Le jour ou j'ai perdu mon âme...
Publié : dim. 27 janv. 2008, 20:39
Le jour ou j'ai perdu mon âme...
C'était une chaude journée d'été, le crépuscule arrivait. Une petite lumière rouge réchauffait la joue d'Hidan, assi sur les marches de sa maison. Il regardait le soleil tomber sur la prairie qui s'étendait longment devant lui. Ce nombre infini de fleur aux multiples couleurs, immobiles sous un ciel orangé. Une forêt au loin, noire d'arbres sans branches, sans feuilles, grands et serrés. Il mangeait des petits biscuits. Une main se posait sur ses cheveux et sa mère se penchait sur lui. "Prend garde à ne pas salir ton beau pyjama mon chéri" Ils se souriaient, les grands yeux roses brillaient. Sa mère s'agenouillait à côté de lui et lui disait : *
_ J'ai quelque-chose pour toi, trésor.
Hidan se tournait vers elle. Un léger vent brûlant soulevait les cheveux blancs et frisés de la femme qui lui souriait. Elle lui prenait les mains et y déposait un objet. Hidan ramenait ses bras contre lui et ouvrait ses doigts. Un long colier en glissait et pendait sous ses mains. La lueur du jour qui s'éteingnait le fesait sintiller. Un symbole était gravé au bout des chaînes. Un triangle dans un rond.
_ C'est le symbole d'un Dieu. Il te protégera ou que tu soit et quoi que tu fasse.
Elle lui prenait le bijou des mains et le mettait au cou de son fils.
_ Voilà. Comme tu es beau avec ça mon ange!
Puis, elle se levait et repartait dans la maison. Hidan saisissait l'objet et le regardait remuer au rythme du vent. "Si ce Dieu me protége, il protégera aussi Maman"
Il relachait le colier et se levait à son tour. Il descendait les marches et avancait dans la prairie aux hautes fleurs. Il regardait le ciel. L'immense colline ou il marchait était tel qu'il lui semblait que les nuages et le soleil étaient de travers. Une fleur attirait son attention. Au milieu des autres colorées, elle, elle était noire. C'était une rose aux hépines rouge. Il tentait de la prendre mais il se piquait. Une petites coulée de sang pérlait sur ses doigts qu'il portait sur sa joue pour l'essuiyer. Plus délicatement et avec habileté, il s'emparait de la plante. Lorsqu'il la portait à hauteur de son visage, une voix basse et rauque de femme se fesait entendre.
"Petit, petit va, mais quand le moment vient,
Tu peu t'enfuire au loin,
Sachant que c'est la fin..."
Sous la surprise, Hidan lachait d'abors la rose, puis la ramassait par terre. Il regardait entre ses pétales comme s'il s'attendait à se que quelque-chose se produise mais rien ne se passait. Il se remettait à marcher sans se préocuper des paroles prononcées par la voix. La pente devenait trés raide là ou il était, il ne venait pas souvent ici. D'habitude il se contentait de monter la colline et non de la descendre. Il voyait une lumière entre les arbres de la forêt d'en-bas. Il aurait voulu pénetrer dans les bois mais il n'y était encore jamais y aller et ils lui fesaient peur. Alors qu'il se retournait pour rentrer chez lui, il perdait l'équilibre. La fleur voletait de ses mains et allait s'envoler plus loin. Lui, il tombait lourdement sur le ventre. Ausitôt, il cherchait son colier des yeux mais ne le voyait pas. En se redressant, il retirait son avant-bras d'au-dessus d'une pierre et s'appercevait que son bijou était là, entre lui et la roche, craquelé. Lorsqu'il se levait, le triangle de son colier tombait de son cercle. Hidan le ramassait et courait dans la maison. Il traversait le couloir et pénétrait dans la cuisine ou sa mère se préparait une tisane. Il ne s'avancait que de quelques pas avant de dire:
_ Maman? Je l'es cassé...
Mais la femme ne se retournait pas. Son bras au-dessus de sa tasse semblait stoppé net.
_ Maman?
Enfin, elle se retournait. Lentement... Trés lentement. Elle tenait dans sa main un couteau mais celà n'aurais pas inquiété Hidan si sa mère n'avait pas eu cette éxprétion sur le visage. Les bras ballants, la tête légerement penchée sur le côté, elle était triste. Infini, profonde tristesse. Hidan entendait de nouveau la voix basse.
"Petit, petit va, mais quand le moment vient,
Tu peu t'enfuir au loin,
Sachant que c'est la fin..."
