16e de finale: c'est fini !
Modérateur : Ero-modos
Re: 16e de finale: V pour Vendetta vs l'Armée des douze singes
L'armée des 12 singes
Re: 16e de finale: V pour Vendetta vs l'Armée des douze singes
V pour Vendetta
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- Chunnin
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Re: 16e de finale: Nuit et Brouillard vs Mary Poppins
Victoire 9 à 5 de L'armée des douze singes.
Et on se remue les fesses les coco, viendez voter, c'est bon pour la santé
Pour vous divertir les miches, voilà un autre petit versus pas piqué des canetons, mi humanistique mi dramaturge, j'ai nommé
Nuit et Brouillard vs Mary Poppins
Oui, parce que l'humoristique, ça va bien deux secondes, mais j'en ai gros. A force de se ruiner la salade pour des micmac, on finit par se retrouver coincer dans une situation inextinguible. Et c'est duraille, donc halte à la rémission et aux les cors !
(Oui, je regarde trop Kaamelott, je sais
)


Bonne fin de semaine
Et on se remue les fesses les coco, viendez voter, c'est bon pour la santé

Pour vous divertir les miches, voilà un autre petit versus pas piqué des canetons, mi humanistique mi dramaturge, j'ai nommé
Nuit et Brouillard vs Mary Poppins
Oui, parce que l'humoristique, ça va bien deux secondes, mais j'en ai gros. A force de se ruiner la salade pour des micmac, on finit par se retrouver coincer dans une situation inextinguible. Et c'est duraille, donc halte à la rémission et aux les cors !
(Oui, je regarde trop Kaamelott, je sais


VSAlain Resnais
- Apprentissage
Alain Resnais naît en 1922 à Vannes, en France. Dès l'âge de quatorze ans, il tourne ses premiers courts-métrages dont une adaptation de Fantomas. Parallèlement au cinéma, il se passionne pour la photographie, la bande dessinée, et la littérature, il affectionne particulièrement les œuvres d'Harry Dickson, Marcel Proust, et André Breton. En 1942, il tient un petit rôle dans Les Visiteurs du soir. Il imagine un moment de devenir libraire mais passe finalement le concours de l'IDHEC où il est admis en 1943 dans la section montage.
En 1946, en Allemagne, il participe au Théâtre aux Armées sous la direction d'André Voisin. La même année il est assistant-réalisateur et monteur sur le long-métrage documentaire Paris 1900. Sa carrière comme réalisateur commence avec Van Gogh, en 1948, un court-métrage documentaire produit par Pierre Braunberger. Il tourne pendant une dizaine d'années des documentaires. Les thèmes abordés sont très variés : la Guerre d'Espagne vue par Picasso ou l'usine Péchiney. En 1956, il obtient le prix Jean-Vigo pour Nuit et brouillard, devenu depuis, grâce à Henri Michel, qui en avait pris l'initiative et en était le conseiller historique, un film de référence sur les camps de déportation.- Les longs métrages
En 1959, Alain Resnais réalise son premier long-métrage de fiction, écrit par Marguerite Duras : Hiroshima mon amour. Le film a beaucoup de retentissement; il est apprécié à la fois par la critique et le public.
Selon Louis Malle, "ce film a fait faire un bond dans l'histoire du cinéma". Il enchaîne avec L'année dernière à Marienbad, en 1961, sur un scénario d'Alain Robbe-Grillet. Il commence à définir son style, teinté de surréalisme, et de psychanalyse. Dans ses films, on retrouve également souvent un engagement social et politique. On peut citer par exemple Muriel en 1963, qui traite des suites de la Guerre d'Algérie, La guerre est finie (dont le script est signé Jorge Semprún), en 1966, qui raconte l'histoire d'un militant gauchiste, Stavisky en 1974, qui évoque le scandale financier de la IIIe République. Les thèmes abordés même s'ils sont variés tournent toujours autour des mécanismes psychologiques, de la question du libre-arbitre (voire de son pendant, le conditionnement dans Mon oncle d'Amérique où il illustre les recherches d'Henri Laborit). Dans les années 1990, Alain Resnais s'ouvre à de nouvelles collaborations, notamment avec le duo de scénaristes-acteurs Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui, puis développe l'aspect ludique de son cinéma, explorant le théâtre avec le diptyque Smoking / No smoking en 1993, où les comédiens Sabine Azéma et Pierre Arditi jouent chacun cinq rôles, la comédie musicale avec On connaît la chanson ou l'opérette en 2003, avec Pas sur la bouche.
