Eastern Promises

[shinzo]

avec Viggo Mortensen, Naomi Watts
scénariste Steve Knight
directeur de la photographie Peter Suschitzky
compositeur Howard Shore

trailer : http://www.lespromessesdelombre.com/

synopsis : Bouleversée par la mort d'une jeune fille qu'elle aidait à accoucher, Anna tente de retrouver la famille du nouveau-né en s'aidant du journal intime de la disparue, écrit en russe. En remontant la piste de l'ouvrage qu'elle tente de faire décrypter, la sage-femme rencontre Semyon. Elle ignore que ce paisible propriétaire du luxueux restaurant Trans-Siberian est en fait un redoutable chef de gang et que le document qu'elle possède va lui attirer de sérieux problèmes...

_______________

La touche cronenberg restera sans nul doute les plans sérés sur des corps en décomposition, mutation, dont 'il arrive à tirer, une beauté, dans le corps le plus horrible qu'il soit.

De la mouche (panflé sur la recherche et le sentiment de puissance voué à la destruction), au film plus intimiste, sensuel (proche de Verhoven) avec Crash, à sont incursion furtive dans une SF indépendante particulièrement approfondie et symbolique ou l'artificiel prend petit à petit le pas sur la réalité, toujours avec cette constante froide, cette vision pessimiste du progrès comme pour prouver que l'intelligence de l'homme sera dans un sens ça faille.

Cronenberg est un créateur qui évolue dans différents styles, que la plupart raccroche à un univers de Verhoven ou Carpenter, (pour ma part je le raproche plus à un Lynch), pour cette autonomie face à Hollywood et cette décontraction expressive dans le gore "artistique" (Cronenberg étant pour ma part l'un des seuls à faire accepter l’insoutenable de manière aussi harmonieuse).

Outre peut être Crash, la plupart des oeuvres de Cronenberg ce situent en parallèle avec notre réalité, ce qui dans un sens apporte une sorte de réconfort.

Bref,un film n'a pas besion d'être parsemé d'images gratuites, il utilise une ambiance lourde pour mettre en valeur la scène trash, comme un cadrage sur une toile comme pour la magnifier en quelque sorte.

A history of violence, ça derniere œuvre en dâte fut pour m'a part une épreuve jouissante, cette approche plus "abordable", il "animalise" jusqu'à la voiture (300C) qui devient presque un personnage du film, tout en gardant une atmosphère lourde, il travail chaque plan, chaque regards (celui de Ed Harris).

Avec Estern Promises il nous offre une fois de plus, sa vision du monde, dans la continuité de "a history of violence", il comtemple l’univers de la mafia, « sans tatouages vous n’existé pas, votre vie est inscrite sur votre corps » âpre et violente avec sans doute son acteur fétiche actuellement qui fait preuve d’un étonant charisme, le trailer ne dévoile rien mais démontre une atmosphère lourde en perspective.

J’aime assez cette idée méttant en avant les tatouages telque que ce des Yakusas, cette marque de respect, qui montre la supériorité ou la soumission à sont « clan »

Bref un film que j'attend beaucoup qui mettera moin de temps (7 novembre) que sweeney todd, pour spectateur averti (je le conseil à tous ce qui on aimé A history of violence)

ps/ L'affiche me rappelle beaucoup "la nuit du chasseur", flagrant.

[nataku]

Ouai j'ai vu le trailer sur m6 hier, il va depoter ce film, ta tout bien résumé, quand j'ai vu ça j'ai tout de suite pensé à "History of Violence" \o/

[NewKel]

J'ai pas particulièrement aimé History of violence, même si c'était mieux que les dernières oeuvres de Cronenberg.. J'ai trouvé que la fin partait trop en c*** et qu'il était passé à coté d'un sujet qui aurait pu être mieux exploité

[Heaven smile]

