C'est sympa à lire je trouve. Alors oui, c'est du déja vu, les enfant, etc... mais c'est frais et ça détend.
C'est marrant de les voir petit.
Hashirama est le portrait de son pere, comparé aux 2 autres.
C'est étonnant mais je partage également ce sentiment. J'ai à la fois pris du plaisir dans la lecture immédiate de ce chapitre et dans l'après. Tout est y exacerbé, de l'humour quelque peu gauche, jamais dans la demi-mesure - et en cela à l'image des émotions de Hashirama - à la tragédie plus ou moins latente; tragédie contextuelle des guerres claniques, tragédie soudaine de la perte du frère, tragédie passée de la perte des frères. C'est un chapitre que je trouve en outre très en phase avec la Next Generation de Kishimoto. Une succession de haut et de bas.
Si la rencontre des deux protagonistes au bord de la rivière me laissait dubitatif lors des dernières pages du chapitre précédent, il n'en est rien dans celui-ci, notamment du fait du traitement allégorique du jeu du ricochet. Certes, et l'on s'en doute, ce n'est pas d'une profondeur abyssale, mais l'auteur développe cette allégorie avec suffisamment de justesse et d'intelligence pour que le chapitre s'élève bien au-dessus de nombre de ses prédécesseurs.
En résumé, un chapitre sentimentalement un peu gauche, mais rigoureux et intelligent. J'aime. Et ça mérite, à juste titre, d'être souligné.
Reflexions of fear make shadow of nothing...
Shadow of Nothing...
You're still blind if you see winding road
'cause ther's always a straight way to the point you see.
Pour arrêter le hoquet, prendre un sucre avec du vinaigre : dégueu mais efficace
Par contre quelle maturité d'esprit tout de même entre lui et Tobirama ! C'était vraiment pas des petits bouseux de merdeux. Hashirama avait déjà cette clairvoyance, de former des alliances pour mettre un terme aux guerres. Et Tobirama un psychorigide de l'ordre et de la discipline, mais pour que tout fonctionne comme sur des roulettes. J'aime beaucoup
Bon et le petit dernier (enfin supposé dernier) Itama, ben pas de bol pour lui. Il a hérité de la mentalité hold school de son paternel, et il est mort comme un gland.
En tout cas on est parti pour un très très long flashback j'ai l'impression ! On est toujours focalisé sur l'enfance d'Hashirama. Et pour allé jusqu'à la création de Konoha puis la scission avec Madara, il va s'en passer des choses !!
Sinon tout comme vous en fait, j'ai bien aimé le chapitre (même si j'adhère toujours pas à la rencontre entre Hashirama/Madara) en fait ce chapitre et l'univers représente tout ce que j'aurai voulu dans la maturité du manga, mais quelque chose de constant et pas seulement dans des flashback.
Là on "voit" un gamin mourir entouré de shinobi adulte, c'est du vrai, ça rigole pas, on est pas dans le scolaire.
Mon âme se compose et décompose
comme un puzzle mélancolique...
dont chaque pièce a sa propre tristesse.
Du coup c'est plus dramatique que la guerre qu'on voit maintenant.
C'est souvent des les scènes "détails" à plus petite échelle que j'trouve ça plus dramatique d'ailleurs, plus que les grands frittages à immense échelle où on est finalement assez détachés.
Comme dirais Nico Robin a propos du Buster Call : "On ne voit que la carte".
Et c'est reparti pour la ressucée /o/
Sinon un chapitre plus digérable que les precedents, peut-etre parce qu'on a des elements qui ressemble plus a une guerre et non a un beat them all.... Après perso j'ai du mal a m'attacher aux deux zozos pour le moment.