Dans les jeux les plus dur, je dirais...
Hum...
Alex Kid sur Megadrive
Oui, c'est de toi que je parle sale pourriture avec tes putains de fi-shu-mi où on devait connaitre par coeur les patten des boss (inutile de dire que quand j'avais l'âge de 3ans, le concept de pattern m'était complètement étranger et que c'était du pif total).
Ensuite, y'aurait Sonic 1
Avec ce putain de niveau aquatique que je réussissais à passer une fois sur 10 (pour mieux y passer dans le niveau d'après). Sans le code pour choisir son niveau, jamais j'aurais vu la fin du jeu. Je me souviens encore que je me languissais en regardant ma boite du jeu et de ces quelques images des niveaux d'après que je n'ai atteint.
Dans les plus récent, Super Meat Boy :
Mais là on parle déjà d'une difficulté plus juste en fait.
Je veux dire, pour moi, la grande différence dans la difficulté entre les jeux de maintenant et les jeux d'avant, c'est le concept de justice.
Je m'explique. Avant quand on jouait à des jeux dur, la difficulté était tout simplement injuste parce qu'elle ne venait pas à proprement parlé du jeu mais du gameplay.
Je veux dire, on a tous connu les chutes dans le vide parce que lorsqu'on se prend des dégâts, notre personnage est poussé en arrière.
Ou alors les respawns à l'infini des personnages sur les bords de l'écran. Ou les jeux sans continu. (Oui, t'as trois vies et 5h de jeu à finir devant toi sans perdre ces trois vies). Et la liste continue encore et encore.
Ces jeux étaient juste injouable. Je veux dire, on les sorts maintenant, mais ils se font défoncer par les critiques et à juste titre.