J'ai beau l'avoir vu Vendredi, cet Eastern Promises m'a marqué et il m'est encore difficile d'en parler tellement le film de Cronenberg est profond et complexe. Il est difficle de ne pas établir un parallèle avec A History... puisque l'on retrouve dans ses deux longs métrages des similitudes. Là encore, Cronenberg nous offre un drame familiale extrêment intense (paradoxalement au style visuel très froid du film) et dont les conséquences seront lourdes.
Eastern Promises est un film brutal, viril, mais aux sentiments exacerbés. En analysant les codes régissant cet univers mafieux, Cronenberg sonde ces personnages, qui, d'une manière ou d'une autre, se retrouvent confrontés à cette institution. Il extériorise leur violence, non pas par le biais de scènes à la violence visuelle (puisqu'en effet, elles sont peu nombreuses) mais par le biais du dialogue. A cette violence, Cronenberg ajoute le sexe, qui s'y révèle extrêment lié. On retrouve le thème de l'homosexualité développé dans la relation complexe qui lie Nikolaï à Kirill. Cette connotation se retrouve à chaque fois que les deux protagonistes sont réunit. De même, la splendide scène du hamam prend, elle aussi, cette forte connotation du fait des rapports ambigus que les personnages entretiennent. La scène est extrêment viscérale. Violence et sexualité explosent à l'écran et nous laisse un goût de sang dans la bouche.

Mais Eastern Promises est aussi un film tragique sur l'éclatement du bloc familiale, la manipulation...Car éclatement il y a. Outre la relation d'amour/haine entre Cassel et Mortensen, il est aussi question de l'image que rend le fils à son père. Un fils qui est écrasé par le poids d'une père attendant de lui des choses qui ne viendront jamais. A côté de cela, Watts, elle aussi, se retrouve piègée dans la toile. Malgré ces efforts pour s'en détacher, elle reste liée à ce "mal contagieux". La fascination qu'exerce Mortensen sur elle est elle aussi assez intéressante puisque l'image de mère dont elle est porteuse va permettre à ce chauffeur de se révéler, au delà de ses tatouages, sans pour autant se mettre complétement à nu.

Mise en scène posée, tantôt distante, tantôt collée aux corps, Cronenberg filme l'évolution de ses personnages sans porter de jugement. Eastern Promises est un film envoutant, sensuel et complexe. Le plan clôturant le film est absoluement magnifique. Vivement de nouveaux visionnages afin de vraiment cerner le projet.

[Heaven smile]

Double post (mais pour la bonne cause).

Vous perdez quelque chose là. Allez voir Eastern Promises (et viendez en parler).

Eastern Promises, c'est quoi ? (en résumé)



C'est des supers discussions sur des motos ! (les fans des 2 roues y trouverons leur compte)




C'est avec un Viggo Mortensen qui fait trop peur mais qui a grave la classe ! (ceux qui veulent apprendre à devenir mafieu et qui aiment les brushing nickel y trouverons leur compte)




Ca parle de bébés ! (trop tichou)




Ca parle d'amours contrariés !




Mais ca parle aussi de repas de famille avec du caviar ! (pour ceux qui aiment la cuisine).




Y a de la violence !




Mais y a aussi une blonde tichou !


Je vous le montre pas mais en argument ultime, y a Mortensen qui se bat tout nu ! (les filles qui rêvent toutes les nuits d'Aragorn vont être servi !)...et c'est réalisé par un monsieur qui aime les mouches !


En fait Eastern Promises c'est de la balle mais vous le savez pas encore ! Alors courez le voir (et dites merci à tonton Heaven qui à trop des bons goûts ! ...et à cousin Shinzô qui a créé le topic).

[Aizen]

Allez la critique de Dahan .
Et moi qui n'y suis pas encore allé ...
Mais ça ne saurait tarder ...

http://www.canalplus.fr/c-cinema-en-sal ... 09/11/2007

[shinzo]

[Spoile]



Pour ma part cette dernière œuvre en date de Cronenberg reste, le buzz de l’année et de loin, ce film sur passe, par sa noirceur dame, nombre d’oeuvres du même genre, il effleure les recoins les plus sombre de l'âme humaine, et la mæstria de son réalisateur permet de retranscrire un sujet dure et âpre à l’écran pour scotché littéralement le spectateur, ce disent « adepte » de Cronenberg et par cela impossible à surprendre, de nouveau.

