Un enfant sur le champ de bataille TERMINE

[Itachi-san]

Soit poli, tinton (je mets pas de majuscule pr la peine ), et je m'en fous d'êt' mourru dans ta fic, au moins chui mort dans l'honneur (on peut appeler ça comme ça ? )

When wille the suite be publiéted Tai-san ?

[Tayuya]

quel bel anglais hihi la suite quand ? j'en sais rien mais bientôt vu que je l'ai déjà bien commencé.
et pour te répondre, Tinton adoré, nan ça se finit pas avec la mort du papounet

[Tayuya]

juste un ti post pour dire que j'ai refait la fin du dernier chapitre. Comme certains disaient que se pendre dans l'entrée, c t pas terrible, j'ai corrigé. Dites moi votre avis svp ^^

et encore merci à Jainas pour son aide

[Jainas]

Il eut l’impression que la foudre s’abattait sur lui : sa respiration se bloqua et ses mains tremblèrent

hum... ma phrase préférée !!!


bref ^^ ...
Très bonne fin de chapitre, réécrit comme ça sa passe comme une lettre à la poste :)

[Tayuya]

bon ! voici le dernier chapitre consacré au "pré kakashi gaiden" j'espère que ça rend bien la transition psychologique qu'opère Kakashi à ce moment là...

