Sang et cendres

[ikonoklaste]

Arh me matey !
La qualité est toujours présente. je n'ai rien à redire de ce chap. Vachement bon ^^
C'est marrant je crois reconaitre un style que je connais à certains endroits mais va faloir que je vérifie

[Hyourinmaru]

Voyons ... comment Ohira connaît-il l'existence de Kyuubi ? J'croyais que c'était un secret et qu'est-ce qu'il cherche à Konoha ? Bon, au moins, il a l'air plutôt doué ... en tout cas, un second chapitre plein de promesses pour l'avenir ^^ une apparition de Sasuke dans le prochain chapitre ? Bonne chance pour la suite.

[Arakasi]

Merci!

si les chapitres sortent vite pour l'iinstant, c'est que je suis encore pleine d'enthousiasme. On verra combien de temps, ça va durer...

Quant à savoir pourquoi Ohira sait pour Kyuubi et ce qu'il veut, va falloir attendre un peu...



c'est bientôt les vacances! Yeepee!
(sans aucun rapport )

[Jainas]

je t'aime :D


La suiiiiite !

ps, dsl ch'ui préssée : départ pour bay sitting ^^

[Itachi-san]

Ah bah en voilà une fic kelle est très bien J'aime bienc et espèce de dyptique que tu fais : d'un côté Konoha, l'insouciance, la paix, les boulets^^ ; de l'autre des ninjas sadiques, impitoyables (ou les deux) qui ne cottoient que la mort Enfin je sais pas vraiment si c'est volontaire lol. Mais j'aime bien les nouveaux persos ils sont pour le moins interessants^^Et j'adore Hijo, lanti-héros par excellence

[Arakasi]

VRAIMENT????

je t'aime :D

Moi aussi je t'aime, Jainas

L'effet dyptique était assez involontaire mais j'essaye de concilier un peu d'humour et le côté tordu et violent de mes nouveaux personnages... Si vous trouvez ça réussi tant mieux pour moi!
J'aime bien Hijo mais c'est surtout les méchants qui me tiennent à coeur...

[Tayuya]

j'ai bien aimé le passage avec Kakashi parachute de secours merdique comme dirait quelqu'un de ma connaissance mais c'est tout à fait Kakashi muahahaha

eh morbide le Ohira là mais je partage son opinion : Naruto est plutôt pathétique (dsl pour les fans ^^)

[Arakasi]

J'aime assez Naruto, mais faut avouer que de temps en temps...

Allez, je suis sympa et je vous met le chapitre suivant.
Bon, c'est sur que l'histoire prend son temps, mais j'aime bien m'installer confortablement pour démarrer et mettre en place les bases
J'espére que ça vous plaira tout de même.
En tout cas, moi je me suis bien amusée à l'écrire!


* * * * * * * * * * ** *

CH3 : Retrouvailles entre vieux amis.




- Aaaaaah… Si je récapitule bien : tu as commencé par te faire surprendre par un intrus alors que tu étais censé monter une garde vigilante aux portes, puis tu as abandonné ton poste pour amener ledit intrus à l’intérieur du village et en chemin tu l’as égaré ?

