Grosse, grosse quatrième saison pour
Suits.
La troisième tuait la gueule, d'où la craindre d'une légère baisse de régime pour la saison suivante, mais en fait que dalle. C'est de la balle. C'est encore un cran au-dessus en termes d'emmerdes, mais sans avoir l'impression d'être devant un truc
over the top et qui en fait des caisses. C'est tendu, c'est fort, c'est drôle - 'tain, le coup du
Lorenzo Lamas (1998), ça m'a flingué

- et toujours intéressant. J'aime les nouvelles interactions entre les personnages - surtout sur le plan amoureux. Pour certains, ça sent grave le pâté (genre,
Mike et
Louis, pour ne citer qu'eux.)
C'te saison, pour reprendre grosso merdo un truc dit par
Harvey, c'est un peu comme si les scénaristes jouaient avec un paquet d'allumettes au-dessus d'une belle flaque d'essence. Y a moyen que ça brûle bien-bien.
(Ôh joie, le septième arrive. Ça va donner.)