Chapitre VI
La fin d’une légende

Les jours qui suivirent la mort de Sakumo furent irréels pour Kakashi. Tout un pan de sa vie venait de s’écrouler sous ses yeux. Il ne comprenait rien. Tout était si confus. Que s’était-il passé ? Pourquoi était-il parti ? Avait-il souffert à ce point et dans ce cas, pourquoi ne pas en avoir parlé ? Avait-il pensé qu’en partant, il laissait derrière lui un enfant de sept ans qui avait encore besoin de son père ? Etait-ce sa faute ? Avait-il fait quelque chose de mal ?
Ou bien son père était-il réellement le lâche que tout le monde décrivait ? Il ne voulait pas ; non, il ne voulait pas croire et penser une telle chose. Mais au-delà de la tristesse, il y avait cette rancœur, cette amertume qui grondait de plus en plus. Comment un père pouvait-il abandonner son enfant ? C’était au-delà de sa compréhension. Il se sentait trahi, bien plus qu’après le départ de Tsunade. Et à force d’entendre les gens le calomnier, partout, tout le temps, il finit par les écouter. Il n’avait plus la force de se méfier de ce qu’on lui disait, de défendre un homme qui de toutes façons n’était plus là. Et puis après tout, n’était-ce pas la vérité ?
Il était las. Et seul. Pas de mère, plus de père. Pas de famille, presque pas d’amis. Personne. Il était seul.
Pendant de longs jours, il resta chez lui, refusant toute visite. Peu cependant vinrent lui présenter leurs condoléances. La mort d’Hatake Sakumo ne souleva guère d’émoi parmi la population. On n’avait rien dit aux enfants. Et peu de gens savaient ce qu’il en avait réellement été. Pour la plupart, Sakumo était mort en mission, comme beaucoup d’autres. Mais contrairement à d’habitude, son nom ne fut pas inscrit sur la stèle et personne ne le pleura.
La cérémonie d’enterrement eut lieu une fin d’après midi, en petit comité : le Sandaime, Jiraya, Arashi et Kakashi. Ses amis ne vinrent pas. Ni leurs parents. Et encore moins les grandes familles de Konoha. Mais il s’en moquait. Cette indifférence générale, vis-à-vis d’un homme pourtant très respecté quelques semaines auparavant, ne le touchait même plus. A la fin, l’Hokage fit un petit discours qui l’aurait peut-être ému s’il l’avait écouté. Mais dès qu’il cessa d’entendre sa voix, il tourna les talons et partit. Il ne voulait pas rester là. Ça ne l’intéressait pas. A quoi bon pleurer quelqu’un qui ne reviendrait plus ? Inutile. Totalement inutile. Et les ninjas ne pleuraient pas. Désormais, il devrait se débrouiller seul.
Alors qu’il s’engageait dans la rue longeant sa maison, il entendit soudain des pas précipités derrière lui.
- Kakashi ! Attends !
Arashi. Kakashi soupira intérieurement et se retourna. Le jeune Jounin posa ses mains sur ses épaules, et s’abaissa pour le regarder. Il semblait bouleversé.
- Kakashi…
Le garçon resta impassible.
- Ecoute…
- J’écoute.
- Je sais que ça ne changera rien pour toi mais… je suis, encore une fois, terriblement désolé pour ton père et…
- Ben, faut pas, répondit Kakashi avec un détachement qui inquiéta son sensei. J’étais déjà orphelin bien avant sa mort.
Une nausée monta à la gorge du jeune homme. Il ne s’était pas attendu à ce que Kakashi réagisse comme ça. Mais comment ne pas comprendre ? Il dévisagea son élève avec compassion. Ce détachement apparent ne rendait que plus flagrantes la peine et la rancune qu’il éprouvait envers son père. Bien sûr, c’était normal vu la personnalité du gamin, mais il aurait préféré que Kakashi pleure. Cela, pour le cas, ç’aurait vraiment été normal. Il reprit d’une voix plus ferme.
- Dès que tu te sentiras mieux, il faudra… il faudra qu’on parle de toi.
- De moi ?
- Oui. Où est-ce que tu vas habiter, qui va s’occuper de toi…
- Je n’ai pas envie qu’on s’occupe de moi, répliqua Kakashi.
- Je pense que tu devrais réfléchir avant de répondre.
- J’ai déjà réfléchi, qu’est-ce que vous croyez ? Ça fait des jours que je m’attends à cette question.
Pris au dépourvu, Arashi cilla. Décidément, il n’avait pas fini de le surprendre.
- Qu’est-ce que tu veux alors ?
- Je veux qu’on me laisse tranquille.
- Mais…
- Je veux rester tout seul et chez moi.
- Tout seul ?!
- Oui.
- Mais… Kakashi enfin… tu n’as que sept ans !
- Ça n’a pas eu l’air de gêner mon père, répliqua le garçon, glacial.
Arashi déglutit.
- Mais d’un point de vue financier, tu ne peux pas. Tu dois aller chez quelqu’un…