La très redoutée 5éme hokage se laissa aller en arrière sur son fauteuil, le visage impassible. Sa voix était anormalement douce, bien qu’animée d’un léger tremblement sur les derniers mots. Hijo, au garde à vous devant le bureau massif, sentit son dos se couvrir de sueurs froides : ce n’était pas une réaction normale ! En théorie, elle aurait du se mettre à hurler, à rugir et à cracher des flammes, pourtant aucune fumée ne lui sortait des oreilles et elle restait d’un calme déconcertant. Hijo n’aimait pas cela, vraiment pas : il avait l’habitude de se faire crier dessus et traiter de tous les noms, un nombre incroyable de personnes semblait le considérer comme un abruti sympathique et parfaitement incompétent et les hurlements et réprimandes faisaient plus ou moins partie de son quotidien.
Mais la retenue de Tsunade, surtout venant de la kage la plus caractérielle et la plus violente de la région, et son regard un peu trop fixe le déroutaient. Il avait expliqué en détails l’incident de la nuit en essayant de ne pas montrer la panique qui menaçait de le submerger ; un silence pesant avait suivi et s’était prolongé jusqu’à que l’atmosphère dans le petit bureau des hokages devienne étouffante et qu’il se sentit lui-même au bord de la crise de nerfs. Avec un temps de retard, il réalisa qu’il était peut-être censé répondre quelque chose :
- Euh… Je ne l’ai pas exactement « égaré », hokage-sama, je crois qu’il est parti volontairement, euh… hum…
Ah, c’était peut-être pas très brillant comme remarque ça…
- Je, je veux dire, je ne pouvait pas savoir qu’il allait s’en aller comme ça…
Baka ! Tu t’enfonces ! Tu t’enfonces !
- Enfin, c’est vrai qu’il était un peu bizarre mais il a parlé d’une mission…
Elle ne dit toujours rien, peut-être qu’elle n’est pas fâchée ?
- Euh… Ce n’est sûrement pas très grave, il ne peut pas faire grand-chose de mal de toute façon et il n’était pas armé ; il va sûrement revenir tout seul.

Hijo remarqua enfin la veine qui battait violemment sur la tempe de l’hokage et la crispation des mains croisées sur la table. Mais il était malheureusement un peu trop tard. Il se recroquevilla d’instinct lorsque Tsunade vira à l’écarlate et ouvrit la bouche :
- HIJO, MISERABLE CRETIN !!! SOMBRE ANDOUILLE !!! ESPECE DE VER DE TERRE DECEREBRE !!!
De toute évidence les choses revenaient à la normale ; d’une certaine façon c’était assez rassurant.
La cinquième levait les mains au ciel en éructant, prenant à témoin les dieux, les anges et les démons de l’incompétence désastreuse de tout les imbéciles qu’elle avait le malheur d’avoir à commander.
- Mais COMMENT ? COMMENT un ahuri pareil a-t-il réussi à passer l’examen des chuunins ?
L’ahuri en question décida sagement de la fermer, l’orage finirait bien par passer, il suffisait d’attendre et de baisser la tête. Quand son hokage serait à bout de souffle, il arriverait peut-être à s’éclipser discrètement.
- Et POURQUOI ? POURQUOI, au nom du ciel, ai-je accepté de devenir le kage du village rassemblant la plus grande bande d’imbéciles de toute la région ??? hurlait celle-ci.
Hijo fut sauvé miraculeusement alors qu’il s’apprêtait à donner la réponse qui lui venait spontanément à l’esprit, à savoir « Parce que vous nous aimez bien quand même ? » et qui lui aurait valu une mort aussi rapide que douloureuse. On frappa à la porte du bureau et une voix un peu hésitante se fit entendre :
- Hokage-sama ? Quelqu’un désire s’entretenir avec vous ; il dit que c’est urgent.

Tsunade respira profondément et foudroya sa victime du regard :
- Qu’est ce que tu attends, toi ? Va m’ouvrir cette fichue porte ! Et n’en profites pas pour prendre la clef des champs, je n’en ai pas fini avec toi, gronda-elle.
- Euh… Oui ! Bien sur, hokage-sama !
Le ninja battit en retraite vers la porte, l’ouvrit et manqua de percuter le visiteur dans sa hâte de sortir. Il leva les yeux pour s’excuser et poussa un petit glapissement suraigu de stupeur. Meiyamoto Ohira lui dédia un regard froidement moqueur, puis l’écarta sans ménagement pour pénétrer dans la pièce. Il fit quelques pas dans le bureau avant de s’incliner gracieusement devant la kage.
- Ah justement… C’est l’homme dont je vous parlais, crut bon de préciser le chuunin, il se nomme…
- Meiyamoto Ohira, le coupa l’intéressé en se redressant avec un large sourire les yeux fixés avec un plaisir évident sur l’expression qu’avait pris le visage de son interlocutrice.
Celle-ci était devenue livide et ses yeux semblaient sur le point de lui jaillir des orbites. Les secondes qui suivirent semblèrent durer une éternité, puis Tsunade se leva brutalement manquant de renverser chaise et table.
- VOUS !!! rugit-elle, ESPECE D’ENFOIRE, QU’EST-CE QUE VOUS VENEZ FAIRE DANS MON VILLAGE ???
- Moi aussi, je suis ravi de vous revoir Tsunade ! Mais nous devrions peut-être continuer ses chaleureuses retrouvailles sans témoin, non ?
La femme prit une inspiration sifflante dans un violent effort pour reprendre le contrôle d’elle-même.
- Hijo, fiche moi le camps d’ici !
Complètement abasourdi, le ninja s’exécuta, non sans un coup d’œil plein de curiosité au dessus de son épaule.


