte) November Has Come.
Par contre, je déteste White Light
La fin aussi est très bien avec une transition entre les deux morceaux qui passe inaperçu…