Ca veut dire que j'peux espérer que tu considères plus sérieusement ma demande de drabble TayuShika?Tashiya (non, pas Tayuya XD) a écrit :c'est vrai que j'adore me faire désirer mais cette fic ne m'inspire pas.
La "fameuse" suite : A la recherche de Gaara
Modérateur : Ero-modos
j'y songe, j'y songe très chèreSakoni a écrit : Ca veut dire que j'peux espérer que tu considères plus sérieusement ma demande de drabble TayuShika?
dès que j'ai le temps je m'y colle. et pour celui ou celle qui m'a demandé (dsl je sais plus qui), "un enfant sur le champ de bataille" est tjs en chantier et j'ai plein d'idées donc ça s'arrêtera pas avant un moment ^^
-
yukiyoruno
- Gennin
- Messages : 461
- Inscription : jeu. 22 sept. 2005, 19:22
- Localisation : Quelque part en France
- Contact :
Eh bien...Il faut qu'on attend la suite... Mais ce n'est pas grave car la patience est un mes vertus. 
Personne n'est parfait... Tu dois attendre que l'inspiration te revient comme un déclic.
Imaginons, Tayuya repose dans un baignoire en train de reviser qq chose tout à coup elle crie "Euréka!!!!!!" et hop, elle est au clavier et en word 2000.
Bon, je délire grave! pardonne-moi
Il est temps d'apprendre la patience, lecteurs fervents de Tayuya. ...
Bon, je vs laisse. Bon courage, Tayuya!!!
Personne n'est parfait...
Tu dois attendre que l'inspiration te revient comme un déclic.Imaginons, Tayuya repose dans un baignoire en train de reviser qq chose tout à coup elle crie "Euréka!!!!!!" et hop, elle est au clavier et en word 2000.
Bon, je délire grave! pardonne-moi
Il est temps d'apprendre la patience, lecteurs fervents de Tayuya.
...Bon, je vs laisse. Bon courage, Tayuya!!!
les amis, vous n'allez pas le croire mais j'ai pondu un nouveau chapitre ! j'espère qu'il vous plaira.
Chapitre XVI
Sacrifiés
De la chaleur… Ce fut la première chose dont il prit conscience quand son esprit cessa de naviguer dans un semi comas. Une douce chaleur lui baignait tous les membres. Il n’avait plus mal. Il avait juste chaud. Et il était bien. Son corps semblait débarrassé de toute lassitude. Comme s’il en avait eu un autre… Il aurait pu rester ainsi pour toujours. Mais alors même qu’il ne parvenait pas encore à rassembler ses esprits, quelque chose lui dit que cet état de fait n’était pas normal. Le tout était de savoir pourquoi.
Lentement, son cerveau s’activa. Ses perceptions lui revinrent progressivement, lui envoyant par vagues successives des informations diverses. Son corps était engourdi et il avait la désagréable impression d’avoir les membres remplis de coton. Ses bras étaient trop lourds pour être levés et seul le petit doigt de sa main gauche – ou droite, impossible d’être plus précis – donna signe de vie. Selon toute vraisemblance, il était allongé sur un matelas avec la tête légèrement relevée par rapport au reste du corps.
Des sons diffus lui parvinrent de loin. C’était trop vague, trop imprécis. Et il ne reconnaissait pas les voix. D’ailleurs, il ne comprenait même pas le sens des phrases prononcées. C’était juste… des sons… du bruit. Et la lumière plutôt vive qu’il devinait à travers ses paupières closes ne l’aidait pas à se concentrer.
Attends… lumière... lumière… euh… donc… donc il fait jour.
Ce fut la seule conclusion à laquelle la mêlasse qui lui servait de cerveau lui permit d’arriver. Cette relative apathie ne l’inquiéta même pas, son esprit n’ayant pas encore récupérer suffisamment de ses facultés pour lui faire ressentir une quelconque anxiété. Il se contenta donc d’attendre que ses forces et sa capacité de réflexion lui reviennent. Au bout de quelques minutes – ou peut-être de quelques heures, toute notion du temps l’ayant provisoirement déserté – il avait rassemblé assez d’énergie pour ouvrir la bouche et émettre une suite plus ou moins intelligible de sons.
- Où… où… ?
Quelque chose retentit tout près, des pas claquant sur le plancher à priori, mais il n’aurait pu en jurer. Quelqu’un approchait. S’il avait pu, Naruto aurait levé le bras pour se protéger. Mais il en fut proprement incapable. Malgré tout, une expression menacée avait du apparaître sur son visage car il entendit vaguement des paroles prononcées sur un ton rassurant.
- Tout va bien. … en sécurité, d’accord ? … danger … passé. … gravement blessé. C’est pour ça … mal à bouger. …. Dormir…
Il y eut un bruit de bruissement d’étoffes, signe que la personne se rapprochait, et Naruto sentit qu’on lui appliquait une compresse fraîche sur le front. Ça lui fit du bien. Il se sentait en sécurité. Il était vivant – ou du moins, il l’espérait – on s’occupait de lui et… et rien en fait. Il s’abandonna donc au sommeil et quelques secondes plus tard, il dormait à points fermés.