* * * * * * * * * * * * *

La gorge nouée par un mélange de fureur, de consternation et par quelque chose qui ressemblait beaucoup à de l’horreur, même si elle ne se l’aurait jamais avoué, Tsunade regardait l’homme à l’air jovial qui se tenait devant elle. Elle était une des rares personnes à savoir ce que cachait ce masque de sociabilité, elle avait même entrevu à une reprise ce qu’était réellement cet… cet homme puisqu’il fallait bien l’appeler comme cela, mais d’autres termes auraient peut-être mieux convenu. Absolument pas embarrassé par cet examen, il traversa tranquillement la pièce pour se placer prés de la fenêtre et s’appuyer avec nonchalance contre le mur, promenant son regard sur le village avant de le ramener sur la kage :
- Magnifique village ! On peut y voir tout de suite la compétence de ses dirigeants ! Une telle paix, une telle tranquillité, je ne peux que vous féliciter.
- C’est une plaisanterie… La voix de la cinquième grinçait et ses yeux lançaient des éclairs.
Peu de gens avaient eu l’occasion de la voir dans un telle état de rage, A quoi joue cette ordure ? Il est là pour une bonne raison…
- Vous n’avez rien à faire ici. Et depuis quand portez-vous ce nom : Meiyamoto Ohira ? Vous n’êtes pas venu ici pour parler de la pluie et du beau temps. Qu’est ce que vous voulez à mon village ?
L’autre secoua la tête d’un air navré.
- Ah, Tsunade, Tsunade… Vous avez toujours un caractère aussi épouvantable. Ce n’est pas ainsi que l’on accueille un vieil ami en visite. D’habitude on commence à saluer les gens et on ne les injurie pas d’entrée… Il ajouta avec une affabilité désarmante : Ne pouvez-vous envisager qu’il s’agisse d’une simple visite de courtoisie, histoire de nous remémorer ensemble le bon vieux temps autour d’une tasse de saké, Tsunade-chan ?

Le poing de la femme la plus forte de Konoha rentra violemment en collision avec la surface du bureau et des échardes et des copeaux de bois traversèrent en sifflant la pièce et ricochèrent sur les parois.
- NOUS NE SOMMES PAS AMIS ! Et je vous interdis de m’appeler comme cela ! Sinon…
- Sinon quoi ?
La voix de l’homme était toujours aussi calme, mais une note tranchante et glacée s’y était introduite. Elle croisa son regard, un regard qui n’avait pas changé en dix ans, dur comme l’acier dont il avait la couleur, scrutateur, froid, empli d’une intelligence féroce et dépourvue d’états d’âme. Et tout au fond de ces yeux-là, dissimulé à quiconque ne savait pas sa présence… Tsunade fronça les sourcils, refusant de se laisser déconcentrer. Le défi informulé des derniers mots ne lui avait pas échappé, elle devait lui montrer sans ambiguïté qu’elle ne le craignait pas et qu’elle ne tolérerait aucune menace. Mais c’est faux et il le sait aussi bien que toi… Il sait que tu as peur… Que tu le redoutes… Que tu ne souhaites pas le combattre car tu ne peux être sure de l’issue d’un tel affrontement. Tu pourrais gagner, mais rien n’est moins certain… Et il jouit de cette position : il a toujours aimé joué au chat et à la souris.