Rare sont les œuvres de Cronenberg ou la violence aura était aussi profonde et à la fois aussi discrète, ce qui accentue en sommes le réalisme et la puissance de celles-ci, Cronenberg les magnifie littéralement d’une mains de maître, que ce soit visuellement, les chorégraphies, les différents cadrages sur des partouse, bordel, découpage etc.… ou encore via les dialogues, avec une radicalité propre à cette environnement, qui fait d’ailleurs preuve d’une liberté de thème très important, comme l’abandon, l’homosexualité, le viole, la prostitution etc....

La force du récit réside aussi dans le faite que le spectateur soit admiratif du sens du mots « clan » plus important que le mots famille, ou un homme reçoit en guise de loyauté absolue des étoiles, symbolisant le faite qu’il n’aura plus jamais à ce prosterné ou courbé les chines devant qui que ce soit dans le restant de sa vie (j’adore ce dialogue), cette preuve de supériorité, cette protection spirituel, cette affranchissement quasi religieux, que représente ces tatouages, presque en sommes la seul richesse, et la seul véritable « protection » dans le film.

Cette acte mais d’ailleurs en avant une jalousie que Kirill éprouve en vers ce fils spirituel qu’est Nakolai pour Semyon, qui voit en lui plus qu’un simple atout, mais plus un successeur qui en a.

La meatria de Cronenberg réside dans le fait qu’il est eu le sens de centré sont récit non pas dans une simple histoire de mafia locale, ou une séquelle indigeste du Parrain, mais sur cette « intronisation » d’un homme de main, dans le monde âpre de la mafia, et sur les différents codes de celle-ci, est surtout sur la signification des tatouages.

Eastern Promise, n’est pas un film sur la vengeance proprement dite, mais plutôt sur la soumission ou l’acquiescions.

Croenberg mais radicalement les point sur les I des la première séquence, de tranchouille mettant, un point d’honneur à exprimé sont sens du visuelle, sa touche, en nous explosant littéralement la gorge du zozo à la gueule. Cette séquence à la fois très expressive, jouissante et tous de même une des rares scènes ou le réalisateur explore le thème de la « vengeance » dans le film.

Cette scène démontre aussi que chaque actes, fait dans le passé, subira une conséquences dans le future, comme si tous le reste du film en été la conséquence directe.

Le hammam reste tout de même la magnificence de l’œuvre, impossible d'être insensible à cette scène qui à elle seul banalise tous le reste du film, que ce soit dans sa touche primitif, explicite, ou encore dans sa réalisation très réaliste et âpre.

Anna permet au spectateur de pourvoir s’identifié, et par la même occasion de voir ce monde à travers ces yeux, elle permet, outre les prostitué, aussi de brisé littéralement cette masculinité ambiante dans lequel le récit est enfermé, elle apporte, une touche de grâce, de fragilité, de réalisme, par ces actes, ces pensé, ces principes, elle est la touche morale du récit dans ce monde de « glace » comme le fut Maria Belo dans la précédente œuvre. Elle n’est pas soumise, brisé comme les putes, elles à le regard à la même auteur que les hommes, jamais plus bas, cependant, comme un virus on la vois petit à petit s’endurcir au contacte de cette environnement.

Je trouve cependant, que le chois de la famille n’apporte pas réellement de plus au récit ou peut être est elle trop présente, car outre d’être en parallèle avec le monde mafieux, et donc pas dans la même optique, elle banalise le récit par moment en nous balançant des dialogue « chou rose » barbant du style : la mafia ces pas beau, la mafia ces pas bien blablabla.

De même que cette « fracture » totalement indigeste pour ma part en ce qui concerne le revirement de situation de Mortensen, qui plombe la dynamique de l’œuvre dans une bouillasse pour ma part impardonnable.

Bref Cronenberg nous gratifie, d’une de ces œuvres les plus aboutie sur la noirceur de l’esprit humain, en espérant que la prochaine soit encore plus radicale et indépendante aux autres productions actuelles.

