Les petites histoires scolaires des Sannins légendaires
Publié : mer. 07 déc. 2005, 18:02
Je poste ici notre première fanfic Naruto écrit avec ma soeur (aussi fan de Naruto, elle v'a s'inscrire ici mais il faut le temps qu'elle trouve un bon pseudo et un mot de passe).
Ca se passe pendant la jeunesse des Sannins, ils sont les élèèves de sarutobi-sensei au sein de l'équipe 7.
C'est un slash, un pairing assez bizarre et peu exploré mais bon nous n'avons pas froid aux yeux.
Le POV est varaiable et très libre !
Sommaire :
2 : Ma vengeance sera terrible
3 : Mais que diable allait-il faire dans ce vestiaire !
4 a) La conclusion de le précédente affaire et les malheurs d’Orochimaru
4 b) : La scène de la douche (non pas celle de « Psychose »)
5 : La vérité révélée
6 : Always love
7: Soif d'amour... et de sang
8 : Tel est pris qui croyait prendre
9 : Queer as folk
Chapitre 1 : attaques buccales !
Cher journal,
Tu as l’immense honneur d’être mon journal, celui du futur maître du monde, le Grand Orochimaru…
Je vais commencer par de raconter par de parler de moi-même et de ma vie !
C’est logique vu que je suis la personne la plus intéressante que je connais…
Je m’appelle Orochimaru, j’ai 14 ans et je suis le plus intelligent et le plus puissant des aspirants de Konoha. Outre mon aptitude au ninjutsu, qui en fait n’est égalé que par mon aptitude au genjutsu et au taijutsu (et c’est mon but : maîtriser tous les jutsus), je possède un pouvoir très particulier.
J’ai une langue d’une taille et d’une souplesse exceptionnelle !
Je peux l’allonger à mon envie pour accomplir des tas de choses délicieuses…
Lorsque j’étais petit, par exemple, ma langue était mon jouet favori. Je m’en servais pour :
renverser les bouteilles d’encre
toucher les fesses des filles
chatouiller Jiraya pendant qu’il récitait ses proverbes ninjas.
Et commettre bien d’autres méfaits en toute impunités…
Tu te demandes, sans doute, cher journal, comment j’ai pu faire tout cela sans me faire prendre.
C’est sans compter sur ma lumineuse intelligence…
Je n’ai jamais été accusé ne serait qu’une fois de tout ce que j’avais fait. Sarutobi-sensei, mon prof ignorait et ignore encore le secret de ma langue. C’est toujours Jiraya qui se faisait punir à ma place des bouteilles d’encres fracassés et autres et personne ne s’étonnait qu’il touche les fesses des filles ou qu’il rit bêtement en récitant ses proverbes ninjas, cet idiot.
Oh mon Dieu, cher journal, j’avais oublié que tu ne connaissais pas Jiraya.
Jiraya est un membre de mon équipe et aussi de mon ancienne classe à l’Académie. Un abruti total et un pervers totalement inférieur à moi mais qui m’est très utile pour jouer les boucs émissaires de mes méfaits buccaux.
Vois-tu, cher journal, il y a deux groupes de gens, les éternels innocents et les éternels coupables. Je fais partie de la première catégorie et lui de la seconde. Quant après avoir commis un méfait, je l’accuse, Sarutobi-sensei, qui a un gros faible envers moi, le punit immédiatement. De toute façons que vaut la parole de Jiraya, pervers qui préfère espionner la douche des filles que s’entraîner, à celle d’Orochimaru, solitaire mais si doué, premier de la classe, meilleur aspirant et petit chouchou de Sarutobi-sensei.
Les apparences ne jour vraiment pas en la faveur de Jiraya. Il faut dire qu’il a une belle réputation de cancre et de pervers qu’il ne doit qu’à lui. Je ne sais pas ce que son père a mangé la nuit de sa conception sans doute des hormones de taureaux en rut parce qu’à seulement 15 ans c’est un fervent lecteur de Sexy-Tabou, et il passe la plupart de son temps à espionner les filles nues et à noter des trucs dans un carnet en souriant bêtement. Il essaie aussi de les tripoter ce qui fait de lui le punching-ball favori de Tsunade.