- Tsunade, Tsunade… Je ne cherche pas la querelle, vous savez, continua Meiyamoto. Je n’ai jamais compris l’antipathie que vous avez à mon égard, alors que j’ai tant de respect pour vous.
- Cherchez bien, Meiyamoto puisque c’est le nom que vous avez décidé d’arborer, cherchez bien ! Et vous finirez probablement par trouver !
- Oh allez, parce que j’ai du sang sur les mains ? Il secoua de nouveau la tête avec un petit rire, n’est-ce pas le cas de tout vos chers ninjas ? Et de vous-même ? N’avez-vous jamais pensé que vous étiez mal placée pour juger mes actes ?
- MES ninjas, comme vous dites, n’ont rien à voir avec vous, cracha-elle. Ils tuent pour défendre leur village, pour défendre leurs vies ! Ils ne massacrent pas des familles, des hameaux entiers de sang-froid et si ils le font, c’est le cœur déchiré ; ils ne prennent pas de… plaisir à ce genre de tâche ! Mes ninjas ne sont pas des monstres !
Pour la première fois, il réagit et elle le vit serrer les mâchoires en rejetant brusquement la tête en arrière comme si elle l’avait frappé. Et un bref instant, si bref qu’elle aurait pu croire à une illusion due à la lumière, les yeux qui la foudroyaient entre les mèches sombres ne furent plus gris mais rouges. Elle sentit son cœur se pétrifier dans sa poitrine et le souffle lui manquer. Ce n’était pas tant la couleur, mais ce que contenait ce regard : deux puits de rage, de haine où régnait une démence terrifiante par tout ce qu’elle avait d’inhumain , deux foyers sanglants où flambaient une folie sans âge. Alors tu ne te contrôles pas si bien que ça, hein ? Tu peux contrôler ta voix, tes gestes, tu peux arriver à paraître presque humain ; mais tu ne peux pas complètement cacher ta vraie nature… Mais, elle n’était pas sure que ce soit vraiment une bonne chose à ce moment précis et elle du lutter pour ne pas reculer.
Un battement de cils, l’homme sembla se raidir légèrement et cligna de nouveau des yeux : quand il les reposa sur la femme, ils étaient redevenus gris et lucides. Le silence régna pendant quelques instants dans la salle.

Tsunade reprit la parole d’une voix plus basse :
- Je sais ce que vous êtes, Meiyamoto. J’ai vu ce dont vous étiez capable, il y a dix ans. Vous êtes un dément, un dément dangereux. Et je n’ai pas l’intention de discuter avec vous, alors dites ce que vous désirez et partez de ce village.
- Bien… Il semblerait que vous refusiez de me traiter en ami, mais vous pourriez avoir l’amabilité de me traiter au moins en client…
- En client ?
C’est une plaisanterie, il n’aurait pas le culot…
- Eh bien oui, pourquoi pas ? Malgré tout le plaisir que j’ai à vous revoir, je suis venu pour une bonne raison : je suis client de Konoha et commanditaire d’une mission. Je l’ai dit au brillant ninja qui gardait les portes cette nuit, il ne vous l’a pas répété ?
Les pires pressentiments la traversèrent aussitôt :
- Et quelle genre de mission ? lâcha-elle.
- Une mission d’escorte de rang B jusqu’au village d’Iwa.
Le sourire satisfait était revenu et l’autre paraissait à nouveau bien s’amuser ; mais elle savait à quoi s’en tenir, il s’était oublié un instant devant elle et elle ne se laisserait jamais plus tromper par cette comédie.
- Et qui doit être escorté ?
- Quelle question ! Moi ,bien entendu ! Les routes sont si peu sûres ces temps-ci, un voyageur isolé court toujours de grands risques et la prudence n’a jamais nuit à personne…
Tsunade manqua à nouveau de s’étrangler de colère. Ne t’énerves pas, ne t’énerves pas… Il s’amuse, il adore ce genre de discutions.
- VOUS, vous avez besoin d’une protection ? VOUS, vous ne vous sentez pas un sécurité ? Vous vous foutez de moi !
- Je plaisantais… Mais j’ai effectivement quelques petits problèmes avec certains groupes de shinobis errants. Les gens sont parfois si rancuniers… Un peu d’aide ne serait pas de refus.
Menteur… Et en plus de tout, il me prend pour une imbécile…
- Je ne souhaites pas vous accordé « un peu d’aide », Meiyamoto : je me vois dans l’obligation de refuser votre demande de mission, grinça-elle, et de vous demander de quitter ce village dans l’heure.