- Principales caractéristiques de son œuvre
L'œuvre de Resnais dénote une profonde unité, mettant en cause les codes de la narration cinématographique traditionnels, "trop soumis aux péripéties", selon le cinéaste André Delvaux. Le metteur en scène abolit le récit à intrigue et tente d'explorer les combinatoires narratives possibles et les analogies fictionnelles, promptes à explorer l'idée d'une réalité aléatoire et d'équations non-linéaires. Ces dernières font généralement s'entrecroiser différents personnages ou différentes époques dans un même lieu (comme dans La Vie est un roman) ou dans un univers volontairement artificiel et théâtral. Cette fusion du théâtre et du cinéma permet de produire des "expériences", au sens scientifique du terme (procédé défini explicitement par le biais du témoignage du professeur Laborit dans Mon oncle d'Amérique).
Elles révèlent, dans ce sens, une vérité indicible sur les êtres humains, enfermés comme des animaux dans une cage. Ceux-ci font de leur mieux pour "se débattre dans cette toile d'araignée qu'est l'existence" selon l'expression du comédien André Dussolier. A cette recherche, s'ajoute le travail minutieux de montage qui juxtapose différents espaces et temps pour sonder la mémoire, collective ou individuelle; procédé qui permet au réalisateur d'illustrer le chaos de l'existence fait d'images contradictoires, de mélange de souvenirs, d'événements vécus, de moments imaginés et de fantasmes, plus proches de la réalité sensible que l'ordre et la régularité voulus par une fiction classique. Cette construction régit le "temps sensible", cher à Proust, en une composition filmique proprement musicale, d'ordre symphonique, voire opératique (très palpable dans des films tels qu' Hiroshima mon amour, Je t'aime, je t'aime et Providence). Ce type de narration, complexe et généralement polyphonique, qu'il soit grotesque (au sens esthétique du terme), comique ou alors dramatique, amène en toute logique le cinéaste à une forme iconoclaste, ironique et renouvelée de comédie musicale, notamment dans ses œuvres tardives comme On connaît la chanson et Pas sur la bouche.
Son film le plus récent: Cœurs (2006), écrit par l'homme de théâtre Jean-Michel Ribes, se veut un genre de synthèse de toutes ses préoccupations artistiques.
« Je souhaite approcher par le film la complexité de la pensée, son mécanisme interne. Dès qu'on descend dans l'inconscient, l'émotion naît. Et le cinéma ne devrait être qu'un montage d'émotions ».- Méthodes
Que ce soit dans ses films documentaires ou de fiction, Alain Resnais est réputé pour son travail de documentation méticuleux. « Je commence en général par repérer tout seul les lieux de tournage. Quand je suis arrivé à Hiroshima pour la première fois, j'ai quitté l'hôtel à trois heures du matin et je suis parti au hasard à travers la ville... Dans ces moments-là, le Leica est bien commode. Je m'en sers comme d'un bloc-notes où j'inscris pêle-mêle les images les plus diverses. Elles me serviront ensuite à matérialiser l'histoire, à fabriquer une autre réalité avec des matériaux pris un peu partout. C'est toujours le problème de l'assemblage... ». Resnais colle ensuite ces photos directement sur le découpage pour que décorateurs et producteurs sachent exactement ce qu'il désire. Il exige aussi de ses scénaristes qu'ils établissent une fiche biographique complète de tous les personnages, pour leur donner une certaine profondeur. Il est également réputé pour sa fidélité dans le travail : on retrouve régulièrement dans ses films les acteurs Sabine Azéma, André Dussolier, Pierre Arditi.- Vie Privée
Alain Resnais n'accorde pas souvent d'interview aux journaux. Il a épousé en 1969 son assistante Florence Malraux, la fille d'André Malraux, qui travaillait avec lui depuis La guerre est finie et qui l'accompagne jusqu'à Mélo, en 1986. Mais, depuis la fin des années 1980, il partage la vie de Sabine Azéma qu'il épouse en 1998.