Lorsqu’il ouvrit les yeux quelques heures plus tard, la première chose qu’il vit fut un visage de femme penché sur lui. Cheveux de jais, yeux bleu foncés, beau sourire. Inconsciemment, Naruto lui rendit son sourire. La jeune femme ouvrit la bouche et une voix douce retentit aux oreilles du jeune ninja.
- Comment tu te sens ?
- Euh… ben… bien.
Sa voix un peu sifflante due à une interruption prolongée de son mécanisme vocal le surprit un peu, mais sans plus. Il avait vu bien pire après tout.
- Qui… qui êtes-vous ?
Nouveau sourire.
- Je m’appelle Hisa. Oseki Hisa.
- Où… où est-ce que je suis ?
- Tout va bien. Vous êtes à peu près à une heure de marche de Ame no sato.
- Une heure… de Ame…
Les souvenirs lui revinrent d’un seul coup. Il se dressa brusquement sur son lit, faisant sursauter Hisa.
- Mes amis ! Où sont-ils ?
- Ne vous inquiétez pas. Vos amis sont également ici. On est en train de les soigner.
- Personne n’est mort, hein ! On était quatre…
- Et vous êtes toujours quatre, répondit la jolie femme avec un geste rassurant. Pas de panique.
Profondément soulagé, Naruto soupira et se laissa aller sur son lit. Pendant une seconde, il avait eu si peur que son cœur avait du rater un ou deux battements. Et le fait que sa mémoire comporte un trou noir de… de combien au fait ? Il fronça les sourcils. Il se rappelait parfaitement du combat jusqu’à l’invocation de Témari mais après…
- Je dors depuis longtemps ?
- Les hommes du village vous ont ramené il y a deux jours.
- Ah d’accord… Deux jours ??!
Cette fois, il bondit carrément hors de son lit, bousculant presque Hisa. Mais ses jambes flageolantes ne lui permirent pas d’aller très loin et il s’écroula lourdement sur le parquet ciré. Hisa se précipita.
- Oh mon Dieu, tout va bien ? dit-elle en l’aidant à se relever puis à s’asseoir de nouveau sur le lit.
- Oui, oui ! Euh mais en fait, non ! Où est Kakashi-sensei ?
- Qui ?
- Kakashi-sensei. Un homme aux cheveux argentés en pétard et un masque sur le visage…
- Ah, oui je vois. Il était très gravement blessé. Je crois qu’il dort encore.
- Mais il faut absolument que je le voie ! On devait être à Ame hier, dernier délai ! Autrement ils attaquaient Suna et…
- Ame attaquer Suna ? Mais…
- Et Témari, elle est où ? Une blonde avec un éventail…
- Je…
Juste à cet instant, la porte de la chambre s’ouvrit avec fracas et c’est une Témari échevelée et en béquilles qui débarqua dans la pièce.
- Ah, enfin quelqu’un !
- Mademoiselle ! s’écria Hisa avec une expression terrifiée sur le visage. Vous ne devriez pas vous lever ! Votre jambe…
- Ma jambe va bien, répliqua sèchement Témari. Naruto, c’est terrible ! On aurait du arriver à Ame…
- Hier, je sais. Il faut trouver Kakashi-sensei et Sakura et partir tout de suite si on veut encore sauver ton village !
- Le problème, c’est que je ne les ai pas trouvés. Ça fait une heure que je déambule dans ce foutu bâtiment et je n’ai rencontré personne.
- Je vais t’aider à les chercher…
- Non ! coupa alors Hisa. Vous ne pouvez pas partir maintenant, c’est trop dangereux ! Ceux qui vous ont attaqués pourraient revenir…
- Si on reste ici c’est mon village qui va être détruit ! riposta Témari les yeux exorbités par la colère. Et vous voudriez que je reste sans rien faire ?
- Vous n’êtes ni l’un ni l’autre en état de repartir. Et en plus, vous n’avez pas la moindre idée des gens que vous affrontez ni de leurs armes. Alors calmez-vous ou sinon c’est moi qui vous calme !! ajouta-t-elle en haussant brusquement le ton, voyant que ni Témari ni Naruto ne semblaient impressionnés.
Pendant une seconde, en contemplant le visage devenu furibond et menaçant de Hisa, Naruto eut la brève vision de Tsunade en train de lui hurler dessus et déglutit avec difficulté. La jeune femme s’était redressée de toute sa hauteur et le jeune homme, qui l’avait d’abord prise pour une guérisseuse quelconque, s’aperçut soudain qu’elle portait une tenue de combat. Vêtue d’une tunique noire aux longues manches retroussées jusqu’aux coudes, d’un corsaire de la même couleur et équipée de protections au niveau des avants bras et du ventre, elle ressemblait bien plus à un ANBU qu’à une infirmière. Il se demanda comment il avait pu louper un truc pareil.
De son côté, Témari considérait Hisa avec un mélange de dédain et de méfiance. Cette fille était sans aucun doute une ninja et même une bonne ninja si on en jugeait par son équipement. Et il n’y avait pas que du faux dans ce qu’elle disait. Non seulement elle n’avait pas la moindre idée de ceux qui l’avaient mise dans cet état mais en plus, elle qui avait toujours refusé toute aide médicale, était obligée de marcher avec des béquilles. Logique, direz-vous. On ne guérit pas d’un genou brisé en deux jours.