Tsunade est la dernière membre de l’équipe 7. C’est l’éternel tourment de Jiraya qui s’est fait jeté par elle un nombre incalculable de fois (j’ai arrêté de compter à 1200…). Cette fille n’a pas grande intérêt, ni elle, ni sa bande de copines gloussantes. La seule chose que j’apprécie chez elle et qu’elle a une bonne droite et qu’avec, elle a plusieurs fait mordre la poussière à Jiraya.
Avec ces deux abrutis et Sarutobi-sensei qui ne jure que par moi, je ne risque pas la concurrence au sein de l’équipe n°7 !
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Abominable, cher journal !
Pour la première fois, je me suis fait avoir par Jiraya et Sarutobi-sensei a découvert mon secret !
Cette journée avant pour temps commencée sous les meilleurs auspices. J’avais battu Jiraya à plate couture et Sarutobi-sensei avait encore vanté à tous mes mérites.
Malheureusement, j’ai été victime d’un abominable piège, que dis-je d’une spoliation !
Jiraya faisant preuve d’une présence d’esprit que je n’aurais jamais cru de lui, a mis dans le plat de pâtes de la cantine un piège à souris sachant pertinemment que j’aime bien baver dedans pour dégoûter les autres élèves.
Je suppose que Jiraya qui a découvert l’existence de ma langue depuis le temps que je l’humilie avec (même un cerveau lent comme lui a pu l’apercevoir) a voulu prouver à Sarutobi-sensei que ma langue était belle est bien extensible comme il le répétait depuis des années, sans être cru car heureusement Jiraya est de ceux qui ne sont pas cru (surtout pas par Sarutobi-sensei quand il témoigne contre moi, le petit ange).
Il est impossible que Sarutobi-sensei croit Jiraya plutôt que moi grâce à ma technique parfaite qui constitue à des que j’ai à faire accuser Jiraya à hurler « Sarutobi-sensei » d’un ton désespéré puis de chouiner dans sa robe (je le fais plus rarement maintenant mais quand j’étais petit j’en usais et abusais sans vergogne.)
Jiraya avait donc besoin de preuves matérielles et son piège a marché, me transperçant la langue au niveau de la 100ème papille gustative gauche.
Douleur des douleurs, cher journal, je me suis senti arraché de mon corps, réduit aux plus infimes des êtres.
Evidemment Jiraya s’est hâté de montrer à Sarutobi ma longue langue toujours prisonnière de son immonde piège.
Dès libéré, j’ai crié mon inénarrable :
« Sarutobi-sensei ! »
Et je me suis mis à chouiner dans sa robe.
Ce crétin a aussitôt dit :
« Pourquoi m’as-tu menti mon petit Orochimaru ? »
« Je ne voulais pas que vous me preniez pour un monstre ! Mais je vous jure que je n’ai rien fait Sarutobi-sensei ! Cette infâme Jiraya ment en disant que j’ai fait toutes ces choses horribles ! C’est bien lui qui les a fait et il m’utilises comme bouc émissaire ! »
Evidemment, Sarutobi se laisse avoir et laisse échapper la profusion habituelle de : « Mon petit Orochimaru », « Tu es un élève si doué. », « Jiraya, qu’est-ce qui te prend de maltraiter ton petit camarade ? »
Celui-ci essaie encore de se défendre :
« Si il est aussi innocent, pourquoi il avait la langue dans le plats de pâtes ? »
Sarutobi-sensei attend l’excuse parfaite.
« J’avais juste très faim. Je voulais en prendre une au vol. »
Tu dois trouver cette excuse bien piètre pour un futur maître du monde mais je n’avais pas plus de cinq secondes pour la trouver.
Ca suffisait pour ce crétin de Sarutobi. Il suffit que je lui fasse des petits yeux pour qu’il me donne le bon Dieu sans confession. Si je lui racontais que Jiraya s’était transformé en singe, il me croirait sûrement.
Je vais essayer…
Ca a marché !
Je lui ai simplement dit :
« Sarutobi-sensei, Jiraya s’est transformé en singe ! »
Et sans douter une seconde de mes paroles il a couru après Jiraya pour le punir et a même refusé à entendre ces protestations.
Franchement Sarutobi-sensei gobe vraiment tout. Un jour, je devrais lui dire que Jiraya est gay, il le croirait peut-être…
Et pourtant, c’est aussi probable que je sois moi-même gay !