Il n'hésitait pas. Il se retournait, sortait de la maison et courait en dirrection de la forêt.
Il dévalait la colline d'une allure accélérée par la pente. Il avait cependant du mal à courir à cause de toutes ces fleurs arc-en-ciel et des pierres qu'il bousculait sans cesse. Il resentait un froid glacial et éphémère lorsqu'il passait la lizière des bois et qu'il y entrait. Les arbres étaient noir, nus et serrés. De grandes racines sortaient de la terre, larges et hautes. De nombreuses feuilles mortent étaient étalées partout entre les arbres et sur les racines, formant un tapis de couleur sombre. Il n'y avait plus aucun bruit. Seul les feuilles craquées sous les pieds nus d'Hidan. Seul sa respirations haletante et son coeur battant. Il s'arrêtait et regardait en arrière. Un grand frisson le secouait lorsqu'il voyait le bras armé de sa mère dépassé de derrière un arbre. Il s'enfuiyait. Le silence ne se romptait que par son souffle tremblant d'angoisse. Il trébuchait et tombait. Il se mettait précipitament en position assise et regardait par terre. Il n'y avait rien. Mais lorsqu'il redressait la tête, son coeur montait dans sa gorge d'un seul coup et ses joues se gelaient. Sa mère courait vers lui. Dans ce même silence effroyable, les yeux ronds à moitié sortis de leur orbite, le regard psychopate et un sourire plein de folie.
_ Pourquoi tu fais ça, Maman?!
Il n'attendait pas la réponse. Il s'enfuyait. Derrière lui il entendait les pas rapides de la femme et il paniquait. Ses joues étaient séches et pourtant il pleurait. Du coeur...
Quand il se retournait, il ne la voyait pas. Pourtant il l'entendait. Elle courait mais ses pas semblaient retentirent de partout à la fois. La peur qui tenaillait Hidan le fesait tremblait de partout. Ses jambes se glaceaient et il tombait une seconde fois... Et une seconde fois il s'assayait. Il ne la voyait toujours pas mais l'entendait encore autour de lui. Les larmes de son coeur débordées à présent de ses yeux et roulaient sur ses joues. Il tournait les yeux dans tous les sens lorsqu'il la voyait, face à lui. Elle était immobile, cette exprésion morbide sur le visage. Elle levait son couteau à hauteur de son visage et s'avanceait. Doucement. Elle s'approchait... Hidan reculait, s'aidant de ses mains et de ses pieds, incapable de se relever. Il butait contre quelque-chose de froid. Un arbre. Sa mère lui disait alors, d'une voix neutre:
_ Je t'aime.
Hidan était déconcerté et la femme s'effondrait sur lui, le couteau devant elle. C'était ce même couteau qui touchait en premier le garçon. Il se plantait dans son cou. La femme tombait à côté de lui tendit que ses forces le quittaient. Ses paupières se fermaient et il s'entait sa main se fermer sur un objet. Entre ses doigts gissait un triangle dans un rond, glissait de la nuque de sa mère.
Le femme, debout, hurlait... hurlait parce-qu'elle voyait son fils étandu par terre, la gorge entaillée de ses propres mains. Parce-qu'elle avait tuée son enfant, sa vie, son sang et ses os qu'elle avait protégeait dans sa chair. Parce-que tout s'envolait autour d'elle, que le sol s'éffondrait sous ses pieds et qu'un silence meurtrier s'installait. Elle ne voyait plus rien que se petit être qui contenait tout son amour, tout ses sentiments et son existence. Elle hurlait parce-qu'elle mourait... mourait... mourait mais n'était toujours pas morte...
Quoi de plus fou, de plus maccabre, de plus ignoble et contre-nature que le meurtre d'une mère sur son enfant? Rien, et sa n'existe pas... Hidan n'a pu mourir des mains de sa mère et elle n'a pu vivre sans son fils... Ainsi devinrent-ils immortels... Non-vivant mais pas mort pour autant...Et dés l'instant ou le fer à percé la peau d'Hidan, ou leur coeur a cessait de battre, leurs organes et leur peaux se sont gelés, le souffle de leur vie à arrêté de passé dans leurs poumons, la souffrance éternelle s'est emparée de leurs entrailles... Et l'amour qu'ils ont l'un pour l'autre durera aussi longtemps que le monde...
Ils ne se sont plus jamais revus aprés sa... Même lorsqu'Hidan s'est réveillé, elle avait disparue. Elle croyait qu'il était mort...
