Y'aurait pas comme un problème de timing ?Et donc ce versus sera clos, le lundi 24 décembre 2007 à 12 heures. Car les versus ne font pas relâche pendant les vacances... et ça, c'est fort.

Modérateur : Ero-modos
Y'aurait pas comme un problème de timing ?Et donc ce versus sera clos, le lundi 24 décembre 2007 à 12 heures. Car les versus ne font pas relâche pendant les vacances... et ça, c'est fort.
Les liens à écouter avant de voterJames Marshall dit « Jimi » Hendrix - ou Voodoo Child (l'enfant vaudou) comme il aimait se surnommer lui-même - (27 novembre 1942 - 18 septembre 1970) est un guitariste de blues et de rock américain célèbre pour ses innovations musicales lors de la période psychédélique.
Par son utilisation révolutionnaire de la guitare électrique aussi bien au niveau technique que sonore (expérimentations en tout genre) et sa façon unique de faire sonner une chanson, il propulse la musique pop dans une nouvelle dimension. Il est une tête de file des artistes psychédéliques de la fin des années 1960. Musicien totalement autodidacte, il apprend d'oreille en repiquant toutes les mélodies qu'il entend. Ses influences sont avant tout le blues (Elmore James, Robert Johnson...) et le rock des pionniers (Elvis Presley, Chuck Berry...), mais également le jazz avec des artistes comme Miles Davis, Duke Ellington, Louis Jordan… Il s'entraîne tout d'abord sur un ukulélé, avant que son père ne remarque son intérêt pour la six cordes (Jimi utilisait alors un balai comme guitare) et lui offre sa première véritable guitare à ses 16 ans.
Jimi Hendrix s'est toujours affiché dans les médias comme étant un authentique bluesman. Ses guitaristes fétiches étaient Elmore James et Albert King, deux grands bluesmen des années 1950. Sur le live à l'Olympia, il interpelle le public : "have you heard about Muddy Waters ? and what about John Lee Hooker ?".. Il s'est reconnu des affinités également avec le jazz de la fin des années 1950 (Miles Davis, John Coltrane, Charlie Mingus, etc[9]). Il est aussi influencé par le rock britannique, et notamment par Hank Marvin, le guitariste des Shadows.
Mais c'était surtout un musicien agile, instinctif et très inventif, avec un sens du son et de la scène hors du commun.
Il a révolutionné l'approche de la guitare électrique et de ses multiples effets (avec notamment l'usage abondant de la distorsion, du feedback - visant à contrôler par diverses techniques de vibrato l'effet larsen des amplificateurs - et de la pédale wah-wah), et poussé à leurs limites les techniques d'enregistrement en studio de l'époque avec l'aide importante de son ingénieur du son habituel, le Britannique Eddie Kramer.
La technique guitaristique visionnaire de Jimi Hendrix, son approche du son ainsi que son approche spectaculaire de la scène font de Jimi Hendrix l'un des musiciens les plus aboutis du rock, l'un des précurseurs du hard rock et du jazz rock, et l'un des guitaristes les plus considérables de l'histoire de la musique. On peut dire qu'il a inspiré tous les guitaristes/bassistes de rock et de jazz qui ont suivi. Ses talents d'instrumentiste ont fait dire de lui qu'il avait « tué » la guitare électrique comme Charlie Parker avait tué le saxophone alto. Ses cris de guitare évoquent également les « cris primals » du saxophone de John Coltrane à l'avènement du free jazz.
Les liens à écouter avant de voterMembres virtuels
• 2-D (aussi appelé Stu-Pot) : chant, piano
• Murdoc Nicalls : basse
• Noodle : guitare
• Russel Hobbs : batterie, percussions
En plus des membres principaux, on retrouve :
• Del : rappeur fantôme possédant Russel pendant la phase une jusqu'à ce que ce dernier soit exorcisé.
• Paula : ex-copine de 2D, et ex-guitariste du groupe
Biographie virtuelle du groupe
L'histoire commence en 1997. Stuart Tusspot, surnommé par tout un chacun Stu-Pot, est un jeune adolescent gentil et un peu bête qui ne vit que pour une seule chose : la musique et plus particulièrement tout ce qui s'approche de près ou de très loin à un piano. Sans réelle ambition dans la vie, il travaillait dans ce qui était à ses yeux le paradis: Uncle Norm's Organ Emporium, un grand magasin d'orgues et de pianos où il était le vendeur numéro un.
Le temps s'écoulait jusqu'au jour où sa vie bascula. Murdoc Nicalls, jeune roublard doublé d'un sataniste à l'hygiène douteuse, décide, accompagné de sa bande, de faire un casse dans cette boutique, dans l'espoir de se procurer tout le matériel qu'il faut pour fonder un groupe légendaire. Il déboule dans la vitrine du magasin avec sa Vauxhall Astra... et atterrit sur le pauvre Stu-Pot, endommageant l'œil gauche de celui-ci et le plongeant dans un état végétatif. Murdoc écope de 30000 heures de travaux d'intérêt général ainsi que l'obligation d'assister et de « faire la promenade » à Stu-Pot 10 heures par semaine. Murdoc commence à s'attacher à son nouveau souffre-douleur lorsque, par « un malheureux hasard », l'adolescent se fait blesser au cours d'un accident de voitures dans un parking de Nottingham alors que Murdoc, au volant de la voiture impliquée, tentait un virage à 360°.
