C'est tout frais. Les tests tombent.
Radaj va bientôt décoller. Radaj va bientôt prendre de l'altitude. Radaj va bientôt crever le plafond. Radaj va bientôt partir dans la stratosphère.
Spot Bioshock Infinite
La vidéo envoie la purée. Le jeu à l'air génial.
Mais à tous les coups, je vais pas avoir le courage d'y jouer - la faute à une touche de fiottitude. Je n'ai pas beaucoup avancé dans le premier opus. La faute à LA PEUR. Je ressentais trop LA PEUR.
J'ai essayé de retenter le coup y a quelques jours. J'ai pris mes baloches à deux mains. J'ai mis en branle la console. J'ai dis
"À nous deux Rapture. On me la fait pas à moi." La flippe, c'est fini. Et là c'est le retour de flamme. Le trouillomètre qui (re)monte. Qui
(re)moooonte. Qui
exploooose. Je joue dix minutes. Je suis en nage. Je suis mal. Je suis rouge. J'ai le sphincter qui joue de l'accordéon. J'arrête.
Bioshock : 2.
Moi : 0.
L'horreur dans l'histoire, c'est que j'adore ce jeu. Je l'adore sans même pouvoir y jouer. Et ça va être la même chose avec
Infinite.