Kenji Uchiha, un ninja peu commun.

Tu débordes d'imagination scénaristique. Tu as imaginé des histoires parallèles à celle de Naruto. Alors asseyons-nous autour d'un feu et raconte-nous ton histoire dans le monde des ninjas.

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Aizen
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Kenji Uchiha, un ninja peu commun.

Message par Aizen »

Hop la revoilà, l'histoire prend place alors que les deux premiers Hokage de Konoha étaient toujours en place.

Kenji Uchiwa. Un homme que tout le monde aimait et respectait pour sa droiture, une perle d’homme. Toujours prêt à aider son prochain, sans cesse et sans relâche. Quelqu’un l’a-t-il déjà vu ne pas sourire ? C’est impossible ! C’était la gaieté même, trouvant toujours un mot pour remonter le moral, sachant trouver la parole juste réconfortant les âmes en peine.

Il se tenait là immobile, le soleil éclatant laissait apparaître de doux reflets ébènes sur sa longue chevelure. C’était le printemps, les bourgeons de cerisiers nains fleurissaient laissant apparaître ces délicats boutons roses qui portés par le vent, s’envolent, se glissant dans nos rêveries. Il avait 25 ans. Un quart de siècle. Vivant sereinement au sein du clan le plus puissant et le plus réputé de tous Konoha et presque, du monde ninja. Mais que lui importait ces considérations ? Sa vie s’écoulait doucement, calmement.

Les missions s’enchaînait pour lui, il les réussissait toutes, pourtant il n’aimait pas tuer. Cela le gênait et un profond trouble apparaissait lorsqu’il était obligé de le faire. Voir ce sang sur ses mains le bouleversait, il en avait presque peur, cela l’effrayait. Il avait honte, de quel droit pouvait il ôter la vie de quelqu’un d’autre, qui était-il pour se permettre une telle atrocité ? Certains auraient pu le considérer comme un lâche, un couard, pourtant ceux qui le connaissaient bien savait qu’au fond de lui, il n’en était rien. Il ne voulait pas prendre la vie, c’est tout, elle était trop belle pour qu’on l’écourte. Il fallait profiter du jour présent, regarder les nuages portés par les courants, les arbres se balançant au gré du vent, et les rivières s’écouler paisiblement. La nature portait la vie en elle, et perpétuait ce cycle, il lui semblait trahir la nature, en écourtant la vie d’un être humain. Etait il fait pour être shinobi ?

Pourtant il fut, comme les Uchiha le sont souvent, un des élèves les plus talentueux de sa génération. Il put développer son Sharingan, alors qu’il était toujours à l’Académie, à seulement huit ans. Ses années d’insouciance, le lièrent d’amitié avec un certain Ozu. Ils firent les quatre cents coups ensemble. Chapardant les bonbons dans les magasins, passant des heures à jouer à cache-cache, qui, pour un futur ninja peut se révéler fort instructif, laissant leurs parents s’arracher les cheveux devant leur impertinence et leur indolence.

C’est durant ces très nombreuses parties de cache-cache, que Kenji apprit à aimer la nature. Il se fondait avec elle pour éviter de se faire repérer. Bercé par la musique des feuilles soufflées par le vent, il restait là, silencieux, songeur. Ces jeux pouvaient durer la journée entière, la forêt de Konoha était leur domaine, ils en connaissaient les moindres recoins. Parfois les oiseaux et autres animaux se mêlaient à leurs enfantillages. Ceux-ci les observaient d’un œil bienveillant, ils en avaient vu des ninja. Qu’avaient-ils de particulier ? Rien sans doute. Peut-être cette innocence bienveillante qu’ont les enfants de leur âge, mais Kenji dégageait une aura particulière. On sentait le calme et la bienveillance émaner de lui.

Son passage en Genin se fit sans anicroches, avec une facilité déconcertante. C’était le génie du groupe, du moins considéré comme telle. Pourtant il n’aimait pas ce genre de superlatif. Cela le gênait par rapport à ses jeunes camarades, il refusait qu’on le place trop au dessus des autres. L’idée d’élite le rebutait. Et puis qu’avait il fait pour être si fort ? Rien, ou pratiquement, il s’était juste donné la peine de naître. Il le savait et ce don le perturbait, il se sentait différent, la déférence qu’on lui marquait l’inquiétait, le troublait. Pourquoi avait il droit à tant d’égards ? C’était un Uchiha et en tant que telle, tout les espoirs les plus fous étaient placés en lui.