Mention très spéciale d'ailleurs, au plan final sur Nikolaï, d’une justesse et d’un symbolisme impressionnant pour clore une oeuvre somme toute aussi grandiose ^ ^

[Aizen]

SPOIL (et réponse à Shinzo )

Pour ma part, je ne pense pas qu'il y ait de revirement de la situation de Mortensen au cours du film. On est courant qu'il est infiltré dès le premier tiers du film. Au moment où Cassel raconte que la prostituée avec laquelle Viggo a dû coucher a été embarqué par les flics. C'est très explicite, où l'on sent le malaise de Viggo puis dans le fait qu'il demande ensuite l'identité de la jeune femme. D'ailleurs c'est là où l'on sent que Cronenberg (et c'est une des rares critiques négatives que l'on puisse faire concernant ce film, c'est qu'il ne s'est pas foulé dans la structure du scénario). Maintenant, il est tout à fait possible qu'il ait pu se dire :

"Bon, je vais prendre un schéma super vu et rebattu, comme ça, je vais pouvoir leur en mettre plein la gueule durant le film et m'intéresser uniquement au cinéma, aux plans, aux séquences, aux cadrages, au montage. Et de ce point de vue-là, c'est réussi."

Mais comme, je ne suis pas dans sa tête .

[shinzo]

SPOIL

wey exact Aizen.

Je trouve pour ma part que cette "infiltration" de Nikolaï, plombe, ou alourdit un scénar qui aurait gagné à être + épurée. Cette couche policière n'apporte pas réellement grand chose, ou peut être permet une fois de plus, de mettre en valeur un sens morale à cette oeuvre sombre, car tous au long du film, le spectateur est en quelque sorte témoin "passif" de la mafia russe, on est ébahit par ce monde, intéressé etc...

Quitte à faire un film sur l'infiltration profonde et réaliste à la "Miami Vice" de Mann, okeydac, mais alors, le faire à font dans cette optique, ici on parle des rouages de la mafia de l'interrieur, mais en temps que mafieu, alors...


Pour ma part chaque oeuvre est distincte, l'une de l'autre, comme si elle était la première, la reconnaissance du public ne doit pas permettre à un réa de ce centrer d'avantage sur telle ou telle partie de son oeuvre au profit d'une autre, l'image ok, mais le scénar avec ^^.

[Aizen]

SPOIL

Je crois surtout que l'infiltration est là pour légitimer en réalité la non-mort du bébé à la fin. Ou son non-assassinat, c'est comme l'on veut. Au final, je suis entièrement d'accord, cela n'apporte rien par rapport à l'univers de la mafia russe mais par contre, cela permet à la famille normale de ne pas se voir décimer (l'oncle, le bébé et sans doute la fille, si elle poursuivait son petit jeu). C'est clair que c'est le point bancal du scénar qui est largement transcendé par la mise en scène de Cronenberg. Et en cela, le dernier plan du film est absolument somptueux, dans la manière de cadrer noirceur, le sentiment de solitude, cette arrivée au pouvoir.

Mais dans ce cas pourquoi Cronenberg, n'a-t-il pas opté pour un Viggo qui aurait juste été un mafieux aux dents longues profitant de son aura sur le fils du boss ? Je me pose la question et je me demande si cela n'aurait pas été meilleur. Parce que même si on pénètre cet univers avec les yeux de Naomi Watts, les yeux d'un citoyen lambda, il est clair que sa vision (à mon sens) n'apporte pas grand chose puisqu'elle est censée représenter la vision "naïve" du spectateur.

Peut-être aurait-il fallut trouver un juste milieu, et finalement, c'est vraiment le seul point de ce film sur lequel on peut émettre quelques réserves, tellement le reste est tout simplement magistral. C'est violent, viscéral, noire (sauf la fin... pseudo-idyllique de la famille, sans doute faut-il y voir une certaine ironie chez Cronenberg, ou peut-être une concession envers les producteurs évitant ainsi qu'on lui coupe les vivres, je ne sais pas ).

En clair, vraiment un film à voir .

[Raaly]

SPOIL

OUai enfin l'infiltration de Nikolai est aussi la pour justement illustrer les paroles du journal de Tatiana entre la gentille qui vit dans le jolie monde avec les gens gentil et le "gentil" qui vit un enfer chez les "mechants" ! on le comprend très bien lors du dernier plan du film, ou l'on voit Viggo, seul, une bouteille de Vodka, à la tête de Vory et on ré-entend la 1er phrase du journal de Tatiana :"Je m'appelle tatiana, mon père travaillé dans les mines dans mon village, alors il était déjà enterré quand il est mort. Nous étions tous enterré là, sous le sol de Russie. c'est pour ça que je suis parti, pour trouver une vie meilleure". Lui aussi aurait pu choisir une vie meilleure, partie avec Anna. mais il en faut bien qui se sacrifi...