Fin des votes le dimanche 29 juin à 20h30.Walt Disney Pictures
- Historique
L'histoire des studios, sous leurs différentes appellations, est intimement liées à celle de la Walt Disney Company :
* de 1923 à 1929 : Disney Brothers Studios
* de 1929 à 1984 : Walt Disney Productions (les studios sont un service et l'une des composantes essentielles de l'entreprise)
* de 1984 à nos jours : Walt Disney Company (les studios font partie de l'une des quatre sections de l'entreprise)- Les courts métrages d'animation
En 1923, Walt Disney et son frère Roy Oliver fondent un studio d'animation qu'ils baptisent Disney Brothers Studios. Les deux frères ont alors fait l'acquisition d'une caméra Pathé qu'ils utilisèrent jusqu'à son remplacement en 1930 par une caméra Universal. Ils ne produisent alors que des courts métrages, d'abord les Alice Comedies (1923-1927) puis les Oswald le Chanceux Lapin (1927-1928), les Mickey Mouse (à partir de 1928) et les Silly Symphonies (1929-1939).
En 1925, l'équipe des frères Disney emménage dans des studios sur Hyperion Avenue dans le district de Silver Lake à Los Angeles. En 1926, le studio des frères Disney se rebaptise Walt Disney Studio puis en 1929, Walt Disney décide de scinder la société en quatre, le studio devenant Walt Disney Productions.
L'animation est alors au centre de l'activité de la société, les trois autres sociétés étant elles plutôt liées aux autres activités de l'empire Disney:
* Walt Disney Enterprises pour la gestion des droits liés aux productions cinématographiques
* Walt Disney Film Recording Co pour le tournage des films
* Liled Realty and Investment Co pour les investissements financiers
Vers 1929, les studios d'animations comportent alors que quelques animateurs répartis en deux équipes:
* une équipe réalisant de préférence les Mickey Mouse : Ben Sharpsteen, Burt Gillett, Jack King, Norman Ferguson, assistés de Dick Lundy et Merle Gibson
* une autre polyvalente destinée en partie aux Silly Symphonies : Ub Iwerks, Les Clark, Johnny Cannon, Wilfred Jackson, assistés de Jack Cutting
Rapidement les équipes s'étoffent pour assurer l'importante production des studios. On dénombre ainsi seize animateurs pour le seul court métrage En plein boulot (1931), la plupart étant nommé officiellement pour la première fois comme animateur après une période de formation.
Au niveau graphique, le studio commence à produire en 1932 sous l'impulsion de Walt des Silly Symphonies avec le tout nouveau procédé Technicolor. Ce système permet d'utiliser tout le spectre de l'arc-en-ciel transformant les publicités d'alors en monde coloré. Le premier dessin animé en couleur est la Silly Symphony, Des arbres et des fleurs (Flowers and Trees) qui venait juste d'être terminée mais en noir et blanc. Disney négocie avec Technicolor une exclusivité de deux ans sur son procédé de couleur afin de pouvoir, espère-t-il, rentrer dans ses frais, très élevés en raison du coût exorbitant de ses productions, encore décuplé par le nouveau procédé.
Au niveau sonore, la Parade des nominés aux Oscars 1932 (18 novembre 1932) est le premier court métrage de Disney à utiliser le système RCA Photophone, suivi par L'Atelier du Père Noël (10 décembre 1932, première Silly Symphony) et Building a Building (7 janvier 1933, premier Mickey Mouse).- Les premiers longs métrages d'animation
A partir de 1934, Walt Disney décide de se lancer dans un nouveau défi, la production de longs métrages. Walt Disney Productions voit alors son organisation se scinder en deux importants services, celui des courts et celui des longs métrages. En 1935, le studio crée un département "effets spéciaux d'animation" dirigé par Cy Young.
Le premier long métrage, Blanche-Neige et les Sept Nains sort en 1937, son succès a permis à la société Walt Disney Productions de racheter en 1938 les trois autres sociétés nées en 1929.