Mais d’un autre côté, la seule pensée que Suna subissait une nouvelle attaque par sa faute pendant qu’elle, elle boitait comme une infirme, la faisait bouillir de rage. Elle détestait ce sentiment d’impuissance par-dessus tout. Car elle n’était pas de celles qui se résignaient vite. Au contraire, elle avait toujours obtenu ce qu’elle voulait et ce n’était certainement pas aujourd’hui, alors que l’avenir de son village en dépendait, que cela s’arrêterait ; même si dans l’immédiat… c’était assez ridicule de le penser. Que pouvait-elle faire ? A l’heure à laquelle elle parlait, Gaara était sûrement déjà mort et Kankuro était resté à Suna. Avec un peu de chance, elle perdrait les deux… et se retrouverait seule. Comme dans son rêve. Les larmes lui montèrent aux yeux sans qu’elle pût faire quoi que ce soit pour les arrêter. A chaque fois qu’elle pensait à ce rêve, elle perdait ses moyens.
Hisa fronça les sourcils en voyant cette fière jeune fille baisser soudain la tête et se mettre à sangloter. Ça n’avait pas été son but, loin de là, et elle se sentit gênée.
- Euh… excusez-moi… je ne voulais pas… enfin je veux dire…
Pour toute réponse, Témari lui lança un regard mauvais. Naruto soupira. Le découragement l’envahit. La situation empirait de minute en minute. A ce train là, jamais ils ne retrouveraient Gaara en vie… Hisa remarqua l’affaissement des épaules de Naruto et tenta une approche pour réparer sa gaffe.
- Je vais voir comment se portent vos équipiers. Venez donc avec moi. S’ils sont en état de parler, on essaiera de voir ce qu’on peut faire pour vous aider.
Naruto releva aussitôt la tête.
- Ok, on fait ça ! s’écria-t-il requinqué.
Sous l’effet de l’enthousiasme, il bondit sur ses pieds… et se serait probablement écroulé lamentablement encore une fois si Hisa n’avait pas eu le réflexe de le soutenir.
- Faites attention, s’il vous plait. Vos muscles ne se sont pas encore totalement remis. Vous devez bouger avec prudence.
- Naruto ? Bouger avec prudence ? ricana Témari. Vous plaisantez, j’espère !
- Toi, la blonde, répliqua le jeune homme, boite et tait-toi !
Témari rougit de colère mais avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit, Hisa ouvrit la porte et leur fit signe de la suivre. Tandis qu’ils marchaient dans le couloir, Témari se tourna vers Naruto.
- Comment va ta main ?
- Ma main ? répéta le jeune homme d’un air ahuri avant de se rappeler… et de toucher précipitamment sa main gauche.
Elle était intacte. Pas de cicatrice. Pas de marque, rien. Naruto avait beau savoir qu’il devait cette régénération extraordinaire à Kyubi, se dire que, deux jours auparavant, il avait eu la main transformée en passoire le mettait plutôt mal à l’aise.
- Eh, ça va ? demanda Témari qui avait du voir le malaise sur son visage.
- Hein ? Euh oui, oui, pas de problème. Ça me fait juste… bizarre…
- Tu parles… Je pensais pas que je serais capable de marcher de nouveau un jour. A vrai dire, je pensais même pas que je survivrais.
- Moi non plus. Me demande comment ils ont fait…
- Je vais tout vous expliquer, intervint Hisa qui avait suivi la conversation. Encore un peu de patience. Nous arrivons. Entrez, ajouta-t-elle en ouvrant une porte.
Naruto entra le premier, suivi de Témari puis de Hisa qui referma la porte derrière elle. Les deux jeunes gens jetèrent un regard circulaire autour d’eux. La pièce était grande et contrairement au reste du bâtiment, éclairée par la lumière du jour qui filtrait par les fenêtres. Une atmosphère calme et apaisante y régnait. Inconsciemment, ils se sentirent en sécurité. Témari et Naruto échangèrent un regard puis suivirent Hisa jusqu’au coin droit de la pièce où se trouvaient deux lits. Sur l’un d’eux, Sakura dormait à points fermés. Sur l’autre, assis en tailleur et apparemment soucieux, Kakashi eut toutefois l’air soulagé en les voyant.
- Salut.
- Yo, Kakashi-sensei ! Vous êtes réveillé depuis longtemps ?
- Non, une heure à peine.
- Et Sakura ?
Kakashi jeta un regard triste à la jeune fille endormie.
- Rien.
- Elle a été très gravement blessée, c’est tout à fait normal, dit Hisa.
- Je suis content de vous voir, murmura Kakashi à ses deux amis.
- S’il te plait, Kakashi, répondit Témari, ne sois pas aussi démonstratif quand tu dis ce genre de choses. On pourrait croire que tu es content !
Naruto éclata de rire. A côté de lui, Hisa pouffa. Kakashi lui-même émit un son pouvant s’apparenter à un gloussement mais une grimace de douleur tordit immédiatement ses traits lisses.
