Souvenirs d'un Hollow.
Modérateur : Ero-modos
Mé ?? Mé ???
Mais qui est il donc ???
donc, un petit com.
Hé bien .. que dire, si ce n'est que ce chapitre est beaucoup plus intéressant que le précédent, je pense que tu vas vite le remarquer par un foule de com qui vont affluer... Attention.. top
( au fait, tu me feras un résumé sur les symptômes de la pauvreté )
Mais qui est il donc ???
donc, un petit com.
Hé bien .. que dire, si ce n'est que ce chapitre est beaucoup plus intéressant que le précédent, je pense que tu vas vite le remarquer par un foule de com qui vont affluer... Attention.. top
( au fait, tu me feras un résumé sur les symptômes de la pauvreté )
Viendez jouer ***avec la charte*** ( j'ai pas mis de lien... bouhhh michants )
Merci a R4seng@n pour ses gifs animés^^
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- Jounin
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- Chunnin
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Le grand méchant Clark Kent est de retour avec des nouveaux chapitres champagne !
Ca devient très intéressant tout ça ... le personnage d'Antoine me plait beaucoup. Un psycho en puissance comme on les aime. Bon courage pour la suite (qui arrivera bientôt, j'espère =D)
Ca devient très intéressant tout ça ... le personnage d'Antoine me plait beaucoup. Un psycho en puissance comme on les aime. Bon courage pour la suite (qui arrivera bientôt, j'espère =D)
Global VoicesRidicule-Dandy a écrit :Car sache le sans Mozart il n’y aurait pas eu les Beatles
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- Sannin
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NOUVEAU CHAPITRE !!!!!!!!!
Viendez voir !
Pas cher la fanfic, garanti ou remboursé pour un plaisir assuré !
Bon Ok j'arrête ^^ ... faut dire que je commence un peu à fatigué là (par rapport à l'heure ) ^^.
Nouveau chapitre, édité dans le premier message, comme d'hab quoi.
N'hésitez pas à laisser vos commentaires... et merci à ceux qui apprécie ce que je fais (ce qui accessoirement m'encourage à continuer ).
Viendez voir !
Pas cher la fanfic, garanti ou remboursé pour un plaisir assuré !
Bon Ok j'arrête ^^ ... faut dire que je commence un peu à fatigué là (par rapport à l'heure ) ^^.
Nouveau chapitre, édité dans le premier message, comme d'hab quoi.
N'hésitez pas à laisser vos commentaires... et merci à ceux qui apprécie ce que je fais (ce qui accessoirement m'encourage à continuer ).
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- Jounin
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- Chunnin
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On sait pas où ça nous mène, mais de la manière dont ça se présente, j'espère que ça mènera loin toujours aussi agréable à lire ; et on attend des nouvelles d'Antoine o/ !
Vivement la suite
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Global VoicesRidicule-Dandy a écrit :Car sache le sans Mozart il n’y aurait pas eu les Beatles
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- Sannin
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Et hop nouveau chapitre en espérant qu'il vous plaise .
Chapitre XIV/ Ma première fois
Il est étrange de croire qu’il est facile de tuer. Presser sur la détente, planter un couteau, crisper ses doigts sur un cou innocent, des gestes que de milliers d’Hollows ont déjà fait. Habitués à voir succomber leurs victimes, habitués à ce que le vie cesse autour d’eux, mais pour moi qu’en serait il ?
Malgré mon profond dégoût pour l’espèce humaine et le monstre que j’étais censé incarner, il ne m’était jamais venu à l’esprit que je puisse tuer quelqu’un de mes propres mains, ôter définitivement le souffle d’une personne. Tentant de faire abstraction de ces pensées parasites, je devais malgré tout gagner mon duel.
Une populace aux mouvements fluctuants et indécis me submergeait, je n’avais qu’à tendre le bras pour écraser ces vermines. Pourtant indiciblement quelque chose me retenait. Tout semblait trop réel, ces gens paraissaient de chair et de sang.
Il est une chose d’appuyer sur un bouton pour tuer un homme lorsqu’il y a la distance d’un graphisme approximatif, d’un écran de télévision, une raison plus ou moins bonne (sauver le monde, c’est le grand méchant du jeu, c’est celui qui a tué ta famille quand tu étais plus jeune et qui t’a plongé dans cette haine sans fin), bref toutes ces raisons propres au scénario d’un jeu vidéo qui font que la mort ne nous effraye pas. Et puis ce ne sont pas des êtres vivants, ce sont des pixels, des données informatiques, rien de comparable avec moi, mes parents, ma famille qui vivons, respirons, mangeons.
Pourtant la frontière avec le réel, semblait s’être effacé, rien dans le regard des gens m’entourant je ne pouvais lire la froideur d’une donnée informatique. Je les entendais, respirer, parler, leur discussions étaient aussi futiles, que celles peuvent être les nôtres.