Certain de son succès, Walt Disney avait lancé la production d'autres longs métrages comme Pinocchio (1940), Fantasia (1940), Dumbo (1941) et Bambi (1942). La production de courts métrages se poursuivait aussi à un rythme effréné avec par exemple 14 films en 1937, 18 en 1938.
Toutefois la Seconde Guerre mondiale a réduit les effectifs, les revenus et le nombre de productions du studio. Une équipe du studio part alors en Amérique Centrale et du Sud et réalise des compilations de moyens métrages aux couleurs latines. Le reste des équipes se concentre sur des courts métrages à vocation militaire dont certains de propagande. La production de compilation de moyens métrages se substitue alors à celle des longs métrages.
Une fois le conflit fini, la société a repris ses productions de longs métrages et de courts métrages d'animation mais a ajouté la production de films en prise de vue réelle, principalement à cause d'actifs financiers bloqués au Royaume-Uni. Le studio produit alors des films célèbres comme L'Île au trésor (1950) et 20 000 lieues sous les mers (1954).
On peut noter que la série des Silly Symphonies s'est arrêtée officiellement en 1939, malgré la poursuite de la production de courts métrages indépendants. De même la série des Mickey Mouse s'est stoppée entre 1942 et 1947 pour reprendre de manière sporadique jusqu'à son arrêt en 1953.- Début dans la télévision et les films
Les années 1950 marquent aussi l'apparition de programmes télévisées Disney, des émissions de divertissements regroupant des séries en prises de vue réelles, des activités et des (re)diffusions de courts métrages. L'émission emblématique de cette époque est The Mickey Mouse Club, produite par les studios. L'activité télévisuelle sera produite sous le nom Walt Disney Productions jusqu'à la création d'une filiale spécifique dans les années 1980.
En 1956, Walt Disney décide de stopper la production de courts métrages, le studio se concentre alors sur les longs métrages et la télévision.
Aux débuts des années 1960, le département des Encrages et peinture du studio réduit son effectif avec l'introduction du système de reprographie Xerox.
Les productions de longs métrages des années 1935 à 1970 sont regroupées sous le nom Premier Âge d'Or des Studios Disney. Cette dénomination fait toutefois fi du faible nombre de créations durant les années 1940. A contrario, certains auteurs parlent de deux âges d'or pour les courts métrages : le premier de 1928 à 1939 avec les Mickey Mouse et les Silly Symphonies, le second durant la décennie 1945-1956 avec les Dingo, les Donald Duck, et les Tic et Tac.
Les années 1970 sont marqués par le décès en 1966 de Walt Disney et de l'absence de projets d'envergure pour la branche cinématographique de la société Walt Disney Productions. La société se voue essentiellement à réaliser les dernières volontés de son fondateur en construisant le parc Walt Disney World Resort en Floride. On peut quand même noter la sortie de quelques films importants dont :
* Robin des Bois en 1973, dernier film voulu par Walt, seulement une idée au moment de sa mort
* Les Aventures de Winnie l'ourson sorti en 1977 et constitué de trois moyens métrages produits eux en 1966, 1967 et 1974.
Ce dernier film est devenu l'une des principales franchises des studios Disney et de la société entière.
Le sommeil apparent des années 1960 à 1980 est une conséquence de la maladie puis de la disparition de Walt Disney. Walt lançait toujours sa société sur plusieurs projets de front que ce soit pour les films ou le reste. Ainsi jusqu'à quatre films d'animation étaient en production dans les années 1940 et au moins une demi-douzaine dans les années 1950.- Création d'une filiale cinématographique du groupe Disney
Il semble que c'est en parti à cause de cette accalmie qu'un groupe d'investisseurs à voulu prendre le contrôle de la société au début des années 1980. Divers changements arrivent à cette période... dont les premiers sont, avant même le renommage de Walt Disney Productions en The Walt Disney Company, la création de filiales indépendantes pour assurer les différentes productions.
Le 1er avril 1983, Walt Disney Productions crée à partir du département "animation et films" (Pictures) une société à part entière mais filiale à 100%, Walt Disney Pictures. Le studio qui produisait auparavant tous les films de Disney se recentre sur les productions pour la famille, essentiellement avec la création de Touchstone Pictures en 1984. La marque devient un synonyme du studio d'animation Disney.