- Aïe. Bordel…
- Faites attention, intervint Hisa. Ne bougez pas trop sinon vos blessures vont se rouvrir.
- Je pourrais difficilement bouger moins, grogna le Jounin. A moins que respirer ne fasse pas partie des mouvements autorisés.
Témari tenta – assez vainement – de déguiser son éclat de rire en quinte de toux. Naruto lui, ne prit pas cette peine, secoué par un fou rire relativement silencieux. Hisa secoua la tête, agacée et dévisagea Kakashi qui n’avait l’air très amusé non plus. Il avait incontestablement mauvaise mine malgré les soins reçus. Elle se sentit attendrie et se rapprocha de lui.
- Blague à part, est-ce que vous vous sentez mieux ?
Kakashi la regarda et se radoucit.
- Oui. C’est vous qui nous avez ramenés ?
- Mon équipe et moi. D’après ce que nous savons, vous avez été attaqués par un groupe de mercenaires spécialisés dans les armes à feu.
- Les armes à feu ? répéta Naruto. C’est quoi ça ?
- En gros, des armes en métal qui envoient des projectiles à une très grande vitesse.
- Ce ne serait pas ça qui m’a troué la main ?
- Et moi le genou ?
- Exactement.
- Super.
- Ce sont des mercenaires ninjas ? demanda Kakashi.
- Non. Mais à cause de leurs armes, on les redoute beaucoup par ici. De nombreux ninjas ont été tués après avoir patrouillé dans les parages.
- Et pourquoi vous ne les exterminez pas ? s’enquit Naruto.
- Ce n’est pas un village de ninjas ici
- Hein ? Mais… et vous ? Vous êtes équipée comme un ANBU.
- Je ne suis pas d’ici. Vous êtes dans un petit village semblable à celui des Vagues. Il n’a pas de force armée. C’est pour cela qu’il loue les services de ninjas comme moi.
- Pourquoi nous ont-ils attaqués ?
- Je ne sais pas. Vous ont-ils volé quelque chose ?
Kakashi jeta un coup d’œil à son sac. Il avait vérifié quelques minutes auparavant. Le rouleau s’y trouvait toujours.
- Non.
Hisa fronça les sourcils.
- C’est étrange. D’ordinaire, ils pillent ceux qu’ils attaquent.
Naruto fit la moue.
- On s’en occupera plus tard, intervint Témari. Il faut qu’on retourne tout de suite à Suna.
- Hein ? Mais pourquoi ? fit Hisa.
- Nous devions nous rendre à Ame sous trois jours à compter du 15, faute de quoi, ils attaqueraient Suna ? répondit Kakashi. Et nous sommes le 20.
- Avez-vous vu de troupes d’Ame dans les parages pendant ces deux jours ? demanda Témari à Hisa.
- Non ! protesta la jeune femme, visiblement offensée.
- Qu’est-ce que ça veut dire ? Vous croyez qu’ils ont changé d’avis ?
- J’en doute, vu le ton employé dans le message que m’a montré Jin-sama, observa Kakashi.
- Mais alors où sont-ils ?
- J’en sais rien.
- Il faudrait peut-être se séparer, proposa Naruto. Deux iraient à Ame pour vérifier et deux autres retourneraient à Suna.
- Mauvaise idée. Trop dangereux.
- Il faut retourner à Suna, déclara Témari d’un ton ferme. Ne serait-ce que pour apporter notre aide aux habitants. Le village est déjà très affaibli, il ne résistera pas !
- Nan mais, attendez une minute ! intervint Hisa. Vous dites n’importe quoi. Ame n’a jamais eu l’intention d’attaquer Suna.
oh la chute de ouf
eh eh, je sais pas quand je posterai la suite mais comme j'ai retrouvé l'inspiration, ça devrait aller plus vite.
Chapitre XVI
Sacrifiés
De la chaleur… Ce fut la première chose dont il prit conscience quand son esprit cessa de naviguer dans un semi comas. Une douce chaleur lui baignait tous les membres. Il n’avait plus mal. Il avait juste chaud. Et il était bien. Son corps semblait débarrassé de toute lassitude. Comme s’il en avait eu un autre… Il aurait pu rester ainsi pour toujours. Mais alors même qu’il ne parvenait pas encore à rassembler ses esprits, quelque chose lui dit que cet état de fait n’était pas normal. Le tout était de savoir pourquoi.
Lentement, son cerveau s’activa. Ses perceptions lui revinrent progressivement, lui envoyant par vagues successives des informations diverses. Son corps était engourdi et il avait la désagréable impression d’avoir les membres remplis de coton. Ses bras étaient trop lourds pour être levés et seul le petit doigt de sa main gauche – ou droite, impossible d’être plus précis – donna signe de vie. Selon toute vraisemblance, il était allongé sur un matelas avec la tête légèrement relevée par rapport au reste du corps.
Des sons diffus lui parvinrent de loin. C’était trop vague, trop imprécis. Et il ne reconnaissait pas les voix. D’ailleurs, il ne comprenait même pas le sens des phrases prononcées. C’était juste… des sons… du bruit. Et la lumière plutôt vive qu’il devinait à travers ses paupières closes ne l’aidait pas à se concentrer.
Attends… lumière... lumière… euh… donc… donc il fait jour.
