drabbles ? topic général
Modérateur : Ero-modos
soit pas défaitiste comme ça ^^
faut proposer plus d'éléments, de point de départs, si tu veux avoir une chace d'être entendu ^^ :)
---
Et voici mon drabbles sur Genma... ça tient presque plus du one shot mais bon...
Genma s’est levé ce matin là avec comme un mauvais pressentiment lové au creux du ventre, mais tandis qu’il accomplissait sa routine matinale, il choisit de l’ignorer.
Sembon ? Ok.
Kunaï dans les semelles des sandales ? Ok.
Uniforme ? Ok.
Bandeau Frontal ?
Genma recentra légèrement le nœud. Bandeau ok.
C’était la première chose qu’il avait fait le jour ou il était devenu genin : mettre son bandeau à l’envers, plaque sur la nuque et nœud devant. Après tout personne n’avait dit qu’il ne pouvait pas, avait il répliqué avec le plus grand sérieux à Aoba qui le regardait comme s’il venait de lui pousser une seconde tête. Raidou s’était juste contenté de rire et de faire remarquer que comme ça il ressemblait à une ménagère avec son fichu sur la tête, mais avec toute la dignité qu’il pouvait à l’époque rassembler –ce qui n’était pas beaucoup moins qu’aujourd’hui d’ailleurs- Genma l’avait dédaigneusement ignoré, et finalement l’habitude était restée, devenant sa marque de fabrique au même titre que l’éternel sembon au coin de sa bouche.
Bon. Programme de la journée : petit déjeuner avec Raidou, visite éclaire à Hayate pour savoir si la mission de la veille s’était bien passée, et puis évidement le tournois. Il y aurait le jeune génie Hyuuga, l’un des gosses d’Asuma, un jeune Aburame –il était curieux de voir le combat, les Aburame n’avaient pas un style très flamboyant mais leurs batailles étaient souvent des exemples d’efficacité et de précision. Il y avait aussi les trois du Sable, et évidement le gamin Uchiha de Kakashi.
Et puis aussi le gamin-renard, un autre des gosses du Copy nin…
De beaux combats en perspective, il aurait parié son sembon porte bonheur là-dessus… Et avec un sourire il songea à Raidou qui lui serait dans la loge des Kage. Un grand honneur, certes, mais aussi un poste ennuyeux si tout ce passait bien, et lui-même aurait une bien meilleur vue sur les combats.
Mais quand il atteignit leur point de rendez-vous habituel, il su que quelque chose n’allait pas, pas du tout. Le visage de Raidou était bien trop pâle sous sa cicatrice.
« C’est Hayate. Viens. »
Genma le suivit par-dessus les toits, en une course qui lui sembla durer une éternité mais ne dû pas en réalité dépasser les cinq minutes.
Une fois sur le toit ravagé par la technique du Croissant de Lune, il du se faire violence pour ne pas s’arracher a la poigne ferme de Raidou qui avait enserré son poignet entre ses doigts gantés, et aller vomir.
Le combat datait de plusieurs heures, le sang avait eu le temps de noircir au contact de l’air nocturne. Nakame était tombée à une dizaine de pas de son maître, et le cordon écarlate de la garde qui passait sous la lame était une parodie grotesque du sang qui s’était échappé du corps d’Hayate.
Où peut-être était-ce normal. Hayate, Nakame… il y avait une certaine logique interne…
Raidou relâcha sa prise, le visage inexpressif, mais toujours aussi pâle. Genma se contenta de rester là, immobile, à fixer le corps.
Ils savaient que ça arriverait un jour ou l’autre… Lui, surplombant la dépouille d’Hayate. Mais pas si tôt…
Les médecins lui avaient donné encore six mois, peut être un peu plus ; jusqu'à deux ans s’il cessait d’être un ninja. Mais lui demander d’abandonner Nakame… il aurait été plus simple de le tuer sur le champ. Hayate n’était vraiment lui-même que lorsqu’il commençait à danser sous la lueur blafarde de la lune, sa précieuse lame en main, comme une extension de son corps, un membre supplémentaire et létal.
Alors seulement il cessait de tousser pour un temps, jusqu’à ce que la danse s’arrête.
Le créateur de la danse du Croissant de Lune avait mis quinze ans à la parfaire. Hayate n’avait que six mois, et chaque fois qu’il tirait Nakame du long fourreau sombre, il mourrait un peu plus, mais en même temps il commençait à vivre.
Genma avait immédiatement apprécié le jeune jounin. Il y avait quelque chose chez lui, une sorte de sérénité qui chassait le pathétique, une façon de sourire qui disait « et après ? ». Il n’aurait pas supporté de rester en sa compagnie sinon… il côtoyait bien trop de cadavres pour s’encombrer d’un vivant qui était déjà mort à l’intérieur. Mais le jeune jounin était vivant, de compagnie agréable.
Une fois, juste une, Hayate avait craqué.
Genma l’avait tenu jusqu’à ce que les sanglots brefs se calment, jusqu’à ce que sa respiration retrouve un peu de régularité.
« Tu sais gamin, tu pourrais mourir demain… »
Hayate l’avait fixé sans vraiment comprendre.
