
affiche bien dans le tripe quoi


Casting :
- réalisé par Michel Gondry
- avec Jack Black, Mos Def, Danny Glover
-genre : Comédie
- durée : 1h 34min.
- année de production : 2006
- titre original : Be Kind Rewind
- distribué par EuropaCorp Distribution (Besson boulet)
site officiel : http://www.bekindmovie.com/intro.html
synopsis : Un homme dont le cerveau devient magnétique efface involontairement toutes les cassettes du vidéo club dans lequel l'un de ses amis travaille. Afin de satisfaire la demande de la plus fidèle cliente du vidéo club, une femme démente, les deux hommes décident de réaliser les remakes des films effacés parmi lesquels "SOS Fantômes", "Le Roi Lion" et "Robocop".
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Avis : L'univers de Michel Gondry est connut du public principalement grace à ces nombreux clips, avec entre autre, à son actif, des petites perles tel que "Star Guitar" des Chemical Brothers,"Walkie talkie man" de Steriögram ou encore "Fell in the lovewith a girl" des White Stripes. Cette univers très personnel permet à cette artiste de la "French Touch" de devenir l'un des trois meilleur clippers à l'heure actuel et de loin le meilleur en France.
Dans la droite ligné de son confrère Spike Jonze (clipper émérite, réalisateur du génialissime « Dans la peau de John Malkovich » du scénariste Charlie Kaufman, ainsi que l'excellent "Adaptation", il est aussi réa de certains Jackass) Gondry passe derriere la caméra. Ce passage nous offre alors un condensé de bonheur avec "Human Nature" (collaboration d'ailleurs avec Jonze), puis le déjà culte « Eternel Sunshine….. » du scénariste Kaufman (comme quoi le monde est petit) et "La science des rêves". Son univers à la foi enfantin, burlesque, poétique et décalé apporte à ces films des résonances nouvelles dans le monde du cinéma.

Le concept de base de cette dernière œuvre est simple, on fait une bourde, on répare, le ik reste que pour réparé un film, le scotch, la colle UHU ne marche pas, seul solution, re-réalisation de tous les films effacé. Simple est parfaitement dans l'esprit Gondry (à savoir qu'il a hérité d'un projet avorté par Burton avec Carrey sur un commerciale farfelu vantent les mérites, de portes en portes, d'objets étrange), une œuvre qui souhaite principalement maitre en avant la créativité de chacun.
Ici Jack Black réinvente les scènes cultes de certains films de notre enfance (la chansonnette du thème de SOS Fantôme, ou encore la gueule du Roi Lion XD... énorme), Be kind rewind est un film paradoxale tous comme l'esprit de son créateur, il faut s'abandonner à l'enfance et à la vision du rêve, de la Fantaisie, de la simplicité (la magnétisation du cerveau de Jack Black provoquant l'effacement des cassettes d'un vidéo club comme poing de départ) pour y voir une œuvre personnel est bourré d'imagination et de créativité. Dire + après visionnage of the film.

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