Ce fut la seule conclusion à laquelle la mêlasse qui lui servait de cerveau lui permit d’arriver. Cette relative apathie ne l’inquiéta même pas, son esprit n’ayant pas encore récupérer suffisamment de ses facultés pour lui faire ressentir une quelconque anxiété. Il se contenta donc d’attendre que ses forces et sa capacité de réflexion lui reviennent. Au bout de quelques minutes – ou peut-être de quelques heures, toute notion du temps l’ayant provisoirement déserté – il avait rassemblé assez d’énergie pour ouvrir la bouche et émettre une suite plus ou moins intelligible de sons.
- Où… où… ?
Quelque chose retentit tout près, des pas claquant sur le plancher à priori, mais il n’aurait pu en jurer. Quelqu’un approchait. S’il avait pu, Naruto aurait levé le bras pour se protéger. Mais il en fut proprement incapable. Malgré tout, une expression menacée avait du apparaître sur son visage car il entendit vaguement des paroles prononcées sur un ton rassurant.
- Tout va bien. … en sécurité, d’accord ? … danger … passé. … gravement blessé. C’est pour ça … mal à bouger. …. Dormir…
Il y eut un bruit de bruissement d’étoffes, signe que la personne se rapprochait, et Naruto sentit qu’on lui appliquait une compresse fraîche sur le front. Ça lui fit du bien. Il se sentait en sécurité. Il était vivant – ou du moins, il l’espérait – on s’occupait de lui et… et rien en fait. Il s’abandonna donc au sommeil et quelques secondes plus tard, il dormait à points fermés.
Lorsqu’il ouvrit les yeux quelques heures plus tard, la première chose qu’il vit fut un visage de femme penché sur lui. Cheveux de jais, yeux bleu foncés, beau sourire. Inconsciemment, Naruto lui rendit son sourire. La jeune femme ouvrit la bouche et une voix douce retentit aux oreilles du jeune ninja.
- Comment tu te sens ?
- Euh… ben… bien.
Sa voix un peu sifflante due à une interruption prolongée de son mécanisme vocal le surprit un peu, mais sans plus. Il avait vu bien pire après tout.
- Qui… qui êtes-vous ?
Nouveau sourire.
- Je m’appelle Hisa. Oseki Hisa.
- Où… où est-ce que je suis ?
- Tout va bien. Vous êtes à peu près à une heure de marche de Ame no sato.
- Une heure… de Ame…
Les souvenirs lui revinrent d’un seul coup. Il se dressa brusquement sur son lit, faisant sursauter Hisa.
- Mes amis ! Où sont-ils ?
- Ne vous inquiétez pas. Vos amis sont également ici. On est en train de les soigner.
- Personne n’est mort, hein ! On était quatre…
- Et vous êtes toujours quatre, répondit la jolie femme avec un geste rassurant. Pas de panique.
Profondément soulagé, Naruto soupira et se laissa aller sur son lit. Pendant une seconde, il avait eu si peur que son cœur avait du rater un ou deux battements. Et le fait que sa mémoire comporte un trou noir de… de combien au fait ? Il fronça les sourcils. Il se rappelait parfaitement du combat jusqu’à l’invocation de Témari mais après…
- Je dors depuis longtemps ?
- Les hommes du village vous ont ramené il y a deux jours.
- Ah d’accord… Deux jours ??!
Cette fois, il bondit carrément hors de son lit, bousculant presque Hisa. Mais ses jambes flageolantes ne lui permirent pas d’aller très loin et il s’écroula lourdement sur le parquet ciré. Hisa se précipita.
- Oh mon Dieu, tout va bien ? dit-elle en l’aidant à se relever puis à s’asseoir de nouveau sur le lit.
- Oui, oui ! Euh mais en fait, non ! Où est Kakashi-sensei ?
- Qui ?
- Kakashi-sensei. Un homme aux cheveux argentés en pétard et un masque sur le visage…
- Ah, oui je vois. Il était très gravement blessé. Je crois qu’il dort encore.
- Mais il faut absolument que je le voie ! On devait être à Ame hier, dernier délai ! Autrement ils attaquaient Suna et…
- Ame attaquer Suna ? Mais…
- Et Témari, elle est où ? Une blonde avec un éventail…
- Je…
Juste à cet instant, la porte de la chambre s’ouvrit avec fracas et c’est une Témari échevelée et en béquilles qui débarqua dans la pièce.
- Ah, enfin quelqu’un !
- Mademoiselle ! s’écria Hisa avec une expression terrifiée sur le visage. Vous ne devriez pas vous lever ! Votre jambe…
- Ma jambe va bien, répliqua sèchement Témari. Naruto, c’est terrible ! On aurait du arriver à Ame…
- Hier, je sais. Il faut trouver Kakashi-sensei et Sakura et partir tout de suite si on veut encore sauver ton village !
- Le problème, c’est que je ne les ai pas trouvés. Ça fait une heure que je déambule dans ce foutu bâtiment et je n’ai rencontré personne.