Mais celui-ci n’avait aucune envie d’être congédié ainsi. En quelques pas rapides, il se posta devant le bureau et se pencha en avant les mains posées sur la table. Quand il parla, ce fut d’une voix sérieuse et insistante :
- Jouons cartes sur table puisque vous y tenez absolument. Tsunade, je ne vous demande pas de me faire confiance ; mais si vous souhaitez vous débarrassez de moi, mieux vaut m’accorder ce que je demande. Confiez-moi à une de vos meilleures équipes si vous y tenez… Je ne suis pas votre ennemi mais j’ai besoin de cette escorte. Je partirai avec l’escorte et vous ne me verrez plus dans ce village, c’est bien ce que vous désirez, non ?
La cinquième lui rendit son regard pendant un moment avant de capituler :
- Vous serez confié à l’équipe de Sarito et vous partirez demain à l’aube, que cela vous convienne ou pas.
- Mais cela me convient !
Meiyamoto s’écarta de la table en souriant d’une oreille à l’autre et se dirigea vers la porte. Il est ravi… Ou est-ce qu’il se joue encore de moi ? Il pense avoir gagné, mais quelle erreur ai-je commise ? Il ne peut pas prendre réellement au sérieux cette histoire de mission !

Meiyamoto s’immobilisa sur le pas de la porte :
- Ah Tsunade, j’oubliais… J’ai rendez-vous avec un ami ce soir, je ne souhaite pas déranger et je compte le rencontrer à l’extérieur du mur du village. J’imagine que vous n’y voyez pas d’inconvénient ?
- Un ami « comme vous » ? demanda-elle sans essayer de réprimer une grimace de dégoût.
Un sourire :
- Oui, en quelque sorte… comme moi.
- Je suis forcée de tolérer votre présence mais cet homme ne fera pas un pas à l’intérieur de l’enceinte. Et vous, vous resterez dans le quartier des invités jusqu’à ce soir. Au moindre écart, j’annule votre mission. Est-ce clair ?
- Très clair, je vous souhaites une bonne journée, Tsunade.

A peine la porte s’était-elle refermée que Tsunade bondit hors de se chaise en déversant un torrent de jurons et de blasphèmes variés. Pour qui se prenait-il? A quel jeu croyait-il jouer ? Que voulait-il de son village ? Mais, je ne vais pas le laisser faire ! Je suis HOKAGE ! Défendre ce village est MA responsabilité ! Et ni moi, ni ses habitants ne seront tes jouets, Ohira…
Elle ouvrit violemment la porte qui s’arracha de ses gonds sous la force de sa colère, et chercha du regard une victime. Pétrifié dans un coin de la pièce, Hijo tentait désespérément de ne pas se faire remarquer, à défaut de pouvoir traverser les murs ou devenir invisible.
- Toi, cours immédiatement me chercher Gemna et Raidou ! J’ai dit IMMEDIATEMMENT !!!


* * * * * * * * * * * * *

Quelques rues plus loin, Meiyamoto se dirigeait d’un pas vif vers le quartier des invités : inutile de contrarier Tsunade plus que de raison. Qu’elle annule la mission ne serait pas désastreux mais il serait forcé de revoir une grande partie de ses plans. Il lâcha un petit gloussement d’hilarité en repensant à la scène qui venait de se dérouler, dommage de n’avoir pas pu la faire durer un peu plus longtemps… Mais il devait continuer à ménager la kage, tant qu’il en aurait encore besoin en tout cas.
Une journée qui commençait très bien en somme, si on excluait le petit incident qui avait eu lieu durant sa visite. Tsunade… Elle en sait bien peu sur moi, mais peut-être est-ce déjà trop… Peut-être faudrait-il envisager de la… Mais cela peut attendre et ce serait vraiment dommage : une femme si admirable…
Enfin, Teshiro sera là ce soir, et nous pourrons enfin passer aux choses sérieuses.