[Heaven smile]

Cadeau pour les soldes :



13 euros le dvd. Vous aussi, investissez dans ce film J'ai hâte de le rematter.

(j'ai fini de me la péter).

***edit de Raaly je l'ai déjà vu 3 fois , allez va te la peter XD ***

[Aizen]

SPOIL

OUai enfin l'infiltration de Nikolai est aussi la pour justement illustrer les paroles du journal de Tatiana entre la gentille qui vit dans le jolie monde avec les gens gentil et le "gentil" qui vit un enfer chez les "mechants" ! on le comprend très bien lors du dernier plan du film, ou l'on voit Viggo, seul, une bouteille de Vodka, à la tête de Vory et on ré-entend la 1er phrase du journal de Tatiana :"Je m'appelle tatiana, mon père travaillé dans les mines dans mon village, alors il était déjà enterré quand il est mort. Nous étions tous enterré là, sous le sol de Russie. c'est pour ça que je suis parti, pour trouver une vie meilleure". Lui aussi aurait pu choisir une vie meilleure, partie avec Anna. mais il en faut bien qui se sacrifi...

SPOIL

Effectivement, je ne l'avais pas perçu sous cet angle là . Maintenant cela dit, je ne crois pas qu'il ait envisagé une seule seconde d'aller vivre une vie meilleure avec Naomi. D'ailleurs lorsqu'on veut le retirer de l'affaire, il montre son étoile en disant qu'il ira jusqu'au bout (en gros, ça fait un bout que je l'ai visionné quand même ). Qu'il n'a pas fait tout ça pour rien. Je sais pas si le journal de Tatiana dresse un parallèle entre les actions de Viggo ou pas. Parce que si l'on voulait pousser le symétrisme jusqu'au bout, peut-être aurait-il fallut qu'un méchant entre en contact avec les gentils et donc vice-versa (ce qui n'est pas le cas puisque Viggo est le seul interlocuteur vis-à-vis de cette famille "normale" ).
Donc, je continue de penser que le scénario est jusqu'à un certain point bancal.

Mais si vous ne l'avez pas vu au ciné, courrez l'acheter, à 13 euros, cela vaux plus que le coup ^_^.

[Raaly]

SPOIL

j'ai jamais dit qu'il a envisagé de le faire, mais il aurait pu, il avait le choix, partir pour une vie meilleure, comme Tatiana (mais on va bien la ou ça l'a mené) ! et pitier, pousser la symétrie, tu voulais pas non plus un "méchant" qui ait la grande révélation et passe chez les gentils ? moi ça m'a paru déjà suffisement flagrant ! la phrase du journal qui redémarre pile à la fin sur le plan de Viggo, ça crève les yeux, c'est d'ailleurs pour ça qu'en plus la fin prend au trippe, quand on le voit à la tête des Vory, on voit bien que c'est pas sa place du tout, mais il le fait parce que quelqu'un doit bien le faire !

[Aizen]

SPOIL

Je ne parlais pas d'un méchant passant chez les gentils , je parlais d'un méchant entrant en contact avec ces "gentils" ... enfin "gentils" disons personnes lambda avec la possibilité de déteindre sur elle .

Quelle idée, les méchants qui deviennent gentils parce qu'une blonde leur a montré ses seins . Non, non, non, je ne parlais pas de ça .
Maintenant, je n'ai pas ressenti ça comme ça le plan final. J'ai plus vu, un Viggo extrêmement seul mais qui est là parce qu'il l'a voulu (alors peut-être à mettre en parallèle avec la fille qui quitte son univers pour un "monde meilleur" et lui qui le quitterait pour un "monde bien pire" ). Mais pour moi, il est parfaitement à sa place dans ce monde ^_^. Il y est même plus que Vincent Cassel qui doit porter le fait d'être LE fils, donc porter l'héritage de son père omipotent et omniprésent.