Son Sharingan atteignit la troisième virgule et son stade final (du moins le pensait-il), dès l’âge de douze ans. Son trop jeune âge, l’empêchât de prendre en charge une classe de l’Académie. Du moins il aurait pu, mais il refusât la proposition. Kenji ne tenait pas à enseigner à des personnes de son âge, il ne s’imaginait pas en train de leur faire la morale si jamais ces garnements se trouvaient à faire des bêtises. Après tout, ils n’étaient que des enfants et il le savait. On lui assigna donc des missions de rang B ou A.

Il fit de nombreuses escortes, protégeant des hautes personnalités. Mais il refusait toutes les missions impliquant l’assassinat d’un homme. Sa trop grande bonté agaçait son chef de clan, Satoshi Uchiha. Etait-il un ninja de « s’enfuir » dès qu’une mission demandait, une trop grande implication personnelle, de passer outre ses ressentiments ?


« Je peux arrêter d’être un shinobi, si c’est ce que vous désirer sempai. Mais je n’ai pas la volonté de tuer. Si l’on peut réussir une mission sans qu’une seule goutte de sang soit versée alors cette mission sera pleinement réussi. Je hais les personnes qui prennent du plaisir au carnage et à la destruction. Si j’ai un don comme le Sharingan, il est de mon devoir de m’en servir du mieux possible, afin d’éviter de mettre en péril la vie de mes compagnons. Voir le sang couler ne m’excite pas et puis à vaincre sans péril on triomphe sans gloire. »

« La voie du shinobi est d’exécuter des missions pour ses employeurs pas de se demander s’il sert une cause juste ou non. Tuer fait partie de la vie du shinobi, comme l’animal tue pour se nourrir »

« Non, sempai, avec tout le respect que je vous dois, l’animal tue parce que c’est vital pour lui, et qu’ainsi il permet d’installer un équilibre dans la nature. Chez les ninja cela n’a rien de vital, il tue parce que c’est une solution de facilité. Mais l’on a toujours le choix, dans n’importe quelle mission. Celui qui dit qu’il est obligé de tuer est un menteur. C’est simplement qu’il prend du plaisir à tuer, mais qu’il cherche une bonne excuse pour se dédouaner de ses crimes. »

Satoshi sourit, le jeune devant lui du haut de ses 18 ans était têtu. Il venait de passer Jounin.

« Je vois que je ne pourrais te faire entendre raison, mais tu es un élément trop précieux pour que je te perde, donc je verrai ce que je peux faire. »

S’inclinant profondément dans la fraîcheur matinale de ce printemps naissant.

« Merci, je ne vous décevrai pas. »

Pourtant savait-il que six ans plus tard son destin allait basculer. Certes non, qui d’ailleurs aurait pu s’en douter.

C’était une mission de rang S, une mission d’escorte, une de plus, une de celle où il excellait. Poussant son Sharingan au maximum de ses possibilités afin de prévoir toutes les attaques ennemies. Il était censé protéger une mission diplomatique, au Royaume de la Cascade. Elle devait tuer son représentant charismatique afin de préparer au mieux le coup d’état et la prise de pouvoir qui devait résulter de cette assassinat. Elle était jounin, une jounin de Suna, Kyô Machiko. Elle avait 20 ans.


Image

Ses cheveux glissant sur ses épaules, suivant les humeurs du vent. Le teint légèrement hâlé, par le soleil de Suna. Tout en elle respirait la grâce, ses jambes longues et fines, sa poitrine avenante et son sourire angélique, personne n’aurait pu résister devant cette apparition. Sa démarche souple et féline, sa manière de se passer la main dans ses cheveux, le doux parfum de fleurs d’oranger qu’elle laissait sur son chemin. Le grand-père de Sagara n’y résista point. Son âme fut conquise au premier regard, ces doux yeux émeraudes l’avait transporté vers des contrées enchantées. Son bonheur était total, l’euphorie le gagnait, pourtant ressentait-elle la même chose à son égard ?

Cette question le taraudait et devenait une obsession. Il guettait avec angoisse le prochain assaut. Et le duel fut inévitable, il ne restait plus qu’eux, leurs autres compagnons s’étaient entretués. Curieusement Kenji en fut soulagé, il pouvait avouer ses sentiments sans avoir l’impression de trahir ses camarades de mission, sans voir leurs regards inquisiteurs se poser sur lui. Son cœur était déchiré entre son amour et cette mission, l’honneur de son village. Les coups pleuvaient entre eux, lui se retenait de peur de la blesser. Elle, faisait sans doute exprès de le rater à chacune de ses attaque à moins que ce Sharingan soit vraiment puissant.