- Je vais t’aider à les chercher…
- Non ! coupa alors Hisa. Vous ne pouvez pas partir maintenant, c’est trop dangereux ! Ceux qui vous ont attaqués pourraient revenir…
- Si on reste ici c’est mon village qui va être détruit ! riposta Témari les yeux exorbités par la colère. Et vous voudriez que je reste sans rien faire ?
- Vous n’êtes ni l’un ni l’autre en état de repartir. Et en plus, vous n’avez pas la moindre idée des gens que vous affrontez ni de leurs armes. Alors calmez-vous ou sinon c’est moi qui vous calme !! ajouta-t-elle en haussant brusquement le ton, voyant que ni Témari ni Naruto ne semblaient impressionnés.
Pendant une seconde, en contemplant le visage devenu furibond et menaçant de Hisa, Naruto eut la brève vision de Tsunade en train de lui hurler dessus et déglutit avec difficulté. La jeune femme s’était redressée de toute sa hauteur et le jeune homme, qui l’avait d’abord prise pour une guérisseuse quelconque, s’aperçut soudain qu’elle portait une tenue de combat. Vêtue d’une tunique noire aux longues manches retroussées jusqu’aux coudes, d’un corsaire de la même couleur et équipée de protections au niveau des avants bras et du ventre, elle ressemblait bien plus à un ANBU qu’à une infirmière. Il se demanda comment il avait pu louper un truc pareil.
De son côté, Témari considérait Hisa avec un mélange de dédain et de méfiance. Cette fille était sans aucun doute une ninja et même une bonne ninja si on en jugeait par son équipement. Et il n’y avait pas que du faux dans ce qu’elle disait. Non seulement elle n’avait pas la moindre idée de ceux qui l’avaient mise dans cet état mais en plus, elle qui avait toujours refusé toute aide médicale, était obligée de marcher avec des béquilles. Logique, direz-vous. On ne guérit pas d’un genou brisé en deux jours.
Mais d’un autre côté, la seule pensée que Suna subissait une nouvelle attaque par sa faute pendant qu’elle, elle boitait comme une infirme, la faisait bouillir de rage. Elle détestait ce sentiment d’impuissance par-dessus tout. Car elle n’était pas de celles qui se résignaient vite. Au contraire, elle avait toujours obtenu ce qu’elle voulait et ce n’était certainement pas aujourd’hui, alors que l’avenir de son village en dépendait, que cela s’arrêterait ; même si dans l’immédiat… c’était assez ridicule de le penser. Que pouvait-elle faire ? A l’heure à laquelle elle parlait, Gaara était sûrement déjà mort et Kankuro était resté à Suna. Avec un peu de chance, elle perdrait les deux… et se retrouverait seule. Comme dans son rêve. Les larmes lui montèrent aux yeux sans qu’elle pût faire quoi que ce soit pour les arrêter. A chaque fois qu’elle pensait à ce rêve, elle perdait ses moyens.
Hisa fronça les sourcils en voyant cette fière jeune fille baisser soudain la tête et se mettre à sangloter. Ça n’avait pas été son but, loin de là, et elle se sentit gênée.
- Euh… excusez-moi… je ne voulais pas… enfin je veux dire…
Pour toute réponse, Témari lui lança un regard mauvais. Naruto soupira. Le découragement l’envahit. La situation empirait de minute en minute. A ce train là, jamais ils ne retrouveraient Gaara en vie… Hisa remarqua l’affaissement des épaules de Naruto et tenta une approche pour réparer sa gaffe.
- Je vais voir comment se portent vos équipiers. Venez donc avec moi. S’ils sont en état de parler, on essaiera de voir ce qu’on peut faire pour vous aider.
Naruto releva aussitôt la tête.
- Ok, on fait ça ! s’écria-t-il requinqué.
Sous l’effet de l’enthousiasme, il bondit sur ses pieds… et se serait probablement écroulé lamentablement encore une fois si Hisa n’avait pas eu le réflexe de le soutenir.
- Faites attention, s’il vous plait. Vos muscles ne se sont pas encore totalement remis. Vous devez bouger avec prudence.
- Naruto ? Bouger avec prudence ? ricana Témari. Vous plaisantez, j’espère !
- Toi, la blonde, répliqua le jeune homme, boite et tait-toi !
Témari rougit de colère mais avant qu’elle ait pu dire quoi que ce soit, Hisa ouvrit la porte et leur fit signe de la suivre. Tandis qu’ils marchaient dans le couloir, Témari se tourna vers Naruto.
- Comment va ta main ?
- Ma main ? répéta le jeune homme d’un air ahuri avant de se rappeler… et de toucher précipitamment sa main gauche.
Elle était intacte. Pas de cicatrice. Pas de marque, rien. Naruto avait beau savoir qu’il devait cette régénération extraordinaire à Kyubi, se dire que, deux jours auparavant, il avait eu la main transformée en passoire le mettait plutôt mal à l’aise.
- Eh, ça va ? demanda Témari qui avait du voir le malaise sur son visage.
- Hein ? Euh oui, oui, pas de problème. Ça me fait juste… bizarre…
- Tu parles… Je pensais pas que je serais capable de marcher de nouveau un jour. A vrai dire, je pensais même pas que je survivrais.