-Ou après demain, ou le jour d’après. Tu aurais pu mourir hier, qui sait… et moi aussi. Et Raidou, et Aoba, et Kakashi… Nous sommes des ninjas, et nous pouvons mourir n’importe quand, c’est comme ça. Peut-être que finalement je mourrais avant toi finalement…
Il lui avait jeté un coup d’œil et Hayate avait lentement hoché la tête.
- Oh, et si c’est le cas, je ne veux pas de fleurs blanches pour mon enterrement –le blanc, c’est une couleur barbante-, et puis je n’ai rien de tellement pur… Il faudra le dire à Raidou, je suis certain qu’il en amènerait rien que pour embêter mon fantôme…
Il réalisa qu’il avait agrippé l’épaule de Raidou, fort, et il essaya de desserrer ses doigts sans succès. Il y aurait certainement une marque, mais Raidou ne battit pas d’un cil, et referma sa main sur celle de Genma, la serrant jusqu'à l’écraser.
Il avait vu des massacres bien pires, et en verrait encore, mais il ne pouvait empêcher le goût de bile dans sa bouche en observant la plaie unique au travers du torse et du ventre d’Hayate.
Quelque part a l’arrière de son esprit, le ninja en lui fit remarquer que la blessure était bien trop déchiqueté pour avoir été faite par une lame, ça ressemblait plutôt à un jutsu de vent, avant d’ajouter plus doucement que la mort avait dû être instantanée, Hayate n’avait sûrement rien sentit. Sûrement.
La voix composée de Raidou le tira de ses pensées.
« Regarde les traces de la Danse. »
Les tuiles avaient été arrachées sur une longue traînée par le jutsu de vent, mais au milieu on distinguait nettement la trace d’un immense arc de cercle.
« … Tu crois ? »
« Viens. »
Et Raidou l’entraîna sur les toits, plus haut, toujours plus haut jusqu'à ce qu’ils se tiennent en équilibre sur les tuiles sombres, surplombant la zone du combat et les jounins qui faisaient cercle autour du corps d’Hayate.
Et, s’étalant comme un négatif sur le toit ravagé, la trace de la dernière Danse d’Hayate. La trace parfaite d’un Croissant de Lune.
---
Un anbu dit quelque chose qu’il ne comprit pas, et les jounins rassemblés commencèrent à se disperser.
Genma reconnu la queue de cheval violette d’Hyourin, la sœur d’Hayate. Elle se tenait droite, les poings refermés sur la garde de Nakame, et Genma ne trouva rien a dire –mais il n’y avait rien a dire- et se contenta de poser sa main sur son épaule si frêle soudain, et de murmure « Tu sais que tu peux venir quand tu veux. Nous boirons le sake à sa mémoire. »
Le masque d’animal se tourna vers lui, et hocha lentement la tête. Les yeux derrière les trous étaient secs.
---
Ensuite, tout ce passa dans une espèce de flou artistique. Plus tard il se rappela vaguement la réunion à la tour de l’Hokage, la décision de poursuivre le tournoi. Peut-être même avait il pris part aux discutions, mais il n’en était plus vraiment certain.
Puis ce fut le tournoi, l’arrivée remarquée du gamin-renard –par tout les dieux comment pouvait il espérer devenir un ninja en portant une couleur aussi voyante que le orange ?- et la défaite surprenante du Gosse Hyuuga. Puis le forfait un peu louche du marionnettiste du Sable, et l’abandon du fils de Shikatou malgré sa presque-victoire face à la kunoïchi du Sable, et finalement l’arrivée en fanfare de Kakashi est de son élève –pas à dire, le copy nin savait toujours aussi bien soigner ses entrées.
Et, en plein milieu du combat, l’attaque du Son, allié à ceux du Sables.
A partir de là, Genma se battit sans réfléchir, plongé dans le moment. Il rejoignit Gai et Kakashi dans les gradins après avoir couvert le départ du jeune Uchiha lancé à la poursuite du démon du Sable.
Il se battit sans penser à Raidou, qui avait été dans la loge des Kage, et bordel, c’était Orochimaru, et maintenant ce dernier se battait avec Sandaïme-sama. Et quand à Raidou…
Il se battit sans penser, jusqu'à ce qu’il n’ait plus un seul sembon sur lui, puis au corps à corps enfin, kunaï contre kunaï, kunaï contre chair.
Et quand ce fut finalement fini, après qu’Orochimaru ait pris la fuite, après que la dépouille du vieil Hokage ait été enlevée dans un silence dense comme de la poie, après que le corps presque sans vie de Raidou ait été retiré des ruines de la loge, il se tint sur le toit de l’hôpital, le visage tourné vers le ciel.
Et tandis que sous lui, dans les entrailles du bâtiment les médics s’escrimaient a garder son meilleur ami en vie, la pluie se mit à tomber.
Et l’eau qui coulait sur son visage n’était pas des larmes, non.
Il ne pleurait pas pour Hayate et Hyourin, pas pour le vieil homme. Il ne pleurait pas pour Raidou. C’était la pluie.
Il pleuvait.
fin
C'est encore différents de ce que j'ai pu écrire précédement, donc reviews please les gens ;)
faut proposer plus d'éléments, de point de départs, si tu veux avoir une chace d'être entendu ^^ :)
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Et voici mon drabbles sur Genma... ça tient presque plus du one shot mais bon...