En novembre 1984, une division-filiale est créée spécialement pour les séries télévisées : Walt Disney Television Animation. De plus, Walt Disney Productions prend le nom de Walt Disney Company, suite à l'arrivée de Michael Eisner et Frank Wells à la tête de la société. La nouvelle direction lance de nouveaux projets que ce soit pour les films et les autres secteurs de la société.
En 1986, Walt Disney Pictures est « amputée » de sa division principale, celle des films d'animation longs-métrages, qui devint une filiale sous le nom de Walt Disney Feature Animation.
Toutefois le service animation se lance dans la création de plusieurs studios en dehors du siège de Burbank : voir Walt Disney Animation Studios.- Un nouvel âge d'or des longs métrages d'animation
Comme résultante à ces nombreux changements organisationnels, la production de dessins animés est fortement relancée par la direction de Disney.
Cette période est marquée par la sortie de grands films comme La Petite Sirène (1989), Le Roi Lion (1994).
Depuis 1991, Walt Disney Pictures organise certaines premières de ses films au El Capitan Theatre racheté en rénové pour cette raison.
- Conversion au numérique
Au début des années 1990, le studio utilise de plus en plus l'informatique dans ses productions. Un des éléments, inspiré par la volonté d'innovation de Walt Disney, est la collaboration entre Disney et la jeune société Pixar pour la réalisation d'un film totalement en image de synthèse : ce sera Toy Story (1995).
Depuis 1996, Walt Disney Pictures assure la distribution à l'international des films du Studio Ghibli au travers de Buena Vista International.
Le premier DVD édité par Disney est sorti le 2 décembre 1997.- Conservation de l'animation traditionnelle
En 2005, la division animation de Disney avait décidé de ne produire plus que des films en animation de synthèse mais suite au rachat de Pixar Animation Studios, le studio est revenu au dessin traditionnel.
Le 4 décembre 2006, la société a annoncé le retour à la production de courts-métrages avec Dingo, afin de "rechercher de nouveaux talents" mais annonce, le lendemain, le licenciement de 160 animateurs (soit 20% des effectifs).
En 2007, suite au rachat de Pixar et à une politique d'harmonisation des filiales (se traduisant par la suppression du terme Buena Vista) Walt Disney Feature Animation devient Walt Disney Animation Studios.
Le 8 avril 2008, le studio annonce les 10 prochaines sorties de films d'animations prévue jusqu'en 2012. Huit des dix films sont des productions en animation de synthèse. Les films prévus sont : WALL•E (28 juin 2008), La Princesse Grenouille (Noël 2009), Bolt (26 novembre 2008), Up (29 mai 2009), Toy Story (ressorti, 2 octobre 2009), Toy Story 2 (ressorti, 12 février 2010), Toy Story 3 (18 juin 2010), Princesse Raiponce (Noël 2010), Newt (Été 2011), The Bear and the Bow (Noël 2011), Cars 2 (Été 2012), Le Roi de Elfes (Noël 2012).
Bonne fin de semaine

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Re: 16e de finale: Nuit et Brouillard vs Mary Poppins
Mary Poppins.
(je ne connais pas l'autre film)
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Re: 16e de finale: Nuit et Brouillard vs Mary Poppins
Loool +1palmocorse a écrit :Mary a tout prix....euh Mary Poppins plutôt
Re: 16e de finale: Nuit et Brouillard vs Mary Poppins
Pareillementnataku a écrit :Mary Poppins.
(je ne connais pas l'autre film)


Re: 16e de finale: Nuit et Brouillard vs Mary Poppins
Nuit et Brouillard.
Re: 16e de finale: Nuit et Brouillard vs Mary Poppins
Mmmmmmmmmmmh.
Nuit et Brouillard
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Re: 16e de finale: Nuit et Brouillard vs Mary Poppins
Je vais plus voter pour Resnais que pour Nuit et Brouillard, mais Nuit et Brouillard donc.
Pourtant j'aime bien Mary Poppins et Julie Andrews... mais bon...