Il y aura d'autres chapitres bien-sur. J'ai horreur des histoires qui se terminent...
C'était une chaude journée d'été, le crépuscule arrivait. Une petite lumière rouge réchauffait la joue d'Hidan, assi sur les marches de sa maison. Il regardait le soleil tomber sur la prairie qui s'étendait longment devant lui. Ce nombre infini de fleur aux multiples couleurs, immobiles sous un ciel orangé. Une forêt au loin, noire d'arbres sans branches, sans feuilles, grands et serrés. Il mangeait des petits biscuits. Une main se posait sur ses cheveux et sa mère se penchait sur lui. "Prend garde à ne pas salir ton beau pyjama mon chéri" Ils se souriaient, les grands yeux roses brillaient. Sa mère s'agenouillait à côté de lui et lui disait : *
_ J'ai quelque-chose pour toi, trésor.
Hidan se tournait vers elle. Un léger vent brûlant soulevait les cheveux blancs et frisés de la femme qui lui souriait. Elle lui prenait les mains et y déposait un objet. Hidan ramenait ses bras contre lui et ouvrait ses doigts. Un long colier en glissait et pendait sous ses mains. La lueur du jour qui s'éteingnait le fesait sintiller. Un symbole était gravé au bout des chaînes. Un triangle dans un rond.
_ C'est le symbole d'un Dieu. Il te protégera ou que tu soit et quoi que tu fasse.
Elle lui prenait le bijou des mains et le mettait au cou de son fils.
_ Voilà. Comme tu es beau avec ça mon ange!
Puis, elle se levait et repartait dans la maison. Hidan saisissait l'objet et le regardait remuer au rythme du vent. "Si ce Dieu me protége, il protégera aussi Maman"
Il relachait le colier et se levait à son tour. Il descendait les marches et avancait dans la prairie aux hautes fleurs. Il regardait le ciel. L'immense colline ou il marchait était tel qu'il lui semblait que les nuages et le soleil étaient de travers. Une fleur attirait son attention. Au milieu des autres colorées, elle, elle était noire. C'était une rose aux hépines rouge. Il tentait de la prendre mais il se piquait. Une petites coulée de sang pérlait sur ses doigts qu'il portait sur sa joue pour l'essuiyer. Plus délicatement et avec habileté, il s'emparait de la plante. Lorsqu'il la portait à hauteur de son visage, une voix basse et rauque de femme se fesait entendre.
"Petit, petit va, mais quand le moment vient,
Tu peu t'enfuire au loin,
Sachant que c'est la fin..."
Sous la surprise, Hidan lachait d'abors la rose, puis la ramassait par terre. Il regardait entre ses pétales comme s'il s'attendait à se que quelque-chose se produise mais rien ne se passait. Il se remettait à marcher sans se préocuper des paroles prononcées par la voix. La pente devenait trés raide là ou il était, il ne venait pas souvent ici. D'habitude il se contentait de monter la colline et non de la descendre. Il voyait une lumière entre les arbres de la forêt d'en-bas. Il aurait voulu pénetrer dans les bois mais il n'y était encore jamais y aller et ils lui fesaient peur. Alors qu'il se retournait pour rentrer chez lui, il perdait l'équilibre. La fleur voletait de ses mains et allait s'envoler plus loin. Lui, il tombait lourdement sur le ventre. Ausitôt, il cherchait son colier des yeux mais ne le voyait pas. En se redressant, il retirait son avant-bras d'au-dessus d'une pierre et s'appercevait que son bijou était là, entre lui et la roche, craquelé. Lorsqu'il se levait, le triangle de son colier tombait de son cercle. Hidan le ramassait et courait dans la maison. Il traversait le couloir et pénétrait dans la cuisine ou sa mère se préparait une tisane. Il ne s'avancait que de quelques pas avant de dire:
_ Maman? Je l'es cassé...
Mais la femme ne se retournait pas. Son bras au-dessus de sa tasse semblait stoppé net.
_ Maman?
Enfin, elle se retournait. Lentement... Trés lentement. Elle tenait dans sa main un couteau mais celà n'aurais pas inquiété Hidan si sa mère n'avait pas eu cette éxprétion sur le visage. Les bras ballants, la tête légerement penchée sur le côté, elle était triste. Infini, profonde tristesse. Hidan entendait de nouveau la voix basse.
"Petit, petit va, mais quand le moment vient,
Tu peu t'enfuir au loin,
Sachant que c'est la fin..."
Il n'hésitait pas. Il se retournait, sortait de la maison et courait en dirrection de la forêt.