Genma s’est levé ce matin là avec comme un mauvais pressentiment lové au creux du ventre, mais tandis qu’il accomplissait sa routine matinale, il choisit de l’ignorer.
Sembon ? Ok.
Kunaï dans les semelles des sandales ? Ok.
Uniforme ? Ok.
Bandeau Frontal ?
Genma recentra légèrement le nœud. Bandeau ok.
C’était la première chose qu’il avait fait le jour ou il était devenu genin : mettre son bandeau à l’envers, plaque sur la nuque et nœud devant. Après tout personne n’avait dit qu’il ne pouvait pas, avait il répliqué avec le plus grand sérieux à Aoba qui le regardait comme s’il venait de lui pousser une seconde tête. Raidou s’était juste contenté de rire et de faire remarquer que comme ça il ressemblait à une ménagère avec son fichu sur la tête, mais avec toute la dignité qu’il pouvait à l’époque rassembler –ce qui n’était pas beaucoup moins qu’aujourd’hui d’ailleurs- Genma l’avait dédaigneusement ignoré, et finalement l’habitude était restée, devenant sa marque de fabrique au même titre que l’éternel sembon au coin de sa bouche.
Bon. Programme de la journée : petit déjeuner avec Raidou, visite éclaire à Hayate pour savoir si la mission de la veille s’était bien passée, et puis évidement le tournois. Il y aurait le jeune génie Hyuuga, l’un des gosses d’Asuma, un jeune Aburame –il était curieux de voir le combat, les Aburame n’avaient pas un style très flamboyant mais leurs batailles étaient souvent des exemples d’efficacité et de précision. Il y avait aussi les trois du Sable, et évidement le gamin Uchiha de Kakashi.
Et puis aussi le gamin-renard, un autre des gosses du Copy nin…
De beaux combats en perspective, il aurait parié son sembon porte bonheur là-dessus… Et avec un sourire il songea à Raidou qui lui serait dans la loge des Kage. Un grand honneur, certes, mais aussi un poste ennuyeux si tout ce passait bien, et lui-même aurait une bien meilleur vue sur les combats.
Mais quand il atteignit leur point de rendez-vous habituel, il su que quelque chose n’allait pas, pas du tout. Le visage de Raidou était bien trop pâle sous sa cicatrice.
« C’est Hayate. Viens. »
Genma le suivit par-dessus les toits, en une course qui lui sembla durer une éternité mais ne dû pas en réalité dépasser les cinq minutes.
Une fois sur le toit ravagé par la technique du Croissant de Lune, il du se faire violence pour ne pas s’arracher a la poigne ferme de Raidou qui avait enserré son poignet entre ses doigts gantés, et aller vomir.
Le combat datait de plusieurs heures, le sang avait eu le temps de noircir au contact de l’air nocturne. Nakame était tombée à une dizaine de pas de son maître, et le cordon écarlate de la garde qui passait sous la lame était une parodie grotesque du sang qui s’était échappé du corps d’Hayate.
Où peut-être était-ce normal. Hayate, Nakame… il y avait une certaine logique interne…
Raidou relâcha sa prise, le visage inexpressif, mais toujours aussi pâle. Genma se contenta de rester là, immobile, à fixer le corps.
Ils savaient que ça arriverait un jour ou l’autre… Lui, surplombant la dépouille d’Hayate. Mais pas si tôt…
Les médecins lui avaient donné encore six mois, peut être un peu plus ; jusqu'à deux ans s’il cessait d’être un ninja. Mais lui demander d’abandonner Nakame… il aurait été plus simple de le tuer sur le champ. Hayate n’était vraiment lui-même que lorsqu’il commençait à danser sous la lueur blafarde de la lune, sa précieuse lame en main, comme une extension de son corps, un membre supplémentaire et létal.
Alors seulement il cessait de tousser pour un temps, jusqu’à ce que la danse s’arrête.
Le créateur de la danse du Croissant de Lune avait mis quinze ans à la parfaire. Hayate n’avait que six mois, et chaque fois qu’il tirait Nakame du long fourreau sombre, il mourrait un peu plus, mais en même temps il commençait à vivre.
Genma avait immédiatement apprécié le jeune jounin. Il y avait quelque chose chez lui, une sorte de sérénité qui chassait le pathétique, une façon de sourire qui disait « et après ? ». Il n’aurait pas supporté de rester en sa compagnie sinon… il côtoyait bien trop de cadavres pour s’encombrer d’un vivant qui était déjà mort à l’intérieur. Mais le jeune jounin était vivant, de compagnie agréable.
Une fois, juste une, Hayate avait craqué.
Genma l’avait tenu jusqu’à ce que les sanglots brefs se calment, jusqu’à ce que sa respiration retrouve un peu de régularité.
« Tu sais gamin, tu pourrais mourir demain… »
Hayate l’avait fixé sans vraiment comprendre.
-Ou après demain, ou le jour d’après. Tu aurais pu mourir hier, qui sait… et moi aussi. Et Raidou, et Aoba, et Kakashi… Nous sommes des ninjas, et nous pouvons mourir n’importe quand, c’est comme ça. Peut-être que finalement je mourrais avant toi finalement…
Il lui avait jeté un coup d’œil et Hayate avait lentement hoché la tête.