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- Chunnin
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Re: 16e de finale: Léon vs le Cinquième Elément
Victoire 5 à 4 de Mary Poppins.
Nouveau versus: 100% Besson.....
VS 
Bon votes et bon début de semaine
Nouveau versus: 100% Besson.....


Fin des votes Jeudi 3 juillet à 14h00.Luc Besson
- Biographie
Luc Besson passe son enfance auprès de ses parents, instructeurs de plongée au Club Méditerranée, entre la Grèce et l'ex-Yougoslavie. Un accident l'empêche de poursuivre la plongée à haut niveau.
Il commence dans le cinéma en multipliant les postes d'assistant réalisateur, avant de réaliser son premier long métrage de science-fiction, Le Dernier Combat en 1983, qui lui permet de signer un contrat avec Gaumont pour réaliser Subway en 1985.
Fort de ce succès, il entreprend la réalisation d'un film qui lui tient à cœur : Le Grand Bleu. Film mal reçu au festival de Cannes 1988, il devient un phénomène de société et fait l'objet de nombreuses analyses qui tentent d'expliquer son succès auprès des jeunes. Son style proche de l'univers de la publicité installe un fossé entre lui et le monde de la critique. Il a été parfois surnommé « Bulles Caisson » (contrepèterie de son nom).
Le public est au rendez-vous pour ses films suivants : Nikita en 1991 et Léon en 1995. En 1997, il se lance avec Gaumont dans un ambitieux projet de science-fiction, qu'il prépare très soigneusement : Le Cinquième Élément. Il s'installe à Los Angeles avec la jeune actrice Maïwenn Le Besco et leur fille Shanna. Visant explicitement le marché américain, il place en tête d'affiche Bruce Willis, Milla Jovovich et Maïwenn Le Besco (en diva). Le film devient un des plus gros succès commerciaux d'un film français aux États-Unis (battu depuis par La Marche de l'empereur de Luc Jacquet) et Luc Besson se voit attribuer le César du meilleur réalisateur 1998.
En 2000, Luc Besson fonde sa société de production et de distribution, EuropaCorp, dont l'objectif est de développer un nouveau courant de cinéma grand public en s'appuyant sur des films à succès comme Taxi, Taxi 2, Taxi 3 ou Yamakasi. Il est souvent scénariste des films qu'il produit, privilégiant la distraction et l'action. Cette orientation lui vaut une désaffection, voire un mépris, de la critique et d'une partie de la presse.
Cherchant à s'imposer sur le marché international, il veille néanmoins à conserver le contrôle et la nationalité française de ses films d'un point de vue juridique et fiscal. Au début des années 2000, il est l'initiateur et le moteur de la création de la Cité du cinéma à Saint-Denis, dans la banlieue nord de Paris.
Souvent producteur et désormais à la tête d'un studio très rentable, il n'en continue pas moins de tourner ses propres films : Jeanne d'Arc en 1999, avec Milla Jovovich (le couple divorce cette année-là), puis Angel-A en 2005, film en noir et blanc interprété par Jamel Debbouze et Rie Rasmussen dont l'accueil critique est mitigé et qui n'a pas le succès de ses prédécesseurs auprès du public.
Le 11 septembre 2006, il annonce que Arthur et les minimoys sera son 10e et dernier film. Il décide malgré tout au vu du succès de ce dernier de tourner lui-même la suite.
Le 20 septembre 2006, il annonce qu'il arrête le cinéma et veut se consacrer à l'action citoyenne. Il essaie ainsi de monter une fondation pour aider les jeunes des banlieues.
Il a quatre filles et un fils de trois unions différentes : Juliette, fille d'Anne Parillaud, Shanna, fille de Maïwenn Le Besco, Thalia, Sateen et Mao, enfants de Virginie Silla.- Ses collaborations avec Éric Serra
* Luc Besson a collaboré avec le compositeur Éric Serra dès le court métrage L'Avant dernier en 1981. Éric Serra participera ensuite à tous ses films, excepté Angel-A.
* Éric Serra recevra la Victoire de la meilleure musique de film en 1985 et sera nominé aux Césars pour sa bande son de Subway. L'album devient rapidement disque d'or en France.
