Et honnêtement c'est pas comme Twilight qu'ils font (les films sont évidemment pas géniaux, mais ils sont bien adaptés des livres), c'est exactement le même topo que pour DB Evolution



Modérateur : Ero-modos
Oui mais bon ce genre de films sont toujours plus dur à adapter qu'un Twilight ou un Harry Potter.Radaj a écrit :Déjà que je trouvais les films déjà sortis de "propres sur eux", eh ben c'est pas fini...
Et honnêtement c'est pas comme Twilight qu'ils font (les films sont évidemment pas géniaux, mais ils sont bien adaptés des livres), c'est exactement le même topo que pour DB Evolution![]()
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k1Rua a écrit :
Oui mais bon ce genre de films sont toujours plus dur à adapter qu'un Twilight ou un Harry Potter.
Je maintiens que c'est toujours plus simple à adapter que l'histoire d'un mec qui tisse des toiles à travers Manhattan et qui se balade d'immeubles en immeubles grâce à celles-ci. Et quand on voit que l'histoire de Spiderman a commencé en 1963, soit il y a 37 ans on ne peut qu'imaginer le nombres d'histoires qu'il a eût. De plus, de ce que j'ai pu voir dans les différentes pages wikipedia, ça part souvent dans de très grosses extrapolations. Par exemple avec X-men où ils se mettent à se battre contre des aliens. J'ose même pas imaginer tout ce qu'il y a pu avoir comme aventures de X-men avant qu'on en arrive à ce point-là. Là, je prends juste le dernier paragraphe sur wikipedia de Spiderman et je tombe sur une rencontre entre Mephisto (le démon, pas le nom d'un quelconque super héros) et Peter. Je ne juge pas du tout vu que je n'ai lu aucun Spiderman mais on voit bien que tout de suite ça part un peu dans les tous.Heaven smile a écrit :k1Rua a écrit :
Oui mais bon ce genre de films sont toujours plus dur à adapter qu'un Twilight ou un Harry Potter.
Pas forcément. L'adaptation d'Harry Potter, puisque l'exemple a été mentionné, n'a rien de facile. En ce sens, le script du sixième opus témoigne d'un réel problème d'adaptation de l'ouvrage original. La difficulté vise à établir un récit présentant une unité, une cohérence, indépendamment du matériel originel. Chose que le cinquième opus d'HP, malgré sa densité, est parvenu à réaliser.