- Oh, et si c’est le cas, je ne veux pas de fleurs blanches pour mon enterrement –le blanc, c’est une couleur barbante-, et puis je n’ai rien de tellement pur… Il faudra le dire à Raidou, je suis certain qu’il en amènerait rien que pour embêter mon fantôme…
Il réalisa qu’il avait agrippé l’épaule de Raidou, fort, et il essaya de desserrer ses doigts sans succès. Il y aurait certainement une marque, mais Raidou ne battit pas d’un cil, et referma sa main sur celle de Genma, la serrant jusqu'à l’écraser.
Il avait vu des massacres bien pires, et en verrait encore, mais il ne pouvait empêcher le goût de bile dans sa bouche en observant la plaie unique au travers du torse et du ventre d’Hayate.
Quelque part a l’arrière de son esprit, le ninja en lui fit remarquer que la blessure était bien trop déchiqueté pour avoir été faite par une lame, ça ressemblait plutôt à un jutsu de vent, avant d’ajouter plus doucement que la mort avait dû être instantanée, Hayate n’avait sûrement rien sentit. Sûrement.
La voix composée de Raidou le tira de ses pensées.
« Regarde les traces de la Danse. »
Les tuiles avaient été arrachées sur une longue traînée par le jutsu de vent, mais au milieu on distinguait nettement la trace d’un immense arc de cercle.
« … Tu crois ? »
« Viens. »
Et Raidou l’entraîna sur les toits, plus haut, toujours plus haut jusqu'à ce qu’ils se tiennent en équilibre sur les tuiles sombres, surplombant la zone du combat et les jounins qui faisaient cercle autour du corps d’Hayate.
Et, s’étalant comme un négatif sur le toit ravagé, la trace de la dernière Danse d’Hayate. La trace parfaite d’un Croissant de Lune.
---
Un anbu dit quelque chose qu’il ne comprit pas, et les jounins rassemblés commencèrent à se disperser.
Genma reconnu la queue de cheval violette d’Hyourin, la sœur d’Hayate. Elle se tenait droite, les poings refermés sur la garde de Nakame, et Genma ne trouva rien a dire –mais il n’y avait rien a dire- et se contenta de poser sa main sur son épaule si frêle soudain, et de murmure « Tu sais que tu peux venir quand tu veux. Nous boirons le sake à sa mémoire. »
Le masque d’animal se tourna vers lui, et hocha lentement la tête. Les yeux derrière les trous étaient secs.
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Ensuite, tout ce passa dans une espèce de flou artistique. Plus tard il se rappela vaguement la réunion à la tour de l’Hokage, la décision de poursuivre le tournoi. Peut-être même avait il pris part aux discutions, mais il n’en était plus vraiment certain.
Puis ce fut le tournoi, l’arrivée remarquée du gamin-renard –par tout les dieux comment pouvait il espérer devenir un ninja en portant une couleur aussi voyante que le orange ?- et la défaite surprenante du Gosse Hyuuga. Puis le forfait un peu louche du marionnettiste du Sable, et l’abandon du fils de Shikatou malgré sa presque-victoire face à la kunoïchi du Sable, et finalement l’arrivée en fanfare de Kakashi est de son élève –pas à dire, le copy nin savait toujours aussi bien soigner ses entrées.
Et, en plein milieu du combat, l’attaque du Son, allié à ceux du Sables.
A partir de là, Genma se battit sans réfléchir, plongé dans le moment. Il rejoignit Gai et Kakashi dans les gradins après avoir couvert le départ du jeune Uchiha lancé à la poursuite du démon du Sable.
Il se battit sans penser à Raidou, qui avait été dans la loge des Kage, et bordel, c’était Orochimaru, et maintenant ce dernier se battait avec Sandaïme-sama. Et quand à Raidou…
Il se battit sans penser, jusqu'à ce qu’il n’ait plus un seul sembon sur lui, puis au corps à corps enfin, kunaï contre kunaï, kunaï contre chair.
Et quand ce fut finalement fini, après qu’Orochimaru ait pris la fuite, après que la dépouille du vieil Hokage ait été enlevée dans un silence dense comme de la poie, après que le corps presque sans vie de Raidou ait été retiré des ruines de la loge, il se tint sur le toit de l’hôpital, le visage tourné vers le ciel.
Et tandis que sous lui, dans les entrailles du bâtiment les médics s’escrimaient a garder son meilleur ami en vie, la pluie se mit à tomber.
Et l’eau qui coulait sur son visage n’était pas des larmes, non.
Il ne pleurait pas pour Hayate et Hyourin, pas pour le vieil homme. Il ne pleurait pas pour Raidou. C’était la pluie.
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-
Itachi-san
- Corbeau Myope
- Messages : 10387
- Inscription : lun. 01 août 2005, 13:05
- Localisation : Konoha... autrefois
Euh Hayate n'a pas été tué le jour du tournoi 
Il était déjà mort au début de l'entraînement de Sasuke...