- Dans un hospice d’orphelins ? cria soudain le petit garçon. Est-ce que j’ai une tête à vouloir aller dans un orphelinat ? Vous trouvez que c’est ma place ??
- Mais calme-toi enfin, bredouilla Arashi éberlué par le tour que prenait la conversation. Je n’ai jamais dit que tu irais dans un orphelinat !
- Alors quoi ?
- Je pensais que tu pourrais venir chez moi.
Kakashi ouvrit la bouche pour répondre mais la referma presque immédiatement et considéra Arashi.
Le jeune homme était sérieux. Kakashi avait besoin d’être entouré. Seul, il mourrait de chagrin. Il savait par expérience que jamais le garçon n’accepterait d’aller vivre dans une autre famille. Il était bien trop fier et ça le rendrait malheureux. Il pensa un instant à Rin mais écarta vite l’idée. Jamais les parents de la fillette n’accepteraient ; question de bienséance. Quant aux Uchiwa… mieux valait ne pas y penser. Une pension spéciale aurait pu être la solution mais Arashi n’était pas sûr que cela soit bon pour Kakashi. Le garçon était déjà suffisemment renfermé sur lui-même pour ne pas aggraver la chose en le confinant seul dans un petit appartement.
Kakashi détourna les yeux. S’il s’était écouté, il aurait refusé. Mais d’un point de vue objectif, il avait besoin d’un tuteur et son sensei était celui en qui il avait le plus confiance. Pendant un instant, il fut tenté de lui parler de Tsunade mas il se retint.
- Je sais pas, répondit-il.
- Tu n’es pas obligé de répondre tout de suite.
- C’est Hokage-sama qui a proposé ?
- Tout à fait, Kakashi, fit le Sandaime qui arrivait avec Jiraya. Mais Arashi y avait déjà pensé.
- Ah.
- Et alors ?
- J’ai dit que je ne savais pas.
- Ok, très bien. Mais en attendant, que vas-tu faire ?
Kakashi leva un sourcil dans une attitude peu respectueuse.
- Ben… je vais rentrer chez moi.
- Oui, bien sûr. Mais je voulais dire… Tu devrais peut-être dormir chez un de tes amis ce soir. Pourquoi n’irais-tu pas chez Asuma ou Genma quelques temps ?
- J’ai pas du tout envie d’aller les voir, répondit Kakashi, buté. Je veux rester chez moi.
- Je ne suis pas sûr que ce soit bon pour toi, insista Jiraya. Tu ne dois pas rester seul, surtout en ce moment.
Les yeux de Kakashi lancèrent de furieux éclairs. Pourquoi cherchaient-ils à tout prix à le caser ?
- Je-veux-rester-chez moi, articula-t-il, la voix tremblante de colère.
Craignant que la situation ne dégénère, Arashi intervint.
- Très bien, très bien. Rentre chez toi. Mais je passerai demain pour savoir ce que tu as décidé, d’accord ?
Kakashi ne répondit pas et s’enfuit en courant. Les trois adultes le regardèrent partir, partagés entre l’inquiétude et la compassion.
- Ça ne va pas être facile pour lui, finit par dire Jiraya.
Arashi hocha la tête, découragé.
- Ce serait sûrement plus simple s’il se décidait à en parler mais je crois que c’est une cause perdue.
Jiraya eut un rire bref.
- Les gens changent en grandissant, Arashi.
- Tu ne le connais pas aussi bien que moi. S’il ne veut rien dire, il ne dira rien.
- Je crois que tu surestimes son self contrôle. Il n’a que sept ans, tu sais. Et à cet âge, les enfants ont besoin de parler, même s’ils ne s’en rendent pas compte.
Arashi regarda ailleurs. Ce n’était pas faux. Mais Kakashi n’était pas un enfant comme les autres.
- Je ne sais jamais comment me comporter avec lui. On ne peut le traiter ni comme un enfant, ni comme un adulte.
- Je crois que pour une fois, tu devrais oublier le ninja, conseilla encore Jiraya. Cesse de le voir en élève et regarde le un peu plus en enfant qui souffre.
Le Sandaime acquiesça.
- Il a raison, Arashi. Je sais que la part des choses n’est pas toujours facile à faire quand on a des enfants aussi jeunes sous sa responsabilité mais tu as toujours su distinguer l’humain derrière l’assassin, non ?
Le jeune homme sourit, un peu gêné. Il était vrai qu’il avait souvent tendance à défendre –pour reprendre les morts de ce cher Orochimaru – les causes désespérées, à savoir essayer de voir le bon côté des gens, l’humanité dans un être qui marche main dans la main avec la mort. Mais il avait toujours eu du mal avec Kakashi.
- Il va accepter ton offre, reprit le Sandaime, tirant Arashi de ses pensées. J’en suis convaincu. Il s’y sent obligé bien sûr mais il a aussi confiance en toi.
Arashi se tourna vers lui. Les deux hommes se dévisagèrent.
- A toi d’honorer cette confiance.
Arashi acquiesça. Il serait là pour lui. Toujours.