* Serra fait également une petite apparition dans Subway. Il joue Enrico, le bassiste d'Arthur Simms. Jean Reno jouait le batteur.
* La bande originale du Grand Bleu s'est vendue à trois millions d'exemplaires dans le monde, dont deux millions en France. L'album contient, pour la première fois, une prestation vocale d'Eric Serra sur le titre My Lady Blue, co-écrit par Luc Besson.
* Pour son travail sur la bande originale du Grand Bleu, il a reçu une Victoire de la musique, ainsi qu'un César pour la meilleure musique de film en 1988.
* Pour la bande originale du documentaire Atlantis, Éric Serra enregistrera un duo avec Vanessa Paradis.
* Serra recevra d'autres récompenses : Victoires de la meilleure musique de film pour Nikita, Atlantis et Léon. La bande originale de Nikita aura également droit à un César dans la même catégorie.
* En 2000, Serra a collaboré avec Luc Besson en composant la musique d'une série de publicités pour le compte du fournisseur d'accès Internet français Club Internet.- Le procès de Jeanne d'Arc
En 1996, Kathryn Bigelow, réalisatrice des films Strange Days et Point Break, conclut un accord avec Luc Besson pour développer un projet de film qui s’intitule Compagny Of Angels. Il s’agissait de conter les aventures de Jeanne d’Arc. Besson n'en serait que le producteur exécutif.
Après un gros travail de recherche et d’écriture, Bigelow est licenciée. Elle se serait opposée à l'embauche de Milla Jovovich (compagne du cinéaste) pour interpréter le rôle principal. Dès lors, Luc Besson développe seul le projet dont le titre devient Jeanne d'Arc.
La réalisatrice clame son indignation : « Luc Besson a eu accès au script et à toutes les recherches, idées et préparations, en plus de la logistique » et portera plainte. La date du procès entre Kathryn Bigelow et Luc Besson sera fixée au 16 août 2000. Celui-ci n’aura jamais lieu, une entente à l’amiable sera trouvée.- Affaire Brazil-Besson
En 2003, le magazine de cinéma Brazil publie une diatribe acerbe à l’encontre de Luc Besson. L’article de Hervé Deplasse Besson m’a tué… mon cinéma est un réquisitoire impitoyable contre le producteur-réalisateur de Taxi 4 et de Bandidas. Le critique accuse notamment Besson de faire « du cinéma pour être riche, mais aussi pour tirer de belles gonzesses qu’il fait jouer dans ses films ».
Les critiques violentes provoquent la fureur de l'intéressé. Besson demandera 50 000 € de dommages et intérêts, ce qui menace la survie du magazine. Les réactions indignées des critiques de cinéma se traduisent par une campagne de soutien envers le petit magazine. Certains grands noms du milieu critique (comme Gérard Lenne) participent à l’entreprise ainsi que l’acteur-réalisateur Albert Dupontel. Le rédacteur en chef du magazine, Christophe Goffette, déclarera : « Luc Besson est d'abord un producteur, un type qui vend de la pellicule au kilo, adopte des recettes. Il a adapté le système des Spielberg et Lucas qui ont déjà massacré la création à Hollywood. C'est de cela que parlait notre article, l'américanisation du système Besson. Logique avec lui-même, il a poussé l'américanisation jusqu'à son terme, un procès. Je tiens à préciser qu'il n'a jamais demandé de droit de réponse. Par ailleurs, pourquoi demander 50 000 euros de dommages et intérêts, si ce n'est pour tuer notre revue indépendante, sachant qu'on ne pourrait jamais s'en relever ? »
La plainte sera déboutée.
- Thèmes récurrents et gimmicks
Dans un article sur Le Cinquième Elément (1997), les Cahiers du Cinéma définissent le cinéma de Besson comme un cinéma du gimmick et de l'image-choc. Pour certains critiques, en effet, l'un des traits des œuvres de Luc Besson, est leur construction, moins fondée sur une vision cohérente d'un thème (à l'exception, peut-être, de Léon), que sur l'articulation d'images-choc, de répliques marquantes, de situations pittoresques, etc., indépendantes les unes des autres, scandant ses films. Des commentateurs voient dans le travail de Besson une sorte de catalogue de trouvailles.