Les deux combattants stoppèrent leurs assauts, le bruit d’une cascade emplissait le silence de son air monotone, les deux amants allaient se déclarer leur flamme. Leurs regards parlaient pour eux, timides dans un premier temps, ils s’enhardirent par la suite. C’est Kenji qui fit le premier pas, sa voix était douce et mélancolique se mariant avec le bruit ambiant pour former un chant obsessionnel et compulsif évoquant son amour. Kyô, lui répondit, rougissante, inclinant légèrement la tête. Elle le serra fort dans ses bras, ils échangèrent leur premier baiser. L’après-midi passa, chacun essayant de mieux connaître l’autre, ils parlaient de leurs joies, de leurs peines, de ce qu’ils aimaient ou détestaient. La nuit vint, et se referma sur les deux jeunes tourtereaux.

Ainsi se déroulèrent les quelques jours suivant, Kyô décidant de ne plus attaquer l’émissaire, la mission se passa à merveille. Et ils se retrouvaient, à l’abris des regards indiscrets, sachant ce que leur amour avait d’interdit. Les frôlements aiguisaient leur désir, ce fut une semaine irréelle, vivant pleinement leur passion, coupé du monde. Pourtant il fallait bien revenir dans leurs villages respectifs. Comment allait il faire pour se revoir régulièrement ? Il l’ignorait mais ne doutant pas que leur amour traverserait les frontières et les préjugés.

Kenji arriva à Konoha, un matin, il pleuvait, les gouttes coulait le long de son pantalon. Sa veste de Jounin alourdie par l’eau. Le cœur gros, séparé de sa belle, les jours filèrent lentement et péniblement. Gardant le contact par voie d’aigle, ils s’écrivaient des lettres toutes plus enflammées les unes que les autres.

Six mois plus tard, un examen Chunin fut organisé à Konoha, Kyô s’arrangeât pour y prendre part en envoyant une équipe de Genin. Ils se retrouvaient à la tombée de la nuit, en toute discrétion, chez Kenji, voulant ne pas trop faire jaser les commères de son clan. Leurs nuits étaient plus belles que nos journées. Lovés sur son tatami, ils contemplaient cette lune resplendissante, chuchotant, se susurrant leur amour.


« Kyô_ Pose ta main, pose la sur mon ventre. Est-ce que tu sens quelque chose ?
Kenji_ Non, je ne sens rien.
_Embrasse moi, embrasse moi en laissant ta main posée. Alors as-tu senti ?
_Non, je ne sens toujours rien.
_Et pourtant, lorsque tu poses tes lèvres sur les miennes, il y a tout un monde qui s’éveille en moi.
_ …
_Connais tu la couleur de mes yeux ?
_ Verts.
_Non tu te trompes, sais tu pourquoi ?
_Non.
_Parce que je baisse les yeux lorsque tu poses les tiens sur moi.
_…
_Sais-tu pourquoi je tremble ?
_Non.
_Par ta faute.
_Ah ? Non, je ne vois pas.
_Quand tu poses tes mains sur moi, tes doigts effleurant ma peau, c’est mon cœur qui chavire. Tu n’as pas besoin d’en faire plus. Je rougis si tu me regardes, je m’éveille sous tes baisers, je vis lorsque tu me caresses. Peut-être est ça l’Amour ? Des phrases muettes, des regards baissés, un corps parlant à la place du cœur.
_…
_Sais-tu pourquoi je reste muette quand tu es près de moi ?
_Non.
_Je ne dis rien car quand je suis à tes côtés, je vis. Tu es et tu me fais être.
_A quoi penses-tu à présent ?
_A toi, à notre histoire qui me fait peur.
_Est-ce que tu dors ?
_Non, je rêve en gardant mes yeux ouverts derrière mes paupières closes.
_M’aimes-tu ?
_Oui, je t’aime. »

Ainsi s’écoulait semblable chaque nuit.

L’examen Chunin touchait à sa fin, et il n’était plus question de se séparer une nouvelle fois. Kenji alla voir son sempai, pour lui exposer la situation. Il obtint un refus catégorique. Le sang des Uchiha devait rester « pur », il n’était pas admis de mariage hors du clan., surtout avec une habitante de Suna. Kenji en fut malade, rien, ni personne ne pouvait le consoler. Et peu de temps après, sa décision fut prise.