Mais à part ça c'est toujours aussi émouvant
Il était déjà mort au début de l'entraînement de Sasuke...Mais à part ça c'est toujours aussi émouvant
Nanarland, le monde des mauvais films sympathiques
Reflexions of fear make shadow of nothing...
Shadow of Nothing...
You're still blind if you see winding road
'cause ther's always a straight way to the point you see.
Pour arrêter le hoquet, prendre un sucre avec du vinaigre : dégueu mais efficace
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Sakoni
- Etudiant à l'académie
- Messages : 99
- Inscription : mar. 06 sept. 2005, 17:15
- Localisation : Quelque part entre "nowhere" et un no man's land...
- Contact :
Il n'est pas écrit que la découverte de la mort d'Hayate corresponde au jour du tournoi, tu as dû mal lire 
J'ai beaucoup ton one-shot (n'ayons pas peur des mots lol), Jainas ^^ T'écris vraiment bien, t'en fais pas trop...
N'empêche... t'as même pas cité Dosu... C'est pas être défaitiste, c'est être objective
C'est assez constructifs comme éléments?
J'ai beaucoup ton one-shot (n'ayons pas peur des mots lol), Jainas ^^ T'écris vraiment bien, t'en fais pas trop...
Jainas a écrit :soit pas défaitiste comme ça ^^
N'empêche... t'as même pas cité Dosu... C'est pas être défaitiste, c'est être objective
Quiiiiiiiiiiiii qui veut bien écrire un drabble (ou un one-shot, ou même une fic longue... c'est si beau de rêver ^^) sur ce qu'il se serait passé si Shikamaru avait empêché Temari de tuer Tayuya? Ou si cette dernière avait été vivante quelques instants encore (sous son tronc d'arbre, oui, parfaitement..) et que Shikamaru lui ait parlé?encore la même a écrit :faut proposer plus d'éléments, de point de départs, si tu veux avoir une chace d'être entendu ^^ :)
C'est assez constructifs comme éléments?
-
Itachi-san
- Corbeau Myope
- Messages : 10387
- Inscription : lun. 01 août 2005, 13:05
- Localisation : Konoha... autrefois
Il n'est pas écrit que la découverte de la mort d'Hayate corresponde au jour du tournoi, tu as dû mal lire
Ca me paraît assez clair quand mêmeBon. Programme de la journée : petit déjeuner avec Raidou, visite éclaire à Hayate pour savoir si la mission de la veille s’était bien passée, et puis évidement le tournois
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Pour arrêter le hoquet, prendre un sucre avec du vinaigre : dégueu mais efficace
aha ! je le sens d'ici, elle veut un Shika/TayuyaSakoni a écrit : Quiiiiiiiiiiiii qui veut bien écrire un drabble (ou un one-shot, ou même une fic longue... c'est si beau de rêver ^^) sur ce qu'il se serait passé si Shikamaru avait empêché Temari de tuer Tayuya? Ou si cette dernière avait été vivante quelques instants encore (sous son tronc d'arbre, oui, parfaitement..) et que Shikamaru lui ait parlé?
C'est assez constructifs comme éléments?
hein c'est ça, pas vrai ? 
génial le one shot sur Genma, Jain' ! depuis le temps que j'en voulais un
ç'aurait été bien de traiter le combat contre Baki mais bon...-
lebibou
- Sannin
- Messages : 3872
- Inscription : mer. 14 sept. 2005, 23:06
- Localisation : Qui t'as dis que j'existais ?
Très sympa ce one shot sur Gemna. J'ai bien aimé lorsque tu parlais de Hayate comme d'un mort en sursis (mais ne le sommes nous pas tous ? ) très joyeux. Peut être le passage sur la mort d'Hayate est un peu long, ce qui casse un peu le rythme soutenu des précendents paragraphes, mais ça ne porte nullement préjudice à ta fic.
Voici voilou. Continue.
Voici voilou. Continue.
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lebibou
- Sannin
- Messages : 3872
- Inscription : mer. 14 sept. 2005, 23:06
- Localisation : Qui t'as dis que j'existais ?
Vla une fic que j'ai écrite lorsque j'ai lu la proposition d'Araski. Il s'agit des derniers instants du Yondaime. Il n'y a pas de parti pris sur Yondaime père de Naruto. La fic ne va dans aucun sens, pour ou contre. Par contre, il faut bannir l'idée que le Yondaime est encore vivant, ou qu'il est Naruto.
" Ca y'est, j'ai attrapé sa queue. "
Il pleuvait à torrent. Des éclairs transperçaient le ciel et éclairaient par intermittence le visage du Yondaime suspendu à une des queues des Kyubi. Kyubi avait senti la présence du ninja sur une de ces queues. Il la secoua alors violemment mais le Yondaime tînt bon. " Je dois tenir pour tous ces ninjas morts en l'affrontant. "
Il fit une traction avec ces bras pour pouvoir poser ces pieds sur la cuisse droite de Kyubi. Une fois qu'ils eurent touchés les jambes de Kyubi, il lâcha la queue, et resta coller à Kyubi à l'aide de son chakra. Il commença à monter en courant, et se retrouva sur le dos de Kyubi.
