The Heroic Legend of Arslan (Arakawa Hiromu aux dessins)
Publié : lun. 14 juil. 2014, 07:12
La série des Arslan Senki,inspirée par un conte perse, Amir Arsalan, a été écrite par Tanaka Yoshiki. Tanaka est un romancier prolifique qui roule sa bosse depuis les années 80 (peut-être même la fin des années 70). J'en avais déjà entendu parlé car les Clamp faisant les illustrations pour la version format de poche des livres d'une de ses séries. Anyway, Tanaka travaille plus ou moins régulièrement sur la série des Arslan depuis le milieu des années 80. Une série animé et un manga était sorti chez Kadokawa au début des années 1990. Dans tous ces projets, Tanaka a toujours été le scénariste.
C'est Amano Toshitaka qui faisait les dessins des romans, je vous en met un rien que parce que c'est joli.
Et l'anime inspiré de ces dessins:
Fastfowards à 2013, une nouvelle série de manga apparaît dans le mensuel Shonen Magasin Special de Kodansha, Arakawa Hiromu assure les dessins. Tanaka est toujours au scénario. Pourquoi une nouvelles série, après les romans, la série télé, le premier manga? Aucune idée. Pourquoi le changement de maison d'édition? Toujours aucune idée. Pourquoi Arakawa? Aucune idée non plus.
Ok, je lis l'entrevue du premier tome, il semble que Arakawa est fan de la série de roman et que l'info se soit rendu jusqu'à Tanaka, lui-même fan de Hagaren et qu'il cherchait justement un mangaka pour l'adaptation de Arslan Senki. De fil en aiguille, les choses se sont mises en place pour aboutir au présent projet.
Donc, Arslan Senki, The Heroic Legend of Arslan, se déroule dans la Perse pré-islamique où des combats sporadiques avec l'empire de Rome chrétien causent des frictions (dans l'entrevue du premier tome, Arakawa dit qu'on est dans la Perse des Sassanides, quelque part entre 226 et 651 AD). Le roi de Perse, Andragoras, a très bonne réputation comme général alors qu'il tient leurs ennemis, les Lusitaniens, dans leurs frontières. Le protagoniste est son fils, le prince Arslan, qui tient plutôt de sa mère. Pas trop habile au combat, pas trop habile en stratégie militaire, pas d'instinct de la bataille, il arrive à sa première bataille un peu nerveux... Et c'est là que traîtrises, intrigues politiques, alliances et ressentiments vont changer la destiné du royaume.
Sans vous dévoiler trop d'éléments de l'intrigue, je dirais que cette oeuvre m'a rappeler celui de Jûshin Enbu, ça parraît que Arakawa est pas maîtresse du récit, même si on sent son humour ici et là. Les enchaînements entre les scènes et les événements sont archi-convenus et les personnages très typés, pour ne pas dire clichés. Mais il y a quand même un certain charme, on verra ce que ça donnera avec les chapitres, on est probablement loin de la fin, on en est encore à introduire de nouveau personnages.
C'est Amano Toshitaka qui faisait les dessins des romans, je vous en met un rien que parce que c'est joli.
Et l'anime inspiré de ces dessins:
Fastfowards à 2013, une nouvelle série de manga apparaît dans le mensuel Shonen Magasin Special de Kodansha, Arakawa Hiromu assure les dessins. Tanaka est toujours au scénario. Pourquoi une nouvelles série, après les romans, la série télé, le premier manga? Aucune idée. Pourquoi le changement de maison d'édition? Toujours aucune idée. Pourquoi Arakawa? Aucune idée non plus.
Ok, je lis l'entrevue du premier tome, il semble que Arakawa est fan de la série de roman et que l'info se soit rendu jusqu'à Tanaka, lui-même fan de Hagaren et qu'il cherchait justement un mangaka pour l'adaptation de Arslan Senki. De fil en aiguille, les choses se sont mises en place pour aboutir au présent projet.
Donc, Arslan Senki, The Heroic Legend of Arslan, se déroule dans la Perse pré-islamique où des combats sporadiques avec l'empire de Rome chrétien causent des frictions (dans l'entrevue du premier tome, Arakawa dit qu'on est dans la Perse des Sassanides, quelque part entre 226 et 651 AD). Le roi de Perse, Andragoras, a très bonne réputation comme général alors qu'il tient leurs ennemis, les Lusitaniens, dans leurs frontières. Le protagoniste est son fils, le prince Arslan, qui tient plutôt de sa mère. Pas trop habile au combat, pas trop habile en stratégie militaire, pas d'instinct de la bataille, il arrive à sa première bataille un peu nerveux... Et c'est là que traîtrises, intrigues politiques, alliances et ressentiments vont changer la destiné du royaume.
Sans vous dévoiler trop d'éléments de l'intrigue, je dirais que cette oeuvre m'a rappeler celui de Jûshin Enbu, ça parraît que Arakawa est pas maîtresse du récit, même si on sent son humour ici et là. Les enchaînements entre les scènes et les événements sont archi-convenus et les personnages très typés, pour ne pas dire clichés. Mais il y a quand même un certain charme, on verra ce que ça donnera avec les chapitres, on est probablement loin de la fin, on en est encore à introduire de nouveau personnages.