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Tron Legacy - Joseph Kosinski

Publié : ven. 11 févr. 2011, 11:25
par Heaven smile
Tron : L'héritage - Joseph Kosinski

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Informations sur le film :

- Réalisé par : Joseph Kosinski
- Produit par : Steven Lisberger
- Distribué par : Walt Disney Studios
- Avec : Jeff Bridges,Garrett Hedlund, Olivia Wilde, Michael Sheen, James Frain
- Genre : Cyber-aventure
- Durée du film : 2h05
- Sortie française : 9 février 2011


Synopsis :

Sam Flynn est hanté par la mystérieuse disparition de son père, Kevin, Flynn ancien magnat du jeux vidéo. Cherchant à percer ce mystère, il se retrouve transporté dans le monde de Tron, où son père est prisonnier. Contraint à combattre pour survivre, il s'engage avec l’aide de son père et Quorra dans un dangereux voyage pour retrouver la réalité. Pour s'en sortir, ils doivent apprendre à maitriser et affronter les terribles lois régissant cet univers.


Critique :

À venir.

Re: Tron Legacy - Joseph Kosinski

Publié : mer. 09 mars 2011, 09:44
par Heaven smile
C'est moi ou tout le monde s'en balance du film :mrgreen:
Je fais bref,

The Grid. A digital frontier...

Au risque de m'attirer les foudres des aficionados de l'univers Tronien et autres geeks ayant érigé l'opus de Lisberger (Tron, 1982) en graal cinématographique, symbole dans un premier temps de l'émergence d'une « culture » leur étant propre, puis avec le temps, leur ayant été reconnu, je n'ai pas vu Tron. Évitons les scènes de pugilat et disons simplement que j'ai – du fait de cette absence – reçu le film comme une création indépendante se suffisant à elle. Inévitablement, cette position inclus à la fois des avantages et certains inconvénients.

L'histoire, tous – ou presque – la connaissent. Sam Flynn, héritier de l'entreprise ENCOM après la disparition de son père, Kevin, se retrouve plongé dans une utopie numérique. Kevin y est prisonnier depuis près de vingt ans. Dans un monde inconnu en proie à de terribles maux, il doit empêcher les sombres desseins de Clu – l'avatar paternel révolté contre son créateur – et trouver le moyen d'atteindre dans les plus bref délais le portail qui le ramènera, lui et son père, dans le monde réel.

« I tried to picture clusters of information as they moved through the computer. What did they look like? Ships, motorcycles? Were the circuits like freeways? I kept dreaming of a world I thought I'd never see. And then, one day, i got in. »

Disons d'emblée que toute la beauté de la citation ci-dessus se fane peu à peu, telle une rose, tant les possibilités visuelles et expérimentales que pouvait offrir Tron Legacy ne débordent jamais d'un cercle établi – et relativement consensuel. La beauté illusoire du colisée digital laisse place à un univers aride dépourvu de tout caractère majestueux. L'utilisation de la 3D elle-même s'avère étonnamment sous-employée alors qu'elle aurait pu enrichir thématiquement la réflexion sur les nouvelles technologies et le virtuel. Dans la droite lignée de ces déceptions visuelles, le scénario, bien que soulevant plusieurs questions – la notion de perfection – saborde ses idées potentiellement les plus passionnantes, à l'image des Iso, créations virtuels indépendantes ayant échappé au modelage de Flynn.
Il n'en demeure pas moins qu'en sortant de la salle, j'avais le sourire aux lèvres heureux d'avoir vu un blockbuster inévitablement calibré, mais néanmoins doté de belles qualités. La plus emblématique étant la mise en scène de Kosinski, protégé de Fincher à juste titre, en parfaite adéquation avec l'univers. Symétrie des cadres, beauté des travellings, lisibilité et tonicité des scènes d'actions. L'esthétisme de cet univers numérique – dans sa première partie – impressionne tout autant. Au plaisir des yeux s'ajoute l'enivrante partition des Daft Punk, qui ne révèle toute sa puissance que plongé dans la pénombre de la salle, face à ces lignes virtuels. Dernier élément à souligner, même si déjà évoqué; la question de la perfection, notamment à travers la symbolique récurrente du cercle. Tout comme le Black Swan d'Aronofsky, le film de Kosinski travaille sous toute les coutures l'image de la perfection, et ce dès l'affiche où il trône au sommet de toute chose, dépassant la main de l'homme et ses créations. Intouchable.

Je me répète mais même en étant – très – calibré, Tron a fonctionné chez moi. Un blockbuster hypnotique. Je me pignole pas plus dessus, c'est pas nécessaire. Allez-y (si c'est pas déjà fait), c'est sympa.

Re: Tron Legacy - Joseph Kosinski

Publié : dim. 10 avr. 2011, 09:28
par COCOTOUCH
C'est moi ou tout le monde s'en balance du film :mrgreen:
Non non c'est juste que les gens normaux sont tellement dépité par ce film qu'il ne veulent pas en parler :kamool:

Ce truc part direct dans mon flop 5 2011 :twisted:

Re: Tron Legacy - Joseph Kosinski

Publié : dim. 10 avr. 2011, 13:16
par CrazyMonkey
Idem,

J'ai vraiment pas accroché...

Je ne sais pas pourquoi, la tête de l'acteur peut-être :mrgreen:

Re: Tron Legacy - Joseph Kosinski

Publié : dim. 10 avr. 2011, 15:00
par kito
Ué c'était sympa à regarder quoi :hein:
Le scénar aurait pu être un peu plus poussé surtout au niveau des personnages.

Daft Punk reste fidèle à l'univers mais bon dieu que c'est moche à écouter :lol:

J'ai l'impression qui manque un truc dans ce film en fait :columbo:

Re: Tron Legacy - Joseph Kosinski

Publié : lun. 11 avr. 2011, 07:56
par Heaven smile
Mais...mais il est pas mal ce film.
(enfin, moi j'ai aimé :mrgreen: ).

Le topic a récolté quelques coms, c'est déjà ça :mrgreen:

Re: Tron Legacy - Joseph Kosinski

Publié : lun. 13 juin 2011, 01:38
par Kakashi_
Je viens de le finir à l'instant là. Bah après les commentaires et autres critiques cinglantes que j'ai pu lire, je le trouve pas si mauvais que ça moi :mrgreen:

Et puis franchement, rien que pour Olivia Wilde dans une combi en cuir, ça vaut le coup :momo:

Re: Tron Legacy - Joseph Kosinski

Publié : lun. 13 juin 2011, 08:21
par Heaven smile
Kakashi_ a écrit : Et puis franchement, rien que pour Olivia Wilde dans une combi en cuir, ça vaut le coup :momo:
Homme de goût :mrgreen:.