« Il fait beau aujourd’hui ! »
« Tu as vu le match hier ! »
« Wall Street est en baisse, ce n’est pas bon pour l’indice Nikkei, ça ! »
« Comment ça va la famille ! »
« Je trompe ma femme. »
Je les écoutais, oubliant la raison première de ma présence parmi eux. Au fond de moi, j’avais peur, quel pouvait être ce jeu m’obligeant à réellement tuer des être humains. Malgré mon statut de Hollow et le masque censé me protéger des sentiments extérieur, le joueur que j’étais ne pouvait se départir de cette appréhension.
Je restai prostré, regardant défiler ces personnes, puis me vint à l’esprit qu’il existait encore une distance, entre mon perso et moi. Ces gens ne devait pas être réel puisque moi-même je n’étais pas un Hollow, hésitant à tuer, ce que n’aurait jamais fait un tel être. Rassuré par cette idée, je me dirigeais vers ma première victime, prêt à m’amuser quelque peu. Après tout ce n’était qu’un jeu.
Je me saisis d’une batte de base-ball, posée contre un mur alors qu’un groupe d’adolescent, les cheveux décolorés, des piercings aux endroits les plus farfelus, et une bière à la main, éructait dans un langage que mes oreilles ne pouvaient supporter. Je m’approchai tranquillement, ne pouvant me voir, je me plaçai derrière l’un d’eux. La batte tenue fixement, s’abattit avec violence sur le crâne d’un des jeunes hommes. Celui-ci basculât en avant, ses camarades le fixaient, angoissés, se demandant ce qui était en train de se passer. Le môme s’effondra sur la trottoir. Une flaque de sang commençait à se former, je continuais de frapper. Le crâne, objet si dur, éclatât laissant jaillir un purée de cervelle innommable qui aurait du me faire vomir si je n’avais pas été dans un état second. J’étais maintenu dans une exaltation perverse et sadique, je prenais plaisir à voir cet enfant innocent affalé sur le pavé, à lire la peur, la détresse, sur le visage de ses amis.
Un rire démoniaque s’échappât de ma gorge, ma respiration devenait haletante, un frisson me parcourût. Je ressentais ce que vivent les voltigeurs, se jetant d’un immeuble, et ouvrant leur parachute au dernier moment, l’adrénaline submergeait mon être. Lâchant ma batte, je me jetai sur le plus proche, arrachant sa tête et aspirant sa substantifique moëlle. La vie me paraissait si futile à ce moment là, j’avais l’impression d’être un Dieu, ôtant la vie à ces infimes insectes selon mon bon vouloir. Choisissant mes victimes, comme Dieu extermine les siennes.
Le pouvoir de tuer, un autre homme, même virtuellement, me rendait supérieur à lui. Cette idée m’excusait et me permettait tous les excès. Je dévorais goulûment tout ce qui se présentait à moi. J’eus bien de temps en temps quelques humains récalcitrants pouvant me voir et tentant de me faire barrage, mais à chaque âme absorbée, ma force s’en trouvait augmentée et je le réduisais en bouillie avec un plaisir non dissimulé.
Les trois heures passèrent, rapidement et sans même que je m’en rende compte, plongé que j’étais par ce plaisant jeu. Je totalisais 203 points lorsque je revins à la faille où m’attendait un Machia, hilare.
_Alors ? Comment tu t’en es sorti ? Mieux que moi j’espère. Je suis tombé sur un Capitaine qui m’a retenu près d’une heure, sans que je le tue et qui m’a considérablement affaibli.
_C’était le pied. J’ai 203 points je crois.
_Bien joué, mieux que moi, mais bon c’est un coup de pot, c’est juste que comme je suis plus puissant, les Shinigami me détectent plus facilement.
_Bof… On a la classe ou on l’a pas. Ils avaient trop peur de m’affronter alors que toi, ils ont tout de suite vu que tu étais une victime.
_C’est ça… je te laisse à tes rêves, moi je dois y aller mais à charge de revanche.
Nous nous quittâmes sur cette discussion. Le monde des Hollows, sombres aux nuages sanglants me regardait, fier de ce que je venais d’accomplir.
J’appartenais désormais à ce monde.
Chapitre XIV/ Ma première fois
Il est étrange de croire qu’il est facile de tuer. Presser sur la détente, planter un couteau, crisper ses doigts sur un cou innocent, des gestes que de milliers d’Hollows ont déjà fait. Habitués à voir succomber leurs victimes, habitués à ce que le vie cesse autour d’eux, mais pour moi qu’en serait il ?
Malgré mon profond dégoût pour l’espèce humaine et le monstre que j’étais censé incarner, il ne m’était jamais venu à l’esprit que je puisse tuer quelqu’un de mes propres mains, ôter définitivement le souffle d’une personne. Tentant de faire abstraction de ces pensées parasites, je devais malgré tout gagner mon duel.
Une populace aux mouvements fluctuants et indécis me submergeait, je n’avais qu’à tendre le bras pour écraser ces vermines. Pourtant indiciblement quelque chose me retenait. Tout semblait trop réel, ces gens paraissaient de chair et de sang.