Il se baissa pour éviter une des queues des Kyubi qui lui passa juste au dessus de la tête. Elle déplaça un énorme volume d'air, ce qui manqua de faire chanceler le Yondaime. Il continua de courir vers la tête de Kyubi, esquivant toutes les queues qui s'abattait sur lui. Il ne pouvait utiliser le scintillement du corps, il avait trop besoin de la moindre goutte de chakra que recelait dans son corps. Alors il continua à courir contre le vent vers son but.
Il s'était résolu à mourir pour son village, pour sa famille. Il savait que s'il atteignait la tête de Kyubi, il ferait la dernière chose de sa vie. Mais il continua car il était l'Hokage.
Plus tôt dans la soirée.
Le Yondaime et le Sandaime était dans leur bureau respectif. Le Yondaime était en train de faire un avion en papier avec un rapport. Le Sandaime prit un air solennel
" Tu es censé les signer et non jouer avec. "
" Mais c'est ennuyeux. "
" C'est ennuyeux mais c'est ton travail. "
Le Yondaime prit une moue dépité.
" Très bien. "
Il déplia alors le rapport et le signa.
Un homme pénétra à toute vitesse dans le bureau. Le Sandaime leva les yeux vers celui qui venait d'entrer. C'était le jeune Iruka, une large entaille encore saignante lui traversant le visage.
" On ne t'a jamais appris à frapper avant d'entrer. "
" Pardonnez moi. Mais c'est urgent. Kyubi est en train d'attaquer le village. De nombreuses personnes sont en train de périr. Mes parents... "
Il s'effondra en larmes. Le Yondaime le saisit avant qu'il n'est le temps de toucher le sol. Il le calina une minute, chantonnant dans son oreille, tentant de le réconforter. Mais au fond de lui, il savait que rien ne pourrait le réconforter à ce moment précis. Il le lacha finalement et le déposa par terre. Il s'était endormi loin du tumulte et de l'agitation.
" Maître, je vous laisse vous en occuper. "
" Attend, je viens aussi. "
" Non... Il faut qu'il reste un Hokage afin de protéger Konoha. Et nous ne pouvons nous passer de votre sagesse. "
" Qu'il reste un hokage ? Attends, tu n'as pas l'intention de... "
" C'est la seule solution... Dites au village que je l'ai aimé. "
Et il disparut dans l'ombre du couloir.
Il se trouvait maintenant sur la tête de Kyubi. Il entama la série de signes, tout en esquivant les coups de queue répétitif.
" Serpent, Cochon, Mouton, Lapin, Chien, Rat, Coq, Cheval, Serpent. "
Kyubi reconnut la succession de signes. Il murmura dans l'esprit du Yondaime.
" Tu n'as pas l'intention de... "
" Si. Nous allons avoir tout le loisir de faire connaissance pendant une éternité. Tu vas voir, vers la fin tu vas trouver ça long. "
Le dieu de la mort apparut au dessus du Yondaime. Il était tel qu'on se l'imaginait. Effrayant, et semblant prendre plaisir à faire peur. Une collier de perle se trouvait le long de sa main, et il le secouait comme si il s'en amusait. L'ectoplasme du Yondaime flottait à quelques centimètres de lui. Tout à coup, sa main devint noir, et il l'enfonça dans le dos de l'ectoplasme. Le Yondaime se sentit d'un coup très mal. Il se sentait partir, et son instinct de survie le priait d'arrêter. Mais il continua. Malgré son état de fatigue avançait, il fit un saut en avant pour se retrouver le long du nez de Kyubi. Il courut en direction des yeux de Kyubi, qui se retrouvait dans l'impossibilité de l'arrêter. Une fois placé entre les deux yeux de Kyubi, une main blanche sortit du ventre du Yondaime, et saisit l'ectoplasme de Kyubi.
" Arrête ! Tu n'as pas le droit ! Je suis Kyubi, le plus puissant des démons ! "
" Je prends ce droit. Allez tu viens avec moi. "
" Attends, attends. Je te propose un marché. Emprisonne moi dans le corps d'un nourrisson, et je te promet de le protéger lui et le village. "
Le Yondaime ne put réprimer un rire.
" Kyubi, le plus puissant parmi les démons me propose un marché. "
Mais d'un autre côté, il savait qu'après l'attaque de Kyubi, le village aurait beaucoup de mal à se relever, et posséder un démon pourrait être fort utile.
" Très bien, j'accepte ton marché. Mais saches que si jamais le porteur meurt, tu meurs aussi. "
" Je le sais et je l'accepte. Visualise ton nourrisson, et lorsque tu coupera mon ectoplasme, je me dirigerai automatiquement vers lui. "
" Et qu'est ce qui me prouve que tu vas tenir ta promesse. "
" Je ne peux pas rompre la promesse, sinon mon âme errera pour l'éternité et ce sera pire que de la passer avec toi. "
" Très bien. " Il visualisa le dernier nourrisson qu'il avait vu. Il murmura : "Naruto Uzumaki. "
Il hurla et s'adressa au dieu de la mort.
" PAR LE SCEAU DIVIN. "
Le dieu de la mort coupa l'ectoplasme, et au lieu que le sceau n'apparaissent sur son ventre, l'ectoplasme virevolta dans l'air et se dirigea vers la maternité. Le corps de Kyubi commença peu à peu à s'effriter, et s'envola comme du sable. Le Yondaime se sentit tomber dans le vide. Au moment où il aurait du toucher le sol, il fut rattrapé par son apprenti, Kakashi.