Et le miracle se produit. Alors que son oeil droit est également endommagé, Stu-Pot reprends conscience, lui donnant un regard mélancolique de teckel qui, chose étrange, fait son succès auprès des filles — ce qui déplait fortement au fautif. Après tout « ce type a une gigantesque page blanche à la place du cerveau et a simplement une migraine chronique, pas de quoi être aussi énigmatique, cool ou mystérieux! » Murdoc décide également de mener une vie plus "peace and love" ce qui, à ces yeux, consiste à réduire le nombre incalculable de ses traditionnelles orgies auxquelles il participe une fois par mois. Ne pouvant plus se passer de Stu-Pot, il décide de l'engager dans son groupe et d'en faire le pianiste, voire le chanteur, tandis qu'il occupera le poste de bassiste. Trouvant que Stu-Pot, décidément, « c'était vraiment un nom débile », Murdoc le rebaptise 2-D, pour les deux dents qu'il a en moins(« two dents » en anglais qui signifie « deux entailles », pour les deux entailles dans sa tête résultant des deux accidents), autre résultat des deux accidents majeurs de sa vie. Ils se mettent ensemble à la recherche d'un batteur.
Murdoc rencontre Russel, un noir américain expatrié dans une maison de disques. Pour comprendre comment ce dernier s'est retrouvé sur la route du psychopathe nommé ci-dessus, il faut retourner cinq ans en arrière. À New York, Russel Hobbs, un gosse de la classe moyenne, est retiré de son école privée où il étudiait car il est possédé par un démon. Il resta 4 ans dans le coma, jusqu'à ce qu'on l'exorcise. Russel et ses parents allèrent ensuite habiter Brooklyn High où il va rejoindre un groupe de rappeurs. Le hip hop sauva son âme... pour le moment. Lors d'un « drive-be-shooting », tous ses amis se font descendre. Il en ressortira profondément choqué et quelques fois, ses défunts amis utilisent le corps de Russel pour exprimer leur talent artistique (en particulier le rappeur Del, un fantôme bleu). C'est alors que ses yeux deviennent blancs et il se met à rapper et à faire de la percussion comme l'auraient fait ses amis disparus.
Le groupe a désormais son batteur. Aussi Paula, petite amie de 2-D, devient la guitariste. Mais, après une violente dispute au sein du groupe, due en partie au charme insoutenable de Murdoc (qui héritera à l'occasion d'un nez en miettes, le poing de Russel ayant accidentellement dérapé), celle-ci quitte 2-D laissant ce dernier dans un désespoir total, et s'ensuit toujours la même question: comment trouver un autre guitariste ? Ils décident alors de faire comme beaucoup de groupes britanniques avant eux : passer une annonce dans un journal (le NME).
Le jour même, un colis FedEx est délivré devant leur porte. Au moment de l'ouvrir, une fillette amnésique de 10 ans en sort, une Gibson Les Paul sur l'épaule. Elle commence sa prestation par quelques riffs sur sa guitare, occasionnée par quelques coups de pieds sautés et la termine par un long discours japonais. Subjugués par celle-ci, les trois musiciens la prennent tout de suite. Mais au moment de lui demander son nom, cette dernière s'arrête, pointe son doigt sur son ventre et lance un tonitruant "NOODLE"(nouille), le seul mot qu'elle était capable de baragouiner en anglais. Ainsi la légende naquit...
Membres réels
• Damon Albarn : Chant, clavier (et on le soupçonne de jouer également d'autres instruments)
• Jamie Hewlett : L'homme sans qui Gorillaz ne serait qu'un groupe de véritables humains en plus
• Miho Hatori : Voix de Noodle
• Dan Nakamura ("Dan The Automator")
• Simon Tong : Guitare
• Jamie Hewlett : Basse (studio)
• Morgan Nicholls : Basse (live)
• Cass Browne : Batterie
La liste est bien sûr non-exhaustive. À noter que les musiciens studio ne sont pas forcément les musiciens live, et vice-versa.
Histoire du groupe
Damon Albarn et Jamie Hewlett commencèrent à travailler sur ce projet en 1998 (alors qu'ils habitaient ensemble). Sous nom original Gorilla, le groupe enregistra leur première chanson : Ghost train. Le premier album de Gorillaz (album éponyme) sortit en 2001 et fit un succès total, en particulier avec le single Clint Eastwood. Le phénomène Gorillaz était lancé, renforcé par le mystère entourant le groupe puisque celui-ci ne se manifeste que par l'intermédiaire des personnages inventés par Jamie Hewlett. Leurs clips animés sont particulièrement soignés, et l'univers Gorillaz est très développé puisque les personnages ont une vie propre.
Damon Albarn a annoncé récemment (mi-2006) que c'était peut-être la fin du groupe : « Nous allons mettre le groupe en attente après les concerts et nous allons travailler sur d'autres projets. Ça a été génial et nous avons vraiment eu beaucoup de succès, alors pourquoi ne pas s'arrêter au sommet ? Nous prenons notre retraite. Nous allons faire ça comme dans le monde du hip hop, un peu comme Jay Z. »
Cependant plusieurs projets semblent persister, dont un en particulier : la création de la musique (et la mise en image?) de Monkey Journey to the West (Le Voyage en Occident), un opéra mis en scène par Chen Chi-Zheng et qui raconterait l'histoire d'un singe se transformant en homme, d'après un livre chinois du XVIe siècle.
Global VoicesRidicule-Dandy a écrit :Car sache le sans Mozart il n’y aurait pas eu les Beatles