Il retrouva son élève quelques heures plus tard sur le mur des Hokages, surplombant tout le village. Assis, les jambes repliées contre sa poitrine, il n’eut pas de réaction quand Arashi s’assit à côté de lui.
- Je me doutais que tu serais là.
Kakashi ne répondit rien. Pendant un long moment, ils restèrent silencieux puis le garçon prit la parole.
- Je ne pensais pas qu’il partirait de cette façon…
Sa voix était posée, sans émotion.
- Qu’est-ce que tu veux dire ?
- Je pensais qu’il choisirait une fin plus glorieuse, plus digne de sa légende. Et au lieu de ça, il meurt caché, terré chez lui. Personne ne s’en est soucié.
- Ne sois pas si amer. Les gens changent, tu sais. Ils ne verront pas toujours ton père comme un traître. D’autant plus qu’il n’en est pas un.
- Non ?
Arashi fronça les sourcils et regarda son élève. Kakashi le dévisageait, mi surpris mi sarcastique.
- Non. Ton père a obéi à son cœur en sauvant ces gens. C’est tout.
- Et il a aussi obéi à son cœur en me laissant tout seul ?
Arashi ferma les yeux. Kakashi l’ignora et continua, sa voix tremblant de plus en plus à mesure qu’il parlait.
- Il était mon père. Il m’a tout appris. Il était tout pour moi. Il m’avait juré d’être là quoi qu’il arrive. Il m’avait promis !
Arashi ne dit rien. Il ne savait que trop l’importance qu’une simple promesse pouvait avoir aux yeux des enfants.
- Le jour de sa mort, il m’a regardé dans les yeux et il m’a dit que tout allait bien alors qu’il savait qu’il allait se pendre quelques heures plus tard ! Pourquoi il a menti !!
- Il ne pouvait pas prévoir ce qui arriverait. Personne ne le peut.
- Personne n’abandonne son fils ! cria Kakashi qui s’était levé et avait à présent les larmes aux yeux. A moins d’être un lâche ! Il m’a toujours dit que fuir ne résolvait rien. Encore un mensonge ! Vous voyez ? Toute sa vie, il n’a fait que mentir ! Il n’a même pas été capable de suivre ses propres principes ! Il m’a trahi, abandonné ! C’est un lâche !!
Il s’arrêta un instant et essuya ses yeux. De son côté, Arashi était estomaqué. C’était la première fois qu’il voyait Kakashi dans cet état. Mais d’un autre côté, il était presque soulageant de voir le petit garçon craquer.
- Je ne dis pas que ce qu’il a fait est louable, murmura-t-il doucement, espérant vaguement calmer le garçon. Mais réfléchis… peut-être qu’il n’avait pas le choix.
- Conneries ! répliqua Kakashi d’un ton cinglant. Vous abandonneriez votre fils tout en sachant qu’il sera seul au monde si vous le faites, vous ?
Arashi sembla décontenancé.
- Je… non… enfin…
- Vous le feriez ?!
- Non, Kakashi, bien sûr que non. Un ninja doit protéger sa famille plus que tout autre chose mais parfois, il doit faire des choix. Et tu découvriras toi-même que parfois, choisir entre son devoir et sa famille n’est pas si simple.
Le regard du petit garçon se brouilla de larmes. De toutes évidences, ce n’était pas du tout la bonne chose à dire.
- Pas si simple… je ne vois vraiment pas ce qu’il y a de compliqué entre choisir de mourir ou de vivre avec moi !
- Aujourd’hui, tu ne voies pas, répliqua doucement Arashi. Mais quand ce genre de choix se présentera à toi, tu comprendras mieux. Et c’est pour cette raison que tu devrais regarder avec attention les choix qui s’offrent à toi aujourd’hui
Le ton doux mais ferme calma Kakashi qui se rassit lentement. Arashi le dévisagea avec approbation. Il ne fallait pas que le garçon se sente forcé à quoi que ce soit .
- Pourquoi vous voulez que je vienne chez vous ? demanda alors Kakashi.
Arashi sourit. Il s’était attendu à cette question.
- Parce que tu n’es pas seulement mon élève, Kakashi. Ton père était mon ami et toi, tu es un garçon extraordinaire qui mérite d’avoir une vie heureuse. Je veux te donner cette chance.
Kakashi fronça les sourcils, n’appréciant guère le lien effectué par son maître.
- Alors… vous voulez… remplacer Papa ?
Arashi secoua vivement la tête.
- Je ne pourrai jamais remplacer ton père, Kakashi. Ce n’est pas mon rôle. Mais je peux au moins te promettre une chose : c’est de rester près de toi, te protéger comme l’aurait fait Sakumo, t’apprendre ce que je sais. Bref, être là pour toi.
Kakashi leva les yeux vers lui. Son regard était froid.
- Vous mentez. Et moi, j’en ai assez des mensonges.
- Je ne suis pas en train de te mentir. Jamais je n’oserais. Aies simplement confiance en moi, ajouta-t-il après un court silence.
Kakashi détourna les yeux. Faire confiance… c’était bien cela le problème. Arashi vit son hésitation.
- Ne perds pas confiance en l’humanité parce qu’une personne t’a déçu. Tu es trop jeune pour te pourrir la vie de cette façon.
Kakashi ferma les yeux mais ne dit rien tandis que le soleil disparaîssait au loin. Il ne dit pas qu’il avait été déçu par bien plus d’une personne. Il ne dit pas qu’il doutait avoir réellement confiance en qui que ce soit désormais. Et il ne parla pas non plus de la lettre de son père, ultime message qui n’avait fait que le conforter dans ses convictions.
Il s’écoula encore de longues minutes pendant lesquelles ils ne parlèrent pas. Etrangement, il se sentait apaisé. Et habité d’une froide détermination. Quand le soleil eut disparu, il avait fait son choix.
- J’irai chez vous, sensei. Il se tut quelques secondes. J’irai mais à une condition.
- Bien sûr. Tout ce que tu veux.
Kakashi se retourna vers lui et le regarda droit dans les yeux.
- Ne me parlez plus jamais de mon père.