Il se tenait là immobile, le soleil éclatant laissait apparaître de doux reflets ébènes sur sa longue chevelure. C’était le printemps, les bourgeons de cerisiers nains fleurissaient laissant apparaître ces délicats boutons roses qui portés par le vent, s’envolent, se glissant dans nos rêveries. Il avait 25 ans. Un quart de siècle. Vivant sereinement au sein du clan le plus puissant et le plus réputé de tout Konoha et presque, du monde ninja. Mais que lui importait ces considérations ? Sa vie s’écoulait doucement, calmement.

Pourtant, il ne pouvait vivre sans elle, et le métier de shinobi ne l’avait jamais particulièrement passionné. Sa décision était prise, il prenait sa retraite, il s’en irait de ce village, et se retirerait paisiblement à la campagne pour aimer pleinement, sans retenue, sans se cacher. Kyô était d’accord, c’est ainsi qu’ils s’en allèrent, abandonnant leur voie de ninja. Rien ni personne ne devait les séparer.

Le paysage défilait sous leurs yeux, ils avançaient sans relâche, cherchant à s’éloigner le plus possible de Konoha et de Suna. Leur ancienne vie, n’était plus qu’un lointain souvenir, au fur et à mesure qu’ils avançaient. Sans doute de nombreux anbus les puirsuivirent, on ne laisse pas partir un Uchiha aussi facilement. Mais Kenji, durant ses nombreuses missions de protection apprit à se camoufler à merveille et à faire disparaître toutes traces montrant sa présence. Ils étaient enfin seul, le soleil illuminait leurs visages radieux.

Afin de complètement disparaître du monde des ninja, ils choisirent de s’installer près d’Iwa no kuni. Il changèrent de nom et Kenji se souvenant du nom de famille de son ami d’enfance décida, afin de lui rendre hommage, de se nommer Sagara, Sagara Ozu tel était le nom de ce complice de la première heure, avec lequel il avait partagé tant de choses. Ils construisirent leur maison à l’écart des autres habitations, s’achetant quelques rizières à cultiver avec les économies de leurs missions. Leur nouvelle vie de paysan leur convenait à merveille. Ils se levait de bonne heure, prenant leur tamis, afin de laisser filtrer le riz. Ils avaient pu engager au fil du temps quelques ouvriers agricoles. Les pieds dans l’eau, recueillant le fruit de leur labeur, allant le vendre aux marchés des villages avoisinant. Sur la route, il profitait du moment présent, ne craignant pas d’être assailli à chaque fourré ou carrefour. Il savourait ses moments passés auprès de simples gens, n’ayant pas de sang sur leurs mains, menant leur petite vie tranquillement.

Un évènement bouleversa leur vie, la naissance de leur premier enfant, Akira. Un petit bonhomme tout mignon, de trois kilo cinq cent, mesurant cinquante et un centimètres à sa naissance. La maison fut aménagée en conséquence, c’était le petit roi de la maison. Depuis le temps qu’ils cherchaient à avoir un fils ou une fille. Les deux premières années de sa vie, furent radieuses et insouciantes. Malheureusement le riz, demande énormément d’attention, rien ne doit être laissé au hasard. Ainsi, il demande une irrigation et un sarclage soignés. Kenji et Kyô le semait directement dans la rizière ou le repiquait après semis dans les pépinières. Ils mettaient la rizière en eau jusqu’à la quasi-maturité puis mettaient le riz au sec pendant près de trois mois pour la récolte. Chaque année s’installait ce rituel immuable. Mais le riz est une plante exigeante en chaleur et en eau. Et c’est là où le drame survint, le nord d’Iwa subit un brusque changement de climat. La température moyenne baissât en moyenne de 6 degrés en deux ans. Ce fut une catastrophe pour leur plantation, le riz ne survivant pas à un tel changement. Nos deux amoureux et leur fils se retrouvèrent dans la misère la plus totale.

Il fallait faire quelque chose, sans doute changer d’air, changer de métier. Mais que savait-il vraiment faire ? Et puis le petit devrait bientôt rentrer à l’école, il n’était pas question de prendre à la légère son éducation. Ainsi, ils apprirent qu’un village de shinobi avait ouvert ses portes au pays des cimes enneigés. Ils marchèrent sans relâche pour trouver ce village et reprendre leur profession de ninja puisque c’était la seule chose pour laquelle ils étaient vraiment doué. Ils ne seraient sans doute pas trop regardant sur leur origine, sachant qu’en quinze ans, ils avaient bien changé, leurs traits tirés, leurs mains rugueuses. Et après un long périple, ils arrivèrent à destination. Un problème se posât, s’ils voulaient vraiment redevenir shinobi, on s’interrogerait sur comment ils ont appris leurs techniques, et même s’il cachait l’existence du Sharingan, ils éveilleraient les soupçons et on se plongerait dans leur passé.

