Et oui, c'est reparti pour un tour et malheur sdes tirages au sort, l'ancêtre ouvre ces huitièmes juste après avoir cloturé les 16èmes. Vous avez bien évidemment compris que je parlais du moustachu préféré du forum (après Zappa

) :
Georges Brassens ! Il sera opposé à un groupe de jeune blancs-bec à peine sorti de leur langes musicales

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Le groupe honni par Hyourimaru

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Et bien d'autres ici...
Radiohead
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Présentation de Radiohead :
L’histoire de Radiohead commence en 1982 quand quatre étudiants d’Oxford se décident à former un petit groupe de punk rock, qu’ils baptisent sans trop d’originalité « TNT ». Dans la foulée, le quatuor composé de Thom Yorke (chant, guitare), Ed O'Brien (chant, guitare), Colin Greenwood (basse) et Phil Selway (batterie) se trouve un vrai nom, ce sera « On a Friday ». En 1991 ils enregistrent une première démo plutôt brouillonne et commencent à se faire connaître.
La même année, ils sont signés par le label EMI et changent une nouvelle et une dernière fois d’appellation : ce sera Radio Head, nom inspiré d’un morceau des Talking Heads. Un cinquième larron rejoint le groupe : le guitariste Jonny Greenwood. Leurs premiers singles n’ont que peu d’impact et c’est « Creep » qui les tirera définitivement de l’anonymat en 1993, date de sa seconde sortie, la première ayant été quelque peu ratée (78ème place dans les charts et 6000 copies vendues). Le single tirera les ventes de leur premier album « Pablo Honey » vers le haut. Il atteindra avec difficulté le million de disques.
Mais ce succès soudain fait peur au groupe pour qui « Creep » pèse comme un fardeau, Yorke et ses acolytes appréciant modérément la quasi obsession de leur public pour ce titre au détriment du reste de leurs productions.
En 1995 Radiohead – en un mot désormais – montre qu’il n’est pas le groupe d’un seul album en sortant « The Bends ». Les mélodies simplistes y sont délaissées au profit d’un son plus profond et mélancolique, gage de leur maturité et de leur talent.
Avec « OK Computer » (1997), premier fruit de la collaboration avec le producteur Nigel Godrich, considéré comme le sixième membre du groupe, Radiohead s’assoit comme l’une des meilleures formations de rock alternatif mondiales et impose son style à la fois pop, ambient et expérimental. Le single « Karmapolice » trotte dans toutes les têtes.
La tournée qui suivit fut vécue comme une descente aux enfers pour les cinq membres de Radiohead. Ebouriffés par le succès, la pression des médias, des maisons de disques et même du public… Il est grand temps de faire une pause.
Après deux ans de mutisme et de remise en cause, le groupe est de retour avec « Kid A » (2000). L’album, lancé avec une promo minimum, brillant et très expérimental déroute. Balbutiante sur « OK Computer », l’électro est désormais omniprésente, tout comme le free jazz et le recours aux samples qui remplacent les guitares. Quelques mois plus tard, les Radiohead en grande forme sortent « Amnesiac » (2001).
Une nouvelle tournée et nous voila en 2003, année de parution de « Hail to the Thief ». Moins expérimental, plus pop et spontané, ce disque est en quelque sorte un retour aux sources et aux guitares, une fois de plus salué par la critique et le public.
Après une nouvelle série de concerts qui les a vus se produire au festival Rock en Seine et une parenthèse en solo plus que réussie pour Thom Yorke avec « The Eraser » (2006), Radiohead devrait sortir son septième album courant 2007.
Tiré de :
http://musique.fluctuat.net/radiohead.html
Les liens à écouter avant de voter 
:
2+2=5
Sit Down Stand Up
Myxomatosis
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Présentation de Georges Brassens :
Jeune, Georges Brassens, fils de maçon, n'aime guère l'école hormis les cours de lettres qui lui apprennent l'amour de la poésie. En 1940, il vit à Paris et travaille comme tourneur au sein de l'usine Renault. Parallèlement, il commence à composer, mais le S.T.O. le condamne à partir en Allemagne. De fait, ses camarades déportés constituent son premier public. Après la guerre, il devient anarchiste et collabore au journal'Le libertaire'. Se considérant davantage parolier qu'interprète, il présente ses oeuvres à de nombreux artistes dans l'espoir de les faire chanter. Finalement, il est forcé de les jouer lui même. En 1952, son premier disque, au sein duquel figurent 'Le gorille' et 'La mauvaise réputation', est mal perçu pour son aspect revendicatif. Néanmoins, il va peu à peu s'imposer comme le nouveau maître de la chanson à texte. Inventeur d'un jeu particulier de la guitare sèche et du chant, ses compositions sont remarquables par leur vocabulaire fleuri et vif, et l'habileté de Brassens à croquer situations et vérités ('Chanson pour l'auvergnat', 'Trompettes de la renommée').
Les liens à écouter avant de voter 
:
Complainte des Filles de Joie
L'Orage
Mysoginie à part
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Le versus prendra fin, le
samedi 13 octobre à 12 heures.
Bonne écoute.
Et bons votes

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