* * * * * * * * ** ** * * *


Quand je relis ce chapitre, je le trouve vraiment con Hijo, mais bon...

bon allez, commentaires et critiques?
Et désolé si il ya des problémes d'ortho ou de grammaire...

[Kydash]

Ben l'orthographe, la grammaire c'est pas mon rayon en fait.

Mais oui, je te confirme le hijo est un con ^^;. il tente de remplacer le naruto au palmarès ? .

Sinon c'est sympa, meme grandeur que les autres chapitres donc ben je t'encourage personnellement a continuer :)

[ikonoklaste]

waouh !
J'adore ^^ j'adore le rythme, le style, mais surtout les personnages nan mais franchement tas pas honte de faire un truc aussi bien XD

[Itachi-san]

Faudra nous expliquer comment Naruto est mort et comment il s'es tréincarné parce que là on tient un cas

Vraiment zarb comme châpitre : à la fois comique et sérieux, la balance ne semble pas vraiment pencher d'un côté ou de l'autre, bref j'adore c'est super bien géré^^

[Jainas]

HS : j'suis passé devant Estienne cet aprem, j'ai pensé à toi ^^

[Arakasi]

Ikonoklaste:

waouh !
J'adore ^^ j'adore le rythme, le style, mais surtout les personnages nan mais franchement tas pas honte de faire un truc aussi bien XD

_entame la danse de la victoire autour de l'ordi en poussant des hululements_


Itachi-san:

Faudra nous expliquer comment Naruto est mort et comment il s'es tréincarné parce que là on tient un cas

Naruto n'a pas le monopole de la connerie
Et pour ce qui est de l'alternance humour/sérieux, les enfoirés psychopathes ont aussi le droit d'avoir le sens de l'humour (même tordu... )

HS : j'suis passé devant Estienne cet aprem, j'ai pensé à toi ^^

gentil à toi

Mais que penses-tu de mes écrits?
Ton opinion compte beaucoup! Je pensais que tu t'en doutais un peu!

[Jainas]

ho... dans ma hâte je n'avais point vu qu'il y avait un nouveau chapitre...

tu es prolifique ^^

Et très bon chapitre, Tsunade qui pert son calme comme ça est vraiment un spectacle propre à infliger des cauchemars pendant trois semaines, et Ohira est de plus en plus inquiétant...

Pour la défence de Hijo, je voudrais d'ailleurs demander en toute innocence ce qu'il était censé faire avec un visiteur sur les bras et l'obligation de garder son poste... normalement on est au moins deux pour ce genre d'assignement


Niveau style c'est impec, vocabulaire varié, bon rythme.

Et Genma et Raidou vont entrer en scène, ouais !!!!! :D

[Tayuya]

Faudra nous expliquer comment Naruto est mort et comment il s'es tréincarné parce que là on tient un cas

muahahahah ! excellente celle là Itachi !

j'ai a-do-ré ce chapitre ! il y a toujours quelques fautes mais bon...
la scène entre Ohira et Tsunade m'a tenue en haleine jusqu'au bout. Une question s'est posée dès le début : quand est-ce qu'elle défonce son bureau ? arf arf ! trop fort. C'est tout à fait Tsunade, le personnage est vraiment bien respecté.
Et le pauvre Hijo alors là... phénoménal, ya pas d'autres mots.

Par contre le Ohira, il me flanque la frousse. Le moment où tu décris ses yeux rouges est saisissant. si si, je t'assure.
J'ai hâte de voir la suite ! et si en plus tu fais intervenir Genma et Raidou, mais bon sang que demander de plus ?