Certaines images typiques, certains plans « forts » ont tendance à réapparaître d'un film à l'autre :
La fille au pistolet
L'image est récurrente d'une jeune fille (ou d'une jeune femme) dont l'apparence frêle crée un contraste pittoresque avec l'arme qu'elle tient :
* Isabelle Adjani et son Magnum dans Subway
* Nikita, jeune junkie recyclée en agent secret
* La Mathilda de Léon qui s'exerce au maniement du pistolet
* Jeanne d'Arc est une jeune femme en armes.
Travelling d'ouverture
Le Grand Bleu, Nikita, Léon, Le Cinquième Elément commencent par le même plan : la caméra survole (en plongée) une étendue régulière, puis l'axe de la caméra se redresse. Le titre apparaît au moment où l'axe de la caméra se confond avec la direction du travelling.
* Le Grand Bleu : la caméra survole la mer, et le titre apparaît quand l'horizon apparaît.
* Nikita : la caméra survole la chaussée humide, et le titre apparaît lorsque la caméra se redresse et laisse apparaître la bande de casseurs.
* Léon : la caméra survole l'Océan Atlantique, puis un parc (Central Park), et le titre apparaît avec la ligne d'horizon de New York. Tournée à bord d'un hélicoptère, Besson omet volontairement de donner le signal au pilote pour qu'ils sortent du rase-motte (et éviter de percuter un gratte-ciel) afin de pouvoir tourner le plus longtemps possible. Le pilote décidera finalement de faire une verticale au dernier moment après avoir désespérément attendu le signal de Besson.
* Le Cinquième Elément : la caméra survole un champ d'astéroïdes, l'axe se relève, le titre apparaît avec un objet céleste à l'horizon.
- Influence de Taxi Driver
Il semble que Taxi Driver ait exercé sur Luc Besson une certaine influence. Cette remarque est fondée sur les sorties consécutives de Léon et du Cinquième Elément, qui, à eux deux, reprennent bon nombre des thèmes forts du film de Scorsese :
* Léon : un personnage solitaire dans un New York sale et populaire recueille une jeune adolescente en détresse. Il existe en outre une similitude entre les scènes d'entraînement physique de Léon et celles de Taxi Driver.
* Le Cinquième Elément : le personnage de Korben Dallas, chauffeur de taxi à New York.- Vie privée
En 1986, il se prend de passion pour Anne Parillaud avec laquelle il a eu une fille, Juliette. Il lui offre un rôle sur mesure dans Nikita en 1990 qui aura un succès mondial et pour lequel elle a eu le César de la meilleure actrice en 1991. C'est lors de cette cérémonie qu'il rencontre la jeune Maïwenn Le Besco âgée de quinze ans.
En 1992, il épouse Maïwenn Le Besco avec qui il a sa deuxième fille, Shanna. Luc Besson a donné à Maïwenn un petit rôle dans Léon (1994), puis celui de la diva dans le Cinquième élément (1997). C'est lors de la réalisation de ce film qu'il tombe sous le charme de Milla Jovovich, d'origine ukrainienne, chanteuse et top-modèle.
En 1997, littéralement « ensorcelé », il abandonne Maïwenn pour épouser Milla Jovovich. En 1998, il lui offre le rôle de Jeanne d'Arc dans le film éponyme. Mais le caractère naturellement rebelle de l'actrice fait que leur amour ne résiste pas longtemps et ils divorcent le 12 juin 1999.
Il aurait eu aussi une liaison avec Marion Cotillard, avec la mannequin suédoise Emma Sjöberg et avec la mannequin, photographe, dessinatrice et réalisatrice danoise Rie Rasmussen.
Il est aujourd'hui marié avec la productrice Virginie Silla avec qui il a eu trois enfants.
Bon votes et bon début de semaine

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- Sannin
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Re: 16e de finale: Léon vs le Cinquième Elément
Je vote le Cinquième Elément.
Pas fan de Besson, mais c'est sans doute son film le plus amusant... alors
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Pas fan de Besson, mais c'est sans doute son film le plus amusant... alors