Kyô décida donc que le petit irait à l’Académie, et pendant ce temps là, ils ouvriraient une brasserie afin de pouvoir se nourrir, sans éveiller les suspicions. Ils créèrent leur échoppe. La vie s’écoulait paisiblement, et leur fils passât Genin. Craignant qu’il réveille le Sharingan, Kenji lui racontât l’histoire de la famille. Akira encaissât plutôt bien la nouvelle, il était même fier de faire partie d’un clan aussi prestigieux, même s’il ne devrait jamais utiliser leurs capacités pour éviter de se faire repérer. Son père lui demandât de promettre qu’il raconterait tout à son fils, quand celui-ci deviendrait Genin.

Mais la mort de ses parents en mission alors qu’il n’était qu’un enfant, rompit cette promesse. Laissant cet adolescent seul, ne connaissant rien de son passé, n’ayant pas même connu ses grands-parents. Ceux-ci moururent de vieillesse, ensemble, main dans la main, comme ils vécurent toujours.
vampire-master
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Message par vampire-master »

bon ben je vais répéter ce que j'avais dit sur l'ancien fofo:
très bon mais trop court 8)
excellente image aussi :oops:

bon maintenant je sais que c'est le manque de temps mais j'espère que tu passeras de temps en temps avec une nouvelle histoire en poche :wink:
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Aizen
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Message par Aizen »

:cry: :cry: :cry: Pourquoi si peu de monde ? Pourquoi ? :cry:
Tinton
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Message par Tinton »

Bah moi j'avais déjà commenté ta fic dans l'ancien fofo, et pis com ca a pas évolué, on n'a pas envie de se répéter. Ms elle est qd mm bien ta fic, mm si sa fin est un peu en queue d'poisson je trouve. le dessin est tout simplement magnifique ! c'est toi qui l'as fait ?
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Scorpion771
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Message par Scorpion771 »

je vien de la lire et c'est tres bien, tu a fais une suite ?
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nugg
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Message par nugg »

non pas une suite une autre histoire c'est mieux :lol:
ta fic est tres bien mais si t'envisageait une suite ca gacherais un peu tout je pense :?
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Aizen
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Message par Aizen »

Non le dessin, ce n'est pas moi qui l'ai fait (j'aimerai bien pourtant :lol: ). Et je n'envisage pas de suite à cette histoire. Par contre je suis en train de réfléchir à une fic plus longue sur les mémoires d'un ninja, mais c'est pas évident à mettre en place donc je prends mon temps :lol: .
Itachi-san
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Message par Itachi-san »

Mamaï que c'est beau :shock: C'est une fic plus qu'originale, pas d'histoire abracadabrantesque, juste une histoire de Roméo et Juliette toute simple... c'est peut-être même trop simple :p La fin nosu laisse un peu sur notre faim, on ne sait pas ce qu'il devient, finalement le pti Sagara :???:
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Hyourinmaru
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Message par Hyourinmaru »

Ridicule-Dandy a écrit :Car sache le sans Mozart il n’y aurait pas eu les Beatles
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Message par Aizen »

C'était vraiment pas terrible quand même ce que j'avais fait avec Sagara :???: , va falloir que je m'y replonge.
May_ra
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Message par May_ra »

Aizen a écrit :C'était vraiment pas terrible quand même ce que j'avais fait avec Sagara :???: , va falloir que je m'y replonge.
hmmmm...qu'est ce que tu raconte :mrgreen: ton histoire est au moins originale et tres bien narrée :twisted: alors tu deserte quand ? *siffle*

oula je m'egare -__- pour ton histoire dans ce topic :jap: je la trouve tres agreable a lire ( tres bien ecrite :shock: ),tres surprenante et par dessus tout excellente :grin:
dommage que c'est trop court :cry:
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Kazekage le 3e
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Message par Kazekage le 3e »

Je n'ai pas trop bien compris la fin de ta fic , qui je trouve d'ailleurs a ètè baclèe ; dommage.
Il n'y a pas de mort , il y a la force.
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