Probabilité nulle, quoi !
Kukukukukukukukukuku…
Ca se passe pendant la jeunesse des Sannins, ils sont les élèèves de sarutobi-sensei au sein de l'équipe 7.
C'est un slash, un pairing assez bizarre et peu exploré mais bon nous n'avons pas froid aux yeux.
Le POV est varaiable et très libre !
Sommaire :
2 : Ma vengeance sera terrible
3 : Mais que diable allait-il faire dans ce vestiaire !
4 a) La conclusion de le précédente affaire et les malheurs d’Orochimaru
4 b) : La scène de la douche (non pas celle de « Psychose »)
5 : La vérité révélée
6 : Always love
7: Soif d'amour... et de sang
8 : Tel est pris qui croyait prendre
9 : Queer as folk
Chapitre 1 : attaques buccales !
Cher journal,
Tu as l’immense honneur d’être mon journal, celui du futur maître du monde, le Grand Orochimaru…
Je vais commencer par de raconter par de parler de moi-même et de ma vie !
C’est logique vu que je suis la personne la plus intéressante que je connais…
Je m’appelle Orochimaru, j’ai 14 ans et je suis le plus intelligent et le plus puissant des aspirants de Konoha. Outre mon aptitude au ninjutsu, qui en fait n’est égalé que par mon aptitude au genjutsu et au taijutsu (et c’est mon but : maîtriser tous les jutsus), je possède un pouvoir très particulier.
J’ai une langue d’une taille et d’une souplesse exceptionnelle !
Je peux l’allonger à mon envie pour accomplir des tas de choses délicieuses…
Lorsque j’étais petit, par exemple, ma langue était mon jouet favori. Je m’en servais pour :
renverser les bouteilles d’encre
toucher les fesses des filles
chatouiller Jiraya pendant qu’il récitait ses proverbes ninjas.
Et commettre bien d’autres méfaits en toute impunités…
Tu te demandes, sans doute, cher journal, comment j’ai pu faire tout cela sans me faire prendre.
C’est sans compter sur ma lumineuse intelligence…
Je n’ai jamais été accusé ne serait qu’une fois de tout ce que j’avais fait. Sarutobi-sensei, mon prof ignorait et ignore encore le secret de ma langue. C’est toujours Jiraya qui se faisait punir à ma place des bouteilles d’encres fracassés et autres et personne ne s’étonnait qu’il touche les fesses des filles ou qu’il rit bêtement en récitant ses proverbes ninjas, cet idiot.
Oh mon Dieu, cher journal, j’avais oublié que tu ne connaissais pas Jiraya.
Jiraya est un membre de mon équipe et aussi de mon ancienne classe à l’Académie. Un abruti total et un pervers totalement inférieur à moi mais qui m’est très utile pour jouer les boucs émissaires de mes méfaits buccaux.
Vois-tu, cher journal, il y a deux groupes de gens, les éternels innocents et les éternels coupables. Je fais partie de la première catégorie et lui de la seconde. Quant après avoir commis un méfait, je l’accuse, Sarutobi-sensei, qui a un gros faible envers moi, le punit immédiatement. De toute façons que vaut la parole de Jiraya, pervers qui préfère espionner la douche des filles que s’entraîner, à celle d’Orochimaru, solitaire mais si doué, premier de la classe, meilleur aspirant et petit chouchou de Sarutobi-sensei.
Les apparences ne jour vraiment pas en la faveur de Jiraya. Il faut dire qu’il a une belle réputation de cancre et de pervers qu’il ne doit qu’à lui. Je ne sais pas ce que son père a mangé la nuit de sa conception sans doute des hormones de taureaux en rut parce qu’à seulement 15 ans c’est un fervent lecteur de Sexy-Tabou, et il passe la plupart de son temps à espionner les filles nues et à noter des trucs dans un carnet en souriant bêtement. Il essaie aussi de les tripoter ce qui fait de lui le punching-ball favori de Tsunade.
