Modérateur : Ero-modos
nan mais j'parlais de la mise en scene tout ça, avec les deux méchants qui sont de dos, leur derniere victime morte au milieu et le dialogue de type "prochain sur la liste"Gingitsune a écrit :Ça a l'air d'être une trad japonais -> chinois -> espagnol -> anglais, alors forcément, ça sonne cliché.
Faudra voir avec la V.O. quand elle sortira.
T'as la mémoire sélectiveKarin va pas mourir (dans Naruto on ne meurt pas avant 30 ans, sauf si on s'appelle les 5 du son), elle sera probablement récupérée par Konoha.
, tu oublies Zaku, Kin et Dosu, tous morts à 14 ans. Le fait que Karin soit d'Oto garantit qu'elle mourra jeune. Même chose pour Jûgo. Seul Suigetsu peut y échaper car il vient de Kiri. 
Il y a une théorie (les origines de son nom) selon laquelle elle a été adoptée (ce qui expliquerait qu'on ne sait rien de sa famille, c'est sans importance) et donc initialement abandonnée.Par contre, elle, elle s'en fiche.
Et j'aimerais comprendre ce qui fait, dans son passé, dans sa vie, qu'elle soit comme ça.
elle a toujours été comme ça.
Elle se fiche de ce qui peut lui arriver à elle, comme si sa propre vie n'avait pas d'importance.
Je ne pense pas que Kabuto soit un bon exemple.Kabuto n'a pas l'air de manquer d'estime de soi pour un type qui a été adopté
Dans beaucoup de séries, les plus faibles arrivent à ôter la vie à des adversaires extraordinaires par un seul moyen...le suicide (le meilleur exemple, Shiryu contre Shura).Sakura fait un peu n'importe quoi là, gagner contre Sasuke, mais alors seulement si il glisse et qui ce fait le coup du lapin tout seul.
Je trouve bizarre la nomination de Sarutobi comme Hokage dans cette situation.Le flashback est sympa, revoir Sarutobi comprendre un peu mieux Danzô et enfin voir un peu de Nidaime ça fait plaisir.
Il est équilibré simplement parce qu'il n'éprouve pas suffisamment de sentiments qui altère son jugement.Bizarrement j'aime bien Sai là, je trouve que c'est le plus équilibré du groupe en fait.
Je crois que Danzou était trop loin de Karin pour qu'elle soit absorbée par son jutsu.Gingitsune a écrit :T'as la mémoire sélectiveKarin va pas mourir (dans Naruto on ne meurt pas avant 30 ans, sauf si on s'appelle les 5 du son
Karin ert Jûgo ont quand même survécu à un premier databook, ils ont eu une longévité particulièrement longue pour des ninja d'Oto. Mais c'est ici que ça s'arrête. D'ailleurs, Danzô a absorbé le corps de Karin avec une bonne partie du pont, elle pourra difficilement se relever si elle n'a plus de corps.
Kabuto n'a pas l'air de manquer d'estime de soi pour un type qui a été adoptéGod of Baka a écrit : Il y a une théorie (les origines de son nom) selon laquelle elle a été adoptée (ce qui expliquerait qu'on ne sait rien de sa famille, c'est sans importance) et donc initialement abandonnée.
Je pense qu'un enfant abandonné ne s'accorde pas beaucoup d'estime.
Tout comme l'amour alors...la haine n'a pas besoin de disparaitre, puisqu'elle n'existe pas réellement, elle est seulement la projection mentale d'esprits malades...
Elle n'est pas morte, je le pense aussi.Je crois que Danzou était trop loin de Karin pour qu'elle soit absorbée par son jutsu.
J'adore !
*regarde les images plus attentivement*Je crois que Danzou était trop loin de Karin pour qu'elle soit absorbée par son jutsu.
Je me demande a quoi tu carbure?je veux la meme(merci le copier/coller ) :sAncilla a écrit :et c'est pour cela que j'ai affirmé que c’est par l’intelligence du vrai (la science) et la pratique du bien (la religion) que s’affranchissent non-seulement les individus, mais les peuples. car la dernière victoire que l'homme puisse rempoter sur la mort, c'est de triompher du goût de la vie, non par le désespoir, mais dans une plus haute espérance, qui est renfermée dans la foi, pour tout ce qui est beau et honnête, du consentement de tout le monde. apprendre à se vaincre, c'est donc apprendre à vivre, et les austérités du stoïcisme n'étaient pas une vaine ostentation de liberté ! céder aux forces de la nature, c'est suivre le courant de la vie collective, c'est être esclave des causes secondes. résister à la nature et la dompter, c'est se faire une vie personnelle et impérissable, c'est s'affranchir des vicissitudes de la vie et de la mort. tout homme qui est prêt à mourir plutôt qu'à abjurer la vérité et la justice est véritablement vivant, car il est immortel dans son âme. aimer la vie plus qu’on ne craint les menaces de la mort, c’est mériter la vie. nous sommes jetés dans la vie comme en pleine mer : il faut nager ou périr... et il n'y a rien de mieux à faire en ce monde que d'aider les autres a sortir de l'influence de cet orgueil qui les manipules comme des pantins, de leur illusoire Ego et de l'ignorance fondamentale...God of Baka a écrit :Tout comme l'amour alors...la haine n'a pas besoin de disparaitre, puisqu'elle n'existe pas réellement, elle est seulement la projection mentale d'esprits malades...
La haine existe, l'amour aussi, ce sont les expressions de nos sentiments.
on ne conçoit jamais le mal absolu que comme une fausse idée du bien. le bien seul peut être absolu, et le mal est uniquement relatif à nos ignorances et à nos erreurs. tout homme se fait diable d'abord pour être dieu ; mais, comme la loi de solidarité est universelle, la hiérarchie existe dans l'enfer comme dans le ciel. un méchant trouvera toujours un plus méchant que lui pour lui faire du mal. et le mal c'est la divagation ou le sommeil de l'intelligence. c'est la folie ou le mensonge. l’injustice est la mort de l'être moral, comme le mensonge est le poison de l'intelligence. l’esprit de mensonge est donc un esprit de mort. ceux qui l'écoutent sont empoisonnés par lui et sont ses dupes. mais s'il fallait prendre sa personnification absolue au sérieux, il serait lui même absolument mort et absolument trompé, c'est à dire que l'affirmation de son existence impliquerait une évidente contradiction... quand le mal est à son comble, il faut qu'il cesse, car il ne pourrait continuer que par l'anéantissement de l'être, ce qui est impossible. le vide attire le plein, et c'est ainsi que l'abime de pauvreté et de misère, le prétendu mal, le prétendu néant, la passagère rébellion des créatures attire éternellement un océan d'être, de richesse, de miséricorde et d'amour... alors les hommes-"diables", à bout de ressources, retombent sous l'empire des hommes-"Dieu" et sont sauvés par ceux qu'on croyait d'abord leurs victimes ; mais l'homme qui s'évertue à vivre en faisant le mal rend hommage au bien par tout ce qu'il développe en lui même d'intelligence et d'énergie... alors que le bien ne peut pas vouloir mal faire; s'il frappe, c'est pour châtier et pour guérir.