Il dévalait la colline d'une allure accélérée par la pente. Il avait cependant du mal à courir à cause de toutes ces fleurs arc-en-ciel et des pierres qu'il bousculait sans cesse. Il resentait un froid glacial et éphémère lorsqu'il passait la lizière des bois et qu'il y entrait. Les arbres étaient noir, nus et serrés. De grandes racines sortaient de la terre, larges et hautes. De nombreuses feuilles mortent étaient étalées partout entre les arbres et sur les racines, formant un tapis de couleur sombre. Il n'y avait plus aucun bruit. Seul les feuilles craquées sous les pieds nus d'Hidan. Seul sa respirations haletante et son coeur battant. Il s'arrêtait et regardait en arrière. Un grand frisson le secouait lorsqu'il voyait le bras armé de sa mère dépassé de derrière un arbre. Il s'enfuiyait. Le silence ne se romptait que par son souffle tremblant d'angoisse. Il trébuchait et tombait. Il se mettait précipitament en position assise et regardait par terre. Il n'y avait rien. Mais lorsqu'il redressait la tête, son coeur montait dans sa gorge d'un seul coup et ses joues se gelaient. Sa mère courait vers lui. Dans ce même silence effroyable, les yeux ronds à moitié sortis de leur orbite, le regard psychopate et un sourire plein de folie.
_ Pourquoi tu fais ça, Maman?!
Il n'attendait pas la réponse. Il s'enfuyait. Derrière lui il entendait les pas rapides de la femme et il paniquait. Ses joues étaient séches et pourtant il pleurait. Du coeur...
Quand il se retournait, il ne la voyait pas. Pourtant il l'entendait. Elle courait mais ses pas semblaient retentirent de partout à la fois. La peur qui tenaillait Hidan le fesait tremblait de partout. Ses jambes se glaceaient et il tombait une seconde fois... Et une seconde fois il s'assayait. Il ne la voyait toujours pas mais l'entendait encore autour de lui. Les larmes de son coeur débordées à présent de ses yeux et roulaient sur ses joues. Il tournait les yeux dans tous les sens lorsqu'il la voyait, face à lui. Elle était immobile, cette exprésion morbide sur le visage. Elle levait son couteau à hauteur de son visage et s'avanceait. Doucement. Elle s'approchait... Hidan reculait, s'aidant de ses mains et de ses pieds, incapable de se relever. Il butait contre quelque-chose de froid. Un arbre. Sa mère lui disait alors, d'une voix neutre:
_ Je t'aime.
Hidan était déconcerté et la femme s'effondrait sur lui, le couteau devant elle. C'était ce même couteau qui touchait en premier le garçon. Il se plantait dans son cou. La femme tombait à côté de lui tendit que ses forces le quittaient. Ses paupières se fermaient et il s'entait sa main se fermer sur un objet. Entre ses doigts gissait un triangle dans un rond, glissait de la nuque de sa mère.
Le femme, debout, hurlait... hurlait parce-qu'elle voyait son fils étandu par terre, la gorge entaillée de ses propres mains. Parce-qu'elle avait tuée son enfant, sa vie, son sang et ses os qu'elle avait protégeait dans sa chair. Parce-que tout s'envolait autour d'elle, que le sol s'éffondrait sous ses pieds et qu'un silence meurtrier s'installait. Elle ne voyait plus rien que se petit être qui contenait tout son amour, tout ses sentiments et son existence. Elle hurlait parce-qu'elle mourait... mourait... mourait mais n'était toujours pas morte...
Quoi de plus fou, de plus maccabre, de plus ignoble et contre-nature que le meurtre d'une mère sur son enfant? Rien, et sa n'existe pas... Hidan n'a pu mourir des mains de sa mère et elle n'a pu vivre sans son fils... Ainsi devinrent-ils immortels... Non-vivant mais pas mort pour autant...Et dés l'instant ou le fer à percé la peau d'Hidan, ou leur coeur a cessait de battre, leurs organes et leur peaux se sont gelés, le souffle de leur vie à arrêté de passé dans leurs poumons, la souffrance éternelle s'est emparée de leurs entrailles... Et l'amour qu'ils ont l'un pour l'autre durera aussi longtemps que le monde...
Ils ne se sont plus jamais revus aprés sa... Même lorsqu'Hidan s'est réveillé, elle avait disparue. Elle croyait qu'il était mort...
Il y aura d'autres chapitres bien-sur. J'ai horreur des histoires qui se terminent...