Tsunade est la dernière membre de l’équipe 7. C’est l’éternel tourment de Jiraya qui s’est fait jeté par elle un nombre incalculable de fois (j’ai arrêté de compter à 1200…). Cette fille n’a pas grande intérêt, ni elle, ni sa bande de copines gloussantes. La seule chose que j’apprécie chez elle et qu’elle a une bonne droite et qu’avec, elle a plusieurs fait mordre la poussière à Jiraya.
Avec ces deux abrutis et Sarutobi-sensei qui ne jure que par moi, je ne risque pas la concurrence au sein de l’équipe n°7 !
§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§
Abominable, cher journal !
Pour la première fois, je me suis fait avoir par Jiraya et Sarutobi-sensei a découvert mon secret !
Cette journée avant pour temps commencée sous les meilleurs auspices. J’avais battu Jiraya à plate couture et Sarutobi-sensei avait encore vanté à tous mes mérites.
Malheureusement, j’ai été victime d’un abominable piège, que dis-je d’une spoliation !
Jiraya faisant preuve d’une présence d’esprit que je n’aurais jamais cru de lui, a mis dans le plat de pâtes de la cantine un piège à souris sachant pertinemment que j’aime bien baver dedans pour dégoûter les autres élèves.
Je suppose que Jiraya qui a découvert l’existence de ma langue depuis le temps que je l’humilie avec (même un cerveau lent comme lui a pu l’apercevoir) a voulu prouver à Sarutobi-sensei que ma langue était belle est bien extensible comme il le répétait depuis des années, sans être cru car heureusement Jiraya est de ceux qui ne sont pas cru (surtout pas par Sarutobi-sensei quand il témoigne contre moi, le petit ange).
Il est impossible que Sarutobi-sensei croit Jiraya plutôt que moi grâce à ma technique parfaite qui constitue à des que j’ai à faire accuser Jiraya à hurler « Sarutobi-sensei » d’un ton désespéré puis de chouiner dans sa robe (je le fais plus rarement maintenant mais quand j’étais petit j’en usais et abusais sans vergogne.)
Jiraya avait donc besoin de preuves matérielles et son piège a marché, me transperçant la langue au niveau de la 100ème papille gustative gauche.
Douleur des douleurs, cher journal, je me suis senti arraché de mon corps, réduit aux plus infimes des êtres.
Evidemment Jiraya s’est hâté de montrer à Sarutobi ma longue langue toujours prisonnière de son immonde piège.
Dès libéré, j’ai crié mon inénarrable :
« Sarutobi-sensei ! »
Et je me suis mis à chouiner dans sa robe.
Ce crétin a aussitôt dit :
« Pourquoi m’as-tu menti mon petit Orochimaru ? »
« Je ne voulais pas que vous me preniez pour un monstre ! Mais je vous jure que je n’ai rien fait Sarutobi-sensei ! Cette infâme Jiraya ment en disant que j’ai fait toutes ces choses horribles ! C’est bien lui qui les a fait et il m’utilises comme bouc émissaire ! »
Evidemment, Sarutobi se laisse avoir et laisse échapper la profusion habituelle de : « Mon petit Orochimaru », « Tu es un élève si doué. », « Jiraya, qu’est-ce qui te prend de maltraiter ton petit camarade ? »
Celui-ci essaie encore de se défendre :
« Si il est aussi innocent, pourquoi il avait la langue dans le plats de pâtes ? »
Sarutobi-sensei attend l’excuse parfaite.
« J’avais juste très faim. Je voulais en prendre une au vol. »
Tu dois trouver cette excuse bien piètre pour un futur maître du monde mais je n’avais pas plus de cinq secondes pour la trouver.
Ca suffisait pour ce crétin de Sarutobi. Il suffit que je lui fasse des petits yeux pour qu’il me donne le bon Dieu sans confession. Si je lui racontais que Jiraya s’était transformé en singe, il me croirait sûrement.
Je vais essayer…
Ca a marché !
Je lui ai simplement dit :
« Sarutobi-sensei, Jiraya s’est transformé en singe ! »
Et sans douter une seconde de mes paroles il a couru après Jiraya pour le punir et a même refusé à entendre ces protestations.
Franchement Sarutobi-sensei gobe vraiment tout. Un jour, je devrais lui dire que Jiraya est gay, il le croirait peut-être…
Et pourtant, c’est aussi probable que je sois moi-même gay !
Probabilité nulle, quoi !
Kukukukukukukukukuku…