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Le vent souleva doucement ses mèches argentées. Le soleil déclinant se refléta dans ses yeux bruns, lui donnant un regard sang. Debout au sommet du mont Hokage, les bras croisés, il contemplait ce qu’était devenue sa vie.
Cinq ans s’étaient écoulés depuis qu’il avait accepté la proposition d’Arashi. Cinq ans pendant lesquels il était devenu quelqu’un d’autre. Un masque recouvrait désormais son visage, ne laissant voir que des yeux à l’éclat glacé. Dans son dos était accroché le katana de son père.
Il avait tenu sa promesse. A à peine douze ans, il s’était forgé une réputation digne d’un futur ANBU. Aucune des missions qui lui avait été confiées n’avait échoué. Il était toujours revenu victorieux, bravant les dangers avec un acharnement et une indifférence presque effrayants. Détaché de tout, il était devenu une véritable machine à tuer. Le peu d’innocence que l’enfance lui avait donné avait très vite disparu, effacé par les meurtres, étouffé par cette volonté farouche d’obéissance et écrasée par un orgueil à toute épreuve développé à coups d’exploits en tous genres. La lueur de ses yeux s’était éteinte : plus de malice, de joie, de pitié ou même de peur. Rien qu’une implacable détermination.
Il savait que son comportement, complètement atypique pour quelqu’un de son âge, soulevait nombre d’interrogations et en effrayait même certains. Mais il s’en moquait. Les gens pouvaient bien penser ce qu’ils voulaient. Seule sa mission importait. Il était ninja.
Debout, droit face au soleil, il releva le menton dans une attitude de défi. Il avait réussi. En se persuadant que les sentiments n’étaient qu’accessoires dans la vie d’un ninja, il avait échappé au piège dans lequel son père était tombé. Dans ce monde sans émotion, il n’y avait ni choix, ni hésitation et encore moins des problème de conscience. C’était un monde simple, un monde qui lui convenait. Et rien, pas même les discours moralisateurs qu’Arashi lui tenait parfois, ne le ferait changer d’avis. Un maigre sourire se dessina sur ses lèvres.