Il tourna la tête dans sa direction, et vit que le Sandaime se tenait à ces côtés. Il chuchota à l'intention de Kakashi :
" Promet moi que tu formera bien tes élèves. Qu'ils ne feront pas les mêmes erreurs que toi. "
Le terme erreur blessa Kakashi, mais il savait qu'il avait raison. Il devrait former des élèves qui aurait l'esprit d'équipe.
" Je vous le promet senseï. "
Il ne put retenir ses larmes, mais elles ne purent couler que le long de son oeil droit.
Le Yondaime se tourna alors vers le Sandaime.
" J'ai enfermé Kyubi dans un nourrisson. Naruto Uzumaki. Promettez... " Il ne put retenir un râle. " Promettez moi qu'il sera considéré comme un héros, qu'il sera aimé. Et puis, ne jetez pas tous les avions en papier que j'ai fait. Il y'en a que j'aime bien."
" Je te le promet, Yondaime. Je te le promet. "
Le Yondaime sourit. Puis ferma ses yeux définitivement.
Plus loin, à l'hôpital, une infirmière s'évanouit lorsqu'il vit apparaître sur un enfant la marque de Kyubi.
" Ca y'est, j'ai attrapé sa queue. "
Il pleuvait à torrent. Des éclairs transperçaient le ciel et éclairaient par intermittence le visage du Yondaime suspendu à une des queues des Kyubi. Kyubi avait senti la présence du ninja sur une de ces queues. Il la secoua alors violemment mais le Yondaime tînt bon. " Je dois tenir pour tous ces ninjas morts en l'affrontant. "
Il fit une traction avec ces bras pour pouvoir poser ces pieds sur la cuisse droite de Kyubi. Une fois qu'ils eurent touchés les jambes de Kyubi, il lâcha la queue, et resta coller à Kyubi à l'aide de son chakra. Il commença à monter en courant, et se retrouva sur le dos de Kyubi.
Il se baissa pour éviter une des queues des Kyubi qui lui passa juste au dessus de la tête. Elle déplaça un énorme volume d'air, ce qui manqua de faire chanceler le Yondaime. Il continua de courir vers la tête de Kyubi, esquivant toutes les queues qui s'abattait sur lui. Il ne pouvait utiliser le scintillement du corps, il avait trop besoin de la moindre goutte de chakra que recelait dans son corps. Alors il continua à courir contre le vent vers son but.
Il s'était résolu à mourir pour son village, pour sa famille. Il savait que s'il atteignait la tête de Kyubi, il ferait la dernière chose de sa vie. Mais il continua car il était l'Hokage.
Plus tôt dans la soirée.
Le Yondaime et le Sandaime était dans leur bureau respectif. Le Yondaime était en train de faire un avion en papier avec un rapport. Le Sandaime prit un air solennel
" Tu es censé les signer et non jouer avec. "
" Mais c'est ennuyeux. "
" C'est ennuyeux mais c'est ton travail. "
Le Yondaime prit une moue dépité.
" Très bien. "
Il déplia alors le rapport et le signa.
Un homme pénétra à toute vitesse dans le bureau. Le Sandaime leva les yeux vers celui qui venait d'entrer. C'était le jeune Iruka, une large entaille encore saignante lui traversant le visage.
" On ne t'a jamais appris à frapper avant d'entrer. "
" Pardonnez moi. Mais c'est urgent. Kyubi est en train d'attaquer le village. De nombreuses personnes sont en train de périr. Mes parents... "
Il s'effondra en larmes. Le Yondaime le saisit avant qu'il n'est le temps de toucher le sol. Il le calina une minute, chantonnant dans son oreille, tentant de le réconforter. Mais au fond de lui, il savait que rien ne pourrait le réconforter à ce moment précis. Il le lacha finalement et le déposa par terre. Il s'était endormi loin du tumulte et de l'agitation.
" Maître, je vous laisse vous en occuper. "
" Attend, je viens aussi. "
" Non... Il faut qu'il reste un Hokage afin de protéger Konoha. Et nous ne pouvons nous passer de votre sagesse. "
" Qu'il reste un hokage ? Attends, tu n'as pas l'intention de... "
" C'est la seule solution... Dites au village que je l'ai aimé. "
Et il disparut dans l'ombre du couloir.
Il se trouvait maintenant sur la tête de Kyubi. Il entama la série de signes, tout en esquivant les coups de queue répétitif.
" Serpent, Cochon, Mouton, Lapin, Chien, Rat, Coq, Cheval, Serpent. "
Kyubi reconnut la succession de signes. Il murmura dans l'esprit du Yondaime.