- Moi non plus. Me demande comment ils ont fait…
- Je vais tout vous expliquer, intervint Hisa qui avait suivi la conversation. Encore un peu de patience. Nous arrivons. Entrez, ajouta-t-elle en ouvrant une porte.
Naruto entra le premier, suivi de Témari puis de Hisa qui referma la porte derrière elle. Les deux jeunes gens jetèrent un regard circulaire autour d’eux. La pièce était grande et contrairement au reste du bâtiment, éclairée par la lumière du jour qui filtrait par les fenêtres. Une atmosphère calme et apaisante y régnait. Inconsciemment, ils se sentirent en sécurité. Témari et Naruto échangèrent un regard puis suivirent Hisa jusqu’au coin droit de la pièce où se trouvaient deux lits. Sur l’un d’eux, Sakura dormait à points fermés. Sur l’autre, assis en tailleur et apparemment soucieux, Kakashi eut toutefois l’air soulagé en les voyant.
- Salut.
- Yo, Kakashi-sensei ! Vous êtes réveillé depuis longtemps ?
- Non, une heure à peine.
- Et Sakura ?
Kakashi jeta un regard triste à la jeune fille endormie.
- Rien.
- Elle a été très gravement blessée, c’est tout à fait normal, dit Hisa.
- Je suis content de vous voir, murmura Kakashi à ses deux amis.
- S’il te plait, Kakashi, répondit Témari, ne sois pas aussi démonstratif quand tu dis ce genre de choses. On pourrait croire que tu es content !
Naruto éclata de rire. A côté de lui, Hisa pouffa. Kakashi lui-même émit un son pouvant s’apparenter à un gloussement mais une grimace de douleur tordit immédiatement ses traits lisses.
- Aïe. Bordel…
- Faites attention, intervint Hisa. Ne bougez pas trop sinon vos blessures vont se rouvrir.
- Je pourrais difficilement bouger moins, grogna le Jounin. A moins que respirer ne fasse pas partie des mouvements autorisés.
Témari tenta – assez vainement – de déguiser son éclat de rire en quinte de toux. Naruto lui, ne prit pas cette peine, secoué par un fou rire relativement silencieux. Hisa secoua la tête, agacée et dévisagea Kakashi qui n’avait l’air très amusé non plus. Il avait incontestablement mauvaise mine malgré les soins reçus. Elle se sentit attendrie et se rapprocha de lui.
- Blague à part, est-ce que vous vous sentez mieux ?
Kakashi la regarda et se radoucit.
- Oui. C’est vous qui nous avez ramenés ?
- Mon équipe et moi. D’après ce que nous savons, vous avez été attaqués par un groupe de mercenaires spécialisés dans les armes à feu.
- Les armes à feu ? répéta Naruto. C’est quoi ça ?
- En gros, des armes en métal qui envoient des projectiles à une très grande vitesse.
- Ce ne serait pas ça qui m’a troué la main ?
- Et moi le genou ?
- Exactement.
- Super.
- Ce sont des mercenaires ninjas ? demanda Kakashi.
- Non. Mais à cause de leurs armes, on les redoute beaucoup par ici. De nombreux ninjas ont été tués après avoir patrouillé dans les parages.
- Et pourquoi vous ne les exterminez pas ? s’enquit Naruto.
- Ce n’est pas un village de ninjas ici
- Hein ? Mais… et vous ? Vous êtes équipée comme un ANBU.
- Je ne suis pas d’ici. Vous êtes dans un petit village semblable à celui des Vagues. Il n’a pas de force armée. C’est pour cela qu’il loue les services de ninjas comme moi.
- Pourquoi nous ont-ils attaqués ?
- Je ne sais pas. Vous ont-ils volé quelque chose ?
Kakashi jeta un coup d’œil à son sac. Il avait vérifié quelques minutes auparavant. Le rouleau s’y trouvait toujours.
- Non.
Hisa fronça les sourcils.
- C’est étrange. D’ordinaire, ils pillent ceux qu’ils attaquent.
Naruto fit la moue.
- On s’en occupera plus tard, intervint Témari. Il faut qu’on retourne tout de suite à Suna.
- Hein ? Mais pourquoi ? fit Hisa.
- Nous devions nous rendre à Ame sous trois jours à compter du 15, faute de quoi, ils attaqueraient Suna ? répondit Kakashi. Et nous sommes le 20.
- Avez-vous vu de troupes d’Ame dans les parages pendant ces deux jours ? demanda Témari à Hisa.
- Non ! protesta la jeune femme, visiblement offensée.
- Qu’est-ce que ça veut dire ? Vous croyez qu’ils ont changé d’avis ?
- J’en doute, vu le ton employé dans le message que m’a montré Jin-sama, observa Kakashi.
- Mais alors où sont-ils ?
- J’en sais rien.
- Il faudrait peut-être se séparer, proposa Naruto. Deux iraient à Ame pour vérifier et deux autres retourneraient à Suna.
- Mauvaise idée. Trop dangereux.
- Il faut retourner à Suna, déclara Témari d’un ton ferme. Ne serait-ce que pour apporter notre aide aux habitants. Le village est déjà très affaibli, il ne résistera pas !