- T’as vraiment été nul, Papa. C’était pourtant pas compliqué.




vala ! le prochain épisode se consacrera au "post mortem obito"

[Jainas]

Haaaaaaaaaaaaaa




Superbe chapitre, le froideur naissante de Kakashi est super bien rendue :)
Juste un bénol : la denière phrase ne fait pas très 'kakashi' justement, peut être que si elle était en pensée ça passerait mieux, mais prononcée à haute voix ça fait vraiment bizarre.

[lebibou]

Génial ce chap comme tout le reste de la fic. J'ai adoré la petite allusion.

Vous abandonneriez votre fils tout en sachant qu’il sera seul au monde si vous le faites, vous ?

Dans les dents le Arashi. Une valeur prémonitoire peut être ? Es tu partisan de la théorie Yondaime = papa Naruto ? En tout c'est l'impression que tu donnes.
Je me répète, mais c'est un excellent chap.

[Tinton2]

Chapitre génial, tu m'as scotché !!!!!!

Tu es magnifique, excellente etc... !!!

Pour etre plus imagé, tu troues l'cul !!!

Honnetement, moi qui n'aime pas les fics ou on ne décrit que les sentiments, tu me fais me raviser !!!

Honnetement tu m'as scotché !

Bises

[Tayuya]

Juste un bénol : la denière phrase ne fait pas très 'kakashi' justement, peut être que si elle était en pensée ça passerait mieux, mais prononcée à haute voix ça fait vraiment bizarre.

oui c'est vrai. j'ai longtemps hésité pour cette dernière phrase. je ne savais vraiment pas quoi mettre mais un truc du genre "je ferai pas la même erreur que toi" fin quelque chose qui montre qu'avec la distance, il trouvait l'attitude de son père encore moins acceptable

Dans les dents le Arashi. Une valeur prémonitoire peut être ? Es tu partisan de la théorie Yondaime = papa Naruto ? En tout c'est l'impression que tu donnes.

exactement ! c'est un clin d'oeil au futur sacrifice d'Arashi. Oui dans cette histoire et dans le manga en général, je pense que le Yondi est le papa de Naruto. ça colerait vraiment bien ^^ contente que tu aies vu ça !

Chapitre génial, tu m'as scotché !!!!!!

Tu es magnifique, excellente etc... !!!

Ouah... je t'adore toi merci beaucoup c'est super sympa.

je suis vraiment contente que ce chapitre vous ait plu, merciii !

[Arakasi]

Toujours aussi génial, Tayuya!
Cette fic est une des meilleures de ce site!
Je trouve le dernier passage avec Kakashi sur le mont Hokage particuliérement réussi...
Comment transformer un adorable gamin en un monstre d'arrogance et de sang froid...

Je sais qu'il va y avoir une période post-Obito mais jusqu'à où compte tu allais exactement dans cette fic?

Juste une question: 5 ans aprés Kakashi porte son masque, je sais que beaucoup de ninjas en portent mais c'est tout de même étrange pour un gosse de 12 ans... C'est lié à son pére, non? il lui ressemble beaucoup physiquement, je crois: une maniére d'effacer la moindre ressemblance et de se dissocier encore plus de son image.
je pense que c'est assez symbolique de son désir de rompre avec le passé et avec son pére et ses erreurs.
Tu n'en parles pas précisement donc je ne sais pas ce que tu en pense...

[Tayuya]

merci toi !! alors pour la fin de la fic, franchement je sais pas. Pzut-être jusqu'au moment où il prendra l'équipe 7 mais yora quand même beaucoup d'ellipses sinon, j'y serai encore dans 10 ans !

pour le masque, je vois ça un peu comme une façon de fuir la vérité, de ne pas s'assumer à 100% mais ton interprétation est très bien aussi. D'ailleurs, ça collerait mieux avec ma fic

[Itachi-san]

Bah c'est bô, j'espère que tu décriras la scène où il voit la mort de Yondi et le fils qu'il aura laissé derrière lui

La dernière scène est magique ! Tout est magique, Tai-san c'est comme pour les lessives : la qualité Henkel

[mode Phoebe on]Comme moments de ta fic je prédis que tu développeras : le post-mortem Obito (tu l'as même pas annoncé en plus ), la mort de Yondi et la rencontre avec bébé Naruto, et l'observation de Sasuke qui suit un peu le même chemin que lui à plus faible échelle après le massacre de son clan à grande échelle [mode Phoebe off]

[Tinton2]

Si Itachi-san n'est pas en train d'influencer l'auteure là, je ne m'y connais plus...

Mais en tout cas, moi j'aime bien ses propositions, je vote pour !

Tchuss.

[Arakasi]

Bien d'accords avec Tinton!
Ce serait déjà un joli programme!

Mais c'est Tayuya qui décide...

[Jainas]

J'adorerais plusieurs passages sur la période Anbu... là aussi ça promettrait du beau...


Pour ce qui est du masque, je pense que c'est effectivement lié à sa ressembalnce avec son père, et aussi au fait d'être un ninja : le masque c'est l'anonima absolu. Si tu portes un masque, ça veut dire que t'es un ninja en mission, et personne va essayer de venir te voir, discuter avec toi ou autre, c'est un mur entre lui et le reste des gens, aussi une manière de se protéger, de cacher encore plus complètement ses émotions...