" Tu n'as pas l'intention de... "
" Si. Nous allons avoir tout le loisir de faire connaissance pendant une éternité. Tu vas voir, vers la fin tu vas trouver ça long. "
Le dieu de la mort apparut au dessus du Yondaime. Il était tel qu'on se l'imaginait. Effrayant, et semblant prendre plaisir à faire peur. Une collier de perle se trouvait le long de sa main, et il le secouait comme si il s'en amusait. L'ectoplasme du Yondaime flottait à quelques centimètres de lui. Tout à coup, sa main devint noir, et il l'enfonça dans le dos de l'ectoplasme. Le Yondaime se sentit d'un coup très mal. Il se sentait partir, et son instinct de survie le priait d'arrêter. Mais il continua. Malgré son état de fatigue avançait, il fit un saut en avant pour se retrouver le long du nez de Kyubi. Il courut en direction des yeux de Kyubi, qui se retrouvait dans l'impossibilité de l'arrêter. Une fois placé entre les deux yeux de Kyubi, une main blanche sortit du ventre du Yondaime, et saisit l'ectoplasme de Kyubi.
" Arrête ! Tu n'as pas le droit ! Je suis Kyubi, le plus puissant des démons ! "
" Je prends ce droit. Allez tu viens avec moi. "
" Attends, attends. Je te propose un marché. Emprisonne moi dans le corps d'un nourrisson, et je te promet de le protéger lui et le village. "
Le Yondaime ne put réprimer un rire.
" Kyubi, le plus puissant parmi les démons me propose un marché. "
Mais d'un autre côté, il savait qu'après l'attaque de Kyubi, le village aurait beaucoup de mal à se relever, et posséder un démon pourrait être fort utile.
" Très bien, j'accepte ton marché. Mais saches que si jamais le porteur meurt, tu meurs aussi. "
" Je le sais et je l'accepte. Visualise ton nourrisson, et lorsque tu coupera mon ectoplasme, je me dirigerai automatiquement vers lui. "
" Et qu'est ce qui me prouve que tu vas tenir ta promesse. "
" Je ne peux pas rompre la promesse, sinon mon âme errera pour l'éternité et ce sera pire que de la passer avec toi. "
" Très bien. " Il visualisa le dernier nourrisson qu'il avait vu. Il murmura : "Naruto Uzumaki. "
Il hurla et s'adressa au dieu de la mort.
" PAR LE SCEAU DIVIN. "
Le dieu de la mort coupa l'ectoplasme, et au lieu que le sceau n'apparaissent sur son ventre, l'ectoplasme virevolta dans l'air et se dirigea vers la maternité. Le corps de Kyubi commença peu à peu à s'effriter, et s'envola comme du sable. Le Yondaime se sentit tomber dans le vide. Au moment où il aurait du toucher le sol, il fut rattrapé par son apprenti, Kakashi.
Il tourna la tête dans sa direction, et vit que le Sandaime se tenait à ces côtés. Il chuchota à l'intention de Kakashi :
" Promet moi que tu formera bien tes élèves. Qu'ils ne feront pas les mêmes erreurs que toi. "
Le terme erreur blessa Kakashi, mais il savait qu'il avait raison. Il devrait former des élèves qui aurait l'esprit d'équipe.
" Je vous le promet senseï. "
Il ne put retenir ses larmes, mais elles ne purent couler que le long de son oeil droit.
Le Yondaime se tourna alors vers le Sandaime.
" J'ai enfermé Kyubi dans un nourrisson. Naruto Uzumaki. Promettez... " Il ne put retenir un râle. " Promettez moi qu'il sera considéré comme un héros, qu'il sera aimé. Et puis, ne jetez pas tous les avions en papier que j'ai fait. Il y'en a que j'aime bien."
" Je te le promet, Yondaime. Je te le promet. "
Le Yondaime sourit. Puis ferma ses yeux définitivement.
Plus loin, à l'hôpital, une infirmière s'évanouit lorsqu'il vit apparaître sur un enfant la marque de Kyubi.
Dernière modification par lebibou le dim. 23 oct. 2005, 20:46, modifié 2 fois.
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Itachi-san
- Corbeau Myope
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- Localisation : Konoha... autrefois
Un seul mot : 'nifik C'est vrai que j'avias pas trop pensé que ça pourrait être la volonté de Kyûbi d'être enfermé dans un nourisson, bien joué
J'aime bien aussi la citation d'Einstein "l'éternité c'est long, surtout vers la fin"
C'est vrai que j'avias pas trop pensé que ça pourrait être la volonté de Kyûbi d'être enfermé dans un nourisson, bien joué J'aime bien aussi la citation d'Einstein "l'éternité c'est long, surtout vers la fin"
Nanarland, le monde des mauvais films sympathiques
Reflexions of fear make shadow of nothing...
Shadow of Nothing...
You're still blind if you see winding road
'cause ther's always a straight way to the point you see.
Pour arrêter le hoquet, prendre un sucre avec du vinaigre : dégueu mais efficace
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lebibou
- Sannin
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- Inscription : mer. 14 sept. 2005, 23:06
- Localisation : Qui t'as dis que j'existais ?
C'est vrai que c'est un peu court, mais j'ai écrit cette fic juste après avoir fini un chapitre de ma fic principale, Releve toi et marche comme un homme ( un peu d'autopromotion n'a jamais tué personne. Regargez JCV). Mais je suis assez content du résultat. J'aimerai bien écrire une fic sur le Yondaime quand j'aurai fini mon autre fic. Je verrai bien le moment voulu.
Dernière modification par lebibou le dim. 23 oct. 2005, 23:42, modifié 1 fois.