- Nan mais, attendez une minute ! intervint Hisa. Vous dites n’importe quoi. Ame n’a jamais eu l’intention d’attaquer Suna.
oh la chute de ouf
eh eh, je sais pas quand je posterai la suite mais comme j'ai retrouvé l'inspiration, ça devrait aller plus vite.Tu as raison Tayu, je n'y crois pas !!!
En lisant le chapitre je me disais que je devais rêver ! En tout cas, très bon chapitre comme d'hab, et tu m'en vois ravi si tu as retrouvé l'inspiration.
Mais dis moi, as tu déjà une idée de l'épilogue de ta superbe fic ???
je veux du spoil !!!
Allez, bises bises.
En lisant le chapitre je me disais que je devais rêver ! En tout cas, très bon chapitre comme d'hab, et tu m'en vois ravi si tu as retrouvé l'inspiration.
Mais dis moi, as tu déjà une idée de l'épilogue de ta superbe fic ???
je veux du spoil !!!
Allez, bises bises.
Thanks Hinaya. Fournisseuse officielle de bannières et avatars de champions.
YEPEEEEEEEE!!!! 
Tayuya a traversée sa panne d'inspiration!!! (Enfin j'espére...)
Sortez le champagne!!!
Nous aurons donc LA SUITE!
Allez Tayuya, faut que tu enchaîne avant que l'inspiration fasse une rechute!
Alors c'est pas des ninjas les petits voyous (petits mais bien armés ) de la derniére fois? Mais qui sont-ils? QUI? QUI?
Hum... Merci de ne pas nous avoir abandonner...
Et pas de spoil bon sang!
C'est pas bien Tinton! La patience est une vertu! (Et c'est moi qui dis ça )
Tayuya a traversée sa panne d'inspiration!!! (Enfin j'espére...)
Sortez le champagne!!!
Nous aurons donc LA SUITE!
Allez Tayuya, faut que tu enchaîne avant que l'inspiration fasse une rechute!
Alors c'est pas des ninjas les petits voyous (petits mais bien armés
) de la derniére fois? Mais qui sont-ils? QUI? QUI?Hum... Merci de ne pas nous avoir abandonner...
Et pas de spoil bon sang!
C'est pas bien Tinton! La patience est une vertu! (Et c'est moi qui dis ça
)
Dernière modification par Arakasi le lun. 14 nov. 2005, 19:12, modifié 1 fois.
-
Sakoni
- Etudiant à l'académie
- Messages : 99
- Inscription : mar. 06 sept. 2005, 17:15
- Localisation : Quelque part entre "nowhere" et un no man's land...
- Contact :
Génial, les dieux ont entendu nos prières, halleluia et blablabla.
Très bon chapitre, toujours des p'tites remarques rigolotes:
"Ce fut la seule conclusion à laquelle la mêlasse qui lui servait de cerveau lui permit d’arriver."
"- S’il te plait, Kakashi, répondit Témari, ne sois pas aussi démonstratif quand tu dis ce genre de choses. On pourrait croire que tu es content !"
" A moins que respirer ne fasse pas partie des mouvements autorisés."
Certains me diront qu'ils m'en faut sans doute peu, mais j'm'en fous
Et voilà, le coup fourré de *va relire le nom qui passe son temps à traverser les mailles de ses neurones* Jin! *j'le savais bien que j'l'avais lu vers la fin du chapitre XD* est mis à jour!... Sauf s'ils captent pas ça tout de suite, bien sûr...
Bon, baaah... vais suivre le troupeau et bêler "la suuuite", hein ^^
Très bon chapitre, toujours des p'tites remarques rigolotes:
"Ce fut la seule conclusion à laquelle la mêlasse qui lui servait de cerveau lui permit d’arriver."
"- S’il te plait, Kakashi, répondit Témari, ne sois pas aussi démonstratif quand tu dis ce genre de choses. On pourrait croire que tu es content !"
" A moins que respirer ne fasse pas partie des mouvements autorisés."
Certains me diront qu'ils m'en faut sans doute peu, mais j'm'en fous
Et voilà, le coup fourré de *va relire le nom qui passe son temps à traverser les mailles de ses neurones* Jin! *j'le savais bien que j'l'avais lu vers la fin du chapitre XD* est mis à jour!... Sauf s'ils captent pas ça tout de suite, bien sûr...
Bon, baaah... vais suivre le troupeau et bêler "la suuuite", hein ^^
-
Itachi-san
- Corbeau Myope
- Messages : 10387
- Inscription : lun. 01 août 2005, 13:05
- Localisation : Konoha... autrefois
Kakashi est même pas foutu de vérifier si le rouleau est le bon, wh le nuuul 
Toujorurs aussi bon, surtout la chute
Toujorurs aussi bon, surtout la chute
Nanarland, le monde des mauvais films sympathiques
Reflexions of fear make shadow of nothing...
Shadow of Nothing...
You're still blind if you see winding road
'cause ther's always a straight way to the point you see.
Pour arrêter le hoquet, prendre un sucre avec du vinaigre : dégueu mais efficace
Reflexions of fear make shadow of nothing...
Shadow of Nothing...
You're still blind if you see winding road
'cause ther's always a straight way to the point you see.
Pour arrêter le hoquet, prendre un sucre avec du vinaigre : dégueu mais efficace