Il est une chose d’appuyer sur un bouton pour tuer un homme lorsqu’il y a la distance d’un graphisme approximatif, d’un écran de télévision, une raison plus ou moins bonne (sauver le monde, c’est le grand méchant du jeu, c’est celui qui a tué ta famille quand tu étais plus jeune et qui t’a plongé dans cette haine sans fin), bref toutes ces raisons propres au scénario d’un jeu vidéo qui font que la mort ne nous effraye pas. Et puis ce ne sont pas des êtres vivants, ce sont des pixels, des données informatiques, rien de comparable avec moi, mes parents, ma famille qui vivons, respirons, mangeons.
Pourtant la frontière avec le réel, semblait s’être effacé, rien dans le regard des gens m’entourant je ne pouvais lire la froideur d’une donnée informatique. Je les entendais, respirer, parler, leur discussions étaient aussi futiles, que celles peuvent être les nôtres.
« Il fait beau aujourd’hui ! »
« Tu as vu le match hier ! »
« Wall Street est en baisse, ce n’est pas bon pour l’indice Nikkei, ça ! »
« Comment ça va la famille ! »
« Je trompe ma femme. »
Je les écoutais, oubliant la raison première de ma présence parmi eux. Au fond de moi, j’avais peur, quel pouvait être ce jeu m’obligeant à réellement tuer des être humains. Malgré mon statut de Hollow et le masque censé me protéger des sentiments extérieur, le joueur que j’étais ne pouvait se départir de cette appréhension.
Je restai prostré, regardant défiler ces personnes, puis me vint à l’esprit qu’il existait encore une distance, entre mon perso et moi. Ces gens ne devait pas être réel puisque moi-même je n’étais pas un Hollow, hésitant à tuer, ce que n’aurait jamais fait un tel être. Rassuré par cette idée, je me dirigeais vers ma première victime, prêt à m’amuser quelque peu. Après tout ce n’était qu’un jeu.
Je me saisis d’une batte de base-ball, posée contre un mur alors qu’un groupe d’adolescent, les cheveux décolorés, des piercings aux endroits les plus farfelus, et une bière à la main, éructait dans un langage que mes oreilles ne pouvaient supporter. Je m’approchai tranquillement, ne pouvant me voir, je me plaçai derrière l’un d’eux. La batte tenue fixement, s’abattit avec violence sur le crâne d’un des jeunes hommes. Celui-ci basculât en avant, ses camarades le fixaient, angoissés, se demandant ce qui était en train de se passer. Le môme s’effondra sur la trottoir. Une flaque de sang commençait à se former, je continuais de frapper. Le crâne, objet si dur, éclatât laissant jaillir un purée de cervelle innommable qui aurait du me faire vomir si je n’avais pas été dans un état second. J’étais maintenu dans une exaltation perverse et sadique, je prenais plaisir à voir cet enfant innocent affalé sur le pavé, à lire la peur, la détresse, sur le visage de ses amis.
Un rire démoniaque s’échappât de ma gorge, ma respiration devenait haletante, un frisson me parcourût. Je ressentais ce que vivent les voltigeurs, se jetant d’un immeuble, et ouvrant leur parachute au dernier moment, l’adrénaline submergeait mon être. Lâchant ma batte, je me jetai sur le plus proche, arrachant sa tête et aspirant sa substantifique moëlle. La vie me paraissait si futile à ce moment là, j’avais l’impression d’être un Dieu, ôtant la vie à ces infimes insectes selon mon bon vouloir. Choisissant mes victimes, comme Dieu extermine les siennes.
Le pouvoir de tuer, un autre homme, même virtuellement, me rendait supérieur à lui. Cette idée m’excusait et me permettait tous les excès. Je dévorais goulûment tout ce qui se présentait à moi. J’eus bien de temps en temps quelques humains récalcitrants pouvant me voir et tentant de me faire barrage, mais à chaque âme absorbée, ma force s’en trouvait augmentée et je le réduisais en bouillie avec un plaisir non dissimulé.
Les trois heures passèrent, rapidement et sans même que je m’en rende compte, plongé que j’étais par ce plaisant jeu. Je totalisais 203 points lorsque je revins à la faille où m’attendait un Machia, hilare.
_Alors ? Comment tu t’en es sorti ? Mieux que moi j’espère. Je suis tombé sur un Capitaine qui m’a retenu près d’une heure, sans que je le tue et qui m’a considérablement affaibli.
_C’était le pied. J’ai 203 points je crois.
_Bien joué, mieux que moi, mais bon c’est un coup de pot, c’est juste que comme je suis plus puissant, les Shinigami me détectent plus facilement.
_Bof… On a la classe ou on l’a pas. Ils avaient trop peur de m’affronter alors que toi, ils ont tout de suite vu que tu étais une victime.
_C’est ça… je te laisse à tes rêves, moi je dois y aller mais à charge de revanche.
Nous nous quittâmes sur cette discussion. Le monde des Hollows, sombres aux nuages sanglants me regardait, fier de ce que je venais d’accomplir.
J’appartenais désormais à ce monde.